Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

"Chacun est seul responsable de tous" - Page 225

  • Les Horlogers ont remis les pendules à l'heure

    Un des slogans du FNJ de l'après Maréchal : "Ni droite virtuelle Ni gauche plurielle" est très révélateur de la reprise en main de l'extrême-droite sur le Front National.
    Le FNJ a toujours été le moyen par lequel le Front National annonçait les orientations de demain.

    C'est vrai que maintenant le Front, c'est la vraie droite, le Ni droite Ni gauche Français du père de Marion Maréchal, c'était sans doute de la com' encore à en croire certains, maintenant, et Marion Maréchal est bien le symbole de cette nouvelle orientation, c'est à droite toute.
    Elle a bien trahi son père adoptif pour rejoindre son père putatif.

     

    Avant, avec Samuel Maréchal, et qui a donné la ligne qui nous débarrassait de l'extrême-droite et qui a porté Marine Le Pen à la tête du mouvement national :


    Ni droite Ni gauche.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Après :

    Ni droite virtuelle Ni gauche plurielle fnj.jpg

     

     

     

     

     

    Avec Marion Maréchal :


     

    "Je me considère comme une femme de droite", affirme-t-elle. "Je ne cherche pas à renverser la table mais à la repositionner", continue-t-elle, bien loin de"l'antisystème" prôné par Marine Le Pen. L'état stratège défendu par l'ancienne candidate FN à l'Elysée ? "L'Etat a fait la France, l'étatisme l'a tuée", estime-t-elle, précisant que "l'Etat stratège n'a pas toujours fonctionné".

    "Ma génération critique fortement l'assistanat. Il faut remettre le goût du travail,réformer la protection sociale", complète celle qui dit avoir été "séduite" parNicolas Sarkozy en 2007.

    La sortie de l'euro, idée centrale du programme frontiste ? "Peut-être était-ce trop tôt, c'est une question de tempo" répond-elle. 

    Même si elle est souvent présentée comme proche de son grand-père et tenante d'une certaine "orthodoxie", elle ne rejette pas une "mutation" du parti. "Je ne suis pas opposée au changement de nom du FN.", le "poids du parti", pouvant, selon elle, être un handicap.

    "C'EST UNE BOSSEUSE, ELLE EST TRÈS POPULAIRE"

    Comme en ce qui concerne les alliances avec d'autres partis ? "Je suis pour les synergies politiques", affirme-t-elle. Il est vrai que, dans le Vaucluse, la perméabilité est forte entre droite et extrême droite. "Il y a des affinités avec la tendance copéiste de l'UMP. Mais je suis pour une alliance d'hommes, pas de parti à parti." Mme Maréchal Le Pen entretient par ailleurs des liens avec d'autres formations d'extrême droite, comme la Ligue du Sud de Jacques Bompard ou le Bloc identitaire."

  • Tea potes et autres con-fédérés

     

     

    Sharia Law


    WHAT CAN I DO? - JOIN

    Pam Geller at FL State Tea Party Convention Spekaing on Sharia  

    Speech by Swiss member of Parliament Oskar Freysinger speaking on Sharia in Europe.

     
        
     

     

     

    La tea party de l'UDC à Reconvilier

     

     

    Une vedette américaine

    Vedette américaine de la soirée, Rosine Ghawji, représentante du Tea P

     

     

  • Un modèle pas top

    La France a cela de supérieur de ne faire aucune différence entre ses citoyens, ni aucune différence entre un étranger pauvre et un étranger bankable comme la Suisse entend les choisir.
    Répugnante Suisse.

    Autrement, on comprend que les Suisses aient besoin de faire venir une immigration choisie parce que les fils de banquiers, ça ne reproduit que d'autres banksters, pas des médecins ni des ingénieurs, ni des professeurs.

    Enfin, après Marine Le Pen qui a bien dû se mettre dans la roue de l'UKIP et dire tout le bien qu'elle pensait du modèle de quotas d'immigration suisse, voilà le tour du souverainiste Florian Philippot d'encenser le "modèle suisse".

    Ca tombe bien, Florian Philippot fera peut-être partie du quota autorisé en Suisse, si le modèle français ne lui plaît pas.

    Quelle est donc cette race d'homme politique qui ne connaît pas la richesse de ses propres institutions et combien elles sont le rempart aux lobbies de tout poil auxquels le "modèle" suisse laisse libre champ, sur le modèle anglo saxon.

  • L'immigré nouvelle génération

    Ca y est, il y en a qui s'excitent alors que la Suisse ne poursuit que la deuxième étape concernant la politique d'immigration, à savoir l'immigration choisie en fonction de critères économiques.

    Le texte soumis à referendum vise à réguler l'immigration par un système de contingent et de quotas.

    J'en avais déjà parlé, il s'agit de la flexi-immigration, qui s'adapte au plus juste selon les besoins pour rationaliser le flux.

    Il y en a qui n'ont pas l'air de se rendre compte que la main d'oeuvre coûte chère.

    Et Marine Le Pen qui se réjouit de cette dernière victoire du Sarkozysme ...
    Elle s'est une nouvelle fois précipitée et fait piéger.

    •  
      Oriane Borja Du Sarkozysme quoi.
    •  
      David Berton Du Sarkozysme appliqué, ce qui change tout.
    •  
      Oriane Borja A parce que l'immigration choisie, ce n'est plus de l'immigration, ce n'est plus là pour peser à la baisse sur les salaires ? Quid de l'armée de réserve ?
    •  
      Oriane Borja Un médecin choisi par exemple, c'est bien, les étudiants français soumis au numerus clausus apprécieront.
      Tu me diras, sans médecins étrangers à bas coût, les actionnaires des cliniques privées vont faire la gueule.
      •  
        Oriane Borja Tu me diras, JMLP va se faire soigner en Suisse, on s'y retrouve .
         
         
         

        Le projet de Carte bleue pour l'Union européenne a été lancé par La Commission européenne le 23 octobre 2007, et adopté en 2009 (Directive européenne) 2009/050/CE). Il s'agit d'un permis de travail délivré destinés aux résidents d'un pays non-membre de l'EU qui lui permet, suivant certaines conditions, de venir travailler plus facilement sur le territoire entier de l'Union.

         

         

        Origine du nom[modifier | modifier le code]

        Le nom carte bleue vient de la carte verte délivrée par les États-Unis. Ce choix n'est pas anodin, car la carte verte est connue dans le monde entier. Le but est donc de la concurrencer pour inciter les travailleurs qualifiés à opter pour l'Europe plutôt que pour l'Amérique. Le bleu fait référence à la couleur du drapeau européen.

        Conditions d'obtention[modifier | modifier le code]

        La carte bleue utilise le système de l'immigration choisie, qui a pour but de rendre l'immigration à long terme plus rentable pour les pays européens. Elle est destinée uniquement aux travailleurs qualifiés, ce qui écarte la possibilité de voir une immigration d'assistés qui coûte cher aux états et génère un sentiment xénophobe dans la population. Quelques États membres ne participent pas à l'adoption de la présente directive et ne sont pas liés par celle-ci ni soumis à son application:

        • Le Royaume-Uni
        • L’Irlande
        • Le Danemark


          Ca revient moins cher que de former nos concitoyens,ça c'est sûr, il vaut mieux aller voler la matière grise des autres pays, qui n'en n'ont sûrement pas besoin, et ça montre que l'on est prévoyant (pourquoi le serait-on du reste, puisqu'il suffit de piocher dans l'esclave mondial).
          L'étranger, c'est valable quand c'est bankable.

        • Salaud de pauvre, version traduite !

  • Et ça, ça ne vous dérange pas trop ? Derrière Créer son école, c'est bien aussi Bourges, Coffinier & co. que l'on trouve :

    avec le Mouvement
     

    CRÉER UN LIEU D'ÉDUCATION ALTERNATIF

    Ecole exclusive, contraignante, hiérarchique et compétitive : voici les constats faits par ceux qui ont choisi de créer un lieu d'éducation alternatif. Face à cela, ils souhaitent placer l'enfant au centre du système scolaire et s'adapter à lui en fonction de ses besoins et de ses capacités.

    Qu'est-ce qu'un lieu d'éducation alternatif ?

    En effet, l'école classique n'est pas adaptée aux véritables enjeux de demain. Les enfants d’aujourd’hui devront faire face à des mutations considérables telles que l'aggravation des taux de chômage, l'insécurité alimentaire, la fin de l'énergie pétrolière, la précarité (voire l'absence) des aides sociales et des retraites, la destruction massive des terres agricoles et des écosystèmes naturels, etc. Pour anticiper sur ces problématiques et offrir de la sécurité aux enfants, il est primordial de leur permettre d'accéder à des compétences qui permettent l'autonomie. L'agroécologie, la valorisation des ressources naturelles, l'artisanat et le travail manuel, l'acquisition de compétences pratiques et techniques visant l'économie des ressources matérielles et énergétiques, « la sobriété heureuse », sont autant de connaissances et savoir-faire essentiels à son éveil et à l'adulte qu'il sera demain, et complémentaires au programme classique.

    Aujourd'hui, il existe en France près de 700 écoles se revendiquant des pédagogies dites "nouvelles". Celles-ci sont souvent inspirées des pédagogies Freinet, Montessori et Steiner.

    Quel impact sur le territoire ?

    Modèle actuelModèle proposé
    Hierarchie Équivalence
    Compétition Coopération
    Instruction passive Apprendre à apprendre
    Décalage entre le rythme naturel de l’enfant et l’organisation de la journée Respect du rythme de l'enfant
    Abscence de travaux manuels Équilibre entre travail intellectuel et travail manuel
    Dépendance Autonomie et responsabilité

     

     

     

     

     

     



    En créant une école alternative, vous :

    • Favorisez la coopération dans la classe en amenant les enfants à s'entraider. Cela crée un environnement où les élèves sont acteurs de leurs apprentissages et apprennent à travailler avec d'autres dans un esprit de solidarité et non de compétitivité.
    • Permettez aux enfants de se responsabiliser dès le plus jeune âge en mettant en place une organisation qui incite les enfants à s'exprimer, créer, partager et cheminer vers leurs propres centres d'intérêts.
    • Equilibrez le travail intellectuel et le travail manuel en proposant aux enfants d'expérimenter ce qu'ils apprennent et de sortir du "tout théorique". En effet, il est essentiel  pour le développement de l’enfant que l’instruction par l’esprit ne soit pas exclusive.
    • Respectez le rythme de l’enfant car dans les écoles alternatives les instituteurs, toujours présents, aident l’enfant à conquérir son autonomie en lui permettant de choisir librement son travail et d’exploiter ses capacités à son rythme.
       

    Comment créer une école alternative ?

    1. Déterminez précisément votre projet d’école et notamment la pédagogie que vous souhaitez développer. Il vous faudra vous former à la pédagogie choisie et pourquoi pas visiter d’autres écoles et y faire des stages.
    1. Faites une étude de marché et choisissez un lieu d’implantation où il y a une attente de la part des parents. Renseignez-vous sur les dispositions du maire ou du conseiller municipal chargé de l’éducation à l’égard des écoles indépendantes.
    1. Formez un comité de soutien pour commencer le travail préliminaire dans les domaines de la finance, du droit, de la gestion, etc.
    1. Choisissez la forme juridique de votre école. Il peut s’agir d’une association de loi 1901 ou d’une entreprise.
    1. Faites la déclaration d’ouverture d’école. Celle-ci doit être faite au plus tard quatre  mois avant l’ouverture de l’école. Il faut en informer le Maire, le Procureur de la République et le Préfet. Dès réception du récépissé du maire, prévenez l’Inspection Académique du département. A défaut d’opposition, l’école est ouverte à l’expiration d’un délai d’un mois à compter du dépôt de la déclaration d’ouverture, sans aucune formalité.
    1. Préparez un business plan qui définira précisément la manière dont va fonctionner votre école durant les cinq premières années : nombre de classes, cantine, directeur, nombre d’enseignants, matériels pédagogiques ... etc. Ce business plan vous permettra d’établir un budget précis.
    1. Choisissez le personnel de votre école et surtout, soyez attentif à ce qu’il soit sensible à la pédagogie que vous souhaitez mettre en place. N’hésitez pas à voir avec le personnel le fonctionnement interne. 
    1. Sollicitez des contributions en garantissant le financement initial de votre projet. Il peut s’agir de dons ou de prêts. Au besoin, lancez une campagne de collecte de fonds, de sorte que le développement de votre projet se fasse au même rythme que vos rentrées financières.
       

    Quelles sont les structures qui peuvent vous aider ?

    Créer son école

    Le site Internet « Créer son école » est une mine d’or en informations juridiques et pratiques pour créer son école. Il propose également un annuaire des écoles indépendantes.
    http://creer-son-ecole.com/

    ou

    http://ecolesdifferentes.free.fr/

    Pédagogie Freinet

     http://www.icem-pedagogie-freinet.org/

    Pédagogie Montessori 

    http://www.montessori-france.asso.fr/

    Pédagogie Steiner 

    http://www.steiner-waldorf.org/
     

    Quelques lectures :

    • "Des écoles pas comme les autres", Sophie Chavenas, Édition Horay
    • "Écoles différentes - Des pédagogies pour grandir et apprendre autrement", Catherine Piraud-Rouet, Editions Fabert

    • "Échec scolaire - Des solutions pour se réconcilier avec l'école", Catherine Sanson-Stern, Editions Fabert

    Ils l’ont fait !

    « La base et le principe de ce projet sont proches de l’idée de Maria Montessori et consistent à développer un environnement propice aux apprentissages de l’enfant. En effet, c’est l’enfant qui va trouver par lui-même la nourriture qui lui est nécessaire pour construire sa personnalité et son savoir.

    La ferme, qui fait ici partie intégrante de notre école en tant que support pédagogique, ainsi que le lieu de vie intergénérationnel ne sont que des prolongements de cette idée. Avoir un lieu de vie comme support d’apprentissage, un lieu quotidien d’évolution, enrichit considérablement l’environnement où l’enfant peut trouver de quoi satisfaire ses envies de savoir et nourrir l’énergie naturelle de croissance qui est en lui. Le potentiel de l’enfant peut ainsi se développer d’une manière créative. »

    Sophie Rabhi, La ferme des enfants, Ardèche

     

  • Théorie du genre, la Manif Pour Tous amène les preuves de sa validité

    Qui, plus que les scientistes de la Manif Pour Tous, valident mieux la théorie du genre ?
    Ils ont la trouille qu'elle fonctionne au fond.
    Et qui appliquent le concept entre ceux qui, devant l'homosexualité, répondent, c'est mal, on va t'envoyer chez les curés, ou, tu vas te marier, ça passera, et ceux qui disent, il n'y a pas mort d'homme, tu es ainsi et ce n'est pas grave.

    Je me demande si les Charles-Edouard ne feraient pas bien de rentrer leurs femmes de sur le trottoir et de leur retirer le rose fushia un peu voyant qu'elles arborent, c'est quelque peu déplacé.

    Méfiance tout de même, si ça continue, elles vont le sniffer leur thé ...

    Et à propos, 
    Soral doit bien nous avoir une petite analyse sur une analogie entre le mouvement des suffragettes et celui des Barjot-Bourges-Boutin ?

  • Réponse faite à Chouard mais prenez-en tous pour votre grade

    L'Etat est notre seule et dernière protection (et je parle davantage pour notre cadre Etat-Nation, en France, l'Etat est notre vieille structure historique bâtie au mieux par la sagesse du temps long, preuve par l'histoire même qu'il est un cadre performant).

    Il faut bien comprendre l'équation :

    Moins d'Etat = Plus de Maffia 

    et réciproquement, pour comprendre la volonté des lobbies, qui sont des maffias.

    La France, Etat-Nation est la forme de démocratie la plus aboutie, ce que vous appelez Démocratie Directe n'est valable qu'à l'échelle de la Cité guère développée, au-delà, elle est le royaume des lobbies.

    La Suisse n'est en rien un modèle, c'est un repère de banquier-gangsters à l'anglo saxonne.

    Il est plébicité par les libertariens pour cela.

    Leur travail de fond est à étudier de manière transversale, politique, économique et géopolitique.
    Chouard est un béotien, il n'a absolument aucune notion de ces réseaux, de leurs fonctionnement et de leur but, d'où la porosité.

    Il ne faut pas confondre non plus, Etat et Gouvernement.

    L'Etat, c'est nous.

    La France est passée du Roi-souverain (qui ne défendait que l'intérêt du royaume et de ses sujets), au peuple-souverain, ce qui revient exactement au même.

    En France, l'Etat est l'Etat-Nation, la souveraineté est entre les mains du peuple, les maffias attaquent ces structures pour s'y substituer.

    L'Etat se caractérise par ses attributs, qui sont les attributs de souveraineté : battre monnaie, faire et exécuter les lois (dont budgétaire au premier chef), rendre justice, police et défense, et en France, l'Etat est responsable de la prospérité, de la santé et du bien-être en général de ses citoyens, il est garant de l'Unité nationale -qui est notre trésor et qui nous est bien spécifique, et qui est le secret de notre grande civilisation - et qui se caractérise aussi par l'école nationale (programme national), que les forces libérales tentent de détruire.

    Notre structure est ce qui nous maintient debout et libres encore, elle est attaquée de toute part, on voit bien comment l'Etat est démantelé par l'oligarchie, il ne nous reste guère de prérogatives.
    Il nous reste l'Unité nationale et l'école( déjà bien attaquée, les programmes scolaires étant dictés par l'OCDE aux ordres des multinationales et sous contrôle états-uniens, j'ai démontré tout cela dans un rapport circonstancié et de nombreux textes).

    Les libertariens, dont l'idéologie est fondatrice des Etats-Unis d'Amérique, sont le fer de lance du mondialisme.
    Le mondialisme n'étant que l'américanisme qui entend répandre sur toute la planète son système libéral destructeur des peuples et de la liberté, au nom même de leur prétendue liberté.

    Aux USA, il existe des querelles entre libéraux, qui nous est importée telle quelle, et dans laquelle s'inscrit Chouard.

    Querelle livrée en grande partie entre le Pentagone-Nsa versus la CIA dans sa fange la plus extrémiste.

    Les libertariens sont le vecteur de cette fange (dans laquelle on retrouve Snowden ou un Chouard, ou un Bob Ménard, ou un Le Gallou, ou un Soral, ou un Dieudonné, ou un Zemmour, ou un Valeurs Actuelles, ou une Bourges, une Bourtin ou une Barjot, ou un Séba, et toute une kyrielle, de personnages plus ou moins haut en couleur, tous les lobbies associés aux Contribuables Associés qui font le pont entre Washington, l'Angleterre, la France et la Russie).

    En France, Jean-Marie Le Pen fut un des premiers de leurs pantins, aujourd'hui, Marine se laisse avoir via la Freedom Alliance à laquelle elle s'est enchaînée, ainsi qu'à l'argumentaire de leurs think tanks (IFP, IFRAP dont sont les Chauprade, Beigbeder, etc.), Marion Maréchal Le Pen est leur poulain politique, NDA passant plus ou moins à l'as pour manque de résultat. Farage est leur poulain anglais.
    Ron Paul et son fils Rand, les chefs de fils aux USA.

    Mais que l'on ne s'y trompe pas, ce sont toujours les mêmes derrière, la même oligarchie industrialo financière dont la liste est facile à établir car tous ces réseaux ne cachent pas le soutien des multinationales.

    Certains pensent ainsi qu'il faut le modèle libéral pur, libertarien, le chaos n'où naîtra le meilleur ordre, les autres pensent qu'il faut l'accompagner, voilà la seule nuance, qui a plusieurs degrés.

    Leur cible principal est le modèle français, tous les autres sont non seulement beaucoup plus poreux mais encore achevé, de la Corée du Sud à la Chine en passant par la Russie et le Vénézuela, tout est sous contrôle, ne reste que le modèle français, bien atteint, mais qui présente encore des résistances.

    C'est vous, les cons de "dissidents" qui êtes chargés de finir la besogne.

  • La génération chômage a trouvé son député

    Qui a déclaré : "Ma génération critique fortement l'assistanat. Il faut remettre le goût du travail, réformer la protection sociale" ?

    Ca pue la droite de la droite, ça ressemble à la droite de la droite, c'est le député de droite Marion Maréchal Le Pen, qui n'a encore jamais travaillé de sa vie et qui parle sans doute au nom de tous les Français qui ont et auront besoin de notre système social qui est l'honneur de la France et ce qui nous différencie encore des Américains.

    L'électorat appréciera.

     

    Sarkozy te manque ou Hollande n'est pas encore assez libéral à ton goût ?
    Vote Marion Le Pen, tu trouveras bonheur, avec Marion, c'est à droite, toute :

    Marion Maréchal-Le Pen cherche la différence

    LE MONDE | 29.04.2013 à 10h33 • Mis à jour le 29.04.2013 à 20h20 |Abel Mestre


     

     

    Marion Maréchal-Le Pen à Carpentras, le 17 juin 2012.

     

    "Je ne cherche pas à entrer en concurrence avec Marine Le Pen. La question ne se pose pas. Je cherche à être complémentaire", prévient tout de suite Marion Maréchal-Le Pen lorsqu'on lui demande si elle souhaite jouer un rôle plus important au sein du FN, comme prendre un poste dans la direction du parti.

    Il n'empêche. L'air de rien, elle aime entretenir sa différence. La députée du Vaucluse âgée de 23 ans multiplie les déplacements dans les fédérations du FN et se dessine par petites touches une identité politique propre, parfois éloignée de la présidente du parti. Elle ne cache pas ses divergences avec sa tante ni avec certaines orientations officielles. Marine Le Pen "a une façon de faire de la politique qui est virile", glisse-t-elle . Toutes les lignes forces du FN "mariniste" sont approuvées… par des "oui, mais".

    "JE SUIS UNE FEMME DE DROITE"

    "Je me considère comme une femme de droite", affirme-t-elle. "Je ne cherche pas à renverser la table mais à la repositionner", continue-t-elle, bien loin de"l'antisystème" prôné par Marine Le Pen. L'état stratège défendu par l'ancienne candidate FN à l'Elysée ? "L'Etat a fait la France, l'étatisme l'a tuée", estime-t-elle, précisant que "l'Etat stratège n'a pas toujours fonctionné".

    "Ma génération critique fortement l'assistanat. Il faut remettre le goût du travail, réformer la protection sociale", complète celle qui dit avoir été "séduite" par Nicolas Sarkozy en 2007.

  • La valeur capital(e)

    La culture de l'entreprise est une des compétences clefs dites DeSeCo demandées par l'ODCE à tous les écoliers de France, de Navarre et de Corée du Sud.

    OCDE qui nous dicte nos politiques éducatives sous le haut patronage des multinationales et institutions économiques et financières internationales sous contrôle états-uniens.

    Voilà une valeur d'esclavagiste qui ne doit pas trop déranger Béatrice Bourges, pour laquelle les valeurs sont à géométrie variable, pourvu qu'elles soient cotées en bourse.

    http://www.oecd.org/.../definitionandselectionofcompetenc...

    www.oecd.org
    OECD Home › Directorate for Education and Skills › Skills beyond schools › Definition and Selection of Competencies (DeSeCo)
     
      •  
      •  
        Oriane Borja La culture de l'entreprise est une des compétences clefs dites DeSeCo demandées par l'ODCE à tous les écoliers de France, de Navarre et de Corée du Sud.

        OCDE qui nous dicte nos politiques éducatives sous le haut patronage des multinationales et instit
        ...Voir plus
        www.oecd.org
        OECD Home › Directorate for Education and Skills › Skills beyond schools › Definition and Selection of Competencies (DeSeCo)
      •  
        Jean-Baptiste Gicquel N'importe quoi. Entreprendre c'est avoir une vraie conception de la liberté, celle qui renforce nos racines et prolonge l'histoire d'une civilisation face au capitalisme sauvage et mondialisé. Créer son entreprise c'est sortir du joug des entreprises multinationales, c'est affirmer son indépendance et son identité face au monde et aux idéologies. Entreprendre ce n'est rien d'autre qu'être libre.
      •  
        Oriane Borja Clap Clap Clap, tu lis Von Mises dans le texte toi.

        Ca fait longtemps que le tissu entrepreneneurial a été happé par les multinationales et le système libéral, aujourd'hui, le chef d'entreprise n'est que l'esclave-maillon d'un système lui-même esclava
        giste.

        Mais encore faut-il pour le comprendre avoir remonté toute la chaîne politico-éducativo économique, savoir qui et comment cela se met en place.
        Travail que j'ai accompli.
        Vous, visiblement, pas.
      •  
        Oriane Borja En outre, le but utilitariste de l'école n'est pas dans l'esprit français, c'est la vision sous-développée anglo saxonne.
      •  
        Jean-Baptiste Gicquel Non mais bous êtes dans un délire à la limite de la théorie du complot ! De quels maîtres les entrepreneurs seraient-il les esclaves ? De la diabolique finance internationale fantasmée par les curés socialistes ?
        Si vous étiez sortie de vos bouquins écrits par des rats de bibliothèques et que vous aviez vous même agit sur le terrain vous sauriez que le financement des entreprises est complexe, multiple et que les financiers ont des buts tous différents en terme de risque et de durée de retour sur investissement. Il n'y a donc aucunement lieu de parler d'esclavage.
        Ceci étant dit, il est clair qu'enseigner l'entrepreneuriat à la maternelle est une ineptie mais ce n'est pas une raison pour dénigrer cette noble activité.
      •  
        Oriane Borja Tu as la vision du chef d'entreprise du XIX, on lit ça dans la Comtesse de Ségur.
        Va raconter ça aux Pleyel, au Continental, au Mory-Ducros, ils vont te rire à la gueule, à moins qu'ils ne te la défigurent.
      •  
        Oriane Borja Même aux Herbiers, ultra protégé par ses réseaux, c'est en train de se péter la gueule, il n'y a plus d'entreprise libre, la libre entrrprise l'a tuER.
      •  
        Jean-Baptiste Gicquel Ce qui ne trouvent pas d'autre excuse à leur échec qu'un excès de liberté ne sont que des incompétents ou des pleutres. Il est clair que survivre dans une économie si concurrentielle que la nôtre est difficile et demande de se battre, mais aucun système ne pourra y remédier, c'est la vie.
      •  
        Oriane Borja C'est quoi la compétence ?
        Employer des ouvriers polonais avec la législation sociale de leur pays d'origine ?
        Faire travailler 39 heures payées 35 comme le propose Hervé Morin ?
        Oter les charges d'allocations famililales des entreprises pour les reporter sur les autres citoyens, en compensation de quoi les entreprises s'engagent à demander encore plus de revendications ?
        •  
          Jean-Baptiste Gicquel La compétence c'est savoir adapter son offre à la demande, qui est en mouvement perpétuel.
          Vous voulez entrer dans ces détails ? Allons-y !
          Si les ouvriers polonais acceptent ce travail c'est que l'entreprise apporte dans le pays une demande de travail plus intéressante que ce qui existait déjà donc participe à développer le pays, et incite le nôtre à se tourner vers une économie du savoir. Cela devrait satisfaire vos rêves de mondialisation coopérative.
          Travailler 39h n'est pas choquant comparé à nos voisins et permet d'améliorer le pouvoir d'achat des français.
          Le modèle social français est extrêmement généreux et étouffe objectivement nos entreprises. A l'avenir, il faudra faire des choix drastiques pour préserver notre niveau de vie, c'est une réalité.
        •  
          Oriane Borja Comme le disait Pagnol, il faut se méfier des gens qui vendent des pioches mais qui ne s'en servent jamais.

          Il n'ya pas plus d'offre que de demande, on a vendu l'offre à d'autres, moyennant un rendement à court terme.

          On a vendu nos usines et notre savoir-faire en pièces détachées de l'intérêt national pour servir de petits intérêts particuliers, à tel point qu'il ne reste plus un sou pour investir dans l'avenir puisqu'il faudrait alors piocher dans les bénéfices des actionnaires qui préfèreraient alors tuer l'entreprise.

          Quant à notre potentiel putatif issu de l'économie du savoir, étant donné qu'on fait l'économie de ce savoir en préférant la culture d'entreprise à l'instruction, il se réduit comme peau de chagrin.

          "rêves de mondialisation coopérative" : je vous laisse le cauchemar que vous érigez de toute pièce, c'est l'oeuvre du libéralisme qui ne saurait connaître ni de frontières ni de limites.

          Le modèle social français te dire Merde, il est issu de notre civilisation millénaire. Tu fais le choix du modèle anglo saxon, les Français lutteront contre, on coupera la tête à l'origine du mal, haut et court.
        •  
        •  
          Jean-Baptiste Gicquel Le monde entier utilise cette pioche, ne vous en déplaise, et personne n'attendra la France pour prendre sa place dans le concert des nations.

          Mis à part les marchés de matière première, l'offre est rarement égale à la demande à cause de la dissymétri
          e de l'information.

          Vous vous attachez sans cesse aux emplois ouvriers, parce que ça semble plus concret et matériel mais ça ne fait vraiment pas rêver et vous oubliez qu'on est devenu une industrie de services qui sont bien plus intéressants et rémunérateurs (communication, services financiers, logistique, marketing, création, informatique, etc...).
          L'économie est complexe, tout est interrelié et nous n'avons pas besoin de production industrielle pour vivre.

          Le modèle féodal, basé sur le principe de subsidiarité et un contrat social très local était bien plus efficace que le modèle actuel d'un Etat centralisateur obèse et lent.

          Si vous avez encore l'illusion que l'Etat est le meilleur investisseur, vous n'avez qu'à regarder les destins des pays communistes et ça vous laissera une petite idée.
        •  
          Frédéric Magellan La Somalie est bon exemple de réussite du retrait de l'Etat.
        •  
          Jean-Baptiste Gicquel Je parle de l'économie, pas de ses fonctions régaliennes.
        •  
          Oriane Borja La France est un Etat-Nation depuis toujours, grand Etat centralisateur qui a donné la plus grande parce que la plus belle civilisation du monde.
          Celle dont vous prenez le modèle aujourd'hui est aussi laide que suicidaire (le Bien, le Beau, il n'y a qu
          e ça de Vrai).

          Je crois en le modèle fraçais, le vôtre n'est qu'un système autodestructeur, il ne fera pas long feu.

          Il se voit que vous ne maîtrisez pas plus le monde de l'industrie que celui de la communication ou du service (personnellement, j'y travaille), c'est encore plus lapidaire que pour les ouvriers qui avaient acquis des droits qui n'ont même pas pris le temps d'apparaître dans les domaines plus récents.
          C'est un monde de loup où le turn over est constant, où vous disapraissez par suicide ou par oubli dès lors que vous perdez du nerf dans vos crocs, ce qui arrange bien parce que vous devenez trop cher.

          Vous ignorez tout du monde réel.
        •  
          Jean-Baptiste Gicquel La France n'est un Etat-Nation que depuis Louis XIV et centralisatrice depuis Napoléon, on n'a pas les mêmes notions du temps.

          Le modèle français s'est adapté au long de son histoire et c'est ce qui a permis à la France de devenir une grande Nation.


          Votre vision du monde des services est caricaturale et déraisonnable mais même si ça ne vous plait pas, c'est notre époque qui le veut et nous devons nous y adapter.

          Je l'avoue, j'ignore tout du monde réel. D'ailleurs j'habite sur la planète Mars, je dine régulièrement avec des dieux scandinaves et je me marre bien.
        •  
          Oriane Borja L'État est responsable

          de la conduite de la politique économique et sociale (défense de la monnaie, de l'emploi) et de la solidarité nationale (lutte contre les inégalités, santé publique, aide aux victimes des catastrophes naturelles). Il prévoit son action à long terme au moyen de plans successifs qui fixent les objectifs à atteindre.
        •  
          Oriane Borja N'exagérez pas, les boîtes de sciences économques pour fils à papa ne se trouvent pas sur la planète Mars, je dirais plutôt sur Plouton.
        •  
          Oriane Borja Vous avez mal en mémoire la hiérarchie féodale, pourtant en général, on fait un dessin, avec, tout au sommet, le souverain; hier le Roi, aujourd'hui le peuple, ce qui sert donc les mêmes intérêts.
        •  
          Jean-Baptiste Gicquel On en arrive aux attaques ad hominem, je vois que la discussion est finie. Bonne journée très chère ! 
        •  
          Oriane Borja J'ai fait mouche, môssieur a fait sa petite école privée grâce à l'argent de papa, à l'étranger sans doute ?
  • La preuve par l'absurde

    Liberté d'expression, liberté scolaire, liberté individuelle, la preuve de trois hérésies par l'absurde.
    Le gouvernement recule et autorise la théorie de la Terre Plate à figurer dans les manuels scolaires
    www.legorafi.fr
    Paris – Après de nombreuses hésitations, le gouvernement a finalement fait marche arrière et cédé aux tenants de la théorie de la Terre...