Alain Lamassoure : "Je suis un lobbyiste qui respecte les lobbies industrialo financiers de tous les pays."#ElectionsEuropéennes2014
Européennes - Page 10
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Alain Lamassoure : "Je suis un lobbyiste qui respecte les lobbies industrialo financiers de tous les pays."#ElectionsEuropéennes2014
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Henri Guaino, l'incontinent du continent
Henri Guaino, c'est le mec qui découvre que l'eau mouille.
L'européisme destructeur de France de l'UMP ne l'a pas gêné jusqu'ici, pas plus que l'atlantisme de son petit maître Nicolas Sarkozy.
Pas plus que ça n'a dérangé les députés plus apparatchicks que souverainistes, ni même les droitards du Front National qui votent toujours UMP à un moment ou à un autre, y compris et bien compris parmi ses cadres; comme quoi, les convictions sont bien peu de choses.
Ce n'est pas l'eau qui mouille monsieur Guaino, c'est vous qui vous faites pipi dessus ! -
Marion Maréchal Le Pen, Aymeric Chauprade, Béatrice Bourges, Farida Belghoul, Tugdual Derville, by God ...
http://bouteillealamer.wordpress.com/2014/02/04/ils-ont-vaincu-francois-hollande-farida-belghoul-ludovine-dutheil-de-la-rochere-marion-marechal-le-pen-et-les-autres/
"Farida Belghoul
Fille d’un éboueur et d’une femme de ménage dans une fratrie de 5 enfants, elle est encartée au parti communiste quand elle rejoint Convergence 1984, la deuxième marche pour l’égalité et contre le racisme. « Elle est arrivée dans notre collectif après la marche en 1984 – elle n’a eu de cesse de casser ce collectif en nous accusant d’être des intégristes du repli communautaire – que nous étions pour l’endogamie – que nous voulions un mouvement d’arabes alors qu’elle voulait créer un mouvement antiraciste generaliste ouvert en génereux », raconte un marcheur de 1983, «elle a abandonné ses troupes en ne leur fixant pas de perspectives et s’est consacrée à sa vie personnelle».
Elle est alors en maîtrise d’économie et a réalisé deux films qu’on imagine subventionnés par le PCF ou une MJC quelconque. A Tolbiac, elle a dirigé durant deux ans le cercle communiste et a ferraillé contre Julien Dray, le trotsko du coin. Elle publie un roman Georgette que réédite Kontre-Kulture, la maison de son ami Soral. Elle se marie, opère un virage vers le soufisme et devient professeur de français et d’histoire-géographie dans un lycée technologique. Elle aurait découvert à cette occasion la misère de l’éducation nationale en banlieue et se désole du niveau des élèves. Farida sort la copie d’un de ses élèves scolarisé, en terminale professionnelle maintenance. C’est la copie d’une dictée. «Et voilà le résultat :"Gavroch rempait a plat ventre, galopé a quatres pâttes, prennait sont paniè au dents, ceux tordair, glissait, ondulait, cerpenté d’un mort à l’otre."»
En 2007, elle retire ses trois enfants, Meriem, Hussein, et Zine, de l’école publique et leur fait cours dans son pavillon de Bezons (Val-d’Oise) présenté par Libération en 2008, comme un simple F3. Libé la trouve alors, drôle comme tout. C’est de là que naît son projet de cours particuliers pour les enfants perdus, le Reid (pour Remédiation éducative individualisée à domicile). Elle ne trouve pas les financements. On l’avait vu arpenter les bureaux de Martin Hirsch, Haut commissaire aux solidarités nouvelles, à la quête de subventions ou de publicité.
«Je ne compte plus sur les financements publics. Je n’y crois plus. Mon dernier recours est de m’adresser à la société civile. Si 25 000 personnes donnent chacune 10 euros pour ce projet, la somme permet de couvrir la totalité des frais de la première année de fonctionnement du Reid. J’ai déjà créé moi-même l’association loi 1901. Tout est prêt : les jeunes candidats au Reid attendent, les instructeurs sont disponibles, le programme est conçu, il ne manque que l’argent. Nous voulons démarrer en septembre 2008. Il y a même un comité d’experts qui se constitue pour suivre ce dispositif. Ce seront des experts qui connaissent le terrain, pas des experts d’en haut qui noieraient le poisson. Des enseignants de lycée professionnel notamment.»
La réalisatrice Samia Chala avait filmé un huis-clos paranoïde voulue par une mère qui craignait que l’école ne transforme ses enfants en « barbares ». « Je ne peux pas sauver mes élèves, mais je peux vous sauver vous », répond-elle à sa fille de 14 ans qui lui répète que l’école et ses amis lui manquent. « Méthodes d’apprentissages bidons, programmes bidons. On fabrique des délinquants, demain des barbares », souffle Farida Belghoul. Deux ans plus tard, elle revient en politique, soutenant la candidature de Dominique de Villepin à la présidence. « Elle a essayé de m’enrôler », se souvient Nordine Gasmi, un ancien du Mouvement de l’immigration et des banlieues, ancêtre des Indigènes de la République.
Sur Internet, Farida Belghoul a testé l’impact des vidéos vite montées, vite postées et diffusées sous le label « télé libre ». Depuis plusieurs mois, elle donne libre cours à ses obsessions : la faillite de l’éducation nationale, le parti socialiste « allié aux homosexuels » ou les complots des étudiants juifs de France derrière SOS Racisme. Visiblement la CAF et le salafisme y sont épargnés. On y apprend que des étudiants juifs ont importé le rap en banlieue « dans une opération de destruction de la jeunesse ». Doublant Adjani sur sa droite, elle a proposé sur les ondes de Radio camp des saints l’« année de la robe… puisque la théorie du genre veut de manière définitive nous faire porter le pantalon ! ». Farida Belghoul dit sa haine du projet tertio-républicain : "Couper l’école de l’église, de la religion, du ciel, d’une certaine façon." Marianne a remplacé le Christ dans les salles de classe. Une Marianne qu’en 2013 on a choisi d’incarner en une "Femen hystérique", tandis que le ministère de l’Éducation s’applique à faire des jeunes des "LGBT" (du nom du mouvement Lesbien, Gay, Bi, Trans) en puissance et à mettre à bas l’identité masculine – quitte à pousser les petits garçons à la masturbation puis à la mutilation. Elle a évidemment reçu de la part de Dieudonné, une quenelle d’or.
Mediapart / Le Monde / Libération / Le Point / BAM
Ludovine Dutheil de la Rochère, de son nom de jeune fille Ludovine Megret de Serigny d’Etigny, fille d’un cadre bancaire et d’une mère au foyer, ancienne pensionnaire de la maison d’éducation de la Légion d’honneur et mère de quatre enfants. « J’ai grandi entourée d’une vingtaine de cousins germains et de trois frères. Aujourd’hui, deux d’entre eux vivent en Amérique du Sud, nous nous parlons chaque semaine sur Skype. ». Cette ancienne professeurE d’histoire-géographie qui fume comme un pompier en mission se déclare fière d’avoir réussi son capes du premier coup mais botte en touche quand il s’agit d’évoquer le concours d’entrée de l’école des chartes. En 1999, elle est engagée par la revue conservatrice-libérale, Commentaire en tant que secrétaire générale. Elle rejoint, en 2003, l’équipe de com’ de la conférence épiscopale où elle rencontre Frigide Barjot qui a aussi ses entrées. Enfin elle est adlectée au sein de la fondation Jérôme Lejeune, bastion français du national-lapinisme intégral. « Pour moi, l’homme est au cœur de la cité et la cité est au service de l’homme. L’homme est le cœur de tous les sujets. La cité est le fait de vivre ensemble et le fait d’être là pour chacune des personnes. C’est ça qui me “drive”. Quelles que soient les fonctions que j’aie pu occuper, c’est toujours ça qui m’a guidée. »
Tugdual Derville, forrest gump résilient vendéen, père de 6 enfants, diplômé de la petite école des porcs d’Etat (sciences-pipo) et de l’ESSEC, il est le fondateur du site Ecologie humaine avec Pierre-Yves Gomez, économiste et Gilles Hériard Dubreuil, spécialiste du développement durable. La Croix, Pèlerin et La Vie ont beaucoup relayé le lancement de ce groupe de réflexion. Sur Internet, la "cathosphère" ( l’ensemble des blogs et des sites qui se revendiquent catholiques) se sont aussi montrés très intéressés par ce think tank. Deuxième d’une famille de quatre enfants, il ne comprend rien de ce qu’on lui demande à l’école, se croit un cancre. Deux premières, trois terminales, trois baccalauréats de français… « La dyslexie a été une énorme souffrance, relit-il. Le cerveau est vraiment fait différemment, c’est une contrainte de tous les jours, jusqu’à la fin de sa vie. ». En 1994, il dirige l’alliance Vita créée par Christine Boutin dont il est, désormais le délégué général. En 1999, il organise le mouvement anti-pacs avec le succès que l’on sait. Son frère est le directeur spirituel de la prélature de l’Opus Dei dont le bon Tugdual semble appliquer les sages conseils compassionnels néo-franquistes. Aussi, sur les conseils de son père spirituel de 87 ans, cet ultra-actif se plonge chaque matin dans son « sanctuaire » intérieur. En outre, il donne des conférences à la fondation Guilé, sise en Suisse. Celle-ci se charge de sensibiliser les acteurs économiques aux grands dangers de notre temps comme la laïcité. Cette fondation a témoigné devant l’OSCE contre la « laïcité à la française » et fait du lobbying intensif pour obtenir des sanctions économiques contre la France. Elle offre, par ailleurs, aux « décideurs » des « conditions privilégiées d’échanges interdisciplinaires et des parcours d’enrichissement personnel dans des lieux et des moments de qualité ». Il est aussi proche des légionnaires du Christ, une congrégation de prêtres catholiques. Elle forme de très jeunes garçons à rejoindre la militia christi des temps modernes. Son fondateur, l’Abbé Marcial Maciel, vénéré comme un Saint vivant par le Pape Jean-Paul II, fut débarqué lorsque les témoignages s’accumulèrent. En effet, l’abbé, sans doute inspiré par le Baphomet des templiers, avait tendance à sodomiser en série quelques jeunes recrues. Scicluna, responsable de l’instruction des crimes sexuels au sein de la Congrégation pour la doctrine de la foi, fut mandaté par son patron, le cardinal Ratzinger pour enquêter. Les témoignages concordent sur le mode opératoire. Prétextant être malade, Maciel s’alitait et faisait appeler un petit séminariste dans sa chambre. Il le forçait à le masturber pour apaiser ses douleurs. Puis il infusait le saint esprit de ses gonades dans le fion de ses victimes. Le prêtre leur faisait jurer de garder le silence, assurant qu’il avait pour cela une permission spéciale du pape. Miséricordieux, il allait jusqu’à donner l’absolution aux garçons qui se sentaient coupables. On apprendra en 2009 que Maciel, par ailleurs toxicomane, avait eu trois enfants de deux femmes différentes. Il y a quelques jours, le 1er mai, le Vatican déclarait que l’homme était un imposteur : "Les comportements très graves et immoraux du père Maciel, confirmés par des témoignages irréfutables, se présentent parfois comme de vrais délits et démontrent une vie sans scrupule ni authentique sentiment religieux." mais Tugdual connaît bien les mille et un tours du Malin et la sagacité de l’Eglise militante. Sa confiance n’en est qu’accrue.
Béatrice Bourges : Désignée par The Independent comme la femme la plus dangereuse de France, une sorte de nouvelle Jeanne d’Arc selon Shakespeare, elle est l’autricE de l’insignifiant, l’homoparentalité en question, dont elle assure elle-même la promotion. Elle souligne ses racines auvergnates mais est née en Algérie, elle est la fille d’un père ingénieur chez Total et d’une mère graphologue et mène des études de droit, puis entame un 3e cycle à HEC ; de 1988 à 1997, elle collabore avec le RPR Franck Borotra, au Conseil général des Yvelines puis à l’Assemblée nationale. En 2002, elle se présente aux législatives, dans ce même département, sous l’étiquette "divers-droite" et obtient 7,8% des suffrages. Celle qui se décrit volontiers comme "pugnace" récidive en 2012, (7,1%) soutenue, cette fois, par le Parti chrétien démocrate. Intarissable sur la famille, son union, son rôle primordial de cellule de la société, elle est divorcée et remariée. Spécialisée dans le domaine de l’action parallèle, elle vient de créer sa société de coaching et de formation en entreprise, évoquant son expérience en tant que "secrétaire générale d’une association de chefs d’entreprise" pendant dix ans. Elle compose la troisième figure du trio Jean-Claude Martinez, Christine Boutin parti à l’assaut de l’Assemblée soporifique des députés doryphores de Strasbourg où les douze étoiles de la Vierge qui ornent le drapeau de l’UE lui rappelleront la sienne, "j’ai une étoile là-haut, je ne la quitte pas des yeux", lâche-telle en regardant le plafond. Puis, quelques instants plus tard : "Certains vont penser que je suis malade, je le suis peut-être, peu importe".
Les Veilleurs : Ils sont jeunes et bien élevés du moins selon la norme petite-bourgeoise élargie, mais comme Marie-Capucine ont connu des heures de gardes à vue. Peut-être, à l’instar de Nicolas qui s’est vu affublé de 2 mois ferme de prison, ont-ils assisté, expérience insoutenable, à un rapport anal entre deux transsexuels tandis qu’ils récitaient le Notre Père frappés d’une turgescence désagréable ? On leur a jeté leur plateau-repas au sol, on ne leur a pas dit « bonjour, Monsieur ou Mademoiselle », on leur a distribué un petit coup de matraque et peut-être ont-ils aimé cela (le voies du Malin sont si chamarrées), aussi les Veilleurs sont des martyres de la foi dans un monde de brutes totalitaires socialo-franc-maçonnes. « J’ai l’impression de jouer un rôle pour mon pays. » crie Marie-Capucine. Samuel a été poignardé par des racailles, les réseaux asociaux bruissent de rumeurs de représailles organisées en coulisse par le Béria franco-sioniste-métèque, Manuel Valls. Articulé sur la démonstration publique et commune de leur foi, leur éveil est tissé de paranoïa infantile. Les voici prisonniers politiques quand on les embarque au commissariat pour une garde à vue ou montant des campings pour tous afin de dénoncer les mensonges pour tous car tout est pour tous, chez ces garnements pneumatiques prenant en charge le troupeau des hyliques pervertis par l’athéisme d’Etat et ses écoles marxistes. Madeleine fut encartée à l’UMP dès l’âge de 16 ans mais refuse l’hédonisme et la médiocrité. C’est la génération rebelle selon Valeurs Actuelles, on a juste envie de leur dire, rentrez chez vous dans 20 ans, vous serez notaires, cadres, haut ou bas fonctionnaires voire pharmaciens.
Marion Maréchal (nous voilà)-Le Pen
Arnaud Stephan, pseudo d’un quadragénaire, est plus qu’un simple collaborateur parlementaire : conseiller médias et communication de la députée du Vaucluse, il gère dans l’ombre sa trajectoire politique. Sous son véritable nom, le consigliere est issu des JAN (les Jeunesses d’action nationaliste, dissidents du FN). Il fut l’homme de confiance de l’ex-conseiller régional d’Ile-de-France Jean-François Touzé, qui a alterné postes de responsabilités au FN et années de dissidence envers Jean-Marie Le Pen.
Pendant vingt ans, il a fréquenté les groupuscules de Touzé : Espace nouveau, Alliance populaire, Parti national républicain (PNR – dont il est secrétaire général et candidat aux législatives en 1997), fusion entre le CNI (Cercle national des indépendants) et le PNR, en 1998, Nouvelle Droite républicaine (NDR) en 2008. Il collabore alors à plusieurs revues, Persiste et signe, Le Choc du mois ou encore Patrie liberté. Entre 1991 et 1993, il intègre le directoire du GRECE (Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne), où il gère les relations presse et les « initiatives culturelles ».
C’est donc un médiateur culturel.
Comme d’autres membres de l’équipe Maréchal-Le Pen, Arnaud Stephan est arrivé sur la planète Le Pen par l’intermédiaire de Yann, la sœur cadette de Marine. La mère de la députée tient une place importante dans le dispositif. A la tête de la direction nationale des grandes manifestations frontistes, « elle la conseille sur sa façon de faire de la politique, explique Arnaud Stephan. On discute, on prépare des émissions ensemble, parfois à Saint-Cloud, au domicile de sa mère, dans un cadre familier ». « Elles sont très proches et très fusionnelles », confirme Maxime Ango-Bonnefon, un mariniste-gollnischiste. « C’est un soutien de vie », tempère Marion Maréchal.
Autre personnage clé dans la construction de son identité politique, son père, Samuel qui fut le président du FNJ dans les années 1990 et l’un des artisans de la stratégie de « dédiabolisation » mégrétiste. « C’est son plus proche conseiller », assure Maxime Ango-Bonnefon. Retiré de la politique, à la tête d’une société de conseil aux entreprises ivoiriennes à Paris et Abidjan, il a « encore quelques réseaux, notamment dans la communication », raconte Rémy Rayé. « Il fait partie de mes exemples politiques, il a marqué les esprits, il a participé à façonner le concept de “ni droite ni gauche” », explique la députée frontiste.
Marion Maréchal s’est aussi entourée, la première année, d’une assistante parlementaire passée par le GUD (Groupe union défense) à Lyon. Victoria Dufour, 23 ans. Son père, Marc Dufour, un ancien des groupes Yann Tran Long, ancienne figure de la FANE et mercenaire à ses heures perdues, figure parmi les militants « très actifs » du noyau d’une trentaine de personnes fédérées à Carpentras, selon les assistants parlementaires de la députée. En juin 2012, il expliquait au Nouvel Observateur avoir « commencé à activer les réseaux » en amont des législatives. C’est lui qui pilote aujourd’hui la logistique de la campagne du suppléant de Marion Maréchal à Carpentras. « On se voit souvent, je le connais bien. Il fait partie du cercle amical de Marion », raconte Rémy Rayé. Sa femme, Antonia Soton, milite elle aussi pour Marion Maréchal. Elle a surtout été citée dans l’affaire Dulcie September, cette représentante du Congrès national africain (ANC) en France, assassinée en 1988. À l’époque compagne de l’ancien chef du GUD et mercenaire Richard Rouget, Soton a expliqué à un journaliste l’avoir aidé à surveiller des militants de l’ANC.
Aujourd’hui, le GUD est toujours présent dans la vie d’Antonia : sur sa page Facebook, où elle affiche l’emblème ; dans les « dîners celtiques » auxquels elle participe ; et à travers les anciens gudards qu’elle fréquente (Frédéric Chatillon, vieil ami de Marine Le Pen ; Marie-Dominique Klein, dont le fils, Édouard Klein, a relancé le GUD en 2010). Elle côtoie parallèlement toute une galaxie catholique traditionaliste, à travers l’institution Saint-Louis, où elle enseigne. Elle conserve des liens étroits avec Yann Tran Long, avec qui elle a créé en 2012 « Veni Sancte Spiritus », une association catholique traditionaliste où l’on retrouve au poste de trésorier Benoît Rigolot, l’expert-comptable qui a contrôlé les comptes du micro-parti de Marine Le Pen.
D’un peu et on se croirait dans le Da Vinci God.
C’est à Lyon, épicentre de la droite catholique identitaire, que l’on trouve les autres « cercles politiques » et « amicaux » de Marion Maréchal nous voilà. À commencer par les dirigeants du FNJ, les Lyonnais Julien Rochedy et Paul-Alexandre Martin. La députée les considère comme « des amis » et a effectué « des déplacements à l’étranger avec eux, car ils aiment entretenir les liens avec les autres partis européens ». Comme en septembre, lorsqu’ils sont reçus par le Vlaams Belang, parti populiste flamand, ou en juin, lorsqu’ils rencontrent en Suède plusieurs homologues européens. C’est aussi à Lyon qu’est installée Janus International, la société qui gère sa communication sur Internet. Derrière cette agence « spécialisée dans l’intelligence économique, la communication de crise et le Web politique », on trouve Olivier Giot-Bordot et Sylvain Roussillon, issus des rangs de l’Action française. Contacté, le premier ne fait pas mystère de sa « formation politique » et estime « avoir cette chance, en tant que maurrassien, d’être indépendant ». Cette « collusion » se serait faite « dans le giron de la Manif pour tous », selon Julien Rochedy.
Car pour acquérir une certaine autonomie par rapport à l’appareil frontiste, Marion Maréchal s’est appuyée sur la nébuleuse des anti-mariage pour tous. Elle-même le reconnaît, « on est assez autonomes, j’ai ma fédération dans le Vaucluse avec Hervé (de Lépinau) ». Jean-Marie Le Pen ? « Je l’appelle peu, je le vois peu. Même Marine Le Pen, je la vois assez peu. » Quant à la demeure familiale, à Montretout, elle n’y « passe quasiment plus. Ce n’est plus un lieu politique comme ça a été le cas avant ». Pour se construire ses propres réseaux, elle a profité du discrédit de Marine Le Pen auprès de la frange catholique de l’extrême droite, agacée par sa « dédiabolisation » et son absence des « manifs pour tous ». « Marion a pris un positionnement très clair, elle était présente à toutes les manifestations contre le mariage homosexuel. Elle séduit cet électorat-là », glisse Maxime Ango-Bonnefon.
Elle est donc allée soutenir Nicolas Bernard-Buss, le martyre anti-mariage pour touscondamné pour rébellion, et plusieurs mouvements spécialisés dans le happening catholique (les Veilleurs, les Sentinelles).
La députée s’exprime dans Présent, quotidien de la droite catholique traditionaliste, elle monte au créneau contre la recherche sur l’embryon et contre l’IVG, qu’elle souhaite « dérembourser » pour « responsabiliser les femmes », et a récemment demandé la suppression d’un article du projet de loi sur l’égalité hommes-femmes visant à protéger les femmes étrangères victimes de violences. En mai, elle s’est rendue au pèlerinage de Chartres où elle a reçu un « accueil sensationnel », selon son entourage. « Elle est bien accueillie par ces manifestants, par le Printemps français, même si la plupart ne sont souvent pas des frontistes, mais plutôt des UMP, des centristes, des militants de l’UNI, des souverainistes tendance Dupont-Aignan ou RPF », raconte Rémy Rayé.
Pour rayonner, le Printemps français est entré en contact avec Marion Maréchal. En août, elle a reçu une invitation pour leur université d’été. À Lyon, c’est l’association « les Enfants des Terreaux », (qui a défilé le 26 janvier avec « Jour de colère ») qui l’a approchée, via Olivier Giot-Bordot. À Paris, la députée frontiste est venue soutenir Béatrice Bourges, la porte-parole du Printemps français, en grève de la faim devant l’Assemblée nationale mais qui ne finira pas comme Bobby Sands. Elle s’est aussi rendue plusieurs fois au Carré parisien, « club d’événements » du 15e arrondissement où se croise le gratin des droites post-pétainistes. Le 15 juillet, elle y intervenait sur l’engagement des jeunes. Le 15 octobre, elle était invitée à la conférence du géopataphysicien Aymeric Chauprade. Ce jour-là, le rallye rassemblait des piliers du Printemps français (comme Frédéric Pichon) mais aussi des gudards (comme Édouard Klein).
Bénéficiant de réseaux solides, notamment au sein du Printemps français, Aymeric le conquérant conseille aussi bien Marine que Marion. « Ils ont une certaine complicité, ils travaillent beaucoup ensemble », confirme Maxime Ango-Bonnefon. « Je lui demande son avis sur certaines questions, comme la situation en Afrique. C’est quelqu’un de reconnu dans son domaine », estime-t-elle.
Dans le Vaucluse, l’assomption de la benjamine inquiète Roger Martin, son adversaire du Front de Gauche en déroute. « Sur les marchés, c’est comme si elle guérissait par l’imposition des mains. Il y a autour d’elle un phénomène médiatique qui va plus loin que Marine Le Pen ou Gilbert Collard. Elle est reçue comme la réincarnation de Jeanne d’Arc. » Cette année, les pompiers de Velleron, qui l’avaient déjà invitée à leur bal, ont posé avec la députée FN sur six des dix clichés de leur calendrier 2014.
A star is born."
Mediapart / BAM
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Marion Maréchal le Pen membre de l'Opus Déi ?
On peut émettre l'hypothèse de façon plausible, et garder cela dans un coin de l'oreille.
On sait tout le bien qu'en pense Christine Boutin qui soutient Marion Maréchal Le Pen comme Guillaume Pelletier.
On connaît les liens avec l'Heritage Foundation et le Cato Institute, lobbies extrêmes libéraux états-uniens qui travaillent main dans la main avec l'Opus Déi à ce monde économique de droite forte où Dieu bénit la réussite matérielle, l'alliance avec les évangélistes protestants se justifie via leur foi commune en le libéralisme total.
On retrouve tout ce petit monde dans l'Agenda Pour tous :
Père Daniel Ange
Marc Baudrier
Nicolas Bernard-Buss
Véronique Besse
François Billot de Lochner
Anne-Laure Blanc
Marie-Claude Bompard
Jacques Bompard
Béatrice Bourges
Christine Boutin
Cyril Brun
Aymeric Chauprade
Gabrielle Cluzel
Anne Coffinier
SAR le Prince Charles de Bourbon de Parme
Ludovine de La Rochère
Père Emmanuel-Marie de l'Abbaye de Lagrasse
Henry de Lesquen
Alexandre de Miller de La Cerda
Guillaume de Prémare
Bruno de Saint-Chamas
Guillaume de Thieulloy
Hélie Denoix de Saint Marc
Tugdual Derville
Un moine bénédictin de l'Abbaye du Barroux
Cécile Edel
Alain Escada
Jean-Pierre Fabre-Bernadac
Père Cyril Gordien
Daniel Hamiche
Vivien Hoche
Michel Janva
Chanoine Benoît Jayr
Virginie la Mère Veilleuse
Adélaïde la Sentinelle
Mathilde l'Antigone
Jean-Yves Le Gallou
Axel et Alix les Veilleurs
Marie-Capucine l'étudiante
Fabien l'Hommen
Marion Maréchal-Le Pen
Agnès Marion
Jean-Pierre Maugendre
Philippe Maxence
Yves Meaudre
Robert Ménard
Aude Mirkovic
Frédéric Pichon
Aymeric Pourbaix
Gregor Puppinck
Antoine Renard
Mgr Dominique Rey
Reynald Secher
Jeanne Smits
Jean-Eudes Tesson
Jérôme Triomphe
David Van Hemelryck
Toutes les personnes sus-citées ont reçu la bénédiction des réseaux issus des lobbies américains. -
Le gouvernement par soi-même d'Etienne Chouard.
Le label Etienne Chouard se présente aux élections européennes, il s'est tiré au sort et il est tombé sur lui, c'est vraiment directe sa démocratie.
Pour rappel, le mouvement international pour la Démocratie Directe est une filiale des libertariens de Washington et vise évidemment au démantèlement de l'Etat.
Le Club de l'Horloge et la Démocratie Directe :
http://www.democratiedirecte.fr/Lien permanent Catégories : Brèves, Européennes, libéralisme mondialisme, Libertariens (Libéralisme) -
Christine Boutin, la femme dont les valeurs pèsent un chèque de 680 000 euros ...
Et Boutin qui veut faire une "abo-minable" alliance ?
On me dira, cela ne date pas d'hier, on a vu les photos de l'IDC, dirigé par le Ron Paul Advisor John Laughland entouré de Christine Boutin et de PMC, et encadré par les Horlogers de l'Union des Droites.
Marine, n'oublie pas de leur renvoyer Aymeric Chauprade et Marion Maréchal Le Pen aussi !
25/09/2013
IDC, Institut pour la Démocratie et la Coopération, l'intitulé qui sonne comme une farce
Christine Boutin, Béatrice Bourges, Yvan Blot, John Laughland , la brochette libérale conservatrice ...
Natalia Narotchnitskia est-elle :
1) débile
2) hypocrite
3) les deux ?
C'est l'Heritage Foundation qui organise et coordonne le mouvement mondial anti mariage pour tous, la Fondation du Patrimoine a été fondée par la CIA.
La CIA, ce sont aussi les multinationales qui financent, à la fois ce projet et le contre-projet.
Ce que fait la CIA, c'est agiter lobbies contre lobbies pour obtenir chaos, déstabiliser les Etats, pour ensuite instaurer l'ordre libéral total voulu par les multinationales pour asseoir encore davantage leur pouvoir.
Les actions de George Soros s'inscrivent dans ce schéma.
Comme celles des multimilliardaires Mellon Scaife, qui financent tant la Manif pour Tous que le Planning familial ...
Idem pour le multimilliardaire Horowitz, qui finance le Mariage pour tous, le projet Eurabia anti musulman, etc.
La CIA elle-même a été fondée par les industrialo financiers qui contrôlent les matières premières.
L'IDC de Narotchnitskia est un maillon de la CIA en Russie, son prétendu anti-atlantisme n'est qu'une anti action du Pentagone qui soutient encore un peu l'Etat.07:43 Publié dans Brèves, Libertariens (Libéralisme) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : idc, institut pour la démocratie et la coopération, natalia narotchnitskia, christine boutin, béatrice bourges, john laughland, paul-marie coûteaux, yvan blot, club de l'horloge, libéral-conservateur, heritage foundation, foundation du patrimoine, cia-exxon mobil
http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2013/09/24/idc-5180354.htmlLien permanent Catégories : Européennes, Libertariens (Libéralisme) -
Sauver la France, une bataille de chaque instant, exemple numéro 1
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Oriane Borja a partagé un lien.
C'est du lobbying tout droit issu de Washington (Heritage Foundation et son Family Research Council, Cato Institute), derrière ces prétextes-leviers, se cachent les bons gros lobbies libertariens partisans du libéralisme total.
Ces pratiques sont tout à l'opposé des principes français, je m'engage moi, à ne voter pour aucun parti qui fera allégeance à ses dangereux fondamentalistes libéraux qui ne partagent aucune des valeurs unitaires françaises qui ont fondé la France depuis Clovis jusqu'à nos jours.
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Marine Le Pen aime-t-elle les baffes anglaises ?
Marine va peut-être arrêter de lui faire les yeux doux, à moins d'aimer les baffes...
On notera :
- le coup vicelard de l'alliance avec le BNP, quoique les alliances contre-nature une Marion Maréchal Le Pen avec les Identitaires puissent contribuer à croire une ele liance ot probable. A jouer au con, il arrive que l'on gagne ...
- la subtile façon dont il n'est pas contre le Traité Transatlantique, son adoration pour le marché global et le libre-échangisme total n'ayant pas rebuté Marine jusqu'à présent au demeurant ...- sa non moins manière tordue de dire qu'il soutient un Dupont-Aignan quand il réfute l'étatisme du Front National (qui reste à analyser, on voudrait bien un jour poser certaines franches et claires questions aux principaux conseillers de Marine que sont Chauprade, Monot ou Sulzer sur la notion d'Etat, on aurait bien des surprises).
L'Austrian School of Econmics ne satisferait pas Farage ? Allons, allons.Mais sans doute la version Marion Maréchal, sa droite et son union des droites, lui parlerait davantage, il faut que JMLP se sacrifie et laisse la place à Marion aux Européennes, sûre que ça comblerait le thatchéro libertaro droito anglo Farage.
Rappelons tout de même que ce sont des membres de l'UKIP qui ont fondé l'Alliance européenne pour la Liberté à laquelle Marine s'est arrimée.
Rappel Le Monde.fr | 14.11.2013 à 17h58 • Mis à jour le 15.11.2013 à 07h31 |Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen) :
"Le contours de l'alliance
Parmi ses partenaires potentiels, Mme Le Pen cite, outre le PVV néerlandais, le FPö autrichien, les Démocrates suédois et "peut-être" la Ligue du nord italienne et l'UKIP britannique. Ce sont "les médias" qui auraient affirmé que cette dernière formation refuse de se rapprocher d'un parti qu'il juge antisémite. Nigel Farage n'a, lui, "pas dit cela", soutient la présidente du FN.
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Les "amis" de Marine Le Pen Pays-Bas : Geert Wilders (PPV, Parti pour la liberté). Chevelure blond platine, coiffée vers l'arrière façon dandy, Geert Wilders a pris son envol en 2005 dans la bataille pour le "non" au traité constitutionnel européen. En guerre contre Bruxelles et "l'élite qui gouverne mal [son] pays", il est responsable de la chute du gouvernement de centre droit en avril 2012. Islamophobe, ultralibéral mais pro-israélien, il a longtemps pris ses distances avec le Front national, choqué par les dérapages antisémites de Jean-Marie Le Pen, avant que sa fille Marine n'entame la dédiabolisation de son parti. Crédits : REUTERS/UNITED PHOTOS facebook twitter google + linkedin pinterest
Marine Le Pen étend son réseau en Europe
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Les "amis" de Marine Le Pen Belgique : Gerolf Annemans (Vlaams Belang) .
Gerolf Annemans, 55 ans, préside depuis 2012 le Vlaams Belang, parti extrémiste et séparatiste de Flandre (2 sièges sur les 22 de la Belgique à Strasbourg). Son principal objectif : redresser une formation laminée par l'Alliance néo-flamande de Bart De Wever, qui offre une image plus policée de l'indépendantisme flamand. Il a été l'auteur d'un plan qui a valu à sa formation d'être condamnée en 2004 pour discrimination et racisme par la justice belge. En 2009, le Vlaams Belang a réalisé 12,6 % dans la région flamande. Crédits : REUTERS/YVES HERMAN facebook twitter google + linkedin pinterest
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Les " amis" de Marine Le Pen Suède : Jimmie Akesson (les Démocrates suédois)
Jimmie Akesson avait à peine 15 ans quand il a rejoint la fédération des jeunesses SD (Démocrates suédois) de Sölvesborg, petite ville du sud où l'arrivée importante d'immigrés avait, dit-il, "changé l'atmosphère". Fan des couplets nationaux-romantiques d'Ultima Thule, un groupe de "rock viking", il devient président du SD en 2005 à moins de 30 ans et entame la "normalisation" de ce parti aux origines néonazies. Il abandonne l'emblème de la flamme au profit d'une fleur, et se débarrasse des adeptes de l'uniforme. Avec succès. En 2010, le SD fait son entrée au Parlement suédois.
Crédits : AFP/JONATHAN NACKSTRAND facebook twitter google + linkedin pinterest
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UKIP "examine actuellement la possibilité de collaborer avec nous dans le cadre d'un grand groupe anti-européen", affirme-t-elle. Au sujet des formations avec qui elle exclut tout dialogue, elle ne cite que le Jobbick hongrois. M. Wilders évoque, lui, le British national party (BNP) britannique (équivalent de la droite identitaire en France). "Quant à savoir avec qui nous collaborerons, ou non, nous le déciderons après les élections", explique-t-il.
Europe et Etats-nations
"Les Etats-nations doivent s'occuper de leur argent, de leur législation et de leurs frontières, déclare le responsable néerlandais. Nous voulons moins d'Europe, mais le marché intérieur doit continuer à exister." "Abandonner l'Union européenne ne nous empêcherait pas de nouer des relations commerciales, mais l'Europe nous empêche de surveiller nos frontières", ajoute Mme Le Pen.
Le rôle de Jean-Marie Le Pen ?
"Nous verrons cela après les élections. D'ailleurs, pourquoi m'interroge-t-on toujours sur mon père ? Je suis aussi la mère de trois enfants", réplique la présidente, qui estime que Jean-Marie Le Pen pourrait en tout cas occuper l'un des "vingt sièges" européens que vise son parti.
"Mme Le Pen est le fille de son père, pas de ses idées, déclare quant à lui M. Wilders. Sous sa direction, le FN est, à mes yeux, devenu un parti sympathique et je me réjouis de collaborer avec lui."" -
Larguer les y'en a marre, mais y'en a d'autres ...
C'est un bon début, Marine doit arrêter de se faire rouler par les lobbies, ça ne pèse rien, tout est dans l'emballage, et ça pue à mille lieues, repoussant naturellement notre électorat qui lui, a du nez.Lien permanent Catégories : Européennes, Libertariens (Libéralisme) -
Dis-moi quel est ton lobby je te dirai qui tu es
Le FNJ déjà mal en point avec les gars de chez l'Oréal-t'as-pas-de-shampoing,
semble se diriger vers un non-choix, entre un souverainiste ifrapo-chaupradien et un antibougnoulozid, bref entre un intello de lobbies et un débilo de lobbies, un doublé derrière lequel on ne voit point de France.Lien permanent Catégories : Européennes, Présidentielles