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Marine Le Pen aime-t-elle les baffes anglaises ?

Marine va peut-être arrêter de lui faire les yeux doux, à moins d'aimer les baffes...

On notera :                       

- le coup vicelard de l'alliance avec le BNP, quoique les alliances contre-nature une Marion Maréchal Le Pen avec les Identitaires puissent contribuer à croire une ele liance ot probable.  A jouer au con, il arrive que l'on gagne ...   

- la subtile façon dont il n'est pas contre le Traité Transatlantique, son adoration pour le marché global et le libre-échangisme total n'ayant pas rebuté Marine jusqu'à présent au demeurant ...

- sa non moins manière tordue de dire qu'il soutient un Dupont-Aignan quand il réfute l'étatisme du Front National (qui reste à analyser, on voudrait bien un jour poser certaines franches et claires questions aux principaux conseillers de Marine que sont Chauprade, Monot ou Sulzer sur la notion d'Etat, on aurait bien des surprises).
L'Austrian School of Econmics ne satisferait pas Farage ? Allons, allons.

Mais sans doute la version Marion Maréchal, sa droite et son union des droites, lui parlerait davantage, il faut que JMLP se sacrifie et laisse la place à Marion aux Européennes, sûre que ça comblerait le thatchéro libertaro droito anglo Farage.

Rappelons tout de même que ce sont des membres de l'UKIP qui ont fondé l'Alliance européenne pour la Liberté à laquelle Marine s'est arrimée.

 

Rappel Le Monde.fr | 14.11.2013 à 17h58 • Mis à jour le 15.11.2013 à 07h31 |

Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen) :

"Le contours de l'alliance
Parmi ses partenaires potentiels, Mme Le Pen cite, outre le PVV néerlandais, le FPö autrichien, les Démocrates suédois et "peut-être" la Ligue du nord italienne et l'UKIP britannique. Ce sont "les médias" qui auraient affirmé que cette dernière formation refuse de se rapprocher d'un parti qu'il juge antisémite. Nigel Farage n'a, lui, "pas dit cela", soutient la présidente du FN.


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Les "amis" de Marine Le Pen Pays-Bas : Geert Wilders (PPV, Parti pour la liberté). Chevelure blond platine, coiffée vers l'arrière façon dandy, Geert Wilders a pris son envol en 2005 dans la bataille pour le "non" au traité constitutionnel européen. En guerre contre Bruxelles et "l'élite qui gouverne mal [son] pays", il est responsable de la chute du gouvernement de centre droit en avril 2012. Islamophobe, ultralibéral mais pro-israélien, il a longtemps pris ses distances avec le Front national, choqué par les dérapages antisémites de Jean-Marie Le Pen, avant que sa fille Marine n'entame la dédiabolisation de son parti. Crédits : REUTERS/UNITED PHOTOS facebook twitter google + linkedin pinterest
Marine Le Pen étend son réseau en Europe

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Les "amis" de Marine Le Pen Belgique : Gerolf Annemans (Vlaams Belang) .
Gerolf Annemans, 55 ans, préside depuis 2012 le Vlaams Belang, parti extrémiste et séparatiste de Flandre (2 sièges sur les 22 de la Belgique à Strasbourg). Son principal objectif : redresser une formation laminée par l'Alliance néo-flamande de Bart De Wever, qui offre une image plus policée de l'indépendantisme flamand. Il a été l'auteur d'un plan qui a valu à sa formation d'être condamnée en 2004 pour discrimination et racisme par la justice belge. En 2009, le Vlaams Belang a réalisé 12,6 % dans la région flamande. Crédits : REUTERS/YVES HERMAN facebook twitter google + linkedin pinterest

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Les " amis" de Marine Le Pen Suède : Jimmie Akesson (les Démocrates suédois)
Jimmie Akesson avait à peine 15 ans quand il a rejoint la fédération des jeunesses SD (Démocrates suédois) de Sölvesborg, petite ville du sud où l'arrivée importante d'immigrés avait, dit-il, "changé l'atmosphère". Fan des couplets nationaux-romantiques d'Ultima Thule, un groupe de "rock viking", il devient président du SD en 2005 à moins de 30 ans et entame la "normalisation" de ce parti aux origines néonazies. Il abandonne l'emblème de la flamme au profit d'une fleur, et se débarrasse des adeptes de l'uniforme. Avec succès. En 2010, le SD fait son entrée au Parlement suédois.
Crédits : AFP/JONATHAN NACKSTRAND facebook twitter google + linkedin pinterest
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UKIP "examine actuellement la possibilité de collaborer avec nous dans le cadre d'un grand groupe anti-européen", affirme-t-elle. Au sujet des formations avec qui elle exclut tout dialogue, elle ne cite que le Jobbick hongrois. M. Wilders évoque, lui, le British national party (BNP) britannique (équivalent de la droite identitaire en France). "Quant à savoir avec qui nous collaborerons, ou non, nous le déciderons après les élections", explique-t-il.

Europe et Etats-nations
"Les Etats-nations doivent s'occuper de leur argent, de leur législation et de leurs frontières, déclare le responsable néerlandais. Nous voulons moins d'Europe, mais le marché intérieur doit continuer à exister." "Abandonner l'Union européenne ne nous empêcherait pas de nouer des relations commerciales, mais l'Europe nous empêche de surveiller nos frontières", ajoute Mme Le Pen.

Le rôle de Jean-Marie Le Pen ?
"Nous verrons cela après les élections. D'ailleurs, pourquoi m'interroge-t-on toujours sur mon père ? Je suis aussi la mère de trois enfants", réplique la présidente, qui estime que Jean-Marie Le Pen pourrait en tout cas occuper l'un des "vingt sièges" européens que vise son parti.

"Mme Le Pen est le fille de son père, pas de ses idées, déclare quant à lui M. Wilders. Sous sa direction, le FN est, à mes yeux, devenu un parti sympathique et je me réjouis de collaborer avec lui.""

 

FIGAROVOX/ENTRETIEN : Nigel Farage, chef du parti britannique eurosceptique UKIP était dimanche à Paris pour soutenir Nicolas...
LE FIGARO|PAR LEFIGARO.FR



 

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