Une étrange cabale qui en apprend sur des liens apparemment inattendus entre différents acteurs de la vie politique et médiatique française, voilà l'affaire qui me touche depuis quelques mois et qui ne cesse de révéler plus sur ceux qui la fomentent que sur celle qu'ils essaient d'abattre en ma personne.
Violence, lâcheté, hypocrisie, mensonge, bassesse, voilà tout ce qu'est l'extrême-droite, tout ce que je combats et tout ce que je ne suis pas et qui semble faire de moi, une cible pour les tenants de cette idéologie.
Mettant au jour leurs méthodes et le danger qu'elles font courir à notre démocratie, il est important d'en connaître les rouages et l'idéologie afin de toujours mieux comprendre pour mieux combattre.
C'est ce que je vous propose dans l'exposé de cette affaire surréaliste que j'ai portée auprès du Procureur de la République de Nantes.
Le 25 janvier de cette année, je reçois une alerte car je suis notifiée sur les réseaux sociaux.
Il s'agit d'un post de Damien Rieu, influenceur Identitaire dont le groupe a été dissout en 2021 par le Ministère de l'Intérieur, ce qui ne l'empêche nullement d'agir et ce malgré les multiples plaintes et condamnations contre lui pour diverses infractions pénales.
Il est dit : "C'est Oriane Borja, une antisem maladive".
Il s'agit de me faire passer pour une prétendue journaliste, antisémite et négationniste, qui écrirait sous pseudonyme et serait recherchée depuis treize ans et qui serait identifiée comme la première antisémite de France.
Et voilà tout droit sortie du chapeau et à l'heure où l'actualité internationale voit rapatrier les corps de deux enfants en bas âge séparés jusque dans la mort de leur maman, victimes de l'horreur absolue de la folie des hommes laissant la communauté internationale en état de sidération, que cette criminelle ne serait autre que moi, dont la folie impliquerait de facto que, souffrant de troubles mentaux tels, je vive cette duplicité depuis des années.
L'extrême-droite toujours prête à toutes les bassesses les plus ignobles lançant mon nom en pâture pour servir de victime expiatoire à une meute manipulée assoiffée de vengeance.
Depuis cette usurpation d'identité, de création de faux comptes à mes noms et images, et de doxing de mes adresses et numéro de téléphone, ce ne sont que menaces de morts, insultes et intimidations d'une violence inouïe qui s'abattent sur moi et relancées sans cesse par des journalistes et des élus qui se permettent de relayer la diffamation sans aucune déontologie et réserve que leurs fonctions leur imposent.
J'ai donc porté plainte pour diffamation, menaces de morts, injures publiques, faux, usage de faux, intimidation, harcèlement, atteinte à la réputation, doxing, auprès du Procureur de la République de Nantes, contre :
- Damien Lefèvre Rieu, Identitaire et donc manipulateur d'extrême-droite notamment via l'Institut Pour la Justice et l'Institut de Formation Politique
- Rudy Reichstadt, journaliste à Franc-tireur et sur Franc Info, directeur de Conspiracy Watch et animateur de l'émission Complorama sur France Info et Radio France
- Caroline Fourest, directrice éditoriale de Franc-Tireur
- Valérie Salomon, directrice de publication et présidente de CMI France
- Cyrille Amoursky, journaliste à LCI puis BFM et à Conspiracy Watch
- Caroline Yadan, députée
- Frédéric Guermann, directeur financier de la ville de Sceaux, élu de la ville de Sceaux, délégué au maire et proche collaborateur de Bruno Retailleau
Damien Rieu est lauréat 2023 de l'Institut de Formation Politique, école des cadres de l'extrême-droite qui fournit les bataillons de CNews et de toute la mediasphère Bolloré/Stérin.
En cherchant si le directeur de campagne de Bruno Retailleau est issu de l'IFP, ce qui naturellement le cas, je m'aperçois que Christophe Barbier, ancien directeur de l'Express, multi-éditorialiste, notamment sur France Info et à Franc-Tireur dont il avait assuré la direction lors de sa fondation par Caroline Fourest, est également intervenant formateur à l'IFP, école des cadres de l'extrême-droite.
Ce qui me fait dire que Franc-Tireur est le journal qui lutte contre l'extrême-droite mais tout contre.
Comment le mensonge est-il venu à l'idée de Damien Rieu ?
Pourquoi s'en prendre à une personne isolée comme moi, cheffe de famille monoparentale pauvre, mère de quatre enfant dont aidante d'un enfant porteur de handicap ?
Comment cette fake-news a-t-elle été reprise par des groupes de milices privées comme Halteàlaconnerie et Sword of Salomon, en toute vraisemblance proches du BETAR et de la LDJ, groupuscules d'extrême-droite ultra-violents, groupes soutenus sur les réseaux sociaux par l'ancien chef du BETAR, Frédéric Encel, omniprésent sur le service public et les chaînes privées et très proche de Rudy Reichstadt ?
Comment est-elle arrivée à des journalistes qui-ne-devraient-pas-dire-ca qui colportent des mensonges nuisant gravement à leur déontologie et à leur crédibilité de journaliste dont le statut fait une circonstance aggravante supplémentaire de la diffamation, tout comme le fait d'être élu ?
Pourquoi n'ont-ils pas vérifié l'"information" qui est le b a ba du journalisme ?
Quels sont les liens entre eux ?
Pourquoi de telles intimidations et doxing qui ont fait que mes collègues de travail ont été au courant avant moi de tous ces mensonges ?
Comment et pourquoi font-ils de moi une cible et une proie avec des menaces de mort inévitables ?
N'ignorent-ils pas que l'impact d'une atteinte qui plus est mensongère à la réputation a des conséquences catastrophiques, mon directeur m'a convoquée, m'annonçant l'obligation de réunir le Conseil d'administration, mon sort est suspendu à une décision judiciaire ! Je ne vis que de mon travail.
Comment gèrent-ils sans culpabilité ces attaques en meute contre une personne dont ils se doutent bien de l'innocence puisque ceux qui ont organisé et diffusé ces mensonges savent bien qu'ils n'ont évidemment aucune preuve d'une cabale montée de toute pièce.
Ils usent de méthodes d'intimidation psychologiques scientifiques qui peuvent avoir des conséquences tragiques.
Je les accuse ici clairement, s'il m'arrive quoi que ce soit, à moi ou à mes enfants, qui sont inévitablement directement impactés par leurs manœuvres irresponsables, je les en tiens directement pour responsables, en sachant que nos vies sont d'ores et déjà atteintes profondément par leurs agissements.
L'élu Frédéric Guermann est venu spécialement se moquer de mon hommage à mon père décédé le 1er mai et qui est la personne que j'admire le plus au monde, avec qui je partageais l'amour de la culture et de la connaissance, qui était juif et qui a élevé ses enfants dans le judaïsme qui est la seule religion que nous connaissions, qui est notre intimité, notre identité profonde liée à notre nom, nom et judaïsme auxquels mon père a consacré sa vie; brillant musicien classique professionnel puis médecin des plus pauvres, à l'humanité et la générosité immenses, il a consacré sa vie à l'étude de la Torah dans le texte, en hébreu, me faisant partager ses connaissances et ses interprétations, le judaïsme était notre lien.
Venir m'attaquer sur ce qui touche au plus profond de mon intimité m'est insupportable, j'ai en horreur comme mon père, toutes les bassesses du monde, toutes les violences, je ne supporte pas qu'on s'en prenne à une personne pour ce qu'elle est, je ne le tolère pas plus pour les autres que pour moi, qui suis cheffe de famille et aidante et donc responsable d'autres personnes ; en s'en prenant à moi par ce biais, ils s'en prennent à mon père et au lien qui nous unit, ce qu'ils me font est criminel, la saloperie de l'extrême-droite n'est pas usurpée, au-delà de mon cas, je veux que chacun comprenne combien elle est un danger pour tous.
Justice privée, milices privées, vengeance privée, la violence de l'extrême-droite est une fin et un moyen, lorsqu'elle parle de remettre en cause l'Etat de droit, ce n'est pas une maladresse, c'est une volonté profonde, l'Etat de droit, l'Etat dans ce qu'il représente comme institutions régulatrices par rapport à un état de nature où les rapports de domination font loi, voilà ce qu'ils exècrent.
Et ce que je défends et la raison pour laquelle ils s'en prennent à moi, au mieux pour discréditer tout ce que je peux écrire, au pire pour m'éliminer socialement et donc tout court, dans l'espoir sans doute qu'un individu manipulable et se sentant investi d'une mission, passe à l'acte.
Là encore, je leur laisse le soin d'expliquer les raisons de leurs mensonges et de leur acharnement.
Une de mes façons de résister politiquement et mentalement aux attaques, est d'écrire, mon blog est essentiellement un journal intime.
Si je n'ai jamais caché mon combat contre les Identitaires puisque, dès les années 90 à Nice, je m'en prenais déjà à Fabrice Robert, fondateur des identitaires, lorsqu'il venait s'incruster dans les cars que le FN organisait pour permettre aux militants d'assister aux manifestations du 1er mai à Paris. Ces groupuscules ouvertement nazis, qui à Nice, avait notamment formé un groupe de "rock identitaire neo nazi" avec notamment, Philippe Vardon, détestaient le FNJ qu’ils méprisaient et qui le lui rendait bien et il fallait sans cesse les chasser lorsqu'ils venaient récupérer la mise du travail des militants honnêtes citoyens en profitant de l'exposition médiatique d'un mouvement politique dont ils étaient étrangers, pour se montrer aux yeux de caméras avides de leurs coups de force permettant d'amalgamer leur violence et leur idéologie à un mouvement qu'il fallait discréditer, les Identitaires comme les autres groupuscules d'extrême-droite étant ravis de nuire à un mouvement politique qu'ils essayaient toujours de pénétrer pour y imposer leur idéologie tout en se faisant de la publicité sur son dos.
En 1992, jeune étudiante en Droit et en Lettres et Civilisations Etrangères à la faculté de Nice, j'avais fait la campagne contre le traité de Maastricht afin de défendre nos institutions pour lesquelles j'ai toujours eu une très grande admiration.
Issue d'une famille bourgeoise par ma mère mais très libre et ouverte par mon père, je ne me suis jamais laissé dicter ma façon de penser et ai toujours eu la faculté d'analyser et de choisir par moi-même.
A l'époque, il était évident de tous les partis politiques étaient corrompus et hypocrites et que la voix/e originale menée par JMLP prenait un chemin très intéressant de la défense de nos institutions en se détachant de la droite comme de la gauche tout en ayant récupéré les voix du Parti Communiste, le mouvement qu'il présidait était celui des braves gens, des travailleurs, ceux pour qui notre Etat-Nation était le trésor de ceux qui ne possédaient rien, raison pour laquelle il fallait nous protéger de l'Europe de Bruxelles, de son idéologie libérale et de ses atteintes contre nos institutions fondatrices et notamment notre souveraineté et ses attributs qui soutenaient notre Unité Nationale, clef de voûte de notre égalité et de notre protection.
Quant aux stigmatisations des uns et des autres, j'ai eu notamment comme professeur de droit, le communiste tiers-mondiste Charvin, qui nous expliquait de ne rien écouter du passé des partis politiques, que lors de la seconde Guerre, la résistance était résiduelle, les collabos et ceux qui ne disaient rien, la majorité, il se trouve que dans cette Histoire, le père de mon père est mort comme radio dans les caves d'Alger en 1940 et que mon grand-père maternel était chef de la résistance à tel point qu'il fut nommé maire de sa commune limitrophe de Nice au sortir de la guerre et qu'aujourd'hui, une école et la médiathèque de la ville portent son nom, ce qui a été voté à l'unanimité par le Conseil Municipal, et que j'en suis fière.
Je suis lauréate du Concours de la Résistance et de la Déportation dans la catégorie dissertation individuelle et j'ai reçu mes Prix des mains de Lucie Aubrac, deux livres dédicacés : Ils partiront dans l'oubli et Les Dames de Ravensbruck, ainsi que la coquette somme de 500 francs de l'époque avec lesquels je me suis acheté des boutons d'oreilles que je porte toujours.
j'ai effectué toute ma scolarité en parallèle avec celle de Sandrina Jardel et de son mari Joann Sfar, que j'admire depuis tout petit, dont j'ai écouté le discours de Bar-Mitzva si émouvant en direct, la maman de Sandrina a été mon enseignante et je sais combien j'ai porté haut les couleurs de notre collège dont j'étais une élève modèle parce que le Bien le Beau le Vrai ont toujours été des moteurs pour moi.
J'ai par ailleurs un parcours totalement transparent, scolaire traçable avec des bulletins que je n'ai jamais hésité à publier, études aussitôt suivies d'un parcours politique public aux écrits fructueux qui illustrent ma pensée, modeste mais honnête.
Je vis depuis plus de vingt ans dans la même commune où tout le monde me connaît, d'autant que je travaille au service de la population locale, ainsi que mes quatre enfants qui sont très engagés dans la vie associative et qui ont eu un comportement exemplaire reconnu comme moteur et aidant et un parcours scolaire brillant -les enseignants ont dit de ma fille qu'elle était de loin le meilleur dossier jamais eu du Collège alors même que le niveau social de la ville est très élevé et que mes enfants sont boursiers.
J'ai refusé la proposition de la droite centriste locale de figurer sur leur liste, j'ai dit au maire sortant qui me le proposait, que je n'avais jamais été de droite, pas plus que de gauche, et le fils de la maire actuelle de gauche, dont le père est directeur des affaires économiques de la région depuis plus de vingt ans, est quasiment un frère pour un de mes enfants.
Ma vie est totalement et volontairement transparente, j'ai horreur du mensonge, des tabous, de la dissimulation, je n'ai jamais eu de pseudonyme de ma vie, et qu'un seul nom, celui de Oriane Borja, que je porte fièrement, comme tout ce que j'ai fait dans ma vie.
Ayant rapidement fait ma place au sein du mouvement national dans lequel j'ai tout de suite occupée des places de responsabilité comme militante et cadre-candidate à toutes les élections, j'ai validé toutes nos universités de formation en me positionnant comme vice-major sur le thème : "Ni droite ni gauche, Français".
J'ai rejoint le premier cercle du FN et ceux qui ont réussi à changer la définition du FN en écartant les termes de "droite nationale" pour un "mouvement national, populaire et social".
Toutes les idéologies étrangères à ce combat étaient bannies et chassées, autant dire qu'entre les caciques de droite et les groupuscules puants tenants de l'"Union des droites", les ennemis étaient légions.
Cela a logiquement mené à la scission des Mégrétistes et autres idéologues du Club de l'Horloge et des courtisans des Contribuables Associés pour lesquels en tous les cas, le Lepénisme était un ovni incontrôlable et méprisable.
Les derniers tenants du cartel des droites ayant définitivement perdu la partie avec l'élection de MLP, un mouvement débarrassé de toutes scories était en place et l'oeuvre d'un travail auquel je suis fière d'avoir participé, et dont l'idée était de rassembler les Français de toute origine, récente, politique, sociale, philosophique, ou religieuse.
C'est dans ce cadre par ailleurs qu'est fondée, sous l'impulsion et le contrôle de MLP, l'Association Egalité et Réconciliation, dans le but, comme son nom l'indique, de rassembler toujours davantage et notamment les Français d'origine récente pour lesquels il n'est fait strictement aucune distinction, étant entendu que c'est la France qui fait le Français et non l'inverse.
Je précise clairement qu'Alain Soral s'est fait écarter au moment de la campagne des régionales de 2009 et qu'il a rejoint les groupes liberatriens survivalistes à ce moment-là, collaborant avec les lauréats influenceurs de l'Institut de Formation Politique dans le but de promouvoir le mouvement libertarien, ce que je fus la première à expliquer et dénoncer.
Cet IFP est l'école des cadres d'extrême-droite sur le modèle duquel Marion Maréchal a fondé avec peu de succès son ISSEP avec les mêmes parrains et les mêmes objectifs de produire des perroquets petits télégraphistes des idéologies dans grands groupes d'influence libertariens et libéraux cons US.
Courant 2011, je m'aperçois que le vent tourne, les bons scores du mouvement ont attiré les vieux courants et relents et sont réintégrés peu à peu tout ce que nous avions mis vingt ans à chasser, MLP se montre perméable aux charlatans et à leurs miroirs aux alouettes, on voit apparaître des flyers de l'Institut de Formation Politique distribués à tout va dans l'objectif de formation des jeunes et des cadres, les discours changent, les Contribuables Associés et l'IFRAP et leurs drapeaux bleu "Liberté" reprennent la main sur une Marine aux abois devant la crainte d'un rôle qui la dépasse.
Je démissionne (j'étais notamment membre élue du Comité Central, j'écrivais pour Nations Presse Magazine et Nations Presse Infos, le magazine et le site officiels de MLP).
Je précise que j'ai toujours été bénévole, je n'ai jamais touché un centime de mes activités politiques, je n'ai même jamais reçu de remboursement de frais de campagne et que je finançais toutes mes activités militantes intenses.
Ce qui me permettait ma grande liberté.
Tout ceci pour expliquer que je n'ai aujourd'hui, que, des ennemis politiques, ne me reconnaissant dans aucun mouvement et aucune personnalité, je ne suis qu'un trublion inclassable et isolé, qui parle et dérange tout le monde.
Visiblement, je dérange l'extrême-droite plus que tout le monde.
En 2013, Marion Maréchal et MLP m'intentent un procès sous prétextes fallacieux, l'avocat du FN/RN, tente une accusation pitoyable : "Le compte Facebook d'Oriane Borja est public, a tel point que j'ai pu, moi, y avoir accès."
Comme si nous ne connaissions pas depuis plus de vingt ans et que je comptais pas tout le Bureau Politique et le Comité Central comme "amis" et alors que je travaillais dans l'équipe média Internet du mouvement.
Je "révélais" que le père de Marion Maréchal était un agent de la CIA (le monde des journaliste lui doit une mise en danger constante puisque, depuis, nombre d'entre eux sont suspectés ou arrêtés sous le prétexte de travailler pour les services de renseignement), qu'il se targuait d'avoir fait l'"éducation politique" de sa fille qui se déclarait alors séduite par Nicolas Sarkozy et ne parlait que d'"Union des droates", du Louis Sarkozy avant la lettre et pour cause, les petits télégraphistes des Millon, Bolloré, Beigbeder, Villiers, Gave, et aujourd'hui Stérin pour ne parler que des grandes fortunes, s'occupaient déjà de formater et de propulser les fifres des lobbies libertariens et libéraux cons états-uniens auxquels ils sont rattachés.
Toutes choses qui me semblaient devoir être dites, dans mon journal très personnel, même si je savais mon aura extrêmement restreinte à mon fangroupe qui se limite à mes ennemis.
Marion Maréchal a été déboutée et condamnée aux dépens.
C'est cette même fanfange qui me harcèle en retour en reconnaissance sans doute de mes bons et loyaux service à leur encontre, et à qui je fais peur au point qu'il faille m'intimider et me discréditer, comme si j'étais personne à me caler sur leur fonctionnement maffieux.
L'enquête est en cours ...
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