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farage

  • Villiers, Chevènement, Ménard, Zemmour, Polony, Chouard, Club de l'Horloge, Philippot, Dupond-Aignan, Farage, John Laughland, la galère souverainiste contre la France

    Le souverainisme est une idéologie qui est née de la lutte contre le fédéralisme au Canada.

    Et en Europe, où Condenhove Kalergi et de Gaulle l'opposaient au fédéralisme européen.

    Il s'agit d'autonomie, pour plus de libéralisme, le fédéralisme étant considéré comme un carcan étatiste.

    Il faut connaitre de l'origine et de l'histoire de cette idéologie.

    Le souverainisme français est issu du même mouvement.

    Villiers, Polony soutiennent les mêmes écoles hors-contrat et le même IFRAP.

    Cela ne s'explique que si l'on comprend ce qu'est le souverainisme.

    Le souverainisme n'a rien à voir avec la France, et on le voit bien, c'est un mouvement politique hors-sol, avec un réseau mondial.

    Le mouvement qui défend la France et sa conception de la souveraineté, s'appelle la France.

    Les souverainistes s'associent au mouvement de Démocratie Directe, qui, si tu connais l'histoire de nos institutions, est une conception anglo américaine.

    La bataille des libéraux sur nos institutions est ancienne, nous n'avons pas opté pour ces paradigmes anglo saxons, la France a su rester elle-même grâce à cela, indépendante est souveraine, unitaire, grâce au maintien de notre conception des institutions.

    La Démocratie Directe est la voie des autonomismes et des lobbies.

    Tous ces concepts politiques sont autant de pièges pour la France pour ceux qui ne les comprennent pas.

    En parallèle, l'emprise libérale sur l'Eglise a permis d'associer le principe de subsidiarité de l'église, au souverainisme, pour l'appliquer au politique, de façon à détruire, comme avec la Démocratie Directe, les souverainetés nationales.

  • L'Europe politique, la fuite en avant vers le pire

    La Paneurope de de Gaulle, ce sont aussi, forcément, des doublons de souveraineté et le vecteur de pénétration des lobbies.

    La domination des Américains, et notamment via l'Union Européenne, c'est déjà obsolète, les Américains ont trouvé mieux et le Département d'Etat et le Pentagone se font aujourd'hui dépasser par leur droite.

    C'est la logique américaine aujourd'hui qui s'impose, et la logique par définition, pousse à son paroxysme.

    Le danger passe aujourd'hui par-delà les Etats, par les groupes privés qui par libéralisme se sont bouffés les uns les autres jusqu'à former des monopoles privés dont les capacités financières sont supérieures à celles de la plupart des Etats et qui peuvent aujourd'hui rivaliser avec les grandes forces publiques en voie d'extinction.

    Et t'as les cons de gaullistes qui contribuent à la mort des Etats en continuant de s'adosser à des politiques d'avant guerre parce qu'ils en ont dix de retard, et qui ce faisant, nous enfoncent vers le pire encore à venir.

    L'Europe des Nations est une structure politique, elle a donc automatiquement des prérogatives.

    On voit bien qu'elle exclut de fait les nations non européennes et qu'elle lie au-delà à une institution supranationale.

    C'est une idéologie européenne, autrement elle ne servirait d'ailleurs à rien.

    Et s'il vous plaît, que l'on m'évite le coup du contrepoids aux USA.

    La seule chose qui fasse peur à la domination idéologique américaine, c'est la structure étatique telle qu'établie par la France lorsqu'elle l'était encore entièrement, sûrement pas un groupe politique qui soutiendrait la même idéologie libérale qu'un Farage par exemple ou que tous les partenaires que s'est choisie Marine Le Pen dont on ne sait qui gagnerait le concours du plus tenant des principes fondateurs des USA tant ils sont plus libéraux les uns que les autres.

    Aucun pays n'a, de fait, les mêmes intérêts économiques, stratégiques, géopolitiques parce que leurs constructions respectives sont différentes, reposent sur des principes parfois diamétralement opposés, et sont le résultat d'histoires humaines différentes en fonction de paramètres nombreux et que nous ne partageons pas toujours non plus.

     

    L'Europe des Nations ne serait pas une construction politique ?

    Une structure économique alors ?

    Seuls les ignorants ne savent pas que l'économique, c'est du politique, et que dans un monde bien fait, c'est le politique qui doit le dominer pour ne pas être à la merci de la finance.

    Or pour construire une société, pour faire société, il faut une politique, la société européenne serait une société reposant sur quels principes ?

    Ceux d'unité à la française, ceux du régionalisme teuton, ceux du communautarisme anglo saxon ?
    Qui raflerait la mise ?
    Quelle langue imposerait sa domination ?

    Quel serait donc ce monstre informe, sans sens aucun, sans humanité aucune, sans raison d'être ?

    Est-ce que je me sens proche d'un Anglais ou d'un Allemand ? Suis-je de la même civilisation en tant que Française ?
    Bien sûr que non, nos civilisations se sont bâties en opposition.

    Et si l'Europe, c'est ça, en tant que Méditerranéenne, j'embarque ma France dans une alliance au Sud, je préfère bouffer des gâteaux au miel et de la menthe en salade au soleil avec les Arabes plutôt que d'avaler de la jelly au bacon au petit déj' avant d'aller sous un ciel triste et bas remercier Dieu de m'avoir béni en m'ayant fait gagner beaucoup de fric sur le dos des autres cette semaine !  

    Autant parler l'Espéranto, avec sa grammaire et son vocabulaire misérables, et on imagine sa pensée à l'avenant.

     

    L'Europe en réalité, dans n'importe quel sens, ce n'est même pas sérieux.

     

    Je propose de recouvrer les attributs de l'Etat, je l'explique tous les jours en long large et travers.

    Il faut se réinscrire dans le continuum français, dans notre histoire, dans nos principes fondateurs dont on affine sans cesse la lettre en en gardant l'esprit.

    Dans ce cadre, il n'y a nulle place pour aucune Europe, ni économique, ni politique.

    L'Europe est à la fois un cadre trop grand et trop petit à l'égard de la souveraineté et donc de l'indépendance d'un Etat.

    Un Etat n'a d'accord qu'avec d'autres Etats, seul moyen d'ailleurs de respecter les autres d'égal à égal.

    C'est ainsi que la France considérera les pays du Maghreb ou d'Afrique comme s'il s'agissait de Allemagne, qu'il ne nous viendrait pas à l'idée d'entuber, d'autant plus que le rapport de force est clairement inverse.

    Nous ne nous interdirions pas d'accord a priori avec la Russie ni avec personne, et nous refuserions des accords ou les restreindrions de même, à notre gré, en fonction de principes propres.

    Nous nous respecterions ainsi à la fois nous-mêmes mais aussi les uns les autres.

     

    Les Etats sont les seuls remparts aux lobbies de toute sorte et des pires espèces.

    Il semble que seuls nos ennemis (les ennemis des peuples) aient compris combien l'Etat était la menace à abattre, ce qu'ils font avec la plus grande application.


     

    Bref, à bas l'Europe des nations, conneries gaulliste de la première heure !
    Et de notre dernière ...

  • Les élections européennes, c'est pour les cons !

     

    "Nous avons affaire à un « Parlement Potemkine », un vernis démocratique pour un système qui ne l'est pas. En toute confidence, les députés eux-mêmes ne se font pas beaucoup d'illusions. En réunion autour d'un verre avec d'anciens députés, ceux-ci ne m'ont parlé que de la maison qu'ils avaient pu acheter grâce à leurs indemnités !"
    Élections européennes du 25 mai 2014 - Todd : « Non, je n'irai pas voter ! » - Herodote.net

    Les candidats à la présidence de la Commission sont nommés par les chefs d'Etat et de gouvernement en commun accord entre eux.
    Et ce sont eux et la Commission Européenne qui décident des directives à voter par le Parlement Européen.


    L'enjeu se situe donc en amont, au niveau national.

    Si l'on tient compte du fait que les différents gouvernement sont tous pro européens et pro libéraux, que les think tanks qui les alimentent sont interchangeables puisque les "experts" (comprendre les idéologues) qui les composent sont les mêmes, et que ces think tanks sont stipendiés par les mêmes oligarques (industrialo financiers),
    il est clair que tout est noyauté et les nuances ténues.


    Quant à Marine Le Pen dans l'histoire, et à son alliance libérale (rappelons que les leaders Wilders, comme Farage sont les hommes des groupes d'influence libertariens les plus puissants au monde, Heritage Foundation, Cato Institute et autre American Enterprise Institute, Hoover Foundation, etc.; les économistes de Marine Le Pen se déclarant ouvertement eux-mêmes de l'Ecole Autrichienne sans que cela n'interpelle personne ...), le niveau de leur score a été évalué et analysé et n'aura aucun impact.
    Can Marine Le Pen destroy the European Union from the inside ? Pose The Time.
    La réponse est NON.

    Elle a été tournée dans tous les sens par les think tanks de la Commission, même en s'alliant à toutes les extrêmes droite les plus islamophobes, plus les antisémites -Marine ne rebutant pas les alliances plus libérales encore que ne le sont encore les instances en place qui soupoudrent leur libéralisme de quelques garde-fous que les alliés de Marine ni Marine elle-même (sous prétexte qu'ils s'inscrivent dans un tout) ne votent pas- , ça ne passe pas.
    L'ensemble des autres contre le bloc FNo libéral dure sont largement majoritaires, comme il l'est depuis toujours à voter toujours dans la même direction.

    Le groupe de Marine ne demande, répétons-le, qu'à accélérer le processus libéral tout en maintenant un cadre européen garant de ce processus.

    Marine comprenant les choses de façon trop superficielle, elle ne sait pas voir pas le coup d'après car elle n'a pas les capacités d'analyses de la complexité.