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  • Ces lobbies extrême-libéraux d'origine théologeo-américaine qui soutiennent Marine Le Pen

    Robert Ménard, dit "Bob Ménard" non sans raison, annonçait hier dans une tribune ses objectifs d'Union des droites, dans la grande tradition du Club de l'Horloge dont il est aujourd'hui un des piliers.

    Sans grande surprise, Thierry Mariani comme le grand patron, dernièrement candidat à la présidence du MEDEF, Charles Beigbeder, n'insultent pas l'avenir s'il s'incarnait par Marine Le Pen.
    Ces gens-là sont de la même église, dans tous les sens du terme.

    Charles Beigbeder déclare ainsi : "Je n'hésiterais pas une seconde à soutenir Marine Le Pen", à défaut de Sarkozy si nécessaire.



    Charles Beigbeder est un des plus ultra libéral grand patron du MEDEF, libertarien, ligué à tous les réseaux libertariens de Washington et à l'Opus Déi.

     

     

     

    Ces réseaux ont déjà infiltré le Front depuis longtemps, ils sont apparus il y a un peu plus d'une vingtaine d'années en France.

     

    Ils se sont étoffés et forment des cadres via l'IFRAP (think tank hystériquement libéral), l'IFP (Institut de Formation Politique, qui s'est donné pour mission de former les cadres diffusant la pensée libertarienne américaine, avec une formation à Washington dans les plus gros groupes d'influence existant) , l'IPJ (Institut Pour la Justice, qui milite à dénigrer nos institutions judiciaires pour leur substituer un modèle libéral), Ecole de Guerre Economique, qui infiltrent tous les groupes, économiques, médiatiques (il est facile de trouver les journalistes qui participent de ces lobbies, Brunet, Delamarche, Koening, Zemmour, Polony par exemple), éducatifs (universités, Sciences Po, écoles), politiques, ils essaient aussi de s'établir dans les milieux artistiques avec un faible succès (métapolitique, extrêmement partie à leurs méthodes de lobbying très en pointe).

     

    Regroupés autour de Contribuables Associés et de Radio Courtoisie, ces lobbies sont directement liés aux think tanks libertariens stipendiés par les grands groupes et des multimilliadaires américains (voir la liste des soutiens connus des Cato Institute, Heritage Foundation, Hoover Foundation, American Enterprise Institute, familles Mellon Scaife, Horowitz (réseau Eurabia -Choc des civilisations-), Frères Koch, Opus Déi, Exxon Mobil).

     

    Ils ont des réseaux en Russie via l'IDC (Institut pour la Démocratie et la Coopération) de John Laughland (également chef advisor de l'Institut pour la Prospérité de Ron Paul), Exxon Mobil (Oil & Gaz International Companies au budget supérieur à bien des Etats et qui a ses règles propres par rapport au Département d'Etat et au Pentagone à qui il s'oppose), des oligarques comme le multimilliardaire proche de Poutine, toujours lié à l'Opus Déi, Konstantin Malofeev (qui finance et coordonne notamment les annexions en Crimée et Ukraine).

    Ils ont déjà nombre des leurs autour de Marine Le Pen.

    Ils gravitent autour des autres formations politiques également et appuyaient déjà leurs influence sur Jean-Marie Le Pen.


    Leurs activités de pression ont fluctué dans le temps selon la façon dont le Front approchait le pouvoir.

    Revenus en force avec l'élan suscité par une Marine Le Pen, ils parasiteront le pion auquel ils s'accrochent proportionnellement à son importance politique et/ou à l'espoir qu'ils portent en lui.

    Marine Le Pen de son côté n'a jamais rien fait pour dénoncer leur activisme anti Etat et destiné à aligner notre pays sur le modèle le plus anglo américain selon les principes fondateurs des pères des USA (Boston Tea Party).

    Au contraire, elle voit d'un bon œil cette manne de cadres et de soutiens, y compris financiers.


    Ce sont ses économistes, tous libertariens, liés à l'Opus Déi, qui lui apportent des argumentaires servis sur un plateau, ainsi que l'argent russe, tandis qu'Aymeric Chauprade, cadre de l'IFRAP et de l'IFP, la conseille en matière d'affaires extérieures.


    Un homme politique français, défenseur de la puissance publique, de l'intérêt général et de nos institutions en général, devrait dénoncer avec la plus forte véhémence ces opérations d'influence de groupes privés d'origine étrangère.

    Paradoxalement (mais tout paradoxe qui se respecte n'en est pas un), c'est le mouvement dit "national" qui semble leur être le plus poreux.

    Charles Beigbeder, en grande phase de rapprochement avec le FN.
    LELAB.EUROPE1.FR

     

  • Agnès Verdier Molinié refuse aussi l'étiquette de libérale, ça sonne trop gauchiste dans sa tête.

    Une égérie du capital : Agnès Verdier-Molinié

     

    (rediff)

    13 mars 2015 | Filed under: lobbys patronauxNos enquêtes and tagged with: ,

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    Elle rêve de tailler dans le gras de la fonction publique, de dépecer l’Etat social à la tronçonneuse. Avec ses idées simples, Agnès, Marie, Bénédicte, Verdier-Molinié [1] plaît aux journalistes et aux patrons. Pas une semaine sans l’entendre vociférer contre les fonctionnaires sur BFM TV, sur Europe 1 ou encore dans  « C dans l’air » sur France 5.

    Qu’importe sa moue souvent fielleuse, ce François de Closets en tailleur Gérard Darel est « éminemment télégénique », s’enthousiasme Le Figaro (Figaro, 29 mars 2013). Du côté de Libération, on la dépeint comme une « bucheuse », « ni pasionaria vociférante, ni caricature bourgeoise » (Libération, 25 septembre 2013). Depuis qu’en 2009 Agnès Verdier a pris les rênes de la Fondation IFRAP, son cours médiatique s’est envolé. Sa recette ? Incarner l’austérité et asséner sans relâche des chiffres invérifiables.

    Passages TV d’Agnès Verdier-Molinié

    graph    Source : Inathèque

    Bonne cliente des media, Agnès Verdier-Molinié passe de plateaux en plateaux pour réciter son catéchisme libéral. Pourtant, elle qui disserte à l’envie sur l’économie de notre pays n’est pas économiste. Née à Talence (Gironde) en 1978, Agnès Verdier-Molinié a entamé ses études dans un lycée privé catholique – elle promeut d’ailleurs l’enseignement dit « libre » – avant d’obtenir une maîtrise d’histoire contemporaine à l’Université de Bordeaux. C’est Christine Lagarde, ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy, qui l’a intronisée économiste en la nommant membre du Codice (Conseil pour la diffusion de la culture économique) en 2008 – un organisme dissous depuis, qui devait inculquer aux Français les valeurs de l’économie de marché [2]. Seuls liens avec l’« enseignement », quelques cours dispensés au sein de l’Institut de formation politique, une école privée où l’on apprend à détester les fonctionnaires, les syndicalistes et le mariage pour tous. Autant dire que les jugements de l’experte Agnès Verdier-Molinié sont partiaux. Elle connaît d’ailleurs très peu le monde du travail. Avant qu’elle ne rejoigne l’IFRAP en 2002, ses expériences professionnelles se sont limitées à des piges (pour le Figaro et L’Expressnotamment [3]). Tout au plus a-t-elle donné des coups de mains au château familial à l’occasion des vendanges.

    L’évocation de cette jeunesse de châtelaine fait verser une larme à la journaliste du Figaro. On imagine la famille Verdier y vivre sans eau, ni électricité : « Élevée dans le Bordelais par des parents viticulteurs « anticonformistes » qui avaient racheté une maison en ruines pour y élever leurs quatre enfants, elle apprend à leurs côtés le « sens du travail acharné » »Quel calvaire cela a dû être de vivre au Château Bessan, un édifice construit au 17e siècle, entouré de douze hectares de vignes, situé « au détour d’une petite route sinueuse et pittoresque qui suit les méandres de la Garonne, depuis le haut du coteau » (Sud Ouest, 26 avril 2008) ! Comme il a dû être pénible de supporter un père surfeur,adepte de l’agriculture biologique et adhérent à la Confédération paysanne.

    chateau-bessan

    Mais les Verdier sont-ils vraiment anticonformistes et partis « de rien » comme l’écritLibération ?

    Les parents et grands-parents de notre Causette libérale figurent en bonne place dans leBottin Mondain, ce grimoire qui recense grands bourgeois et aristocrates. Quand ils rachètent Château Bessan en 1986, les Verdier ne sont pas tout à fait démunis : lui, descendant d’une famille de viticulteurs, a fait des études à Dauphine et à la Faculté d’œnologie de Bordeaux et a déjà géré des châteaux ; elle officie comme assistante de direction. Leur vignoble est aujourd’hui une prospère entreprise familiale que dirige le petit dernier.

    De cet univers cossu, Agnès Verdier n’a pas seulement hérité d’un goût pour l’œnologie. Chez les Verdier, la politique n’est jamais très loin. L’arrière-grand père maternel, Maurice Hanaut (dit Maurice d’Hartoy) a fondé en 1927 les Croix de feu, célèbre association d’anciens combattants qui s’est rapidement transformée en une ligue nationaliste, anticommuniste et anti-parlementariste, initialement financée par le sulfureux François Coty, patron du Figaro [4]Son fils, le colonel Bernard d’Hartoy, qui fut rédacteur en chef de la Voix du combattant, a des convictions bien trempées : ancien séminariste, c’est une figure de proue de l’association Laissez-les vivre, un groupuscule catholique anti-avortement où il ne fait pas bon vivre quand on est laïc ou franc-maçon [5]. Quand il ne pourfend pas les avorteurs, le grand-père défend la mémoire de ses héros nationaux préférés : le maréchal Pétain, notamment.

    laissezlesvivre

    De son côté, Agnès Verdier-Molinié s’est trouvé d’autres grands inspirateurs. Grâce à la Bourse Tocqueville – un prix atlantiste décerné avec le soutien de Contribuables associés – elle a découvert les activités des think tanks américains, notamment de l’Heritage Foundation et du Cato Institute en 2004. Dans ces cénacles, où l’on conjugue amour du laissez-faire et ultra conservatisme, elle a rencontré Robert Rector. Cet inspirateur duFederal Welfare Reform Act de 1996 a entrepris de transformer le Welfare américain enWorkfare, un système qui conditionne l’obtention d’aide sociale au travail et contribue ainsi puissamment à dégrader les conditions de travail des salariés au profit du patronat[6]. Évidemment, si Robert Rector veut dérèglementer le marché du travail, il pourfend l’immigration non régulée et promeut l’abstinence sexuelle jusqu’au mariage. Car à le lire, le sexe déprime et pousse au suicide.

    Ultralibéralisme et réaction font souvent bon ménage. En présentant Agnès Verdier-Molinié comme une experte et en ne l’interrogeant que sur les thématiques qui constituent son fonds de commerce (impôts, syndicats, fonctionnaires, etc.), les médias contribuent à dissimuler que les marottes des libéraux ne poussent pas dans le ciel des idées. Elles servent les intérêts des dominants qui, s’ils veulent librement s’enrichir, ont tout intérêt au maintien de l’ordre social. Elles s’accordent, en outre, parfaitement avec un point de vue ultraconservateur qui voit la main de dieu derrière le libre jeu du marché.

    Emilie Wright


    Pour lire l’épisode 1 de la série consacré à l’IFRAP

    Pour lire l’épisode 2 consacré à l’AFEP


     [1] Agnès Verdier a épousé en 2005 Laurent Molinié, ancien élève de l’École des hautes études commerciales du Nord (EDHEC), consultant en stratégie chez PricewaterhouseCoopers.

    [2] Agnès Verdier devrait d’ailleurs se féliciter de ne pas être économiste. A son âge, elle ne toucherait pas 4000€ par mois à l’université. D’autant qu’elle ne possède aucun des titres permettant d’y exercer des fonctions d’enseignant-chercheur.

    [3] Voir par exemple, Renaud Revel et Agnès Verdier, « Le pouvoir gay », L’express, le 21 juin 2001.

    [4] Albert Kechichian, Les Croix-de-Feu à l’âge des fascismes : Travail Famille Patrie, Paris, Éditions Champ Vallon, 2006.

    [5] Le bulletin de Laissez les vivre publie d’ailleurs de la réclame pour le Château Bessan

    [6] John Krinsky, « Le Workfare. Néolibéralisme et contrats de travail dans le secteur public aux Etats-Unis », Les notes de l’Institut Européen du Salariat, n°8, novembre-décembre 2009.

  • Chauprade, lié aux libertariens jusqu'à la lie

    Rappel :


    Chauprade est membre de l'Institut Thomas More et toujours actuel cadre formateur de l'IFRAP/Institut de Formation Politique lié aux lobbies libertariens américains et à l'Opus Déi dont les relais vont jusqu'à Moscou.

    La realpolitik est un concept anglo saxon, tout comme Chauprade.

    L'Etat profond qu'il déteste comme tous les libertariens qui sont en guerre contre le Pentagone et le Département d'Etat américain, c'est l'Etat.

    Son "Etat stratège" n'est que la lambeau d'Etat qui souhaite fort pour affirmer le maintien du chaos libéral.

    Il faut savoir lire ces gens-là.
    Ils sont les ennemis les plus profonds de la France.

  • Le libertarien 'chérien Gaspard Koenig limite son champ privé

    Le libertarien Gaspard Koenig de Liberté Chérie, prive le public d'une bonne partie de la réalité dans un article du Point en date du 30 mai 2014.

    Mais n'est-ce pas le fonctionnement même de ce genre d'experts lobbyistes, extraire, ce qu'ils veulent, vous montrer ce qu'ils souhaitent, biaser ce qu'ils entendent, et pour ne pas dire autre chose de ceux qui les écoutent.

    Je vous propose d'aller plus loin.


    On peut voir dans le programme de Marine Le Pen la patte libertarienne.

    Evidemment, comme pour Nicolas Dupond Aignan, le petit bras droit cassé du thatchérien Farage, Marine Le Pen est trop à gauche.
    Pour le petit candidat menaçant au primaire UMP, Philippe Herlin, elle était indécrottablement inaccessible aux libertariens.

    Dumait est pourtant bien revenu à la charge.
    Boutin a même donné sa bénédiction à la petite Marion.

    Et jusqu'au suppléant de Fritz Bolkenstein, Geert Wilders soi-même, grand guignol de l'Heritage Foundation, qui va jusqu'à l'Alliance, pour la liberté il va sans dire ...

    Tous les libertariens ne pensent donc pas comme un seul homme.



    Oui, évidemment pour les ultra libéraux de Liberté Chérie, les néocons américains sont d'infâmes gauchistes.

     

    Ils font semblant de ne pas savoir comment ils fonctionnent eux-mêmes.

     

    Leur leader aux USA, Ron Paul, n'espèrent pas prendre le pouvoir un jour par les instances traditionnelles.

     

    Le jeu libertarien, c'est de pénétrer les groupes politiques implantés, de façon transversale.

    Il faut y distiller le virus libéral.

     

    On se doute bien que Bernard Monot n'a pas pu totalement se faire entendre.

    De toute façon, le Front fonctionne ainsi.

    Louis Aliot l'a affirmé lui-même, gaulliste à ses heures, il reprend la formule du général selon laquelle on peut faire beaucoup de choses avec l'ambiguité, et même s'asseoir dessus.

     

    C'est même du lepénisme pur jus.

    Le Pen a toujours préservé chèvres et choux, ânes et moutons, grain et ivraie.

    Au Front, on est un jour de droite, puis ni de droite ni de gauche puis de droite par sa nièce, et ta soeur ...

    Monsieur Koeing n'a étrangement pas étudié le programme de "liberté" monétaire de Marine Le Pen.

    La Théorie de la monnaie est pourtant un principe élémentaire chez les libertariens.

    Il était tout à fait frappant d'entendre au moment des présidentielles, Marine Le Pen asséner, non pas le principe de souveraineté monétaire, mais celui de liberté monétaire, avec indexation sur l'étalon-or.

    Ca ne vous aura pas échappé tout de même, on va vous retirer le Prix Razel et la Bourse Tocqueville par anticipation petit Gaspard !

    Une Nation= Une Monnaie, il ne saurait y en avoir une autre, fut-elle d'or et d'autres matières précieuses.

    Et s'il vous plaît que l'on ne ressorte pas de Gaulle, ni les Accords américains de Bretton Woods.
    De Gaulle n'est pas le dernier à s'être fait manipuler un temps, et  ses preceptes sont aujourd'hui obsolètes.
    Nous n'avons plus d'or.
    Et il existe aujourd'hui des groupes privés, sans territoire, sinon des parcelles de ceux des autres, dont la richesse et la puissance sont telles, qu'ils ont leurs propres règles et leurs propres politiques étrangères, par-dessus les Etats et même par-dessus l'Etat américain (avec les guerres internes et de services que l'on voit appararaître par-ci par-là à qui sait les lire).

    Le droit de battre monnaie, voilà le nerf de la guerre, et voilà ce qui est battu en brèche.
    La monnaie libertarienne n'est qu'un outil financier, quand la monnaie nationale est un attribut de souveraineté.

    C'est LE pan de souveraineté sine qua non.

    J'ai mieux cherché que monsieur Koenig, et avait relevé nombreuses autres pénétrations dans le programme.
    C'est simple, j'avais annoncé la couleur deux ans avant le coming-out de monsieur Monot.

    J'avais vu les drapeaux "Liberté" fleurir au milieu des drapeaux français pour la première fois.
    Tout de suite, ça a fait "tilt".

    J'ai connu la censure quand j'écrivais pour Marine.
    On ne touche pas aux lobbies de Contribuables Associés.

    Il y a eu le voyage, le premier, symbolique, à Washington, Ron Paul.
    Ron Paul qui dit d'ailleurs que ceux qui ne comprennent pas que le programme économique libertarien ne saurait se détacher du reste, sont des imbéciles.
    Je l'ai toujours dit, à Bruno Gollnisch notamment, le libéralisme n'a pas de frontière, on ne peut se réclamer du libéralisme philosophique comme il le faisait, et pas du libéralisme économique.

    On pourrait parler de l'autonomie des écoles, proposée par Marine Le Pen, de l'immigration choisie et de ses références libertariennes à Laulan et Gourévitch (Les libertariens ne sont pas contre les déplacements de population, ils sont pour le fait de rentabiliser au maximum le marché de l'humain, il ne faut pas que cela coûte un rond à l'Etat, il faut refiler aux entreprises exactement la main-d'oeuvre dont elles ont besoin).
    Du LifeLong Learning qui ravit deloriens et souverainistes pour le plus grand bonheur des organisations pilotées par Washington, et des multinationales qu'elles servent.

    Ou encore dans la forme, du lobbying, des étapes formulées certes par Friedman et son affreuse Ecole de Chicago à en croire Monot et Sulzer, de David Friedman, le cul entre deux chaises, jusqu'à Von Mises et Hayek, et des multiples querelles intra libérales.

    On pourrait parler aussi d'Aymeric Chauprade, vieux routard de l'Institut Thomas More, et qui donne toujours des formations à l'IFP/IFRAP, ça doit bien parler à monsieur Koenig n'est-ce pas ?

    IFP qui forme des cadres du Front, l'invitation reçue vient-elle de Chauprade d'ailleurs ?
    De PMC ?
    Les liens et les ponts existent nombreux, les media, envahissants, les clubs refondés à l'heure libérale des Horlogers.

    Allez monsieur Koenig, encore quelques petits efforts.