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Européennes - Page 6

  • Patte libertarienne

    Les libertariens à l'oeuvre.
    Rappelons à la dissidence à la con - l'extrême-droite, pion éternel du libéralisme intégral- qu'ils sont les plus redoutables ennemis de la France et de la liberté en général.

    Les tentatives sont les mêmes aux USA et en France (On se souvient comment Jovanovic, Soral, Dieudonné, l'abruti Cantona, tous les réseaux libertariens -bien installés en Russie- avaient été activés et avaient joué un rôle dans la tentative de déstabilisation).

    Je rappelle qu'un des
     maillons entre les libertariens de Washington, la France et la Russie se nomme John Laughland, agent de Ron Paul et de l'Institut Pour la Coopération et la Démocratie lié à Poutine et à Exxon Mobil.
    Panique bancaire en Bulgarie : la banque centrale avance la thèse du complot
    www.latribune.fr
    La Banque Nationale Bulgare a jugé que les attaques contre les banques bulgares visaient à déstabiliser l'Etat. Une attaque à peine dissimulée contre Moscou.

  • La Paneurope, la Paneurope, la Paneurope, fait le cabri

    Les derniers événements sont au moins démontré une chose :
    la France est bien plus proche de l'Algérie et du Maghreb en général, que de la Russie et de l'Europe en général.
    L'intérêt de la France est bien plus de se tourner vers ces pays-là que vers vers certains pays d'Europe.
    Ce que seule une nation libre et donc indépendante peut permettre, la Paneurope des nations de Chauprade est un autre carcan.

    Au moins les Algériens sont patriotes, et si le clivage est entre mondialistes et patriotes, ils sont bien des nôtres.
    Personnellement, je ne situe pas le clivage sur ce curseur, les dits patriotes officielles sont en réalité des mondialistes libertariens.

  • Paneurope, l'Europe du mondialiste Kalergi mais aussi de Chauprade et de Marine Le Pen

    Marine Le Pen s'en prend dorénavant à la Cour Européenne des Droits de l'Homme devant laquelle la famille Le Pen n'est pas la dernière à ester.
    Pourtant, la CDEH est née de l'autre Europe qu'elle plébicite, celle des nations, qui ne consiste pas moins en des transferts de souveraineté.
    La CDEH n'a rien à voir avec l'Union Européenne.

    http://fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu04670/historique-et-fonctionnement-de-la-cour-europeenne-des-droits-de-l-homme.html
    Historique et fonctionnement de la Cour européenne des droits de l'homme - Jalons pour...
    La Cour européenne des droits de l'homme veille au respect des droits et libertés civils de la Convention européenne des droits de l'homme dans ses 47 pays membres.

  • Je n'ai aucune inquiétude sur mes inquiétudes

    Marine Le Pen aurait-elle eu les scrupules qu'elle dit si le groupe ne s'était pas joué à deux points mais à un?
    Sachant que les négociations ont été effectives avec l'autre allumé polonais, et que le non scrupule est déjà allé jusqu'aux racialistes haut en couleur de la Ligue padane et autres hystérique eurabien et libéraux des neiges d'antan.

  • Moquons-nous du monde pour ensuite mieux s'offusquer qu'il nous le rende bien

    Ah, les Le Pen et l'art du mensonge ...

    JMLP affirme que Marine lui aurait fêté la fête des pères par un «Bonne fête papa». 

    On ne sait plus de quel saint se foutre.

    Et maintenant qu'elle aurait formé un groupe au Parlement européen, «je crois», rajoute-t-il. 

    C'est sûr que grâce à lui, Marine va peut-être réussir à fédérer un attelage libéralo sionisto révisio homophilophobe.

  • Marine, le Grisbi, et autre esprit de groupe

    Si tu veux l'oseille, rejoins-nous.

    C'est en substance ce que disent Marine Le Pen et son attelage européen.

    Ils tentent un dernier gros coup de bluff en faisant fuiter dans les réseaux d'extrême-droite que le groupe serait formé afin de faire céder les dernières digues et que ceux qui ont décidé de rejoindre le thatcho Farage, les rejoignent in extremis pour toucher le magot.

    Le conseiller à deux balles indexé sur l'étalon-or des libertariens, Ludovic de Danne (ceinture bannière étoilée), met en garde contre les fausses rumeurs, lesquelles ? Les siennes ?

    Jusqu'où Marine Le Pen va-t-elle descendre ?
    Le suppléant de Fritz Bolkestein ne lui suffisait pas (j'ai changé de teinture disait-il), elle veut la clique libérale au grand complet, ultra libéraux du 
    Congrès de la nouvelle droite (KNP) polonais bien compris.

    Marine ne veut pas s'embarrasser que de l'extrême-droite folklorique, elle veut aussi un peu de sérieux, elle la veut aussi économique.


    Bon, si elle n'y arrive pas, elle fera porter la faute sur le Vieux (c'est ainsi qu'on l'appelait au Paquebot, ou Neunoeil, selon l'humeur).

    Ce ne sera pas la première fois qu'un dérapage de Le Pen servira de prétexte aux libéraux me dira-t-on, sans doute, sans doute, et que derrière la petite histoire, une autre se déroule.

    Et Marine qui ne comprend pas que pour certains "antisémite" signifient surtout, "pas encore assez libérale".

    "Je ne comprends pas Nigel Farage, on est tout comme lui et il ne veut pas de nous."

    Mais non, Marine, tu n'as pas écouté Nicolas Dupont Aignan, tu es encore un trop infâme gauchiste à leurs yeux, ils disent "antisémite" comme Soral dit "Inuit" pour cacher "antisémite", Soral qui a bien fait l'allégeance libertarienne suffisante, lui, on ne lui reproche pas son soufre.

    C'est que pour les libertariens durs, les tiens sont trop mous, tu diras à  Monot et Sulzer qu'ils se font traiter de sous-libertariens par les copains, demande à Gaspard Koenig, ta race libertarienne est batarde, du sang-de-bourbe, voilà, ton parti est de sang mêlé, c'est cela qui fait que tu ne peux pas encore appartenir à la race des seigneurs.


    Soigne ta droite Marine, autrement tu vas le perdre ton combat de catch, demande à ton père ce que le Bourreau de Béthune lui a appris, derrière la parade, il faut un minimum de préparation.


  • Le Réseau Voltaire est inconséquent

    Alain Benajam, du Réseau Voltaire, est injuste et incohérent.

    Il s'en prend à Marine Le Pen qui certes n'a pas tout compris à la question quand elle parle des réseaux islamistes (mais à la limite, depuis quand serait-elle dotée d'une pensée ...).
    Or

    - Marine Le Pen ne fait que se ranger à la doxa de son Alliance pour la Liberté dont le chef de file est Geert Wilders.

    - Geert Wilders est le pion de David Horowitz de l'Heritage Foundation.

    - Mais là où vous prenez les gens pour des cons, c'est quand on sait que :

    - Le même Heritage Foundation a une filiale qui s'appelle le Family Research Council
    - Que c'est via ce Family Research Council que des ponts libertariens ont été menés entre Washington, l'Europe et la Russie, comprenant Manif Pour Tous, Printemps Français, Egalité et Réconciliation et compagnies.
    - Que c'est précisément le Family research Council qui a orienté ces groupe à s'associer à les groupes communautaristes tels que Fils de France et des groupes moins connus mais liés aux évangélistes noirs ou les racialistes comme Kémi Séba (le gars qui bossent pour les American Private Business Schools en Afrique), et autres Farida Belghoul dont le lobby sur l'école est un sous-groupe des lobbies libéraux qui entendent casser l' Education nationale parce qu'il s'agit d'abattre la France via l'Etat
    - Et pompon sur le gâteau, Meyssan et Benajam sont eux-mêmes libertariens et ron pauliens, idéologie dont l'Heritage Foundation n'est qu'une structure.
    - Pour finir en beauté, j'invite à prendre connaissance de la listes des multinationales qui soutiennent et financent l'Heritage Foundation, qui est en autre, classé parmi les tout premiers réseaux d'influence mondialistes par le chercheur Patrick Gatines.

  • L'école à l'épreuve des pièges mondialistes (reprise)

    Un vieux texte passé sur AgoraVox et où le du revenu minimum crédit formation est évoqué (il doit y avoir une discussion sur le sujet ensuite), avant que mes anciens "amis" ne me bloquent définitivement l'accès de ce media :


    Les politiques éducatives sont aujourd'hui bien ancrées dans le mondialisme, entièrement élaborées et conduites par les instances économiques (...)
    AGORAVOX.FR
     


    samedi 15 octobre 2011 - par orianeborja
    L’école à l’épreuve des pièges mondialistes, dernières nouvelles

    Les politiques éducatives sont aujourd'hui bien ancrées dans le mondialisme, entièrement élaborées et conduites par les instances économiques et financières internationales, nous les retrouvons dans toutes les réformes gouvernementales sans que souvent, tant personnels politiques que pédagogiques n'y comprennent quoi que ce soit.

    Au sujet du statut du directeur d’école :

    Ce statut serait un danger pour l’école républicaine, enfin, ce qu’il en reste dans les structures, les méthodes républicaines d’apprentissage, poursuivent, elles, leur tranquille disparition pour laisser place aux méthodes mondialistes.

    Une fois de plus, il faut l’analyser à l’aune de l’idéologie mondialiste.

    Ce sont les dirigeants de l’ERT (European Round Table) affiliés au groupe Bilderberg, qui pilotent les politiques mondialistes avec l’Ocde, on retrouve leurs desiderata directement dans toutes les directives de l’UE en matière éducative.

    Ils instillent les idées d’autonomie des établissements scolaires, en se servant toujours d’idiots-utiles, car ce sont des prémices nécessaires à l’instauration progressive, selon la théorie de l’ajustement de l’Ocde, de la libéralisation à venir du marché éducatif.

    La personnalité juridique implique le statut d’Etablissement Public Administratif de l’école.

    Or les critères du passage de l’EPA à l’EPIC sont déjà réunis pour les établissements qui ne seraient plus destinés à rester publics, l’école publique ne concernera qu’un reliquat poubelle destiné aux indigents, servant de garderie ou d’antichambre à la prison.

    L’Etablissement public industriel et commercial est régi en majorité par le droit privé, il faut trois critères pour passer de l’EPA à l’EPIC, ils seront vite atteints puisque l’Education tout au long de la vie (Lifelong Learning, autre concept mondialiste élaboré par le monde économique) les prévoit :

    - l’école devient au sein de l’Education tout au long de la vie, un produit culturel comme un autre, avec services à la carte

    - il faut qu’une partie des ressources soit d’origine privée, ce qui se fait progressivement pour de nombreux projets sous-traités (voyages dits pédagogiques, journées découverte, projets intra muros du type la Main à la pâte, Défi lecture, Big Challenge, etc.), logiciels éducatifs actuellement fournis gracieusement par des entreprises privées (School.net, Beneyluschool, et autres sociétés qui se positionnent d’ores et déjà).

    - enfin, le critère de rendement évalué par les Livrets de compétences de l’Ocde, commandés et au service des magnas de l’European Round Table

    Cette réalité du passage d’EPA à EPIC est ajourd’hui celle du CNED.

    Quant au passage de l’EPIC en Sociétés Anonymes, voire complètes privatisations quand les capitaux sont majoritairement privés, nous connaissons :

    France Télécom, d’Electricité de France, de Gaz de France, d’Aéroports de Paris.

    Un nouveau statut signifierait également un nouveau concours, même pas sûre que les directeurs actuels l’obtiendraient, aujourd’hui, le métier est prisé par des surdiplômés qui ont du mal à gagner leur vie dans le privé, ils ont l’habitude de travailler beaucoup et le bilan coût-avantage est vite fait, surtout pour une femme. J’y vois d’ailleurs la raison du glisssement de cette profession de la gauche vers la droite.

    L’EN emploie d’ailleurs directement des enseignants qui n’en sont pas et qui viennent du monde de l’entreprise.

    On a vu ainsi la nomination à la direction d’une université d’un grand patron de l’European Round Table pour laquelle la transformation est toute stratégique.

    Ce qui est appelé pudiquement le « partenariat public-privé » par les mondialistes, est un piège qui mènera directement à la privatisation au service du monde marchand.

    Et si l’on fait miroiter un statut dont on bout du compte, il est essentiellement question de revalorisation salariale, elle sera conditionnée à l’adéquation aux résultats attendus par l’aune entrepreneuriale bien comprise dans les compétences DESECO de l’Union Européenne.

    La « nécessité » d’un statut de directeur d’école ne se fait que parce les politiques mondialistes concomitantes le demandent, le maître n’est plus maître dans sa classe, il doit s’inscrire dans une pédagogie de groupe, construire des projets dont il ne sera pas plus maître, s’aligner sur des plans de formation, etc., qui s’articuleront autour de l’idée d’adéquation aux objectifs de « régions apprenantes » (concept mondialiste qui casse toute idée de diplômes nationaux, l’éducation n’est vue que comme outil pour mettre à disposition une main-d’oeuvre opérationnelle, flexible, mobile à l’échelle planétaire en fonction des besoins du marché, l’apprendre à apprendre de l’éducation et la formation tout au long de la vie est fait pour cela), le système est bien bouclé, le monde marchand l’a noyauté bien plus dangereusement que les idiots-utiles du ministère.

    Au sujet de l'évaluation des élèves en maternelle :

    Il est vrai que les enfants portent toute leur vie les carences essentiellement éducatives que leurs parents leur ont données en héritage.

    En maternelle, ceux qui ne suivent pas sauf pathologies très rares, sont ceux dont les parents n’ont pas pris gare à leur éducation.

    Mais il faut bien comprendre ce dont il s’agit, et voir que la maternelle a cessé d’être la préparation à l’entrée dans l’écriture et la lecture pour ne s’attarder que sur des procédés superficiels et illusoires du vivre-ensemble, entre méthodes globales et nombrilisme.

    En l’occurrence, la mesure annoncée relève du Livret de compétences et autre rapport Pisa, Pirls (c’est-à-dire des instances mondialistes) qui entendent très clairement établir une traçabilité de la viande humaine et ne l’évalueront qu’à l’aune de leurs propres prescriptions. Ce sont des politiques demandées par le monde économique et qui seront appliquées dans tous les pays de l’Ocde et même au-delà.

    Et puis, il faut bien que les industriels adaptent les prochains logiciels ludopédagogiques destinés à « enseigner » à nos enfants, et que le marché éducatif à la carte prennent ses marques.

    Or leur façon de jauger est idéologique, tant sur le fond que dans la forme, elle est superficielle, la méthode de type Assimil est utilisée à tous les niveaux, y compris dans le relevé de compétences.

    Il est intéressant de lire dans les derniers rapports de l’Ocde qu’ils ont dorénavant définitivement renoncé à leur précédente idéologie égalitariste, leurs experts ayant conclu que l’économie du XXI ème siècle a besoin de peu de diplômés et pour rentabiliser l’affaire, de peu d’enseignants (à remplacer par des encadrants).

    Autonomie et flexibilité sont les deux nouvelles mamelles de l’enseignement.

    Chacun recevra un socle commun minimaliste, le darwinisme social se chargeant de faire le tri pour extirper une petite élite tout aussi stupide mais adaptée au système.

    Enfin, peut-être un jour, même l’économie comprendra-t-elle qu’elle est perdante à ce petit jeu.

    Autrement, il va s’agir pour nous, de vite changer nos logiciels concernant la façon de juger les politiques éducatives, si nous nous refusons à connaître le Nouvel ordre éducatif mondial, nous tomberons dans tous ses pièges.

    Un exemple de ces pièges techniques :

    Le "Compte formation universel régional" est un concept issu de l'Education tout au long de la vie.

    C'est une première étape dans l'idée de la Banque mondiale de doter chaque citoyen du monde d'un crédit-assurance formation que nous recevrons dès la naissance et qu'il s'agira de rembourser tout au long de la vie. Cela regroupera le financement tant de la crèche que les études, le chômage, le revenu minimal le cas échéant, la retraite, à lui de se fondre dans la flexibilité maximale, la nomadité planétaire, pour rembourser.


     

     

  • Lobbyiste ! Dégage.

    Terra Nova, le think tank à l'origine de la politique gouvernementale doit prendre pour son grade, le désaveu des Français pour la politique, tout comme le reste des think tanks qui distillent la même politique et ont les mêmes entreprises pour grands argentiers.

    L'économiste Gaël Giraud motive son désengagement du think-tank ainsi: « J’ai cessé ensuite de venir aux réunions, qui n’aboutissaient à rien, des financiers étant tout le temps là pour empêcher la réflexion. »

    Pour Laurent Léger, journaliste à Charlie Hebdo, en 2013, le poids des financiers est devenu considérable au sein de Terra Nova : BNP Paribas y siège, ainsi qu'Ernst et Young, un des principaux cabinets d'audit financier au monde.
    Mais le journaliste pointe tout particulièrement la banque Rothschild, également présente par le biais de l’un de ses associés au sein du conseil d'administration, Guillaume Hannezo, lequel « est omniprésent depuis juin 2012 et se montre particulièrement interventionniste, sans commune mesure avec les autres administrateurs ».

  • Le libertarien 'chérien Gaspard Koenig limite son champ privé

    Le libertarien Gaspard Koenig de Liberté Chérie, prive le public d'une bonne partie de la réalité dans un article du Point en date du 30 mai 2014.

    Mais n'est-ce pas le fonctionnement même de ce genre d'experts lobbyistes, extraire, ce qu'ils veulent, vous montrer ce qu'ils souhaitent, biaser ce qu'ils entendent, et pour ne pas dire autre chose de ceux qui les écoutent.

    Je vous propose d'aller plus loin.


    On peut voir dans le programme de Marine Le Pen la patte libertarienne.

    Evidemment, comme pour Nicolas Dupond Aignan, le petit bras droit cassé du thatchérien Farage, Marine Le Pen est trop à gauche.
    Pour le petit candidat menaçant au primaire UMP, Philippe Herlin, elle était indécrottablement inaccessible aux libertariens.

    Dumait est pourtant bien revenu à la charge.
    Boutin a même donné sa bénédiction à la petite Marion.

    Et jusqu'au suppléant de Fritz Bolkenstein, Geert Wilders soi-même, grand guignol de l'Heritage Foundation, qui va jusqu'à l'Alliance, pour la liberté il va sans dire ...

    Tous les libertariens ne pensent donc pas comme un seul homme.



    Oui, évidemment pour les ultra libéraux de Liberté Chérie, les néocons américains sont d'infâmes gauchistes.

     

    Ils font semblant de ne pas savoir comment ils fonctionnent eux-mêmes.

     

    Leur leader aux USA, Ron Paul, n'espèrent pas prendre le pouvoir un jour par les instances traditionnelles.

     

    Le jeu libertarien, c'est de pénétrer les groupes politiques implantés, de façon transversale.

    Il faut y distiller le virus libéral.

     

    On se doute bien que Bernard Monot n'a pas pu totalement se faire entendre.

    De toute façon, le Front fonctionne ainsi.

    Louis Aliot l'a affirmé lui-même, gaulliste à ses heures, il reprend la formule du général selon laquelle on peut faire beaucoup de choses avec l'ambiguité, et même s'asseoir dessus.

     

    C'est même du lepénisme pur jus.

    Le Pen a toujours préservé chèvres et choux, ânes et moutons, grain et ivraie.

    Au Front, on est un jour de droite, puis ni de droite ni de gauche puis de droite par sa nièce, et ta soeur ...

    Monsieur Koeing n'a étrangement pas étudié le programme de "liberté" monétaire de Marine Le Pen.

    La Théorie de la monnaie est pourtant un principe élémentaire chez les libertariens.

    Il était tout à fait frappant d'entendre au moment des présidentielles, Marine Le Pen asséner, non pas le principe de souveraineté monétaire, mais celui de liberté monétaire, avec indexation sur l'étalon-or.

    Ca ne vous aura pas échappé tout de même, on va vous retirer le Prix Razel et la Bourse Tocqueville par anticipation petit Gaspard !

    Une Nation= Une Monnaie, il ne saurait y en avoir une autre, fut-elle d'or et d'autres matières précieuses.

    Et s'il vous plaît que l'on ne ressorte pas de Gaulle, ni les Accords américains de Bretton Woods.
    De Gaulle n'est pas le dernier à s'être fait manipuler un temps, et  ses preceptes sont aujourd'hui obsolètes.
    Nous n'avons plus d'or.
    Et il existe aujourd'hui des groupes privés, sans territoire, sinon des parcelles de ceux des autres, dont la richesse et la puissance sont telles, qu'ils ont leurs propres règles et leurs propres politiques étrangères, par-dessus les Etats et même par-dessus l'Etat américain (avec les guerres internes et de services que l'on voit appararaître par-ci par-là à qui sait les lire).

    Le droit de battre monnaie, voilà le nerf de la guerre, et voilà ce qui est battu en brèche.
    La monnaie libertarienne n'est qu'un outil financier, quand la monnaie nationale est un attribut de souveraineté.

    C'est LE pan de souveraineté sine qua non.

    J'ai mieux cherché que monsieur Koenig, et avait relevé nombreuses autres pénétrations dans le programme.
    C'est simple, j'avais annoncé la couleur deux ans avant le coming-out de monsieur Monot.

    J'avais vu les drapeaux "Liberté" fleurir au milieu des drapeaux français pour la première fois.
    Tout de suite, ça a fait "tilt".

    J'ai connu la censure quand j'écrivais pour Marine.
    On ne touche pas aux lobbies de Contribuables Associés.

    Il y a eu le voyage, le premier, symbolique, à Washington, Ron Paul.
    Ron Paul qui dit d'ailleurs que ceux qui ne comprennent pas que le programme économique libertarien ne saurait se détacher du reste, sont des imbéciles.
    Je l'ai toujours dit, à Bruno Gollnisch notamment, le libéralisme n'a pas de frontière, on ne peut se réclamer du libéralisme philosophique comme il le faisait, et pas du libéralisme économique.

    On pourrait parler de l'autonomie des écoles, proposée par Marine Le Pen, de l'immigration choisie et de ses références libertariennes à Laulan et Gourévitch (Les libertariens ne sont pas contre les déplacements de population, ils sont pour le fait de rentabiliser au maximum le marché de l'humain, il ne faut pas que cela coûte un rond à l'Etat, il faut refiler aux entreprises exactement la main-d'oeuvre dont elles ont besoin).
    Du LifeLong Learning qui ravit deloriens et souverainistes pour le plus grand bonheur des organisations pilotées par Washington, et des multinationales qu'elles servent.

    Ou encore dans la forme, du lobbying, des étapes formulées certes par Friedman et son affreuse Ecole de Chicago à en croire Monot et Sulzer, de David Friedman, le cul entre deux chaises, jusqu'à Von Mises et Hayek, et des multiples querelles intra libérales.

    On pourrait parler aussi d'Aymeric Chauprade, vieux routard de l'Institut Thomas More, et qui donne toujours des formations à l'IFP/IFRAP, ça doit bien parler à monsieur Koenig n'est-ce pas ?

    IFP qui forme des cadres du Front, l'invitation reçue vient-elle de Chauprade d'ailleurs ?
    De PMC ?
    Les liens et les ponts existent nombreux, les media, envahissants, les clubs refondés à l'heure libérale des Horlogers.

    Allez monsieur Koenig, encore quelques petits efforts.