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Européennes - Page 2

  • Référendum sur l'Aéroport de Notre-Dame-des-Landes, c'est NON, mais pour des raisons que personne n'évoque

    J'ai été la première en 2009, en tant que tête de liste de Loire-Atlantique aux élections régionales, et candidate aux Départementales, à demander un référendum sur l'Aéroport Notre-Dame des Landes.

    J'ai réussi à l'époque à retourner la fédération du Front -Louis-Armand de Béjarry et Brigitte Neveux pour la Vendée- qui suivait bêtement le patronat et le projet.

    J'avais les faveurs de Marine et ai réussi à imposer mon analyse.

    J'avais identifié ce projet comme celui des mégapoles de l'Union Européenne, qui, tout en rationalisant les services publics des transports en supprimant les lignes non rentables ainsi qu'en sacrifiant les petites communes excentrées car coûteuses, méprisant l'aménagement du territoire selon un esprit national pour lui supplanter un modèle décentralisé, libéral, qui veut pour chaque cellule de base régionale, un aéroport international.

    Je voulais un référendum pour que les électeurs sachent tout des tenants et aboutissants de ce projet, et de se prononcer en conséquence.


    notre-dame-des-landes

    15h14 25 mars 2012
    Notre-Dame-des-Landes, priez pour nous.

    Notre-Dame-des-Landes.pngAlors qu'a eu lieu hier à Nantes un gigantesque rassemblement contre le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, je reproduis le Communiqué que j'avais fait il y a quelques mois pour le compte du Front National, la position du FN 44 est évidemment toujours la même.

    J'avais déjà défendu cette position entant que tête de liste départementale pour le FN de Loire-Atlantique aux dernières Elections Régionales, je reproduis à la suite du communiqué mon argumentaire général transmis à la presse à cette occasion, afin de réinscrire le sujet de l'aéroport dans une vision politique globale.

    La vacance de monsieur Hulot et de sa famille politique redécomposée

    Posté par Oriane Borjale 10 juillet 2011
    Communiqué d’Oriane Borja pour le Front National de Loire-Atlantique

    En déplacement hier à Notre-Dame-des-Landes sur le site du futur aéroport Grand Ouest, Nicolas Hulot a reçu un seau d’épluchures sur la tête, lancé par d’un jeune militant qui dénoncait l’écologie-spectacle et les liens de l’ancien animateur de télévision avec la grande industrie.

    Le Front National de Loire-Atlantique rappelle que ce soutien d’EELV contre le projet de cet aéroport, relève entièrement de la politique spectacle, que c’est toute la majorité PS -verte, tant au niveau départemental que régional que national – si tant est que cette strate existe encore – mais surtout euro mondialiste qui promeut et organise ce projet.

    Concernant l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes :

    - Le Front National rappelle qu’il est un mouvement patriote, nous défendons l’attachement à la terre dont nous pensons qu’elle a une âme, et nous comprenons la détresse face au déracinement que certaines des personnes expropriées éprouveraient.

    - Le projet s’inscrit dans un objectif de concentration des services opérant une rupture d’égalité des citoyens dans l’accès au service des transports, dans un objectif de profit. Derrière la règlementation européenne qui découpe la taille de nos aéroports comme celle de nos fromages, et qui, quoi qu’il arrive, nous imposera ce choix, se cache une logique marchande de rentabilité.

    - La démarche d’EELV est proprement répugnante, elle discrédite la classe politique, ils viennent la main sur le cœur se fendre du sort réservé à nos paysans dont les terres sont menacées par ce projet dorénavant dépendant des directives européennes, alors que les Traités de l’UE auxquels ils nous ont enchaîné (de la même manière que l’ont fait les autres formations politiques), ont sciemment programmé la mort de la paysannerie française et la mise en jachère de nos terres, portant un coup de poignard décisif dans le dos de notre identité nationale. Cette démarche purement électoraliste relève d’un comportement humain abject.

    - La vision eurorégionaliste mondialiste a pour objectif de diviser le monde en entités régionales aux normes uniformisées, sur le modèle états-unien. Chaque région veut donc son aéroport international pour marquer sa puissance dans un système auquel elle s’asservirait immanquablement. Messieurs Auxiette, président socialiste du Conseil régional allié à EELV, ou Béchu (opposition Ump d’opérette) sont là pour mettre ce système en place; le président du Conseil régional rose-verdâtre, n’est que le patron d’une baronnie mondialiste au service d’un système et non des citoyens.

    - D’autant que nous allons vraisemblablement au devant d’une crise économique et énergétique sans précédent qui ne manquera pas d’engendrer un ralentissement considérable du trafic aérien.

    En conséquence, le Front national demande un moratoire immédiat sur le projet, et un referendum local, comme il le demande sur tous les grands projets locaux, afin que les citoyens soient informés de ses tenants et aboutissants véritables.


    15.02.2010 Réaction à l’annulation, faute de combattants, du débat entre les candidats aux élections régionales de 2010



    Chère madame,



    Je déplore, au nom du Front national que les responsables politiques des autres formations n’aient pu trouver un peu de temps pour la démocratie dont le débat d’idées est la forme la plus aboutie.



    Je vois dans ce manquement, une volonté délibérée d’échapper à la contradiction et la peur d’être mis face à des incohérences et à une vérité que les citoyens méritent d’entendre.



    Compte-tenu de la forme que va prendre l’émission, je vous prie de recevoir quelques-unes de mes analyses sur les sujets locaux que je n’aurais pas eu peur de défendre seule, face à tout le « staff » et autres conseillers en communication dont les autres ont besoin de s’entourer pour défendre des convictions dont je me demande seulement s’ils en ont, tant ils ont à cœur de les confronter.



    Voici un synopsis non exhaustif des mesures que nous soutenons, je ne vais pas en égrainer la totalité, ce serait trop long ici, pour davantage développer la logique qui nous anime.



    Je vous prierais d’accorder une attention particulière au thème de la formation, même si tous les sujets nous intéressent, je comptais insister sur la façon dont le mondialisme s’insère dans nos régions, c’est sans nul doute, le problème le plus crucial pour lequel les citoyens auraient besoin qu’on les défende dans l’objectif des régionales, et que seul le Front national est à même de discerner.



    A - TRANSPORTS



    - Vigilance quant au respect du principe d’égalité d’accès au service des transports. La logique euromondialiste dans laquelle Monsieur Auxiette, comme monsieur Béchu, s’inscrivent totalement (« leur région dans le monde »), glisse progressivement d’une idée de service vers une idée de profit. La décentralisation contient en elle ce vice pervers d’éloigner l’Etat régulateur de cette mission, lui seul est à même de veiller à l’équilibre sur notre territoire, d’autant plus si l’on tient compte des futures réformes qui entendent faire « s’évaporer » selon les termes de monsieur Balladur, les petites communes trop parcimonieuses et si inutiles dans un monde marchand.



    - Réinscrire le coût des transports dans l’optique générale de baisse du pouvoir d’achat. Le budget transport devient une charge considérable compte-tenu de la faiblesse des salaires moyens, pour ceux qui en ont encore. Les représentants de la classe politique dirigeantes (Umps) en sont les responsables, ils représentent leurs partis et doivent être sanctionnés en conséquence.



    - Une fois ceci rappelé, nous devons prendre acte du fait que le Conseil régional n’est là que pour mettre en soins palliatifs un système malade.



    - Concrètement, nous demandons une coordination entre le Conseil général dont dépendent la Tan et les transports Lila, et le Conseil régional dont dépendent les Ter, afin de ne pas imposer le plus souvent, un abonnement-semaine pour les premiers, doublé d’un abonnement fin de semaine (regroupement familial, etc.) ou vacances pour les seconds. Beaucoup de familles renoncent aujourd’hui aux transports en commun du fait de leur coût, et ne sont pas concernées par les mesures sociales.



    - Anecdotique mais révélateur : l’économiste Michel Godet (France 5, C dans l’air) révèle une discrimination à la carte famille nombreuse qui donne accès aux réductions sur les Ter (mais pas à la Tan d’ailleurs où la minoration est dérisoire), en faveur des populations d’origine immigrée à qui on l’octroie en faisant masse du nombre d’enfants quel que soit le nombre de lits dont ils sont issus, quand on la refuse à une famille recomposée alors même qu’on en aurait la charge, et dont je rappelle que pour les familles éclatées, un des parents ne peut y avoir droit, contrairement à lorsque la famille était réunie.



    - Concernant les problèmes d’horaires non respectés qui enveniment nos gares, rendant très pénible la vie des personnes qui travaillent, la responsabilité en incombe au système que les responsables locaux cautionnent et dont ils font partie intégrante, la logique de rentabilité maximale entraîne des disfonctionnements par manque d’entretien et de contrôle des machines. Aujourd’hui, les risques dus à ce genres d’économies sont calculés comme des aléas collatéraux moins coûteux que les frais engendrés par un entretien normal (exemple flagrant avec l’Eurotunnel-Eurostar, mais aussi sur les avions, etc., mais cette logique devient partout la norme). Là encore nous glissons d’une logique de service vers une logique de profit.



    - Concernant l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes :



    - Le Front national rappelle qu’il est un mouvement patriote, nous défendons l’attachement à la terre dont nous pensons qu’elle a une âme, et nous comprenons la détresse face au déracinement que certaines des personnes expropriées éprouveraient.
    - Le projet s’inscrit dans un objectif de concentration des services opérant une rupture d’égalité des citoyens dans l’accès au service des transports, dans un objectif de profit. Derrière la règlementation européenne qui découpe la taille de nos aéroports comme celle de nos fromages, et qui, quoi qu’il arrive, nous imposera ce choix, se cache une logique marchande de rentabilité. La démarche de monsieur Bayrou pour le Modem local est proprement répugnante, elle discrédite la classe politique, il vient la main sur le cœur se fendre du sort réservé à nos paysans dont les terres sont menacées par ce projet dorénavant dépendant des directives européennes, alors que lui-même entant que ministre de l’agriculture, et les Traités de l’UE auxquels il nous a enchaîné (de la même manière que l’ont fait les autres formations politiques), ont sciemment programmé la mort de la paysannerie française et la mise en jachère de nos terres, portant un coup de poignard décisif dans le dos de notre identité nationale. Cette démarche purement électoraliste relève d’un comportement humain abject.
    - La vision eurorégionaliste mondialiste a pour objectif de diviser le monde en entités régionales aux normes uniformisées, sur le modèle états-unien. Chaque région veut donc son aéroport international pour marquer sa puissance dans un système auquel elle s’asservirait immanquablement. Messieurs Auxiette ou Béchu sont là pour mettre ce système en place, patron d’une baronnie mondialiste au service d’un système et non des citoyens.
    - D’autant que nous allons vraisemblablement au devant d’une crise économique et énergétique sans précédent qui ne manquera pas d’engendrer un ralentissement considérable du trafic aérien.
    - En conséquence, le Front national demande un moratoire immédiat sur le projet, et un referendum local, comme il le demandera sur tous les grands projets, afin que les citoyens soient informés de ses tenants et aboutissants véritables.



    B - ECONOMIE



    Dans ce domaine également, le Conseil régional serait chargé de donner les derniers sacrements puisque la voie choisie nous est imposée par nos dirigeants euro mondialistes. La désindustrialisation de la France, l’anéantissement de son agriculture et de sa pêche, vont croissant. La « zone » France, est destinée à devenir un lieu de tourisme essentiellement. Nos derniers pans industriels, se trouvent précisément dans cet arc côtier dans lequel nous nous enserrons, et notre région va être durement touchée. Lors des dernières grèves concernant le fret ferroviaire, les syndicats ont révélé qu’étrangement, l’effort n’était pas dirigé vers les lieux qui en avait réellement besoin. Ce qui semble clairement déterminer les priorités de nos dirigeants.



    Après les régionales, nos entreprises vont logiquement connaître des plus fortes obligations de délocalisations jamais rencontrées. Le processus va s’accélérer car le système pour ne pas s’effondrer est obligé à cette fuite en avant.



    En matière d’équipement automobile, domaine dans lequel notre région compte bon nombre d’entreprises, la fin du versement de la prime à la casse va servir de prétexte. Cette prime était d’ailleurs vue par l’UE comme une entrave à son sacro-saint principe de concurrence libre et non faussée. Elle n’a que servi de variable d’ajustement pour limiter la vitesse de l’impact.



    - Concrètement, le Front national demande à ce que la région consente des prêts aux entreprises, pour les aider, mais non des subventions, de manière à ce que le contrat inclue le remboursement en cas de délocalisation. Il est hors de question que l’argent du contribuable chèrement gagné serve à entretenir sa perte.
    - Nous encourageons également la région à se porter garante des finances des Pme-Pmi, artisans-commerçants-petits entrepreneurs, en leur apportant une aide en prenant en charge à 100 % les frais d’analyse financière de ces entreprises déjà lourdement fragilisées par une conjoncture dégradée et une pression fiscale insupportable alors qu’elles sont les premières structures créatrices d’emplois.
    - Nous refuserons systématiquement les aides aux entreprises multinationales qui n’ont pas besoin des contribuables pour conforter leurs bénéfices.



    C - EDUCATION



    1) LYCEES



    - Les problèmes d’insécurité dans les lycées n’ont cessé de croître parallèlement aux mesures irresponsables engendrées par l’idéologie de l’enfant-roi qui va de paire avec l’idéologie de l’enfant au centre des savoirs. Le principe est le même, la transmission disparaît au profit d’un égalitarisme contre-nature, l’autorité disciplinaire et des savoirs a été méprisée, au profit de discussions, de débats inopportuns et de mise en recherche où l’enfant doit construire son « propre savoir » (Sic), le sabordage du service public d’instruction a été scientifiquement mis en place, soutenu par les néopédagogues, jouant à plein leur rôle d’idiots-utiles. L’Ocde a prévu que devant l’échec, la privatisation deviendra inéluctable, nous allons bientôt connaître de cette seconde étape, via les régions, destinées à devenir les cellules de base de la politique mondialiste. La façon dont cela se met en place a été théorisée par Christian Morisson dans le Cahier de Politique Economique n°13 publié par l’OCDE en 1996, intitulé " La Faisabilité politique de l’ajustement ", Chef de division à l’OCDE, Consultant auprès de la Banque Mondiale, il recommande une politique « d‘ajustement« , concernant l’éducation. Ils préconisent les propositions suivantes : " Il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. (…) Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement et l’école peut progressivement et ponctuellement obtenir une contribution des familles, ou supprimer telle activité. Cela se fait au coup par coup, dans une école mais non dans l’établissement voisin, de telle sorte que l’on évite un mécontentement général de la population. " Les prémices de cette politique sont déjà en place, et les mères de famille n’ignorent pas les efforts financiers de plus en plus conséquents qu’il leur sont demandés, pour telles ou telles sorties, pour tels ou tels projets dits pédagogiques.



    L’insécurité et les coûts tant pour les collectivités que pour les particuliers, n’ont cessé d’augmenter parallèlement au changement de sens et de contenu imposés par les nouvelles « sciences » de l’éducation. Le modèle de base venant d’outre-Atlantique, il n’est guère étonnant de retrouver les mêmes phénomènes d’insécurité gravissime puisqu’il en va de la vie de nos enfants, et ce, dans des lieux qui devraient être des sanctuaires, et d’un niveau scolaire généralement bas. Le phénomène de l’immigration massive venant aggraver le phénomène, puisque les enfants perdus inassimilés, ne se sentent pas chez eux, et déversent leur rancœur par tous les moyens possibles.



    En l’absence de retour radical à tout ce qui avait fait le modèle français d’instruction, reconnu dans le monde entier, et qui formait des citoyens à l’esprit critique aiguisé, le Conseil régional que peut que mettre des pansements sur des plaies béantes.



    - Le Front national demande la création d’une carte d’identité scolaire infalsifiable qui servira aussi de « pass-culture ».
    - La mise en place et à disposition des chefs d‘établissement, d’une police de sécurité des lycées qui interviendrait aux abords et à l’intérieur des établissements.
    - Le Front national souhaite recentrer la mission des établissements sur l’enseignement proprement dit en refusant les projets citoyens idéologiques contraires au principe de neutralité politique, et en faisant entendre ses explications lorsque la région souhaitera aider financièrement certains projets.



    2) FORMATION



    - Le Front national est grandement favorable à l’apprentissage traditionnel des métiers et ce, dès l’âge de 14 ans. Nous souhaitons renforcer ce dispositif.



    - En revanche, nous remettons en cause la politique euromondialiste de la formation tout-au-long-de-la-vie, par laquelle les organisations économiques et financières internationales nous imposent leur modèle éducatif, prenant le contre-pied de notre enseignement traditionnel auquel les pseudo « sciences de l’éducation », elles-mêmes d’origine mondialiste et en rupture totale avec notre modèle classique d’enseignement, ont radicalement tourné le dos, en donnant par ce biais le coût de grâce à notre identité nationale en s’attaquant à sa transmission. La conception utilitariste de l’éducation est le moyen, ignorant que le but ne sera en plus jamais atteint. Pagnol citant son père nous disait qu’« un paysan instruit en vaut deux, peut-être trois », il en va de même pour toutes les catégories d’apprentissage.



    Dans l’optique euromondialiste, l’« apprenant » (terme propre à cette idéologie) va devoir s’adapter à une vie ponctuée de périodes travaillées et de périodes non travaillées, la main-d’œuvre humaine devant dans ce système, s’adapter et être « flexible », terme pudique qui signifie qu’elle devra également accepter des changements géographiques, de missions, et de salaires : l’homme est au service du marché et non le marché au service de l’homme dans cette conception économiste.



    La plupart des personnels politiques et enseignants, ignorent la source des évidences qui leur sont imposées. Ce sont pourtant des organismes très éloignés de la démocratie qui les élaborent et les contrôlent. Lors du premier forum mondial sur l’éducation et la formation tout au long de la vie, qui s’est tenu à Paris au Conseil régional d’Ile-de-France les 28 et 29 octobre 2008, présidé par une femme conseiller régional Ump et sous le parrainage d‘honneur de Jacques Delors, se sont retrouvé tous les acteurs de cette nouvelle politique mondialiste, au centre de laquelle se trouvent les instances économiques et financières qui les élaborent (Ocde, Banque mondiale, multinationales, etc.), qui s’inscrivent dans la mise ne place d’une gouvernance mondiale, en l’occurrence, du nouvel ordre éducatif mondial. Il est question d’uniformiser le modèle américain à l’ensemble de la planète, le monde occidental dans un premier temps, pour une meilleure coordination et efficience économique. Ils entendent s’occuper de l’apprentissage, je cite, « de la petite enfance à la retraite », « ce concept (d’apprentissage) dépass(ant) les frontières, les temps et lieux de vie dans la nouvelle “ société apprenante ” » Ils s’intéressent tout particulièrement aux territoires régionaux où, je cite , « se pose la question d’une nouvelle gouvernance des politiques d’éducation et de formation », et où « préfigure la création d’un réseau mondial ».



    - Outre ce contexte, les sessions de formation, si elles enchantent parfois les bénéficiaires parce qu’elles permettent de s’éloigner un moment d’un rythme de travail soutenu, n’en restent pas moins un sujet des plus risibles s’il n’était pris sur l’argent des contribuables, l’apprentissage du « vivre ensemble » et bientôt de la façon dont il faudra respirer, laisse circonspect. Il est vrai que le rendement demandé devenant de plus en plus intensif et les objectifs de plus en plus difficiles à atteindre, les entreprises se trouvent confrontées à de nouveaux problèmes engendrés par les nouvelles méthodes de « management ». Le système a inventé le mouvement perpétuel, créant les maux et les moyens d’y remédier tout en les maintenant par une fuite en avant, jusqu’où et jusqu’à quand ?



    Le Front national demande un contrôle et une évaluation des ces formations.



    Les responsables de ces politiques économistes ne considèrent l’homme que comme une variable d’ajustement dans une région au service d’un modèle marchand sans frontières, nous souhaitons, nous, retrouver une région à visage humain et demandons aux citoyens de dire stop, en sanctionnant les dirigeants qui nous les imposent. En votant Front National, nos dirigeants comprendront que les citoyens demandent enfin qu’on les protège face à une jungle mondiale incontrôlable en l’absence d’un Etat-Nation fort, seul cadre protecteur de l’âme, de la sécurité et de la prospérité du peuple.



    En vous remerciant respectueusement d’avoir fait votre devoir de journaliste en tentant d’organiser ce débat, je vous prie de bien vouloir croire à mon engagement sincère au service de mes compatriotes.



    Oriane Borja, tête de liste Front national pour la Loire-Atlantique



    Voir en ligne : Réaction du Front National

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  • Pourquoi l'Europe sera TOUJOURS une impasse

    Il est assez simple de comprendre pourquoi et comment l'Europe, qu'elle soit politique ou économique est une impasse.

    Les divergences européennes, et sociales, viennent des principes de base de chaque pays et notamment de la place qu'ils attribuent à l'Etat, ce dernier étant le seul rempart protecteur des populations contre les intérêts privés.

    Or la plupart des pays européens ont choisi ou se sont vu imposer par les aléas de l'histoire et de façon constitutive, une conception anglo saxonne de l'Etat, qui est celle du moindre Etat et de la place accordée au régionalisme pour fixer la norme.

    Le système éducatif anglo saxon est caractérisé par une large décentralisation, et une grande autonomie accordée aux établissements scolaires, par exemple.

    C'est d'ailleurs ce qui classe les écoles ayant ce modèle, dans le lot de tête des classements de l'OCDE qui sont des baromètres anglo saxons, qui vont donc accorder des satisfecits aux systèmes les plus éloignés de notre façon française d'envisager l'instruction dans un but plus intellectuel qu'utilitaire au sens du marché.

    C'est ce qui permet la main-mise du privé, du monde de l'entreprise, sur le système scolaire, et la formation à la demande du monde marchand qui n'envisage la transmission que comme la fabrique d' entités jetables adaptées à la flexibilité d'exige la rentabilité.

    C'est une conception de l'homme qui nous est étrangère, nous envisageons les hommes comme égaux, nous ne les condamnons pas socialement s'ils ne s'accordent pas avec la vision de la réussite selon les lois du marché.

    C'est ainsi que tous les enfants de France auront droit à une école publique de qualité, une médecine publique de qualité, une justice publique de qualité, la sécurité physique, sociale, l'accès aux services, à l'énergie, etc.

    Notre modèle national français est assez unique, avec un Etat conçu à la base pour être protecteur, unificateur, interventionniste.

    Autant dire que la seule Europe possible est une Europe à l'anglo saxonne, tournée vers la responsabilité individuelle et donc le libéralisme, c'est-à-dire vers le moins disant socialement protecteur.

  • L'ex conseiller de Marine Le Pen, Aymeric Chauprade, en cellule d'isolement encadré

    En réalité, Marianne se trompe, Chauprade n'est pas isolé.

    Il fait partie au contraire des réseaux les plus influents de la planète,même s'ils sont très minoritaires, ils s'infiltrent partout.
    Chauprade est cadre formateur à l'IFRAP et l'IFP, qui sont des lobbies directement dépendants de leur maison-mère états-Unienne.

    Ces organisations sont liées à l'Opus Déi, on y retrouve toute la famille Millon, les Beigbeder, les Bourges, Boutin et compagnies.

    Ils forment leurs rejetons à Washington, à l'Heritage Foundation, Cato Institute et autres American Enterprise Institute, soit auprès des groupes d'influence les plus puissants de la planète selon les classements internationaux.

    Ils ont des hommes partout, Macron et le directeur du très islamophobe, xénophobe et libéral Valeurs Actuelles, de l'Opus Déi, Yves de Kerdrel, sont très amis.

    Mais le PS n'est pas alimenté que par le seul Macron de leurs réseaux, ils ont des députés PS et même Ecologistes au sein d'organisations Ad hoc à l'Assemblée.

    Chez Les Républicains, Sarkozy s'est entouré de leurs pions, Guillaume Pelletier bien sûr, mais encore Bazin de Jessey et sa troupe.

    Au Front, la famille Gollnisch naturellement, et Marion Maréchal Le Pen qui est la pouliche la plus en vue des libertariens américains et de l'Opus Déi.

    Bob Ménard est également un rouage important de ces puissances étrangères.

    Même Philippot est relié au réseau via son ancien mentor Paul-Marie Coûteaux et surtout par Yves Le Gallou, dont Marine Le Pen fait un de ses conseillers, sur les conseils justement de Florian Philppot.

    Celui n'ayant jamais expliqué comment il pouvait s'accorder avec ce Club de l'Horloge si malodorant, si libéral, si communautariste, si impérialiste, même si les Horlogers militent à un impérialisme plus libéral que l'actuel qu'ils jugent trop mou.


    Aymeric Chauprade : le petit parti et le gros coup de com' de l'ex-FN
    L'eurodéputé écarté du FN, qui comparaît ce mercredi au tribunal pour provocation à la haine envers les musulmans, lance ce même jour "Les Français libres", un…
    MARIANNE.NET

  • Marine Le Pen, tricheuse, menteuse, et lâche ?

    Apparemment les tricheries de Marine Le Pen, à son insu, sont une première.

    Ces votes, trichés ou pas, sont dangereux pour la démocratie, car la "démocratie directe", loin de se rapprocher de nous, fait le lit des lobbies qui ont les moyens d'attaquer en meute et d'imposer leur point de vue sur tous les autres.

    La démocratie directe, c'est le royaume des intérêts particuliers sur l'intérêt général.

     
    C’est elle, Anna Maria Corazza, qui mercredi dernier 28 octobre a dénoncé publiquement «la tricherie» de Marine Le Pen concernant ses votes, lors de la séance…
    PARISMATCH.COM

     

     
  • Souverainisme versus souveraineté (suite)

    La décentralisation des uns et des autres n’est pas exactement de même essence.

    Les partisans de l’UE et leur « landerisation » n’ont pas exactement les mêmes postulats de base que les souverainistes.

    Les partisans de l’UE ont créé les prémices d’un Etat européen, centralisateur pour certaines grandes règles, économiques notamment, vers toujours plus de libéralisme, avec les régions comme cellules de base.

    Les souverainistes sont eux partisans d’un Etat minimaliste, ne garantissant que la liberté nécessaire au libéralisme et la décentralisation est pour eux un moyen de réduire la puissance de l’Etat, que l’Etat se situe au niveau de la nation, ou bien au niveau européen.

    Pour les souverainistes, la décentralisation n’est pas exactement un territoire, elle est le plus petit lieu où peut s’exercer le pouvoir.

    C’est leur principe de subsidiarité, dont ils disent que l’UE l’a inversé.
    Pour eux, le pouvoir doit se situer au plus proche de l’individu, sauf si on ne peut pas faire autrement.

    Ils se calquent sur l’Eglise, et sont liés à l’Opus Déi dont le côté religion n’est qu’un cache-sexe de son extrême-droitisme.

    Mais il faut comprendre que, des deux nuances idéologiques, le souverainisme est celle qui tend vers le plus de libéralisme et pousse à tous les niveaux en ce sens.

    Aucune de ces idéologie n’est la France et n’a de lien avec la souveraineté française, sinon que les souverainistes essaient de noyer leur idéologie derrière la confusion que peut entraîner les deux termes.

    La souveraineté française est au service d’une grande idée d’unité nationale qu’ils ne défendent pas du tout, mais alors pas du tout.

  • Souverainisme versus souveraineté, encore des efforts monsieur Hollande

    Lors de sa joute verbale au sein du Parlement européen, François Hollande s'est opposé à Marine Le Pen et notamment sur les concepts de souverainisme et de souveraineté, affirmant ce que j'étais une des rares jusqu'à présent à énoncer, à savoir que l'un n'avait rien à voir avec l'autre.

    François Hollande a à la fois raison et tort.

     

    Raison sur le fait que le souverainisme ne soit pas la souveraineté.

    Le souverainisme est une idéologie, d'origine anglo saxonne à la base, et qui en Europe, a pris naissance avec la Paneurope.

    Le Mouvement paneuropéen a commencé à germer après guerre et notamment dans les correspondances Condenhove Kalergi-De Gaulle.

    De ce mouvement seront issus les Mouvement Pour la France et autre RPF.

    C'est un mouvement étroitement lié à l'idéologie libérale (dans son acception française, le "liberal" anglo saxon étant classé à gauche par les partisans libéraux du souverainisme).

    C'est ainsi que le thatchérien Nigel Farage et le mouvement Libertas du multimilliardaire Jimmy Goldsmith, se sont retrouvés ou se retrouvent dans ce courant.

    Le Front National ne serait a priori pas "souverainiste" a proprement parlé, Marine Le Pen ne sait pas exactement à quoi cela correspond, mais ses partisans libéraux, et notamment ceux liés au Club de l'Horloge (Marine Le Pen est conseillée par Jean-Yves Le Gallou par exemple), ou l'Institut de Formation Politique -qui se revendique ouvertement de maison-mère libertarienne/libérale cons américaine- qui alimente Marine Le Pen (mais pas seulement) en cadres, ou encore l'Ecole de Guerre Economique (également liée aux Américains, notamment via John Laughand, agent de Ron Paul en Europe et Russie), se retrouvent dans le souverainisme.

     

    La souveraineté est autre chose.

     

    La souveraineté française se définit clairement par les attributs de souveraineté de l'Etat depuis les siècles qui ont fondé la France.

    Ce sont ces attributs de souveraineté (droit de battre monnaie, droit de faire et d’exécuter les lois, droit de rendre justice, droit de police, droit de défense extérieure) qui garantissent ou garantissaient (puisque la France a perdu peu à peu ses attributs de souveraineté) qui permett(ai)ent à la France les moyens d'assurer son grand principe fondateur d'Unité nationale.

    Ce principe d'Unité qui permet à chaque Français, quelles que soient son histoire et notamment ses origines, d'être considéré comme tous les autres, quel que soit son lieu sur notre territoire.

    Cette souveraineté française donnait à la France son indépendance, le droit pour les Français de décider de leur devenir.

    La démocratie avait permis de transférer ce pouvoir jadis détenu dans les mains d'un Roi, dans les mains du peuple, cette population dont la France faisait des Français.

     

    Mais François Hollande ne se réclame apparemment pas de cette souveraineté française.

    Il parle d'une "souveraineté européenne".

    Faisant référence à un rêve d'indépendance de l'Europe, peut-être vis-à-vis des Américains, comme tel était le projet d'un de Gaulle également.

    Le fait est que le souverainisme appelle aussi cette Europe, dite des nations, à cette indépendance.

     

    On voit mal comment une Europe libérale serait différente de l'idéologie anglo saxonne libérale, mais ne compliquons pas l'affaire.
    Etant donné que peu semblent déjà maîtriser les termes du débat ...

     

    Ce que veulent les souverainistes, c'est d'une Europe plus libérale, moins "étatiste", moins réglementée, ils appellent ainsi l'UE : "l'union soviétique européenne".

     

    Lorsque vous faites appel à la notion de souveraineté, votre nation s'accorde et respecte, également, toutes les autres entités équivalentes dans le monde.

    La France est un Etat-Nation (qui détient donc les attributs de souveraineté) est en en cela, très différente d'autres cadres politiques.

     

    Un hypothétique principe de "souveraineté européenne" serait-il ainsi sous-tendu par le principe d'unité français, ou par le principe individualiste anglo-saxon ?

    Notre unité implique un pouvoir centralisé, quand le paradigme anglo-saxon s'alimente de décentralisation.

     

    Le souverainisme est une idéologie qui revendique par ailleurs cette décentralisation, et l'Etat est une plaie à combattre, même s'ils jouent sur le concept d' "Etat fort", car ils veulent un Etat minimal qui défende fortement la liberté individuelle.

    La domination anglo américaine ayant entraîné la France dans ce processus qui nous est étranger car la France a justement toujours lutté contre les pouvoirs et petits intérêts féodaux que cela engendraient, et qui mettaient en péril notre raison d'être, celui de l'intérêt général contre les intérêts particuliers.

     

    Le modèle allemand, ou britannique naturellement, s'assimilent au modèle fédéral américain en revanche.

    En sachant que ce genre d'organisation politique est très poreux aux lobbies, quand l'Etat y est un rempart.

     

    Que l'on ne me demande pas comment un J-P Chevènement se situe dans cette idéologie, je ne suis pas responsable des incohérences des uns et des autres.

    Mais depuis longtemps les souverainismes sont solubles entre eux et parlementent de façon transversale, sans trop s'avancer sur des questions qu'on ne leur pose jamais, sur leur réelle vision économique, sociale, leurs frontières en quelque sorte, et même celle de leur "indépendance", notamment vis-à-vis de l'idéologie libérale.

     

    Quid des valeurs de François Hollande ?
    De ses rapports à la souveraineté française ?

    Tout cela mériterait un grand débat, qui n'a jamais eu lieu.

     

     

     

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    Fil d’actualité

     
     

    Coudenhove-Kalergi est l'inspirateur du Conseil de l'Europe qui est créé en 1949. De nationalité française depuis 1939, il poursuit avec le Général de Gaulle une correspondance entreprise durant la guerre, ce qui aboutit en 1960 à la création du Comité français pour l'Union paneuropéenne (CFUP). On trouvera à sa création Georges Pompidou comme trésorier et Alain Peyrefitte comme Secrétaire général.

    Rénové au début des années 1990, le CFUP, qui avait été présidé, après Louis Terrenoire, par Raymond Triboulet, Michel Habib-Deloncle et Michel Cointat, prend l'appellation de PanEurope France. et est présidé par Yvon Bourges (1993-2000), Hervé Gaymard (2000-2002) et Alain Terrenoire (2003-2013).En 2013, PanEurope France devient l'Union paneuropéenne de France (UPF). Après une courte présidence du député européen Arnaud Danjean (2013), Alexis Bautzmann est nommé président en mai 2013. Le sénateur Jean Bizet, président de la Commission des affaires européennes au Sénat, lui succède en mai 2015.

    Participant activement aux travaux de l'Union paneuropéenne internationale dont le président, après la disparition de Richard Coudenhove-Kalergi en 1972, fut Otto de Habsbourg et depuis fin 2004, Alain Terrenoire, et qui compte aujourd'hui, de l'Atlantique à la Baltique, près de trente organisations nationales, l'Union Paneuropéenne de France (UPF) poursuit son action pour l'élargissement de l'Union européenne, donc pour une réforme des institutions, et défend l'idée d'une Europe politique.

    https://fr.m.wikipedia.org/…/Union_paneurop%C3%A9enne_inter…

     
     

  • Des Sans-notes aux Sans-dents

    N'oublions pas que les sans-notes bénéficient dorénavant du Livret de compétences et que tous les enseignants qui ne jurent par par ces évaluations à la découpe, se chargent en réalité de ficher nos enfants pour le patronat.

    C'est l'European Round table of Industrialists (pendant de l'American Round table), lobby patronal le plus puissant de Bruxelles et qui est collaborateur officiel de la Commission Européenne, qui a demandé et obtenu ce mode de traçabilité des élèves.

    Le processus de Lisbonne initié par Jacques Delors, a organisé la mise en place des compétences DeSeCo demandées par le patronat via l'OCDE pour former les élèves à l'entreprise et au Lifelong Learning (nouvelle organisation de l'éducation, de l'apprentissage, et du monde du travail/Assurances, et de leur financement, dès le plus jeune âge jusqu'à la mort), remplaçant la transmission des savoirs par celles de compétences, ces dernières étant aux premiers, ce que le Canada Dry ou l'alcool frelaté sont au Champagne.

    On ne demande plus aux élèves que des compétences superficielles, on les prend comme Dame nature les a faits en exploitant leurs (in)compétences naturelles, sans jamais leur permettre d'atteindre un niveau de réflexion personnelle par la maîtrise d'une réelle instruction.

    Seuls le mimétisme, la bien-pensance administrée comme de la propagande publicitaire, sont activés.

     

     

     
     
    Photo de Journal L'Alsace.

    Grève contre la réforme des collèges - L’ÉDITORIAL de Laurent Bodin et l'Oeil de Laurent Salles
    http://www.lalsace.fr/actualite/l-editorial

     

     

     
  • Villiers, Chevènement, Ménard, Zemmour, Polony, Chouard, Club de l'Horloge, Philippot, Dupond-Aignan, Farage, John Laughland, la galère souverainiste contre la France

    Le souverainisme est une idéologie qui est née de la lutte contre le fédéralisme au Canada.

    Et en Europe, où Condenhove Kalergi et de Gaulle l'opposaient au fédéralisme européen.

    Il s'agit d'autonomie, pour plus de libéralisme, le fédéralisme étant considéré comme un carcan étatiste.

    Il faut connaitre de l'origine et de l'histoire de cette idéologie.

    Le souverainisme français est issu du même mouvement.

    Villiers, Polony soutiennent les mêmes écoles hors-contrat et le même IFRAP.

    Cela ne s'explique que si l'on comprend ce qu'est le souverainisme.

    Le souverainisme n'a rien à voir avec la France, et on le voit bien, c'est un mouvement politique hors-sol, avec un réseau mondial.

    Le mouvement qui défend la France et sa conception de la souveraineté, s'appelle la France.

    Les souverainistes s'associent au mouvement de Démocratie Directe, qui, si tu connais l'histoire de nos institutions, est une conception anglo américaine.

    La bataille des libéraux sur nos institutions est ancienne, nous n'avons pas opté pour ces paradigmes anglo saxons, la France a su rester elle-même grâce à cela, indépendante est souveraine, unitaire, grâce au maintien de notre conception des institutions.

    La Démocratie Directe est la voie des autonomismes et des lobbies.

    Tous ces concepts politiques sont autant de pièges pour la France pour ceux qui ne les comprennent pas.

    En parallèle, l'emprise libérale sur l'Eglise a permis d'associer le principe de subsidiarité de l'église, au souverainisme, pour l'appliquer au politique, de façon à détruire, comme avec la Démocratie Directe, les souverainetés nationales.

  • Les députés FN veulent s'offrir des châteaux éducatifs en Espagne

     

     

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    C'est un gag ou les députés européens du FN aboient pour le compte de lobbies animaliers ?

    Depuis quand s'occupe-t-on des affaires espagnoles lorsque l'on est pour la souveraineté des pays !

    Proposition de résolution sur la maltraitance des lévriers galgos en Espagne et la nécessité d’un vaste programme éducatif, Déposée par Sophie Montel, Marine Le...
    SOPHIEMONTEL.EU
     
     


     
  • L'Europe politique, la fuite en avant vers le pire

    La Paneurope de de Gaulle, ce sont aussi, forcément, des doublons de souveraineté et le vecteur de pénétration des lobbies.

    La domination des Américains, et notamment via l'Union Européenne, c'est déjà obsolète, les Américains ont trouvé mieux et le Département d'Etat et le Pentagone se font aujourd'hui dépasser par leur droite.

    C'est la logique américaine aujourd'hui qui s'impose, et la logique par définition, pousse à son paroxysme.

    Le danger passe aujourd'hui par-delà les Etats, par les groupes privés qui par libéralisme se sont bouffés les uns les autres jusqu'à former des monopoles privés dont les capacités financières sont supérieures à celles de la plupart des Etats et qui peuvent aujourd'hui rivaliser avec les grandes forces publiques en voie d'extinction.

    Et t'as les cons de gaullistes qui contribuent à la mort des Etats en continuant de s'adosser à des politiques d'avant guerre parce qu'ils en ont dix de retard, et qui ce faisant, nous enfoncent vers le pire encore à venir.

    L'Europe des Nations est une structure politique, elle a donc automatiquement des prérogatives.

    On voit bien qu'elle exclut de fait les nations non européennes et qu'elle lie au-delà à une institution supranationale.

    C'est une idéologie européenne, autrement elle ne servirait d'ailleurs à rien.

    Et s'il vous plaît, que l'on m'évite le coup du contrepoids aux USA.

    La seule chose qui fasse peur à la domination idéologique américaine, c'est la structure étatique telle qu'établie par la France lorsqu'elle l'était encore entièrement, sûrement pas un groupe politique qui soutiendrait la même idéologie libérale qu'un Farage par exemple ou que tous les partenaires que s'est choisie Marine Le Pen dont on ne sait qui gagnerait le concours du plus tenant des principes fondateurs des USA tant ils sont plus libéraux les uns que les autres.

    Aucun pays n'a, de fait, les mêmes intérêts économiques, stratégiques, géopolitiques parce que leurs constructions respectives sont différentes, reposent sur des principes parfois diamétralement opposés, et sont le résultat d'histoires humaines différentes en fonction de paramètres nombreux et que nous ne partageons pas toujours non plus.

     

    L'Europe des Nations ne serait pas une construction politique ?

    Une structure économique alors ?

    Seuls les ignorants ne savent pas que l'économique, c'est du politique, et que dans un monde bien fait, c'est le politique qui doit le dominer pour ne pas être à la merci de la finance.

    Or pour construire une société, pour faire société, il faut une politique, la société européenne serait une société reposant sur quels principes ?

    Ceux d'unité à la française, ceux du régionalisme teuton, ceux du communautarisme anglo saxon ?
    Qui raflerait la mise ?
    Quelle langue imposerait sa domination ?

    Quel serait donc ce monstre informe, sans sens aucun, sans humanité aucune, sans raison d'être ?

    Est-ce que je me sens proche d'un Anglais ou d'un Allemand ? Suis-je de la même civilisation en tant que Française ?
    Bien sûr que non, nos civilisations se sont bâties en opposition.

    Et si l'Europe, c'est ça, en tant que Méditerranéenne, j'embarque ma France dans une alliance au Sud, je préfère bouffer des gâteaux au miel et de la menthe en salade au soleil avec les Arabes plutôt que d'avaler de la jelly au bacon au petit déj' avant d'aller sous un ciel triste et bas remercier Dieu de m'avoir béni en m'ayant fait gagner beaucoup de fric sur le dos des autres cette semaine !  

    Autant parler l'Espéranto, avec sa grammaire et son vocabulaire misérables, et on imagine sa pensée à l'avenant.

     

    L'Europe en réalité, dans n'importe quel sens, ce n'est même pas sérieux.

     

    Je propose de recouvrer les attributs de l'Etat, je l'explique tous les jours en long large et travers.

    Il faut se réinscrire dans le continuum français, dans notre histoire, dans nos principes fondateurs dont on affine sans cesse la lettre en en gardant l'esprit.

    Dans ce cadre, il n'y a nulle place pour aucune Europe, ni économique, ni politique.

    L'Europe est à la fois un cadre trop grand et trop petit à l'égard de la souveraineté et donc de l'indépendance d'un Etat.

    Un Etat n'a d'accord qu'avec d'autres Etats, seul moyen d'ailleurs de respecter les autres d'égal à égal.

    C'est ainsi que la France considérera les pays du Maghreb ou d'Afrique comme s'il s'agissait de Allemagne, qu'il ne nous viendrait pas à l'idée d'entuber, d'autant plus que le rapport de force est clairement inverse.

    Nous ne nous interdirions pas d'accord a priori avec la Russie ni avec personne, et nous refuserions des accords ou les restreindrions de même, à notre gré, en fonction de principes propres.

    Nous nous respecterions ainsi à la fois nous-mêmes mais aussi les uns les autres.

     

    Les Etats sont les seuls remparts aux lobbies de toute sorte et des pires espèces.

    Il semble que seuls nos ennemis (les ennemis des peuples) aient compris combien l'Etat était la menace à abattre, ce qu'ils font avec la plus grande application.


     

    Bref, à bas l'Europe des nations, conneries gaulliste de la première heure !
    Et de notre dernière ...