Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

zemmour

  • Le Gouvernement Zemmour, un arrieré-goût ifrappé

    J'ai le gouvernement de Zemmour (bon celui de son Premier Ministre, Cinquième respect, etc.) :

    - Premier Ministre, rebaptisé Prime (time ?) Minister :
    Agnes Verdier Molinié

    - Ministre de l'Economie, rebaptisé (eh oui), ministre du combat économique, sachant qu'il sera à mort (et plus des finances car il n'y a plus de finances, finis les impôts, c'est chacun pour sa gueule) : Bolloré en chef

    - Ministre de l'Education (qui n'est plus
    Nationale mais Individuelle) : Anne Coffinier

    - Ministre de l'intérieur et des cultes, rebaptisé du culte : Charles Millon
    Secrétaire d'Etat chargée de la direction des consciences : Chantal Delsol
    Assistant chargé des élections et du débat politique : Thomas Millon

    - Ministre de la culture : Philippe de Villiers, puysé dans le dernier Ricard de Pasqua

    - Ministre des affaires sociales : Vatefairefoutre (à l'heure où je vous parle, nous ne savons pas qui est ce monsieur)

    - Ministre de la santé et de la serpe d'or : vous l'attendiez tous : Raoult Didier
    Secrétaire d'Etat à la Charité (pour envoyer l'hôpital en enfer) : sainte Christine Boutin
    Assistant de direction assistée : Lalane Frantz

    - Ministre de la Protection de l'Enfance :
    Le ministère devient un presbytère, sous la grand chapeautage du ministère de la culture avec l'ensemble de la curée intégriste

    - Ministre des armées, chargé de la transition anti-républicaine : Général de Villiers

    - Porte-parole antirépublicaine du gouvernement :
    Marion Maréchal Le Pen

    On aurait promis l'énercologie totale à Beigbeder Charles, et un sous-secrétariat à la communication et au domaine viticole à Beigbeder le frangin.

    Et un brodequin à Gave sur la réécriture de l'Histoire.
    Un grand hommage posthume sera d'ailleurs rendu par Eric Zemmour soi-même, à leur regrété Faurisson (on chuchote que Gollnish serait le négre de Zemmour sur ce coup-là).

    On me rapporte à l'instant que Polony fait une crise d'hystérie, la petite chérie devrait polonyser l'ensemble de l'audiovisuel après un accord de monopole Bolloré-Drahi-Bouygue.
    Un plat de lentilles sera également au chaud pour Perico.

  • Villiers, Chevènement, Ménard, Zemmour, Polony, Chouard, Club de l'Horloge, Philippot, Dupond-Aignan, Farage, John Laughland, la galère souverainiste contre la France

    Le souverainisme est une idéologie qui est née de la lutte contre le fédéralisme au Canada.

    Et en Europe, où Condenhove Kalergi et de Gaulle l'opposaient au fédéralisme européen.

    Il s'agit d'autonomie, pour plus de libéralisme, le fédéralisme étant considéré comme un carcan étatiste.

    Il faut connaitre de l'origine et de l'histoire de cette idéologie.

    Le souverainisme français est issu du même mouvement.

    Villiers, Polony soutiennent les mêmes écoles hors-contrat et le même IFRAP.

    Cela ne s'explique que si l'on comprend ce qu'est le souverainisme.

    Le souverainisme n'a rien à voir avec la France, et on le voit bien, c'est un mouvement politique hors-sol, avec un réseau mondial.

    Le mouvement qui défend la France et sa conception de la souveraineté, s'appelle la France.

    Les souverainistes s'associent au mouvement de Démocratie Directe, qui, si tu connais l'histoire de nos institutions, est une conception anglo américaine.

    La bataille des libéraux sur nos institutions est ancienne, nous n'avons pas opté pour ces paradigmes anglo saxons, la France a su rester elle-même grâce à cela, indépendante est souveraine, unitaire, grâce au maintien de notre conception des institutions.

    La Démocratie Directe est la voie des autonomismes et des lobbies.

    Tous ces concepts politiques sont autant de pièges pour la France pour ceux qui ne les comprennent pas.

    En parallèle, l'emprise libérale sur l'Eglise a permis d'associer le principe de subsidiarité de l'église, au souverainisme, pour l'appliquer au politique, de façon à détruire, comme avec la Démocratie Directe, les souverainetés nationales.