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eric zemmour

  • De quoi Michel Onfray est-il le gag

    Michel Onfray, sorti des murs de son université hors-sol, vient de signer un fascicule de la droite hors-les-murs, sobrement intitulé Le Front Populaire.


    Evidemment avec Michel Onfray en produit d'appel (Zemmour ayant fait défection), façon starlette de télé réalité en reconversion professionnelle, le lancement peut donner l'impression de nouveauté.

    Pourtant, c'est une réédition perpétuelle, dont ces groupuscules ne se lassent pas.


    Le souverainisme de droite et celui de gauche n'étaient jamais qu'une scission d'extrême-droite issue du gaullisme.
    Leurs aller-retour ont toujours été fréquents, Paul-Maire Coûteaux en est un bel exemple.

    Paul-Marie Couteaux est passé de Chevènement à Marine Le Pen (enfin, surtout à la tante de Marion Maréchal Le Pen), comme Natacha Polony est passée de la branche école de Chevènement (Sauver les lettres) à la branche école de l'IFRAP (SosEducation et sa Fondation Pour l'Ecole d'Anne Coffinier), en compagnie d'Eric Zemmour, dès 2009
    L'implication de Polony, mensongèrement présentée par elle-même comme une nouveauté, et auprès de Blanquer dans les écoles hors-contrat Espérance Banlieues, n'était qu'une continuité. La ligne Verdier Molinié-Coffinier-Polony est traçage.

    Onfray n'est lui-même que le nouvel Yvan Blot (le grand-père du RIC) qui faisait autrefois le lien au GRECE (Nouvelle Droite) entre les Horlogers (Club de l'Horloge) et les Identitaires païens.
    Vraiment rien de nouveau sous le soleil de satan ..

    Le souverainisme, c'est quand PMC (chevènemento-marinioniste) organise des sauteries autour d'Yvan Blot (Horloger à l'origine du RIC, soit l'arrière-grand-père du cerveau des Gilets Jaunes, qui n'en ont guère) et de John Laughland (homme-lige de Thatcher puis de Ron Paul).

    La troisième voie n'est pas étrangère au gaullisme, et l'Europe des Etats de de Gaulle, c'est peu ou prou l'Europe blanche libérale, que la Nouvelle Droite Pop de Onfray appelle de ses voeux.

    Leur peuple phantasmé, qui n'a jamais existé et qui jamais n'existera, mais aller faire comprendre aux partisans d'Aain de Benoist qu'il existe une civilisation française et qu'elle s'inscrit dans un Etat-Nation qui n'est autre qu'une merveilleuse organisation politique permettant de façonner des citoyens autour d'une unité nationale.



    "Souhaitant s’affranchir des financements publicitaires pour conserver son indépendance", la formule est éculée, grossière, mais ces réseaux ont l'habitude de faire passer le mensonge très facilement auprès d'un public qui n'attend que de se faire rouler dans la farine (blanche si possible).

    Car en matière d'indépendance, on ne trouvera guère pire que celle à laquelle Onfray s'est attelé.

    Le seul aléa résiderait sans doute dans le fait de savoir où se ferait le lancement de la revue d'Onfray.

    Au siège de l'Institut Thomas More, de RT, celui de l'IFP, de l'ISSEP, de TVLibertés, au Puy du Fou, on a l'embarras du choix, dans tous les cas, on a tout lieu de penser que c'est Beigbeder qui paiera les petits fours à la chloroquine. Et à l'ISSEP, on n'est pas farouchement inconnu de certains laboratoires lyonnais non plus.

    Onfray est bien le pion le plus foutage de gueule de l'IFRAP à ce jour.

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    D'aucuns avaient laisser penser à une expatriation de Didier Raoult vers la Chine, avec les laboratoires Boiron, l'effet placebo scientifique adapté aurait été garanti.

    Mais le druide de Marseille était déjà trop adulé par les Identitaires et une certains caste militaire, un poste s'offrait à lui alors que moultes péripéties méthodologiques douteuses le mettaient de plus en plus au ban de la communauté scientifique.


    Je ne regarde pas trop la télévision, mais si ces lobbies ont parsemé le paysage audiovisuel de leurs petits idéologues de combat, Mathieu Bock-Côté semble être un candidat qui reste dans les murs de cette droite hors les murs, mais bien présente sur le fameux mur du cons, le libéral cons étant l'entité de base de cet édifice dont on ne peut faire l'impasse.


    Bock-Côté, qui fait indéniablement partie du peuple de droite, est donc aux côtés de Onfray, mais aussi coopté par l'Institut Thomas More, formateur à l'Institut de Formation Politique évidemment, de l'ISSEP de Maréchal Le Pen, le rond-de-cuir a également ses ronds de serviette à TVLibertés, Sud Radio, et autre torchon de Polemia, on en passe et des pires.
    Bref, le prototype de l'homme libre dépendant total de la secte libérale cons.

    Onfray ayant été depuis longtemps coopté comme libéral compatible au front des propulsés par la finance libérale dont l'oligarchie décline et qui a besoin de reconfigurer sa domination.


    Le but étant toujours d'amener sur le devant de la scène, des candidats à même d'agiter et de fomenter le chaos théorisé qui doit révéler le royaume du meilleur ordre libéral sur Terre.

    Les acteurs de cette mise en scène ayant toujours la finesse de la faïence dont on fait les bidets (si l'on veut ajouter une note souveraine au souverainisme), la revue des effectifs parle d'elle-même :

    les Hyperbolloréens parlent aux Hyperbolloréens


    Mêmes avec des masques, on les verrait venir.

    Certains font la fine bouche, des particules Elémentaires et des Macronniens ensemble, les gars découvrent l'axe Villiers-Chevènement-ADB-Beigbeder, comme si Zemmour et Polony ne travaillaient pas avec Coffinier depuis plus de dix ans.

    Millon, Zimmern et Beigbeder ont bien droit de se payer les numéros qu'ils veulent.

    Le Front Nouvelle Droite Pop d'Horlogers gaullistes à certaines heures, n'est jamais qu'une nième succursale des libertariens américains en goguette.
    Même le Salon Beige nous sortirait un deo gratias en gloire à l'hédonisme païen.
    Onfray, le nouvel Yvan Blot des plateaux Bolloréens.

    Leurs noms de scène étaient tout trouvé, nous les appelleront bien les Hyperbolloréens.

    Onfray et les Hyperbolloréens, la nouvelle série bas du front nouvelle droite facho de salon beige.

    Il se dit en messes basses, qu'Onfray pourrait choisir un acte fondateur consensuel pour lancer sa revue des deux anciens régimes du nouveau monde : un mausolée en Notre-Dame en l'honneur de Dominique Venner, financé par Bolloré, qui scellera l'alliance des deux peuples anti-républicains de droite et de gauche. Amen.

    D'ailleurs maintenant que Raoult a rejoint officiellement les Bonnets Rouges, il devrait leur toucher deux mots sur leurs élevages intensifs bretons et le risque épidémiologique qu'ils nous font courir, non ?


    Le souverainisme dont tous se réclament, et qui n'a rien à voir avec notre souveraineté nationale, est une idéologie étrangère, d'origine anglo saxonne.

    Onfray est un libertarien de gauche et Villiers un libertarien de droite (ces deux courants d'une même idéologie ont eux-mêmes de nombreuses branches, Villiers étant de la branche libérale cons).


    Les lobbies auxquels il se rattache, mêlent Fondation Lejeune et intégristes libéraux pour qui le corps est un marché comme un autre.
    La constante, c'est la liberté, et donc l'intégrisme religieux n'est qu'un sous-ensemble du tout libéral, la marchandisation du corps est bien au programme des réseaux libertariens, la seule liberté est de fonder une secte (évidemment potentiellement prosélyte) qui s'en exclut, mais l'Etat ne saurait intervenir.

    Onfray reprend le discours de l'Opus Dei (l'Ecologie humaine de Tugdual Derville) de façon ostentatoire, j'avoue que ses courbettes sont admirables, il a intégré les codes idéologiques à son discours, parfois comme un cheveux sur la soupe, mais elle doit être bonne et la sauce était faite pour prendre.

    Beaucoup de libéraux se chamaillent entre eux et certains me certifieront que mes propos sont ridicules.
    Je le conçois, je n'ignore rien de leurs querelles et de leur ignorance.

    Ils vivent souvent en bulle fermée, incapables de réfléchir par eux-mêmes, ayant l'habitude de répéter des partitions idéologiques souvent grossièrement caricaturales mais dont ils n'entendent pas qu'elles sonnent faux, faute de connaître le LA originel.

    Encore aujourd'hui, le rédachef du Figaro se prend les pieds dans son idéologie, pestant contre l'annulation à Bobiny, du loyer des HLM pour soulager les familles les plus pauvres en cette période Covid.
    Et le libéral de fustiger l'Etat providence ... quand c'est le maire qui a pris unilatéralement la décision, contre l'avis de la préfecture, soit l'autorité décentralisée à qui les libéraux aimeraient justement déléguer des pouvoirs dont ils ne sont pas dépositaires selon nos paradigmes français.
    C'est toujours la même histoire, ces gens sont également pour une quasi dictature contre la république, mais oubliant que la dictature ne serait pas forcément de leur église ...


    Ce qui m'avait amusée, c'étaient les conférences de Ron Paul où il engueulait ses afficionados, les traitant d'imbéciles pour n'avoir rien compris de la doctrine libérale.

    Les clients de l'Institut de Formation Politique de Millon/Pesey, sont le gros des troupes de la Nouvelle Droite Pop d'Onfray, les meilleurs éléments sont encadrés via la Bourse Tocqueville de Contribuables Associés, et effectuent la tournée des grands ducs des grands groupes d'influence américains derrière lesquels nos petits IFRAPiens s'inscrivent, terminant leur formation justement dans le bureau particulier de Ron Paul.

    Paul leur explique Bastiat dans le texte, le droit de propriété qui implique de facto la liberté de faire ce que l'on veut de son corps, vente d'organes, de gamins, prostitution et autres joyeusetés en sont le b a ba.

    De même que le non-interventionnisme n'a jamais été compris par les tenants de la doctrine libérale, elle signifie que l'Etat, là comme ailleurs n'a pas à intervenir, ce qui ne signifie pas que les armées privées ne fassent pas le boulot.

    Bref, les libéraux peuvent et s'organisent même en petites sectes où l'on pense et vit de la même manière, et à ce titre, les intégristes de toutes les religions, sans se donner la main, sont les bienvenues dans la grande smala libérale sans contact, la distanciation sociale est la base de l'individualisme.
    Ils peuvent aussi se donner du poing plus ou moins visible sur la gueule, si la Fondation pour l'Ecole de l'IFRAP encourage les écoles hors-contrat des Loubavitchs aux islamistes les moins catholiques via sa structure Créer son école (le marché éducatif n'ayant, par définition en libéralisme, aucune frontière), il ne faudrait pas oublier que ces réseaux sont liés au Gatestone de John Bolt où la théorie du choc des civilisations est de mise.


    https://www.ifrap.org/etat-et-collectivites/memoriam-francois-laarman

    https://www.liberation.fr/societe/2003/04/01/sos-education-attention-danger_460300

    Les ramifications d'extrême-droite de ces réseaux sont profondes :

    https://lanef.net/author/coffinier/





    Lien permanent Catégories : ;), culture, libéralisme mondialisme, Libertariens (Libéralisme), Présidentielles
  • Natacha Polony, entre Ecole Autrichienne et Ecole de Chicago, loin de l'Ecole républicaine

    Natacha Polony est du même niveau d'imposture que Zemmour, elle travaille pour les think tanks les plus libéraux débridés de la planète  (et je serai une fois de plus, la seule à le dénoncer, ce que je déplore et dont j'ignore la raison) et vient faire la leçon et prétend défendre la France quand elle est ceux ceux qui l'assassinent le mieux :

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Au cours d'un entretien fleuve, Natacha Polony dresse avec FigaroVox le bilan de l'année 2014. Une années notamment...
    LEFIGARO.FR|PAR NATACHA POLONY
     
  • Chauprade, l'extrême-atlantiste

    Qu'est-ce que l'atlantisme ?

    Au XXème siècle, la définition en était celle du courant politique conceptualisé au début de la guerre froide qui prône une alliance militaire centrée sur les États adjacents à l'océan Atlantique Nord et, par extension, entre l'Europe et l'Amérique du Nord (spécialement les États-Unis et le Canada). Cette alliance s'accompagne d'une coopération dans les domaines politiques, économiques et culturels.

    Ce courant politique donne pour objectifs à cette alliance d'assurer la sécurité des pays membres et de protéger les valeurs qui les unissent : « la démocratie, les libertés individuelles, et l'État de droit (rule of law) ».

    L'OTAN est une des expressions de l'atlantisme.

    Au XXIème siècle, cette définition s'affine.

     L'atlantisme est souvent dénoncé, principalement dans certains pays d'Europe, comme une défense du libéralisme économique et un soutien à la politique étrangère des États-Unis.

    Et c'est là que le conseiller de Marine Le Pen intervient.

    Il joue sur la définition.

    Car, ce n'est pas assez connu et dénoncé, mais Aymeric Chauprade fait partie des lobbies libéraux de Washington les plus furieux.

    Le mouvement national français devrait non seulement s'en apercevoir mais encore, le renvoyer dans ses cordes à grands coups de coup de pied au cul.

    Certes, nous le répétons, "liberal" n'a pas aux USA la même définition que nous en avons.

    Quand je parle de libéralisme extrême, je parle des libertariens, pour qui le terme de libéral est une insulte puisqu'assimilé au "liberal" américain qui est moins anti étatiste qu'eux, ce qui en fait un indécrottable gauchiste à la limite du communiste, un quasi communiste.


    Aymeric Chauprade est affilié à Washington par ceux qui aux USA, se réclament des pères fondateurs des Etats-Unis, issus des très maçonniques Sons of Liberty et de la Boston Tea Party, qui mettent la liberté au-dessus de tout, si bien que l'Etat (qui doit être "fort" pour cela) se doit de garantir cette liberté, et seulement cela (Vous aurez ensuite divers sous courants querelleurs autour de la façon dont l'Etat doit se réduire à peau de chagrin en dehors de sa prérogative essentielle de faire respecter l'ordre libéral).


    De l'Institut Thomas More aux formations qu'ils dispensent au sein de l'Institut de Formation Politique/IFRAP dont il refourgue les stagiaires à Marine Le Pen, en passant par le Front National, le parcours de Chauprade est cohérent.

    Toutes ses coteries avec Radio Courtoisie, Contribuables Associés, Polemia et autres Horlogers de l'Institut Pour La Démocratie et la Coopération, ne font que conforter cette solide cohérence.

    Ces organismes se sont donné pour tâche de se répandre et de répandre leur idéologie au sein, non seulement des mouvements politiques (tous), mais aussi et encore directement dans les écoles, les universités, les milieux économiques et médiatiques.
    Ce à quoi ils réussissent parfaitement.

    Les politiques actuelles en sont la preuve, même si évidemment pour eux, le but du libéralisme intégral est loin d'être atteint, trop de résistances en France (du fait de nos institutions), leur Institut Pour La Justice (pendant justice des libertariens) s'acharne pourtant, avec tous ses relais d'Obertone à Zemmour en passant par Fdesouche, à faire sauter ce dernier pan de souveraineté français.
    L'école aussi est bastion non encore entièrement pris, et là encore Zemmour donne de son corps, les écoles hors-contrats de ses amies Anne Coffinier/Agnès Molinier (à côté de laquelle Sophie de Menthon ferait pâle figure ..., On se comprend n'est-ce pas) sont à la charge contre l'école républicaine.
    Et ne parlons pas de cet horrible modèle social français pour assistés, comme aime à le rappeler la petite Marion Maréchal Le Pen (qui n'a elle, jamais eu à travailler de sa petite vie mais qui trouve les Français fainéants, faut pas chercher plus loin l'aura qu'elle revêt auprès de la clique réaco libérale).

    Alors oui, je vous entends déjà :" Mais n'importe quoi, Chauprade est contre le Pentagone, le Département d'Etat, la FED.

    Oui, je l'ai déjà expliqué.
    Il l'est, comme le sont tous les libertariens.
    Ron Paul fustige toutes ces organisations étatiques car il les voudrait justement détachées de l'Etat.
    Le privé fait partout mieux que le public, n'oublions pas leur paradigme.
    Les mercenaires font mieux que les armés d'Etat qui coûtent cher aux contribuables (on a bien compris le leitmotiv).


    Alors qu'est-ce que l'atlantisme ?

    Se faire caniche des Américains, qu'est-ce que ça signifie ?

    Cela signifie que l'on adopte leur vision du monde (qui rappelons-le, s'est bâtie en opposition avec notre modèle français).

    Et en cela, Chauprade est plus royaliste que le roi, il se veut plus Américains que les Américains, un Américain pure souche, un vrai fils de la liberté, qui travaille à une France américaine en pilotage automatique.

    Chauprade, Zemmour, ne sont guère éloignés d'un Macron, toute la différence est dans la subtile nuance qu'ils font entre leurs degrés respectifs de servitude au modèle américain en fonction de l'école américaine dont ils se sentent le plus proche, entre Ecole de Chicago et Austrian School; ne manquant pas de mettre en scène à grand renfort de trémolos et de couvertures médiatiques, les subtilités de leurs querelles libérales.

    Le tout sur le dos de la France, de notre Etat-Nation garant-interventionniste de notre unité et de notre prospérité, de la transmission de l'héritage national, et qui s'incarne à travers des pans de souveraineté battus en brèche tant par les uns que par les autres.


  • Ni droite Ni gauche Français s'oppose à De droite et De gauche Libertarien

    Le slogan Ni droite Ni gauche Français avait fait du grabuge au sein même du Front National.

    Les anciens étaient farouchement attachés au terme de "droite nationale", le terme d'extrême-droite n'en gênait même pas d'autres, au contraire.

    Derrière Samuel, il y avait tout de même en filigrane une idée précise.

    Parmi les jeunes dont j'étais, peu formés aux idées d'extrême-droite, l'affaire était entendue comme rejetant les partis politiques qui s'étaient succédés depuis l'après-guerre, et rejetant un clivage qui coupait la nation en deux quand il s'agissait de défendre la France et les Français, et je ne dirais pas, "d'abord", qui était justement le slogan de la droite nationale, mais défendre la France pour les Français, tous.

    Les dirigeants de l'époque et je pense à  Bruno Raccouchot (mercenaire bobdenardesque, féru de Heidegger, et chargé de l'argumentaire et de la formation aujourd'hui lobbyiste européen), ont fini par se ranger à l'idée parce qu'ils avaient une façon personnelle de l'interpréter.

    Plus tard, je découvrais que déjà sous De Gaulle, les Américains avaient (ré)introduit le concept dans un but de main-mise idéologique ne remettant pas en cause le système.

    Marion Maréchal Le Pen se dit "femme de droite", bien à l'inverse que ce qu'a toujours martelé son père Samuel Maréchal.

    Elle s'inscrit cependant parfaitement dans la logique d'extrême-droite de la révolution par la droite aujourd'hui incarnée par le Printemps Français qui reprend la pensée de Georges Sorel.

    Les libertariens se positionnent non pas Ni droite Ni gauche, mais prenant à droite, prenant à gauche, ne remettant pas en cause le système libéral anglo saxon, mais voulant simplement maintenir un principe de supériorité et de loi sauvage, sur le modèle libertarien des pères fondateurs des Etats-Unis.

    On retrouve ainsi un Alain Soral sur ce positionnement comme un Fabien Engelmann, comme un Eric Zemmour, d'un Finkielkraut, etc.

    Ces gens-là ne défendent pas la France, qui fait le Français -et qui fait de n'importe qui un Français-, mais ils défendent la vision anglo américaine, libérale, d'extrême-droite dans son essence et que l'on retrouve aujourd'hui au sein des Tea parties.

    Et qui entend bien faire main basse sur le Front National et sur d'autres mouvements politiques de façon transversale, avec les technique toute américaine de lobbying pour faire avancer les idées libertariennes -libérales pures- qui pénètrent ainsi partout, sont déjà bien avancées, et qui sont, si nous ni prenons garde, l'avenir.

  • Le hasard je vous dis ...

    L'IDC -Institut de Washington en Russie- présente :
    Institut de la Democratie et de la Cooperation
     Les débats étaient co-présidés par Paul-Marie Coûteaux, président du RIF, et  député Nicolas Dupont-Aignan. Parmi les autres orateurs : Eric Zemmour, chroniqueur au Figaro ; Jacques Sapir, économiste ; Philippe Cohen, journaliste ; et Dragan Todorovic, vice-président du Parti radical de Serbie.