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Le parti européen de Marine Le Pen, faut le reconnaître, c'est du brutal

Marine Le Pen connaissait des Polonais qui en prenaient au petit déjeuner, du libéralisme, elle s'est donc naturellement mise à la même tablée pour lever le coude si bien que même un député de l'UKIP s'est senti bienvenu.

 

On aurait dû arrêter la fabrication, y a des clients qui devenaient aveugles : ça faisait des histoires.

Et pourtant on va difficilement faire plus libéralo réac que le groupe parlementaire européen de Marine Le Pen où se trouvent désormais réunies toutes les branches soeurs des partisans de Hayek, Von Mises et d'Ayn Rand.

"C'est nous les Autrichiens nous revenons de loin !" pourrait bien devenir leur hymne fédérateur.

 

Finalement, à part une affaire de divergence sur le goût du pinard, les tontons flingueurs de l'Etat auraient pu tout aussi bien garder JMLP et Bruno Gollnisch. Deux morts subites en moins d'une demi-semaine, ah ça part sévère les droits de succession.

Et Philippot qui joue les porte-flingues ... :

"J'dis pas que madame Maggy était toujours très social, non, elle avait l'esprit de droite. Quand tu parlais augmentation ou vacances, elle sortait son flingue avant que t'aies fini. Mais elle nous a tout de même apporté à tous la sécurité."

"Et puis quoi !" pourrait-il rajouter, " Villiers était 
ce qu'il est convenu d'appeler un grand honnête homme. Porté sur la morale et les soubrettes, la religion et les jetons de présence."

La droite, c'est plutôt une boisson d'homme.
Et y a pas que d'la pomme.

 

De ça aussi y en a aussi :


 - une fascination pour Vladimir Poutine

 - ils veulent démanteler l'EU, "projet communiste" qui "érige des règles inutiles et promeut l'étatisme "

- en finir avec les aides sociales, avec la sécurité sociale, avec le droit du travail et baisser les impôts au maximum en réduisant le rôle de l'Etat au strict minimum. 

- un mépris de la démocratie et au besoin, des femmes



Marine, mon petit…
On sait qu'il y a le grisbi, et que les marins ont ce besoin de faire des phrases, on ne voudrait pas non plus te paraître vieux jeu ni encore moins grossier… l'homme du peuple, parfois rude, reste toujours courtois, mais la vérité nous oblige à te le dire : ton parti de la liberté commence à nous les briser menu !

 

Aussi bien que pour voter, y'a deux solutions : ou on se dérange ou on méprise...


Avec l'aimable participation de Monsieur Audiard

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