C'est à cause des trafiquants d'Or au sommet, qui jouent sur les cours, du type CIA et leurs pions pions libertariens de type Jovanovic, que les braquages de bijoutiers augmentent. La même soif de l'or de chaque côté, gros brigands en amont contre petits brigands en aval, et encore, on se demande s'il n'y aurait pas un mélange des genres entre les trois parfois ...
"Chacun est seul responsable de tous" - Page 243
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Il est l'Or de se réveiller ...
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Etre d'extrême-droite ou pas, c'est toujours en être qui est la question
Le Front National n'est a priori pas d'extrême-droite car être national, c'est être Français, et la France n'est ni de droite, ni du centre (Le centre ? Il n'y a pas plus libéral qu'un centriste, ils font tous partie des parties fines libérales des clubs libéralo libéraux), ni de gauche, encore moins d'extrême-gauche, d'extrême-droite.
L'extrême-droite, c'est le mondialisme -c'est-à-dire le libéralisme (la droite poussée à son paroxysme) sur lequel tous les partis s'accordent, à l'exception du Front National.
Cependant, les dirigeants du Front National trahissent parfois l'esprit national, il ne tient qu'à eux d'être cohérents, ils y gagneront la reconnaissance du peuple, qui n'attend que de sortir de l'extrême-droite réelle.
Etre d'extrême-droite, c'est par exemple :
- être pour le travail le dimanche et tout autre dérégulation du marché du travail
- être pour l'euthanasie, le clonage et tout autre libéralisation de l'expérimentation sur l'homme
- être contre la démocratie en sacrifiant le vote du peuple lors d'un référendum et en imposant un OUI quand il a dit effectivement NON
- laisser une aristocratie suprématiste agir comme le fait l'European Round Table of Industrialists à Bruxelles
- laisser l'école, instrument de transmission, entre les mains de ces mêmes ploutocrates, et grâce à l'appui d'apprentis sorciers de l'éducation
- supprimer les services non rentables et aux personnes non rentables
- déposséder les peuples de leur souveraineté
- détruire les outils de travail pour les transférer là où ils rapportent le plus à l'oligarchie industrialo financière
- transférer le pouvoir aux industrialo financiers
etc., etc., etc.
Et le petit Nicolas Dupond Aignan qui soutient mordicus que le Front National est bien d'extrême-droite.
Le fin connaisseur ...
Pas autant que vous toujours.
Et votre parrain Nigel le thatchérien, ce n'est pas pousser son extrême-droite un peu loin ?Et votre admiration pour l'Institut pour la Justice, ce n'est pas pousser sa droite à son paroxysme ?
Et votre rond de serviette à Radio Courtoisie, ce n'est pas la droite de l'extrême-droite ?
Et votre collaboration avec Bob Ménard, ce n'est pas de droite extrême ?
Nicolas Dupond Aignan devrait savoir de quoi il parle quand il parle d'extrême-droite, il nage en plein dedans.
Nicolas Dupond Aignan suit finalement une courbe mathématique bien connue.Il tendrait vers l'extrême-droite sans l'atteindre jamais, ne dit-on pas que ce qui compte, c'est de tendre vers un but, pas de l'atteindre ?
NDA, c'est l'extrême-droite asymptote.
Un symptôme somme toute assez fréquent et commun à l'ensemble de la classe politique.La quintessence de l'extrême-droite se nomme libertarianisme, et qui est en effet, ce quoi vers tend l'ensemble du spectre politique; le FN étant l'enfant terrible français de l'ensemble, celui qui plie parfois au libéralisme mais ne s'y rompt pas.
Salut les Tartuffes.
Ah, j'oubliais, pour le Figaro, le Front National tient plutôt du Front de gauche; on n'est jamais assez à droite pour ces gens-là; sacrés libertariens, toujours avec leurs gros sabots ...Lien permanent Catégories : Brèves -
Semaine des quatre jours : une semaine à gauche, une semaine à droite
Reprise texto de mon texte écrit le
20/05/2012Semaine des quatre jours : une semaine à gauche, une semaine à droite (complété)
18:34 Publié dans Ecole | Lien permanent | Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : semaine des quatre jourscinq jours, intérêt de l'enfant, rythmes scolaires, ue, ocde, omc, peillon, éducation, projet pédagogique
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Jour de repos en pertes et profits
A propos de l'ouverture des magasins le dimanche, tout dépend de la vie que l'on entend laisser à nos enfants.
L'ouverture anti hiératique est une revendication du patronat qui souhaite rentabiliser au maximum son outil de travail.
On pousse le salarié vers la flexibilité maximum, le sacrifice maximum, le petit job, pour le petit chose acculé, qui l'acceptera et qui poussera l'ensemble à reculer.
Le refus de la moindre entrave relève du principe, d'un état d'esprit.
Vit-on pour consommer, surconsommer, et notamment en période de fêtes dont on a oublié le sens ?
La vie de famille a-t-elle un sens, la vie tout court en a-t-elle encore ?
Faut-il faire "comme les autres" qui eux-mêmes pensent faire "comme les autres", dans une course à l'échalotte où tout se vend tout s'achète tout le temps ?
Le directeur d'une grande surface que je connais disait que les salariés n'auront pas le choix.Il est évident qu'entre celui qui acceptera de travailler le dimanche et l'autre pas, c'est le premier qui sera embauché.
Le budget des personnes n'étant pas extensible, c'est naturellement un système de vase communiquant qui opérera.
Le système aura ses flexisalariés, c'est une des étapes qui amènent au temps partiels imposés, le patronat fera valoir qu'il doit réduire les heures pour éviter de licencier, cela permettra de déréguler la législation protectrice du travail progressivement et sans douleurs revendicatives.
On voit même déjà les salariés faire grève pour pouvoir travailler le dimanche, c'est la lutte finale pour abattre le droit du travail ...
Quand on se range du côté de l'insupportable famille de Menthon (dont la saloperie ne s'invente pas, elle qui soutient " éthiquement" le travail des enfants dans les pays où les multinationales abusent les droits des hommes), c'est qu'il y a un problème.
On noter que le trafiquant libertarien de la même trempe qu'un Jovanovic, Olivier Delamarche, piège libertarien à gogos, n'en demande pas moins.
Même les prétendus catholiques sont pour beaucoup libéraux-catholiques, ce qui paraît être un non-sens.
Quand on est libéral, on est pour la dérégulation, le Jour du seigneur passera en pertes et profits.Lien permanent Catégories : Brèves, Libertariens (Libéralisme) -
Comprendre l'Empire ...
Soral emploie maintenant le terme "néolibéralisme", c'est maintenant un libertarien upgrade qui ne prononce plus le terme "libéralisme".
Pour un libertarien, le "néolibéralisme" est le libéralisme actuel, empreint d'étatisme peu ragoûtant, c'est-à-dire que le processus en est à un point impur, le libéralisme étant la panacée qu'il faut atteindre en nettoyant le système néolibéral de ses scories sans lesquelles le libéralisme total et parfait apparaîtra enfin dans toute sa splendeur.
http://www.youtube.com/watch?v=mxnHw79BUm0&feature=shareLien permanent Catégories : Brèves, Libertariens (Libéralisme) -
Pour une politique française d'assimilation des roms
Tant que le patronat fera venir des populations étrangères pour peser à la baisse sur les salires et déstabiliser le pays, la seule manière nationale de réagir est de les assimiler, casser les éventuels regroupements maffieux, agir en Etat avec ses relais locaux.
C'est la seule solution, autrement, tant que l'on n'a pas aboli Schengen et retrouvé nos prérogatives de souveraineté nationale, on installe des bombes claniques au sein de notre communauté nationale.
Il faut agir selon le moindre mal, prévoir l'avenir, en l'état, on ne peut pas faire autrement.
Le rouleau compresseur républicain, toujours :
http://www.ouest-france.fr/actu/Magazine_detail_-Anina-Ciuciu-ex-mendiante-Rom-future-juge_3639-2188738_actu.Htm
"Lorsqu'Anina Ciuciu s'adresse en romani aux femmes qui mendient sur les trottoirs, celles-ci ouvrent de grands yeux : comment cette jeune fille soigneusement maquillée, au tailleur élégant et court porté sur des collants brodés, pourrait-elle être des leurs ? Il n'y a pas si longtemps que ça, Anina était à leur place, grappillant quelques sous avec sa mère. « J'en suis restée humiliée à jamais », confie-t-elle.Lorsqu'elle croise des gamins qui lui rappellent la petite fille qu'elle était, ça lui déchire le coeur. Même si sa vie a bien changé. À 22 ans, étudiante en master Justice et procès à la prestigieuse université parisienne de La Sorbonne, elle est logée dans un studio du Crous et ambitionne de devenir magistrate. Joli pied de nez à tous ceux « qui pensent que les Roms ne sont que des voleurs de poules », selon ses termes. Et un parcours impensable pour une Rom née dans les faubourgs insalubres de Craiova, en Roumanie.
« Traitée de sale Rom, puis d'intello »
Anina reconnaît qu'elle doit beaucoup à sa famille, qui a toujours eu la volonté d'échapper au triste destin des Roms de l'Est, « considérés comme des sous-hommes ». Son grand-père tenait une épicerie, son père était comptable, sa mère aide-soignante dans un hôpital. Des emplois obtenus moyennant le fait d'avoir caché leurs origines, et perdus le jour où celles-ci ont été découvertes. « Des Roms qui réussissent, là-bas, il y en a. Mais on ne le sait pas, parce qu'ils se sont fondus dans la masse. »
Un jour de 1997, alors qu'Anina a 7 ans, elle s'entasse avec ses parents et ses deux soeurs dans la guimbarde d'un passeur. Direction la France, « pays des oranges et des mandarines ». Après de multiples péripéties, la famille atterrit par hasard à Bourg-en-Bresse, dans l'Ain. Elle vit d'abord dans une camionnette. Le père vend des journaux, la mère et les enfants mendient. Là, au marché, une passante qui deviendra une amie les guide vers des associations. De fil en aiguille, ils obtiennent un logement HLM, les parents arrivent peu ou prou à travailler.
Anina, qui a toujours aimé l'école, se montre très douée. « J'avais envie de montrer que bien que Roumaine, je n'étais pas forcément malhonnête. » Pas toujours facile. « On m'a parfois traitée de sale Rom. Ma mère me donnait des bonbons pour que je me fasse des copines. Elles prenaient les bonbons et elles partaient ! » Au collège, les choses changent. « J'avais toujours droit à des moqueries, mais parce qu'on me considérait comme une intello ! »
Aujourd'hui, après de brillantes études de droit à Bourg-en-Bresse, antenne de l'université de Lyon, la jeune femme veut plus que jamais devenir magistrate. Elle a « une très forte envie de combattre les injustices ». Elle a accepté de raconter son histoire dans un livre, parce qu'elle veut « faire changer le regard sur les Roms ». Pas parce qu'elle considère qu'il est exceptionnel qu'une Rom réussisse ! « Les Roms ont les mêmes capacités que tout le monde. »
Elle ne nie pas qu'il y ait des problèmes de délinquance. « Comme dans toutes les communautés ! Mais je ne sais pas d'où la police sort ses chiffres. Et c'est la misère qui pousse à ces comportements, ce n'est pas intrinsèque aux Roms. Il y a aussi des réseaux qui profitent des familles, exploitent des enfants. »
« J'ai de la chance »
Comprend-elle qu'il soit choquant de voir des petits, parfois en bas âge, exposés au froid et aux gaz d'échappement sur les trottoirs ? « Oui, mais leurs mères préfèrent souvent les garder avec elles plutôt que les laisser seuls dans un camp qui peut être détruit en leur absence. Les Roms adorent leurs enfants, ils ont un sens très fort de la famille. Ma mère ne m'a jamais forcée. »
Cet attachement à la famille est un des aspects de la culture rom qu'Anina veut garder. Avec la musique, la cuisine, la danse, le sens de la débrouille, la chasteté avant le mariage... Pour le reste, elle a fait la part des choses.« Le rôle de la femme est encore très traditionnel, elle reste au foyer, avec ses enfants. Moi j'ai de la chance, ma famille a une grande ouverture d'esprit et connaît la valeur des études. »
Ses parents ne la pousseront pas à se marier avec un Rom. « Ils préféreraient que j'épouse un Français. » Plusieurs de ses ami(e) s lui ont proposé le mariage. Parce que ce serait un moyen commode d'acquérir cette nationalité française que la République lui refuse. Mais qui est indispensable pour s'inscrire au concours de la magistrature. Anina préfère être loyale, et compte sur l'acceptation d'une nouvelle demande de régularisation..."
Mais sachez que la France aussi, pour être la France, a des frontières, et qu'elle les contrôle, et que notre sagesse de veille nation sait que le déracinement organisé est un inhumanisme;
qu'il n'y a, en France, rien au-dessus de l'Etat, et que donc les puissances d'argent n'y font pas la loi, elles qui rêvent de l'esclave nomade sans pays, sans attaches, sans sens; destabilisation, flexibilité, rentabilité, profit n'auraient pas le dessus si vous ne sacrifiez notre Etat-Nation sur l'autel de votre petit pouvoir de traîtres corrompus.
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Dans la série Putain de l'Empire ...
Nous avons donc d'un côté, les Femen :
- «Model don't go to brothel» (Mannequin, ne va pas au bordel)
et de l'autre, des extrémistes musulmans en Indonésie :
- “Miss Monde, une élection de prostituées”
On se souvient, Inna Shevchenko mi-pute mi-insoumise :
- «Qu’est ce qui peut être plus stupide que le Ramadan? Qu’est-ce qui est plus moche que cette religion?»
C'est à en perdre sa putain ...Lien permanent Catégories : Brèves -
Comme un air de National Rafle Association qui s'invite aux municipales
"Invitée par un membre du "Club de tir de Tarascon" à une initiation. J'ai pu non seulement essayer des armes de poing, mais aussi rencontrer les passionnés de ce sport et leurs représentants."
Madame la Directrice va pouvoir faire la leçon de morale à ses petits caids de bac à sable maintenant dans sa ZEP ...
En sachant toujours que la meilleure des morales, c'est l'exemple.
Mais sans doute veut-elle offrir une image exemplaire de la nouvelle femme, mère de famille, gun au poing ...Mais peut-être envisage-t-elle l'apprentissage de ce "sport" au sein de son établissement, les nouveaux rythmes scolaires ne sont après tout pas un peu fait pour cela, et les nouvelles générations semblent prêtes à ces expériences qui leur permettrait de faire valoir l'étendue de leur propre savoir de barbare ?
Travaillons les instincts du sauvageon, nul doute qu'il a déjà ça dans le sang, et qu'il pourra enfin acquérir des compétences d'avenir dans le Livret du même nom.Après avoir soutenu l'assassin-bijoutier, finira-t-on par soutenir une Licence to kill dans les établissements scolaires ?Madame la Directrice ferait mieux de réserver ses cartouches aux assassins de l'Ecole, on ne l'a guère entendu pour contrer le lobby SOS Education -fer de lan ce de l'évolution libérale-, mais il est difficile de s'en prendre à un des lobbies libéraux de Radio Courtoisie quand on y a ses entrées sans doute ...
La radio qui promeut le système américain à tous les étages tout en se targuant de défendre la France, est sans doute un des plus beaux cas d'école du camp national.Que les manipulateurs dedroite créent des leurres pour rapatrier au bercail leur naturelle extrême-droite, ça se comprend, et c'est tant mieux puisque quand ces salopards nous rejoignent, ils éloignent de nous notre électorat naturel à nous qui est bien différent et bien plus nombreux que celui-là; mais quand ce sont nos propres cadres qui mettent en avant ces leurres ...Un petit air survivaliste peut-être pour la chorale de l'école de madame la Directrice :https://www.dailymotion.com/video/x154lsm_les-enfoireux-parodie-du-soutien-au-bijoutier-de-nice_fun
Bourse Tocqueville
De WikiberalLa Bourse Tocqueville a été créée en 2003 pour permettre à de jeunes gens prometteurs de rencontrer les différents acteurs politiques américains et d’apprendre les techniques utilisées par la société civile américaine pour défendre les valeurs de liberté et de responsabilité[1].
Initié par Alexandre Pesey et financé par l'association Contribuables Associés, ce séjour de formation est organisé chaque année en juillet. Il a lieu principalement à Washington D.C.
Après examen du dossier et entretien d’admission, 5 à 6 candidats sont retenus chaque année.
Immergés au cœur du pouvoir politique américain pour une durée d’un mois, les cinq lauréats de la Bourse Tocqueville assistent aux séminaires et participent aux formations des instituts les plus prestigieux. Ils découvrent les centres de pouvoir et vont à la rencontre des décideurs américains:
Les personnalités rencontrées:
- Nigel Ashford, Institute for Humane Studies, Directeur exécutif des programmes
- Morton C. Blackwell, The Leadership Institute, Président
- James M. Buchanan, Center for Study of Public Choice, Professeur d'Université - Prix Nobel d'économie[2]
- Mark C. Henrie, Intercollegiate Studies Institute, Vice Président pour les Affaires Académiques
- Jennifer Marshall, Heritage Foundation, Directrice, Politique intérieure
- Robert Morrison, Family Research Council, Vice Président pour les Affaires Académiques
- Laurent Murawiec, Hudson Institute, Directeur exécutif
- Grover G. Norquist, Americans For Tax Reform, Président
- Michael Novak, American Enterprise Institute, George Frederick Jewett Scholar in Religion, Philosophy, and Public Policy
- Ron Paul
- Richard W. Rahn, Cato Institute, Directeur exécutif
- Pete Sepp, National Taxpayers Union, Vice Président en charge de la Communication
- Kenneth R. Weinstein
- Paul M. Weyrich
Les organisations visitées:
- American Enterprise Institute
- Americans For Tax Reform
- Atlas Economic Research Foundation
- Cato Institute
- Center for Security Policy
- Center for Study of Public Choice
- Citizens Against Government Waste
- Family Research Council
- Free Congress Foundation
- Heritage Foundation
- Hudson Institute
- Institute for Humane Studies
- Intercollegiate Studies Institute, Inc
- Leadership Institute
- National Rifle Association of America
- National Right to Life
- National Right Work Committee
- National Taxpayers Union
Notes et références
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Les rythmes scolaires qui ont fait leurs preuves
Devant le fisaco total des nouveaux rythmes scolaires calqués sur les rythmes anglo saxons, on peut rappeler que jadis, quand les enfants allaient à l'école pour apprendre et maîtriser un savoir -ce qu'ils parvenaient à faire effectivement-, il y avait une extrême régularité dans les apprentissages.
La maîtrise des savoirs de base permettent l'assise des apprentissages ultérieurs, les fondements sur lesquels l'édifice d'apprentissage s'appuiera.
Seule une solide formation à l'école donnera les ailes nécessaires à l'enfant pour s'élever et devenir un homme libre.
Dictée le matin, corrigée l'après-midi.
Leçon de français (avant la récréation) et de mathématiques (après la récréation) le matin, après corrections des exercices sur la ou les leçons précédentes, et avec exercices d'application de la leçon du matin l'après-midi, dûment corrigés, avec devoirs personnalisés à faire à la maison en fonction des fautes que l'on avait faites aux exercices, et/ou exercices de rédaction pour ce qui avaient eu tout bon.
Mots et mathématiques à réviser pour tous avec classement et hiérarchie progressive de ces mots. Et exercices de révision.
La dernière demi-heure de cours servaient aux autres sciences, histoire ou activité artistique, et une moitié d'après-midi par semaine était réservée au sport.
MATIN :
- Correction des devoirs de français donnés la veille.
- Dictée
- Leçon de français
Récréation
- Correction des devoirs de mathématiques donnés la veille
- Apprentissage concret
- Leçon de mathématiques
APRES-MIDI :
- Exercices d'application de la leçon de français du matin
- Correction et inscription sur le carnet de devoirs des choses à revoir
Récréation
- Exercices d'application de la leçon du matin en mathématiques
- Correction et inscription des difficultés à revoir le soir en fonction des fautes commises par chacun
Dernière demi-heure :
- Sciences naturelles (lundi), histoire-géo(mardi), sport (jeudi ou un autre jour en permutant), arts (vendredi)
Mercredi, repos pour laisser au cerveau le temps d'assimiler et pour en profiter pour faire du sport et/ou des activités musicales ou autres arts en fonction des affinités de chacun, et samedi matin travaillé pour ne pas laisser deux jours consécutifs sans cette régularité absolument nécessaire à l'enfant qui a besoin de rites et de rythmes extrêmement rigoureux.
Contrôle général en fin de trimestre (avec exercices faciles, moyennement difficiles et une partie sur deux points difficile pour permettre aux meilleurs de s'exprimer) après quinze jour de révision des leçons du trimestre avec force d'exercices.
Notes et courbes des notes précises pour corriger le tir le cas échéant.
Récompenses en bons points, puis images, puis livres en fonction des "très bien obtenus" dans le travail, effort, comportement dès que l'occasion se présente.
Intervenir au moindre petit écart de comportement, les anticiper pour les prévenir grâce à la connaissance du comportement des enfants.
Le maître doit être aussi admiratif et reconnaissant du bon, qu'intraitable au mauvais comportement.
Un coup doit entraîner l'éloignement temporaire du groupe, une exclusion de l'école s'il est porté contre un maître, ainsi que tout autre manque de respect dû aux adultes.
Le maître rappelle sans cesse le "Bonjour/au revoir Madame/ Monsieur", "Merci Madame,/Monsieur".
L'élève vouvoie les adultes.
Pour le travail, admiratif et reconnaissant du bon, indulgent au mauvais mais donnant les clefs à l'élève pour lui permettre de se reprendre.
Il est proposé pour les récréations des activités de marelles, cordes, élastiques, balles, course, grimpe sécurisée.
Ajoutons que la rigueur du maître engendre la rigueur de l'élève, concentration, calme.
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Peine de mort, Dieu, César, et les salauds
Il est insupportable de voir des salopards récupérer la mort atroce de la petite Fiona sous les coups de drogués et la complicité criminelle de sa mère.
Les salopards en question se nomment les Identitaires et l'Institut Pour La Justice, il faut le dire, le crier, le gueuler.
Je suis pour la peine de mort, mais en tant que juriste, et j'assois mes arguments sans utiliser des méthodes que seule la plus haute saloperie engendre.
Il faut déclarer la mort à ces méthodes et institutions anglo saxonnes qui tuent la France et donc son peuple.
En tant que catholique, les hommes règlent leur compte directement avec Dieu.
En tant qu'être civilisé, l'homme doit organiser la société, protéger le citoyen.
Certains hommes sont devenus des monstres par leurs actes plus qu'inhumains, la société se doit d'assurer sa légitime-défense pour sauver la vie d'êtres innocents, les monstres sont irrécupérables.
En l'espèce, la société se doit également d'agir en amont, faire que dès la petite enfance, le petit être grandisse sous les meilleurs auspices, dans la meilleure éducation venant de ses parents, à qui elle doit s'attacher de trouver un emploi -et un emploi décent, pas un "job" d'esclave, par son organisation-, et les meilleurs maîtres d'instruction venant de l'école.
La peine de mort est la clef de voûte de l'échelle des peines sans laquelle elle
s'écroule.
La peine maximale de prison doit correspondre à une peine forte mais en vue de réinsérer le criminel, il doit pouvoir en sortir.
Seuls les malades mentaux dangereux sont enfermés à perpétuité.
La prison à vie est inhumaine et ne sert qu' à couver un monstre.
L'Eglise n'est pas César, la société a des contingence à gérer, l'Eglise s'occupe des
âmes.
Il est inhumain de couver un monstre et de l'enfermer à vie (sauf s'il est jugé fou, la
responsabilité pénale ne s'applique pas aux enfants et aux malades mentaux).
La prison à vie signifie couver un monstre, le tenir au chaud, le but de la
prison est de punir, de préserver et de réinsérer ensuite dans la société.
La société s'occupe des affaires temporelles, la religion, des affaires spirituelles.
Il faut rendre à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César.
Cette locution est une traduction d’une partie d’un passage du Nouveau Testament qui donne en latin :
Reddite quae sunt Caesaris, Caesari, et quae sunt Dei, Deo. — Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu. (Matthieu, XXII,21); ( Luc, XX, 25 )
D’après ces écrits relatifs à la vie de Jésus et aux premières années du christianisme qui sont considérés comme authentiques par les Églises chrétiennes, il s’agirait d’une expression de Jésus : c’est la réponse qu’il aurait fournie aux pharisiens qui lui demandaient s’il était conforme à la loi de payer les impôts romains. C'était un piège dans lequel les ennemis de Jésus cherchaient à le faire tomber en lui demandant s’il est permis de payer l’impôt à César. S’il dit oui il ne peut pas être le Messie, s’il dit non ils le dénonceront comme ennemi de l’empereur.
Cette citation sert aussi de source a un précepte fondateur de la chrétienté et des premiers papes : la division entre pouvoir temporel (politique) qui appartient au chef de l’État et pouvoir spirituel (religieux et théologique) qui lui appartient au pape.
De plus, en droit français, le doute bénéficie toujours à l'accusé contrairement au droit anglo saxon.
L'argument de l'erreur judiciaire est faux, les erreurs judiciaires en France sont dû aux affaires politiques, on a condamné des personnes pour des raisons politiques, et seule l'histoire peut alors rendre justice, quand il faut un coupable, la politique peut le fabriquer comme elle fait assassiner ou se suicider dans le dos.
Mais l'esprit français n'est pas celui-là.
En France, en matière pénale, le juge instruit à charge et à dcharge, sauf à se prendre pour un Américain.
On peut du reste toujours améliorer le droit français pour en bien garder
l'esprit.
- Présompt. d'innoc. : « principe selon lequel, en mat. Pénale, toute personne poursuivie est considérée comme innocente des faits qui lui sont reprochés, tant qu'elle n'a pas été déclarée coupable par la juridiction compétente » (lex. term. jurid., Dalloz) ;
- « Le sage écrit que l'on ne doit condamner aucun homme sur un simple soupçon ; car mieux vaut manquer à punir des malfaiteurs, que de condamner ceux qui n'ont en rien méfait » (Livres de Jostice et Plet, vers 1260) ;
- « Dans le doute, il vaut mieux absoudre un coupable que de condamner un homme qui peut être innocent » (Dict. du droit, de Ferrière, 1762) ;
- « En vertu de l'adage in dubio pro reo, le doute profite à l'accusé. Si les preuves produites contre lui sont insuffisantes, l'inculpé ne peut être condamné » (Man. dt. Crim., Vouin, 1949) ;
- « La règle que le doute profite à l'accusé, ainsi que la série de corollaires qui en découlent, ont été critiquées, comme des procès à rebours, par ceux qui ne voient, dans ces institutions que des procédés tendant à désarmer la « défense sociale », et qui ne comprennent pas que les garanties de la procédure sont surtout nécessaires pour les honnêtes gens injustement soupçonnés » (Précis de dr. Crim., Garaud)Lien permanent Catégories : Brèves