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Européennes - Page 3

  • Marine Le Pen, une fondue qui travaille qu'à la dynamite

    Quand je dis que c’est du brutal, les dernières recrues sont du même tonneau libéral de chez libéral que ses autres alliés de la liberté individuelle.

    La petite dame de l’UKIP n’a pas que des casseroles de corruption et autres joyeusetés aux fesses (ça ne doit pas trop déranger Marine, surtout ces temps-ci), elle est aussi membre du très libertarien et très américain ça  :


     

    https://en.wikipedia.org/wiki/American_Legislative_Exchange_Council

     

     

    Philippot un commentaire ? J'rigole, y'en n'aura pas, faut pas déconner.

    Ah, si : les partenaires font ce qu'ils veulent chez eux.

    Et ils sont chez eux, chez vous ? 

    Chez vous, dans votre parti de la grande liberté (oui, la liberté anglo américaine est plus grande que la nôtre pour eux, ne l'oublions-pas nous-autres Français), est-ce encore chez eux ?

    Parce que si c'est aussi chez eux, ils y font ce qu'ils y veulent aussi n'est-ce pas ?


    Nous n'avons rien en commun -dirait Philippot-, mettons donc tout cela ensemble (c'est presque beau comme du Lewis Caroll ...).

    Ce qui nous divise est plus fort que ce qui nous rassemble !

    Cela dit, Philippot fait du Chevènement : "Je veux bien m'allier aux libertariens anti-Etat, mais seulement si c'est avec Dupont et pas avec Durand".

    Il est évident que ça change tout.

     

    Quant aux Polonais folklo-nazis, à côté, le suppléant de Bolkestein brûleur de Coran qui provoque les tremblements de terre et rend les enfants difformes, Geert Wilders, c’est un apprenti libéral, c’est dire ...

  • Le parti européen de Marine Le Pen, faut le reconnaître, c'est du brutal

    Marine Le Pen connaissait des Polonais qui en prenaient au petit déjeuner, du libéralisme, elle s'est donc naturellement mise à la même tablée pour lever le coude si bien que même un député de l'UKIP s'est senti bienvenu.

     

    On aurait dû arrêter la fabrication, y a des clients qui devenaient aveugles : ça faisait des histoires.

    Et pourtant on va difficilement faire plus libéralo réac que le groupe parlementaire européen de Marine Le Pen où se trouvent désormais réunies toutes les branches soeurs des partisans de Hayek, Von Mises et d'Ayn Rand.

    "C'est nous les Autrichiens nous revenons de loin !" pourrait bien devenir leur hymne fédérateur.

     

    Finalement, à part une affaire de divergence sur le goût du pinard, les tontons flingueurs de l'Etat auraient pu tout aussi bien garder JMLP et Bruno Gollnisch. Deux morts subites en moins d'une demi-semaine, ah ça part sévère les droits de succession.

    Et Philippot qui joue les porte-flingues ... :

    "J'dis pas que madame Maggy était toujours très social, non, elle avait l'esprit de droite. Quand tu parlais augmentation ou vacances, elle sortait son flingue avant que t'aies fini. Mais elle nous a tout de même apporté à tous la sécurité."

    "Et puis quoi !" pourrait-il rajouter, " Villiers était 
    ce qu'il est convenu d'appeler un grand honnête homme. Porté sur la morale et les soubrettes, la religion et les jetons de présence."

    La droite, c'est plutôt une boisson d'homme.
    Et y a pas que d'la pomme.

     

    De ça aussi y en a aussi :


     - une fascination pour Vladimir Poutine

     - ils veulent démanteler l'EU, "projet communiste" qui "érige des règles inutiles et promeut l'étatisme "

    - en finir avec les aides sociales, avec la sécurité sociale, avec le droit du travail et baisser les impôts au maximum en réduisant le rôle de l'Etat au strict minimum. 

    - un mépris de la démocratie et au besoin, des femmes



    Marine, mon petit…
    On sait qu'il y a le grisbi, et que les marins ont ce besoin de faire des phrases, on ne voudrait pas non plus te paraître vieux jeu ni encore moins grossier… l'homme du peuple, parfois rude, reste toujours courtois, mais la vérité nous oblige à te le dire : ton parti de la liberté commence à nous les briser menu !

     

    Aussi bien que pour voter, y'a deux solutions : ou on se dérange ou on méprise...


    Avec l'aimable participation de Monsieur Audiard

  • White color of one nation for liberty

    L'Europe blanche est en marche, mais on ne sait toujours pas quels nazis il a fallu encore accepter.

    JMLP va enfin connaître le véritable nom de son bourreau, quel nazi a eu sa tête d'antisémite, quels drôles de tours joue l'histoire.

    La présidente du Front national, Marine Le Pen, a annoncé lundi par un communiqué la création d’un groupe au Parlement européen. Marine Le...
    LESECHOS.FR

     

  • Le combat frontiste contre la Charte européenne des Langues régionales ne date pas d'hier

    Le combat frontiste contre la Charte européenne des Langues régionales ne date pas d'hier :

     

    Provinces et Nation

      

     

    Une partie du texte publié en réponse au Pacte des Langues Régionales :

    Chers camarades,

    je sais qu’on a toujours deux patries :

    Intepide gardian de nostre parla gènt

         Intrépides gardiens de notre parler gentil

    Garden lou franc e our e clar comme l’argènt

         Gardons-le franc, et pur, et clair comme l’argent

    Car tout un pople aqui s’abeurs

         Car tout un peuple, là, s’abreuve,

    Car, de mourre, bourdoum qu’un pople tombe esclau,

         Car, face contre terre, qu’un peuple tombe esclave,

    Se ten sa lengs, tèn la clan

         S’il tient sa langue, il tient la clef

    Que di cadeno lou deliéro.

         Qui le délivre des chaînes.

    Mistral (les Isdes d’ Or)

     

     D’autres auteurs enracinés comme les Daudet, Pagnol, Giono ou encore un certain maître de Martigues, sont très chers à mon coeur.

     Pour autant, je ne me laisse pas berner par la récente fronde de demande de reconnaissance constitutionnelle des langues régionales qui est l’oeuvre d’un lobby pour partie issu du troisième Reich, retranscription nationale de directives bruxelloises par la chambre d’enregistrement qu’est devenue notre parlement, et qui vise à terme au démantèlement des nations.

     L’objectif est de brosser dans le sens du poil les régionalistes pour asseoir une europe fédérale sur des territoires vassaux, à l’américaine. Le tout sous pilotage atlantiste auquel nous achevons de nous livrer et dont Bruxelles sert de base arrière.

    Oriane Borja

     

    Une partie du texte publié en réponse au Pacte des Langues Régionales : orianeborja | 06/08/2008...
    ORIANEBORJA.HAUTETFORT.COM

     

  • Les incohérences Taftaiennes de Marine Le Pen

    Les économistes de Marine Le Pen Philippe Murer comme Bernard Monnot en tant que libertariens seraient contre la justice privée et contre le libre-échangisme ?

    Ils se foutent juste de votre gueule.

    Farage explique bien qu'il n'est pas contre le TAFTA, il est contre le fait que ce soit l'UE qui le vote et qui y mette des restrictions imposées par les Etats.

  • Aimez-vous, un peu, passionnément, à la folie, vous faire avoir ?

    Le genre de questions ouvertes.
    Ca me rappelle celles de l'IUFM : "Montrer que la lecture au CP n'est pas indispensable à l'apprentissage voire même néfaste".

     
    Photo de Flavien Suk.
  • Philippot a aussi un côté sombre

    Philippot ne serait même pas la panacée tant on voit mal comment il se débarrasserait de ses travers gaulliens.

    Philippot tient le rôle de l'Etat pour celui que lui prêtait de Gaulle, et qui est celui du pragmatisme, un Etat fort si nécessaire, et qui se retire encore si les besoins (à déterminer) s'en font sentir.
    Il ne s'agit pas de l'Etat et de ses attributs et de son rôle de garant tels que l'esprit français les conçoit, il s'agit d'aménagements au libéralisme.

    De la même manière que le projet paneuropéen gaullien est une variante libérale et même encore plus libérale s'il en est, de la politique européenne.

  • Je cherche un homme politique honnête

     

    Je cherche un homme politique honnête

    Je cherche un homme politique honnête
  • Pierre Sganarelle Moscovici, le valet de ses maîtres

    Les ronds de cuir du Cercle de l'Industrie font comme leur ex patron DSK, ils veulent nous la montrer leur grosse rigueur.

    "L’effort de réformes de la France est indéniable mais n’est pas suffisant pour réduire les déséquilibres de l’économie”, déclare le commissaire européen à...
    LALIBRE.BE
     
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      Oriane Borja Le Cercle de l'industrie est un lobby patronal français auprès des institutions européennes.

      En février 1993, les membres du futur Cercle de l'industrie (une idée de Dominique Strauss-Kahn et Raymond Lévy PDG de Renault) se réunissent au siège de Publicis. Y sont représentés : Rhône-Poulenc, Lafarge, Pechiney, Elf, L'Oréal, Bull, Schneider, Renault, Total, BSN, …
      En juin 1993, Raymond Lévy, PDG de Renault, crée le Cercle qui emménage à Neuilly-sur-Seine, au 171, avenue Charles-de-Gaulle, l'objet déclaré à la préfecture est le suivant :

      Assurer une veille permanente auprès des différentes instances que sont la Commission des CE, le Parlement européen, le GATT, etc., concevoir et diffuser par les moyens adéquats l'information nécessaire auprès de ces instances, organiser les interventions au plus haut niveau politique.

      Le cercle s'efforce de répartir équitablement les pouvoirs entre des membres de l'UMP et du Parti socialiste.

      Dominique Strauss-Kahn en devient le vice-président à titre bénévole tout en bénéficiant d'un bureau, d'une secrétaire2 et de notes de frais.

      Objectifs
      d'après la Plaquette il s'agit d'
      « Un lieu de dialogue et d’échanges destiné aux grandes entreprises industrielles, le Cercle de l'industrie rassemble une vingtaine de présidents de grandes entreprises françaises intervenant dans tous les secteurs industriels ainsi que des hommes politiques.
      Les entreprises membres du Cercle de l’industrie représentent en 2004 un chiffre d’affaires cumulé d’environ 600 milliards d’euros et 2 millions d’emplois dans le monde. La majorité d’entre elles sont cotées au CAC 40.

      Le Cercle de l’industrie se distingue par sa spécificité industrielle, son engagement pour la construction européenne et son bipartisme politique, la promotion de l'image et des intérêts de l'industrie auprès des institutions publiques nationales et européennes.Le Cercle de l’industrie participe à la réflexion sur la définition et l’articulation d’une nouvelle politique industrielle et d’une amélioration de la gouvernance économique en Europe. Il s’implique dans les propositions et débats des institutions européennes en la matière. »

      Contacts
      Il entretient des contacts avec le MEDEF, l’AFEP, BusinessEurope, la Table ronde des Industriels européens (ERT), le Transatlantic Partnership Network (TPN), ou encore l'Institut de l'entreprise (IE).

      Membres
      Président :
      1994 - novembre 2001 Raymond Lévy, président du Conseil de surveillance de Lagardère Group, président de la Fondation Européenne pour le Management par la Qualité (1991-1992) 6
      novembre 2001 - septembre 2002 Francis Mer 6
      septembre 2002 - mai 2012 Denis Ranque, président de Technicolor
      mai 2012 - ? Philippe Varin, président de PSA
      Deux vice-présidents, un de gauche, un de droite :

      1993-1997 Dominique Strauss-Kahn
      1993-2004 Jacques Barrot
      2005- 2013 Alain Lamassoure, membre de l'UMP, ancien ministre chargé des affaires européennes (1993-1995), député européen, vice-président de la délégation française au Parlement européen
      ? - 2012 Pierre Moscovici, membre du PS, ancien ministre chargé des affaires européennes (1997-2002), Ministre de l'Économie et des Finances (2012 - en fonction)
      2012 - 2013 Alain Rousset, membre du PS, député à l’Assemblée Nationale (2007-?), président du Conseil régional d'Aquitaine (1998-?), président de l’Association des régions de France (2004-?)
      Trésorier :
      Jean-Yves Naouri (frère de Jean-Charles Naouri), directeur des opérations du groupe Publicis
      Membres du conseil d'administration :
      Jean-Cyril Spinetta, président du CA
      Christophe Bories, président de Constellium
      Louis Gallois, ancien président exécutif d'EADS, président du conseil d'administration de PSA Peugeot - Citroën
      (?-2013) Pierre-André de Chalendar, PDG de Saint-Gobain
      (?-2013) Pierre Gadonneix président d’honneur d'EDF, président du Conseil mondial de l'énergie (CME)
      Bertrand Collomb, président d’honneur de Lafarge
      (2013) Jean-Pierre Clamadieu, président du comité exécutif de Solvay
      (2013) Benoît Potier, PDG d'Air Liquide
      (2013) Denis Ranque, ancien président du Cercle de l'Industrie
      (2013) Chris Viehbarer, directeur général de Sanofi
      Membres fondateurs
      Dominique Strauss-Kahn
      Raymond Levy, (Président d'honneur)

      Entreprises membres (représentées par leurs président, directeur général ou président-directeurs général :
      Air France-Klm
      Air liquide
      Alcan Engineered Products
      Alcatel-Lucent
      Alstom
      Areva
      Arkema
      EADS
      EDF
      France Telecom
      GDF Suez
      Lafarge
      Lagardère SCA
      L’Oréal
      Michelin
      PSA Peugeot Citroën
      Publicis Groupe
      Safran
      Saint-Gobain
      Sanofi
      SNCF
      Solvay
      Thales
      Total
      Valeo
      Veolia Environnement
      Vivendi
      Autres membres :
      Jacques Barrot
      Guy Dollé
      Gilles Carrez
      Jean-Pierre Fourcade
      Jean Gandois

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Cercle_de_l%27industrie
       
      En février 1993, les membres du futur Cercle de l'industrie (une idée de Dominique Strauss-Kahn et Raymond Lévy PDG de Renault) se réunissent au siège de Publicis. Y sont représentés : Rhône-Poulenc, Lafarge, Pechiney, Elf, L'Oréal, Bull, Schneider, Renault, Total, BSN, …
      FR.WIKIPEDIA.ORG
  • Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute

    Stephane Chamignon :

    "Faut avouer que les fromages au niveau européen c'est quelque chose. C'est un théorème qui se vérifie souvent : moins les députés ont de pouvoir réel mieux ils sont rémunérés et plus il y a de fromages -sans doute une compensation symbolique pour les aider à se sentir importants-c'est vrai pour l'AN en France qui n'est plus guère comme les autres parlements nationaux -qu'une chambre de transposition des directives européennes ( en plus du fait que sous la"Vème" l'exécutif domine largement le législatif) c'est encore plus vrai au niveau de l'UE où grosso modo la commission européenne cumule toujours le pouvoir législatif et exécutif.Bien sûr si on est trop glouton on dépasse les limites et on se fait remarquer et pincer."