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Les Horlogers ont remis les pendules à l'heure

Un des slogans du FNJ de l'après Maréchal : "Ni droite virtuelle Ni gauche plurielle" est très révélateur de la reprise en main de l'extrême-droite sur le Front National.
Le FNJ a toujours été le moyen par lequel le Front National annonçait les orientations de demain.

C'est vrai que maintenant le Front, c'est la vraie droite, le Ni droite Ni gauche Français du père de Marion Maréchal, c'était sans doute de la com' encore à en croire certains, maintenant, et Marion Maréchal est bien le symbole de cette nouvelle orientation, c'est à droite toute.
Elle a bien trahi son père adoptif pour rejoindre son père putatif.

 

Avant, avec Samuel Maréchal, et qui a donné la ligne qui nous débarrassait de l'extrême-droite et qui a porté Marine Le Pen à la tête du mouvement national :


Ni droite Ni gauche.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après :

Ni droite virtuelle Ni gauche plurielle fnj.jpg

 

 

 

 

 

Avec Marion Maréchal :


 

"Je me considère comme une femme de droite", affirme-t-elle. "Je ne cherche pas à renverser la table mais à la repositionner", continue-t-elle, bien loin de"l'antisystème" prôné par Marine Le Pen. L'état stratège défendu par l'ancienne candidate FN à l'Elysée ? "L'Etat a fait la France, l'étatisme l'a tuée", estime-t-elle, précisant que "l'Etat stratège n'a pas toujours fonctionné".

"Ma génération critique fortement l'assistanat. Il faut remettre le goût du travail,réformer la protection sociale", complète celle qui dit avoir été "séduite" parNicolas Sarkozy en 2007.

La sortie de l'euro, idée centrale du programme frontiste ? "Peut-être était-ce trop tôt, c'est une question de tempo" répond-elle. 

Même si elle est souvent présentée comme proche de son grand-père et tenante d'une certaine "orthodoxie", elle ne rejette pas une "mutation" du parti. "Je ne suis pas opposée au changement de nom du FN.", le "poids du parti", pouvant, selon elle, être un handicap.

"C'EST UNE BOSSEUSE, ELLE EST TRÈS POPULAIRE"

Comme en ce qui concerne les alliances avec d'autres partis ? "Je suis pour les synergies politiques", affirme-t-elle. Il est vrai que, dans le Vaucluse, la perméabilité est forte entre droite et extrême droite. "Il y a des affinités avec la tendance copéiste de l'UMP. Mais je suis pour une alliance d'hommes, pas de parti à parti." Mme Maréchal Le Pen entretient par ailleurs des liens avec d'autres formations d'extrême droite, comme la Ligue du Sud de Jacques Bompard ou le Bloc identitaire."

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