Philippot ne serait même pas la panacée tant on voit mal comment il se débarrasserait de ses travers gaulliens.
Philippot tient le rôle de l'Etat pour celui que lui prêtait de Gaulle, et qui est celui du pragmatisme, un Etat fort si nécessaire, et qui se retire encore si les besoins (à déterminer) s'en font sentir.
Il ne s'agit pas de l'Etat et de ses attributs et de son rôle de garant tels que l'esprit français les conçoit, il s'agit d'aménagements au libéralisme.
De la même manière que le projet paneuropéen gaullien est une variante libérale et même encore plus libérale s'il en est, de la politique européenne.
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