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La valeur capital(e)

La culture de l'entreprise est une des compétences clefs dites DeSeCo demandées par l'ODCE à tous les écoliers de France, de Navarre et de Corée du Sud.

OCDE qui nous dicte nos politiques éducatives sous le haut patronage des multinationales et institutions économiques et financières internationales sous contrôle états-uniens.

Voilà une valeur d'esclavagiste qui ne doit pas trop déranger Béatrice Bourges, pour laquelle les valeurs sont à géométrie variable, pourvu qu'elles soient cotées en bourse.

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      Oriane Borja La culture de l'entreprise est une des compétences clefs dites DeSeCo demandées par l'ODCE à tous les écoliers de France, de Navarre et de Corée du Sud.

      OCDE qui nous dicte nos politiques éducatives sous le haut patronage des multinationales et instit
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      Jean-Baptiste Gicquel N'importe quoi. Entreprendre c'est avoir une vraie conception de la liberté, celle qui renforce nos racines et prolonge l'histoire d'une civilisation face au capitalisme sauvage et mondialisé. Créer son entreprise c'est sortir du joug des entreprises multinationales, c'est affirmer son indépendance et son identité face au monde et aux idéologies. Entreprendre ce n'est rien d'autre qu'être libre.
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      Oriane Borja Clap Clap Clap, tu lis Von Mises dans le texte toi.

      Ca fait longtemps que le tissu entrepreneneurial a été happé par les multinationales et le système libéral, aujourd'hui, le chef d'entreprise n'est que l'esclave-maillon d'un système lui-même esclava
      giste.

      Mais encore faut-il pour le comprendre avoir remonté toute la chaîne politico-éducativo économique, savoir qui et comment cela se met en place.
      Travail que j'ai accompli.
      Vous, visiblement, pas.
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      Oriane Borja En outre, le but utilitariste de l'école n'est pas dans l'esprit français, c'est la vision sous-développée anglo saxonne.
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      Jean-Baptiste Gicquel Non mais bous êtes dans un délire à la limite de la théorie du complot ! De quels maîtres les entrepreneurs seraient-il les esclaves ? De la diabolique finance internationale fantasmée par les curés socialistes ?
      Si vous étiez sortie de vos bouquins écrits par des rats de bibliothèques et que vous aviez vous même agit sur le terrain vous sauriez que le financement des entreprises est complexe, multiple et que les financiers ont des buts tous différents en terme de risque et de durée de retour sur investissement. Il n'y a donc aucunement lieu de parler d'esclavage.
      Ceci étant dit, il est clair qu'enseigner l'entrepreneuriat à la maternelle est une ineptie mais ce n'est pas une raison pour dénigrer cette noble activité.
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      Oriane Borja Tu as la vision du chef d'entreprise du XIX, on lit ça dans la Comtesse de Ségur.
      Va raconter ça aux Pleyel, au Continental, au Mory-Ducros, ils vont te rire à la gueule, à moins qu'ils ne te la défigurent.
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      Oriane Borja Même aux Herbiers, ultra protégé par ses réseaux, c'est en train de se péter la gueule, il n'y a plus d'entreprise libre, la libre entrrprise l'a tuER.
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      Jean-Baptiste Gicquel Ce qui ne trouvent pas d'autre excuse à leur échec qu'un excès de liberté ne sont que des incompétents ou des pleutres. Il est clair que survivre dans une économie si concurrentielle que la nôtre est difficile et demande de se battre, mais aucun système ne pourra y remédier, c'est la vie.
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      Oriane Borja C'est quoi la compétence ?
      Employer des ouvriers polonais avec la législation sociale de leur pays d'origine ?
      Faire travailler 39 heures payées 35 comme le propose Hervé Morin ?
      Oter les charges d'allocations famililales des entreprises pour les reporter sur les autres citoyens, en compensation de quoi les entreprises s'engagent à demander encore plus de revendications ?
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        Jean-Baptiste Gicquel La compétence c'est savoir adapter son offre à la demande, qui est en mouvement perpétuel.
        Vous voulez entrer dans ces détails ? Allons-y !
        Si les ouvriers polonais acceptent ce travail c'est que l'entreprise apporte dans le pays une demande de travail plus intéressante que ce qui existait déjà donc participe à développer le pays, et incite le nôtre à se tourner vers une économie du savoir. Cela devrait satisfaire vos rêves de mondialisation coopérative.
        Travailler 39h n'est pas choquant comparé à nos voisins et permet d'améliorer le pouvoir d'achat des français.
        Le modèle social français est extrêmement généreux et étouffe objectivement nos entreprises. A l'avenir, il faudra faire des choix drastiques pour préserver notre niveau de vie, c'est une réalité.
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        Oriane Borja Comme le disait Pagnol, il faut se méfier des gens qui vendent des pioches mais qui ne s'en servent jamais.

        Il n'ya pas plus d'offre que de demande, on a vendu l'offre à d'autres, moyennant un rendement à court terme.

        On a vendu nos usines et notre savoir-faire en pièces détachées de l'intérêt national pour servir de petits intérêts particuliers, à tel point qu'il ne reste plus un sou pour investir dans l'avenir puisqu'il faudrait alors piocher dans les bénéfices des actionnaires qui préfèreraient alors tuer l'entreprise.

        Quant à notre potentiel putatif issu de l'économie du savoir, étant donné qu'on fait l'économie de ce savoir en préférant la culture d'entreprise à l'instruction, il se réduit comme peau de chagrin.

        "rêves de mondialisation coopérative" : je vous laisse le cauchemar que vous érigez de toute pièce, c'est l'oeuvre du libéralisme qui ne saurait connaître ni de frontières ni de limites.

        Le modèle social français te dire Merde, il est issu de notre civilisation millénaire. Tu fais le choix du modèle anglo saxon, les Français lutteront contre, on coupera la tête à l'origine du mal, haut et court.
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        Jean-Baptiste Gicquel Le monde entier utilise cette pioche, ne vous en déplaise, et personne n'attendra la France pour prendre sa place dans le concert des nations.

        Mis à part les marchés de matière première, l'offre est rarement égale à la demande à cause de la dissymétri
        e de l'information.

        Vous vous attachez sans cesse aux emplois ouvriers, parce que ça semble plus concret et matériel mais ça ne fait vraiment pas rêver et vous oubliez qu'on est devenu une industrie de services qui sont bien plus intéressants et rémunérateurs (communication, services financiers, logistique, marketing, création, informatique, etc...).
        L'économie est complexe, tout est interrelié et nous n'avons pas besoin de production industrielle pour vivre.

        Le modèle féodal, basé sur le principe de subsidiarité et un contrat social très local était bien plus efficace que le modèle actuel d'un Etat centralisateur obèse et lent.

        Si vous avez encore l'illusion que l'Etat est le meilleur investisseur, vous n'avez qu'à regarder les destins des pays communistes et ça vous laissera une petite idée.
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        Frédéric Magellan La Somalie est bon exemple de réussite du retrait de l'Etat.
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        Jean-Baptiste Gicquel Je parle de l'économie, pas de ses fonctions régaliennes.
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        Oriane Borja La France est un Etat-Nation depuis toujours, grand Etat centralisateur qui a donné la plus grande parce que la plus belle civilisation du monde.
        Celle dont vous prenez le modèle aujourd'hui est aussi laide que suicidaire (le Bien, le Beau, il n'y a qu
        e ça de Vrai).

        Je crois en le modèle fraçais, le vôtre n'est qu'un système autodestructeur, il ne fera pas long feu.

        Il se voit que vous ne maîtrisez pas plus le monde de l'industrie que celui de la communication ou du service (personnellement, j'y travaille), c'est encore plus lapidaire que pour les ouvriers qui avaient acquis des droits qui n'ont même pas pris le temps d'apparaître dans les domaines plus récents.
        C'est un monde de loup où le turn over est constant, où vous disapraissez par suicide ou par oubli dès lors que vous perdez du nerf dans vos crocs, ce qui arrange bien parce que vous devenez trop cher.

        Vous ignorez tout du monde réel.
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        Jean-Baptiste Gicquel La France n'est un Etat-Nation que depuis Louis XIV et centralisatrice depuis Napoléon, on n'a pas les mêmes notions du temps.

        Le modèle français s'est adapté au long de son histoire et c'est ce qui a permis à la France de devenir une grande Nation.


        Votre vision du monde des services est caricaturale et déraisonnable mais même si ça ne vous plait pas, c'est notre époque qui le veut et nous devons nous y adapter.

        Je l'avoue, j'ignore tout du monde réel. D'ailleurs j'habite sur la planète Mars, je dine régulièrement avec des dieux scandinaves et je me marre bien.
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        Oriane Borja L'État est responsable

        de la conduite de la politique économique et sociale (défense de la monnaie, de l'emploi) et de la solidarité nationale (lutte contre les inégalités, santé publique, aide aux victimes des catastrophes naturelles). Il prévoit son action à long terme au moyen de plans successifs qui fixent les objectifs à atteindre.
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        Oriane Borja N'exagérez pas, les boîtes de sciences économques pour fils à papa ne se trouvent pas sur la planète Mars, je dirais plutôt sur Plouton.
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        Oriane Borja Vous avez mal en mémoire la hiérarchie féodale, pourtant en général, on fait un dessin, avec, tout au sommet, le souverain; hier le Roi, aujourd'hui le peuple, ce qui sert donc les mêmes intérêts.
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        Jean-Baptiste Gicquel On en arrive aux attaques ad hominem, je vois que la discussion est finie. Bonne journée très chère ! 
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        Oriane Borja J'ai fait mouche, môssieur a fait sa petite école privée grâce à l'argent de papa, à l'étranger sans doute ?

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