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"Chacun est seul responsable de tous" - Page 219

  • Les Internettes de Najat

    Des femmes internes (le ministre veut peut-être les rebaptiser "internettes") en médecine portent plainte pour discrimination avec le soutien de Najat Vallaud Belkacem parce que les stages d'Internat interrompus par une grossesse ne sont pas validés leur faisant alors perdre des points dans le classement national du Concours.

    Mais n'est-ce pas le cas dans tous les cas, quand on fait des études, quand on passe un concours, on voit mal comment l'absence pour cause de grossesse permettrait de faire valoir des points que l'on n'a pas gagnés ?

    Ma soeur ayant eu ses trois enfants durant son Internat, je sais que les internes profitent de l'Internat pour  mener leur(s) grossesse(s) cela car cela leur permet d'être payées durant leur grossesse, chose qui n'est plus possible une fois médecin.

    Les enfants de ma soeur ont même déambulés dans la chambre d'interne de leur père et de leur mère, et il y en avait d'autres dans ce cas.

    Le Ministre profite de chaque prétexte pour faire valoir son idéologie sans trop se poser de questions.
    La réalité est parfois plus triviale.

    En espérant que Madame le Ministre n'ait pas l'idée de dévaloriser leurs diplômes en leur octroyant une discrimination positive, ce qui relèguerait les femmes spécialistes à un rang de seconde zone par rapport à leurs homoloques masculins.

    Lien permanent Catégories : Ecole
  • Barbouzerie buissonnière

    Les libertariens veulent prendre la main sur tous les partis politiques, comme aux Etas-Unis et ailleurs.

    Ils y sont arrivés avec Marine (pas difficile étant donné le fleuron intellectuel).
    Ils y sont arrivés pour les mêmes raisons avec Sarkozy.
    Mais Sarkozy voulait tenter un coup plus à gauche au prochain coup.
    Je pense qu'ils ont éliminé Copé en ressortant ses casseroles,  et qu'ils plombent Sarkozy actuellement.

    Buisson porte plainte pour vol de K7, qu'il sait avoir filées à son pote d'Atlantico par une combine-à-Buisson.

    ["Ce n'est pourtant pas ce que laissent entendre certaines sources bien informées, qui avancent que «Patrick Buisson a aidé Jean-Sébastien Ferjou à monter Atlantico».

    «On ne peut pas imaginer Atlantico sans lui», surenchérit-on par ailleurs. Si certains laissent entendre que ce soutien relève d'un appui financier, sans toutefois en apporter la preuve formelle, d'autres estiment qu'il s'agirait davantage d'une entraide d'ordre informel, tel qu'un accès facilité au carnet d'adresses de l'ancien journaliste aujourd'hui versé dans les affaires politiques."]
    Avec au passage un petit coucou à l'abruti Alexandre Latsa -qui travaille pour Atlantico et ... la Voix de la Russie (le hasard bien sûr)- et qui est monté sur ses grands chevaux quand je lui expliquais il y a un ou deux ans qu'ils travaillaient pour les libertariens de Washington.

    Atlantico joue le jeu.

    Ils font exploser Sarko en vol.

    Peut-être pour pousser le pion Marine sans doute.

    Les libertariens avaient misé un temps sur NDA, presque adoubé, mais le pompon, c'est quand même Marine.

    Avec Monot, Chauprade, PMC, elle est bien cuite.

    Il y a bien l'UDI, Boutin, mais ce sont des petis joueurs.

     

    Ils ont des pions dans tous les think tanks de toute façon, dans toutes les écoles, Universités, ils distillent leur idéologie.

    Dans tous les cas, les politiques sont à la fois façonnables, et, éjectables.
    JMLP a déjà été mis en orbite puis désintégré.

    Au passage encore,
     Marine se dit outrée par le procédé des enregistrements, prétextant de l'atteinte à l'Etat, elle faisait moins sa bégueule avec le libertarien Snowden.

     

  • Le libéralisme expliqué aux libéraux

    Alors que Marine Le Pen entreprend depuis quelques années une rediabolisation à l'insu de son plein gré, nous apprenons qu'une grande loge maçonnique française entend exclure un de ses membres pour cause de candidature sur les listes Rassemblement Bleu Marine aux municipales.

    C'est qui la franc-maçonnerie ? Des élus de la République ?
    Je n'ai jamais rien vu dans les institutions de la république qui reconnaisse ces sociétés.
    Qu'ils fassent mumuse entre eux, se donnent des airs d'humanistes, on en saurait reconnaître d'humains que les peuples.
    Les sociétés établies selon les critères de l'intérêt général et la chose publique, sont construites par les peuples dans leur totalité.
    En France, la transmission est publique, la justice est publique, le peuple est souverain, on ne voit pas qu'une infime partie puisse s'ériger au-dessus de tous les autres en les toisant de haut du haut de leur supériorité morale.

    Il s'agit de cohérence, quand les gens parlent au nom d'un prétendu humanisme, il faut leur rappeler ce qu'est l'humanisme.

    Mettre l'humain au centre, ce n'est pas établir des micro sociétés fermées au sein de la société et s'ériger de ce simple fait, en juge et en être supérieur du reste de cette société.


    Une fois cela dit, c'est le Front qui devrait se départir de ce candidat anti national.

    Le problème étant que la loge ignore que Le Front de Marine Le Pen a rejoint ses rangs.
    Marine fait écrire son programme par un libertarien, tenant de l'école autrichienne comme il vient de se déclarer lui-même.

    Les libertariens sont issus de la maçonnerie anglo saxonne (les Fils de la Liberté) et répondent à la vision individualiste la plus antirépublicaine qui soit.

    De plus, ils répondent précisément à la définition que Marine elle-même faisait de l'extrême-droite, à savoir, la droite de la droite, on ne fait rien de plus à droite que l'idéologie de l'école autrichienne d'économie.

    Pour l'Austrian School of Economics, "plus le régime est libéral, plus les conditions de la prospérité sont réunies et les niveaux de vie élevés car la division du travail peut opérer à plein et être correctement orientée vers la satisfaction des gens en tant que consommateurs".

    Il faut savoir lire le programme présidentiel de Marine en le mettant dans cette perspective.
    Je m'étais aperçue de la pâte libertarienne alors que j'ignorais la présence de Bernard Monot et son idéologie revendiquée.
    On la percevait notamment, et j'en avais fait état dans mes textes, via la notion de "liberté monétaire" qui n'est pas la souveraineté monétaire, de l'étalon-or, évidemment, marque libertarienne s'il en est, via l'immigration choisie (flexible), via le programme sur l'école avec notamment l'introduction du statut du chef d'établissement et de l'autonomie des écoles -j'avais expliqué comment cela était les prémices d'une privatisation-, la non remise en cause du programme de LifeLong Learning de l'OCDE, du patronat, de Delors, et, des souverainistes; etc.

    Cela confirme bien d'ailleurs que le mondialisme -qui est le libéralisme- est bien d'extrême-droite.
    La querelle qui oppose les libéraux entre eux, n'est que celle de savoir à quelle sauce le libéralisme est le mieux accompagné.
    Ainsi s'affrontent Ecole autrichienne et Ecole de Chicago, comme le rappelle le conseiller le plus influent de Marine Le Pen, se réclament lui de la première, celle qui entend lâcher l'individu dans la jungle libérale la plus sauvage.




     

     

     

     

     

     

  • Merci aux journalistes

    Le plan secret de l'ultra-droite

    Par , Manon Gauthier-Faure et Agnès Laurent, publié le 05/03/2014 à 07:23

    Des royalistes aux traditionalistes ou aux plus radicaux des militants antimariage homo, c'est une mouvance disparate qui cherche à se fédérer. Elle ne compte guère sur les politiques - FN compris - pour combattre le "changement de civilisation". Enquête sur les partisans, toujours plus mobilisés, d'un Tea Party à la française. 

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    Le plan secret de l'ultra-droite

     

    Jour de colère, à Paris, le 26 janvier: le drapeau français, symbole d'une fronde aux contours flous.

     

     

    REUTERS/Philippe Wojazer

     

    Il a touché la grille de l'Elysée. Le 24 mars 2013, ce jeune homme, opposant très déterminé au mariage gay, profite de l'affolement des forces de l'ordre à l'issue d'une grande manifestation pour palper de ses mains la porte du pouvoir. Il en retire un sentiment mêlé : toute-puissance et envie de contre-révolution.  

    Dix mois plus tard, le 26 janvier 2014, le voilà défilant au Jour de colère, un pluvieux dimanche, avec des dizaines de milliers de personnes. Il a voulu marcher, il a voulu crier, pour montrer son exaspération au gouvernement. Tout à sa désillusion institutionnelle, ce garçon a rejoint entre ces deux dates le Printemps français, la division jusqu'au-boutiste de la Manif pour tous, persuadé que l'initiative, la mobilité, et, in fine, la victoire seraient du côté des radicaux. En ce Jour de colère, a-t-il entendu l'animateur de l'un des cortèges prévenir, après avoir laissé son mégaphone de côté : "Vivement le putsch... Le but est d'inoculer à la population l'idée d'un coup d'Etat militaire" ? 

    >> À lire aussi: Manif pour tous: bientôt un Tea party français, vraiment? 

    Une tension couve dans le pays, alimentée par "la spirale de l'exacerbation du fondamentalisme identitaire", selon l'expression du sociologue de gauche Jean-Claude Kaufmann. Dans la conclusion de son dernier ouvrage, Identités. La bombe à retardement (Textuel), il annonce "cette catastrophe qui se caractérise par des éclats et des violences, devenant très vite incontrôlables". Dans son numéro de décembre 2013, le journal de l'Action française titre en Une : "Le pays légal, on n'en veut plus !" Dans son numéro de janvier, l'éditorial d'un journal catholique traditionaliste interroge : "Vers une révolution?" 

    Un projet plus vaste que le combat contre une loi

    Après s'être réveillée, l'ultra-droite française est désormais en train de se fédérer autour de dénominateurs communs. Présente à l'intérieur mais, surtout, en dehors des murs des partis politiques traditionnels, cette mouvance qui va de l'Action française, royaliste, aux catholiques, intégristes ou pas, en passant par les plus motivés des combattants du mariage homosexuel, veut rétablir un modèle de société. Elle s'appuie sur les "trois points non négociables" édictés par l'ancien pape Benoît XVI en 2006 : la protection de la vie à toutes ses étapes ; la reconnaissance et la promotion de la structure naturelle de la famille ; la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants. 

    Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français, en mai 2013, à Paris.

    Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français, en mai 2013, à Paris.

    AFP PHOTO/ FRANCOIS GUILLOT

    Un demi-siècle après le libertaire Mai 68 et son idéal supranational, la marée s'inverse au profit de la nation, de l'ordre, de la justice et de la famille. Si Frigide Barjot s'est fait exclure de la Manif pour tous après un an de mobilisation, c'est sans doute pour n'avoir pas compris qu'il y avait un projet plus vaste que l'éphémère combat contre une loi : lutter contre un changement de civilisation. Entre la famille sans histoires des défilés bleu-blanc-rose et l'étudiant du GUD aux slogans musclés, peu de points communs à première et à deuxième vue.  

    Et pourtant, les uns comme les autres votent par défaut, l'UMP et le FN ne répondant pas assez clairement à leurs priorités morales. Cette droite n'est plus ultra par sa violence physique, mais parce qu'elle entend cesser toute concession sur le plan éthique et n'a aucune considération pour l'autorité républicaine. Que prépare-t-elle? L'insurrection? Non. Il y a un plan, mais il se veut plus subtil. 

    Une partie du modèle se trouve aux Etats-Unis, au pays des think tanks et des levées de fonds. Plusieurs responsables de la Manif pour tous ou du Printemps français concèdent que des allers-retours y ont été effectués, notamment à l'été 2013, pour observer le modèle américain et bénéficier de ses subsides. Des voyages "à titre individuel", insistent-ils. "A l'inverse de nous, ils [les ultraconservateurs américains] ont l'argent, mais manquent de troupes militantes", compare un activiste catholique français.  

    Les Etats-Unis ont inventé le Tea Party, et cela fait rêver une partie de la France : moins formation politique qu'outil de nuisance de la société civile. Tel un liquide électoral, le Tea Party a vocation à s'infiltrer partout, dans toutes les primaires, dans toutes les réformes, pour faire plier républicains ou démocrates. Et propose parfois un candidat quand il estime n'être représenté par personne. 

    C'est exactement ce que fait la Manif pour tous avec sa charte pour les élections municipales, qu'elle soumet à la signature des candidats. Pour les européennes, cette charte au contenu très bioéthique pourrait être élargie à des questions fiscales, d'immigration ou de liberté d'expression, afin d'attirer à elle plus de soutiens. Le projet, poussé par le Printemps français, fait actuellement l'objet de discussions, entre ce collectif et son grand frère plus modéré, la Manif pour tous. 

    Très anglo-saxonne dans l'esprit, une structure comme l'Institut de formation politique (IFP) a vu ses effectifs tripler ces derniers mois. Plus de 300 personnes auront en 2013 suivi les exigeants séminaires de cette école qui combat "la sclérose économique et le relativisme moral", et où l'on apprend à convaincre, à parler en public ou à monter un projet de financement. Parmi les intervenants, outre des économistes libéraux, on retrouve Béatrice Bourges (porte-parole du Printemps français), Ludovine de La Rochère (présidente de la Manif pour tous) ou encore le directeur d'une fondation anti-IVG.  

    Le thème de leur prochain cours, le 7 mars : "L'engagement politique : pourquoi ? Jusqu'où ?" Début de réponse avec Alexandre Pesey, directeur de l'IFP : "Tout ne passe pas par l'élection ; la bataille des idées précède la bataille politique." Ancien journaliste à CNN, il se souvient avec gourmandise de ces fax envoyés par des think tanks conservateurs à la rédaction quelques minutes avant le début d'une émission politique : "Dans ces notes, il y avait pour les intervieweurs toutes les informations sur leur invité, y compris des déclarations faites vingt-sept ans plus tôt..." 

    Des ennemis communs fédèrent la nouvelle droite ultra

    Last but not least, Alexandre Pesey organise chaque année la Bourse Tocqueville, grâce à laquelle cinq ou six jeunes gens vont, pendant un mois, décou vrir le système politique américain. Ils y rencontrent des personnalités telles que le républicain ultraconservateur Ron Paul et des cercles de réflexion, le chrétien Family Research Council ou la fiscale National Taxpayers Union. En 2012, un des boursiers, étudiant à Sciences po, a rédigé un mémoire sur l'opposition au mariage gay aux Etats-Unis.  

    Robert Ménard, fondateur du site de "réinformation" Boulevard Voltaire: "Nous sommes sortis de la marge."

    Robert Ménard, fondateur du site de "réinformation" Boulevard Voltaire: "Nous sommes sortis de la marge."

    AFP PHOTO / PASCAL GUYOT

    A l'image des manifestants de l'ultra-droite, les membres de l'IFP s'éparpillent d'eux-mêmes dans la société civile et le monde politique. On les retrouve au Front national. Ou à l'UMP - avec l'assistant parlementaire de Jean-Claude Gaudin, Guillaume de Thieulloy. Pour cette mouvance, la formation d'un parti politique classique n'est pas à l'ordre du jour. Une occasion ratée, selon l'ancienne ministre Christine Boutin, présidente d'honneur du Parti chrétien-démocrate : "Si, au soir de la démonstration de rue du 26 mai 2013, la Manif pour tous s'était transformée en parti, il y aurait eu 300 000 adhérents, et c'était plus que l'UMP. Ils ont raté le coche." 

    Sans maison principale, la nouvelle droite ultra ne manque cependant pas de résidences secondaires communes. Sur les sites Internet qualifiés par leurs créateurs de "réinformation", les querelles de chapelle s'estompent grâce à des articles ciblant les ennemis communs que sont les ministres Manuel Valls et Najat Vallaud-Belkacem, la journaliste Caroline Fourest ou les Femen. Nouvelles de France, le Salon beige, Radio Courtoisie, le Panier à salades, le Rouge et le Noir, Agence Info libre, TV libertés : la liste n'a pas de fin parce qu'il en naît chaque mois.  

    Et les audiences cumulées n'ont rien à envier à celle d'un média dit "dominant". Boulevard Voltaire, fondé par Robert Ménard, cofondateur de Reporters sans frontières, est l'un des plus puissants. Quelque 350 contributeurs y signent des articles relativement courts. "Nous sommes sortis de la marge, se félicite Ménard. Les gens n'osaient ni dire ni lire ce qu'ils pensent. Maintenant, Libération et Le Nouvel Observateur font moins peur."  

    La droite ultra maîtrise parfaitement les outils de communication

    Le communicant Stéphane Pocrain, plume occasionnelle de la ministre Cécile Duflot, se dit "frappé par l'excellente maîtrise des outils de communication de la droite radicale. Finalement, ce n'est pas à gauche que l'appel à l'indignation de Stéphane Hessel a été entendu...". 

    Cette énergie-là s'incarne parfaitement chez un jeune homme comme Vivien Hoch (27 ans). Encarté à l'UMP pour Nicolas Sarkozy en 2007, passé auparavant par le Front national de la jeunesse, il se veut de tous les combats "suprapolitiques". Que ce soit à titre individuel ou comme coadministrateur, il gère une quarantaine de comptes Twitter, une vingtaine de pages Facebook et travaille à la fois pour le blog catholique le Salon beige, l'Observatoire de la christianophobie et l'organisation de Jour de colère. Depuis les locaux de l'Agrif, association catholique traditionaliste où il possède un bureau, il décrit : "J'ai des pieds partout." En se démultipliant, la droite ultra donne l'impression de se multiplier. 

    Ludovine de La Rochère, présidente de la Manif pour tous, à Nantes, le 23 novembre 2013.

    Ludovine de La Rochère, présidente de la Manif pour tous, à Nantes, le 23 novembre 2013.

    AFP PHOTO / JEAN-SEBASTIEN EVRARD

    Les paroisses catholiques intégristes et traditionalistes jouent un rôle important dans la formation de leurs ouailles, par le biais des écoles privées hors contrat ou du scoutisme. L'Action française s'active en tractant deux fois par semaine, comptant sur 200 militants mobilisables à tout moment dans la seule région parisienne.  

    Conscient de la nécessité de "se fédérer", le mouvement royaliste n'hésite pas à prêter ses locaux, près du Louvre, pour des réunions du Printemps français et élargit au maximum ses rendez-vous. Lors du colloque Carrefour royal du 18 janvier s'expriment l'ancien ministre de François Mitterrand Roland Dumas ou Eugène-Henri Moré, adjoint au maire de La Courneuve, membre du Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon.  

    Il y a également Paul-Marie Coûteaux, président de Souveraineté, indépendance et libertés (Siel), un microparti allié de Marine Le Pen. Identifié par le socialiste Julien Dray comme un personnage clef de l'ultra-droite pour "sa capacité de faire se rencontrer les gens", l'ancien collaborateur de Philippe Séguin assume parfaitement ce rôle : "Je déjeune en ville, j'écris, je dîne en ville, je lis, je dors, et, le matin, je téléphone..." 

    Il arrive à ce lettré d'organiser des événements moins informels qu'un repas à Saint-Germain-des-Prés. Le 25 janvier dernier, sur le thème "L'universel déni des identités", Paul-Marie Coûteaux réunit à la Maison de la chimie, dans le quartier des ministères, l'ancien député UMP Christian Vanneste, l'abbé Guillaume de Tanouärn, le directeur de Radio Courtoisie, Henry de Lesquen. A la veille du Jour de colère, son initiatrice Béatrice Bourges est présente. Marine Le Pen, qui n'ira pas défiler le lendemain, prononce en fin d'après-midi un discours. "Intellectuellement, tout cela est unifiable", assure Coûteaux. 

    Bonnets rouges et Tondus, des "alliés" circonspects

    Cela reste à prouver. Car la recomposition politique de l'extrême droite à la française ne s'appuie pas sur l'étatmajor frontiste. Pas vraiment intéressée par les sujets sociétaux, moins sensible à la thématique du "changement de civilisation" et obsédée par sa dédiabolisation, la présidente du FN apparaît peu compatible avec les idéologues de l'ultra-droite conservatrice 

    Ce que cette mouvance perd côté FN, elle tente de le regagner avec des alliés inhabituels, quitte à gonfler artificiellement ses troupes. Le 26 janvier, les organisateurs de Jour de colère se félicitent d'attirer à eux un spectre bien plus large qu'à l'accoutumée. Ce ne sont pas les partisans de Dieudonné qui font la fierté des promoteurs de la manifestation, mais les résidus des Bonnets rouges, petits patrons excédés par l'oppression fiscale.  

    Dans les faits, le soutien n'était pas si limpide. Ainsi, Guillaume de Thomas, dirigeant du mouvement radical des Tondus, avait clairement stipulé qu'il ne soutenait pas l'opération. "Jour de colère a pourtant indiqué que c'était "en collaboration avec les Tondus"", peste le chef d'entreprise. Florian Landès, des Citrons facilement exploitables (un collectif de patrons et d'artisans d'Albi qui proteste contre la réforme de la taxe professionnelle), avait, lui, donné son accord pour l'exploitation de son logo. Il s'est ensuite rétracté, en voyant la tournure trop politique que prenait l'événement. 

    Devant la Maison-Blanche, le 11 février, lors de la visite de François Hollande à Washington.

    Devant la Maison-Blanche, le 11 février, lors de la visite de François Hollande à Washington.

    AFP PHOTO/MLADEN ANTONOV

    Ces prospects tiquent, car cette radicalité qui transpire leur fait peur. Eux ne remettent pas en question le modèle démocratique ou républicain. Eux ne pensent pas que "les quenelles se glissent jusqu'au sommet de cette pyramide d'excréments sur laquelle est assise cette vieille prostituée de démocratie. [...] Aujourd'hui, on n'y croit plus. Il va falloir inventer un autre système". Ainsi parle Dieudonné, dans une vidéo postée en novembre 2013.  

    Quand un groupe de filles rejoint la contre-révolution, elles se baptisent "les Antigones". Dans la pièce de Sophocle, Antigone tient tête à la loi de la cité. Le GUD, après s'être défini par son anticommunisme puis par son antisionisme, se veut aujourd'hui une organisation "antisystème" avant tout. L'un de ses leaders observe : "Nous, nous n'avons pas besoin de changer de stratégie, puisque le peuple se radicalise de lui-même." 

    Les ultras dénoncent le "sectarisme" du gouvernement pour nourrir les rancoeurs. Le 30 janvier, dans les coulisses du journal télévisé de France 3, la ministre déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti, refuse de partager la même pièce que Ludovine de La Rochère, responsable de la Manif pour tous. Une anecdote que cette dernière ne se prive pas de relater dans son cercle. Un avocat de ses amis se désole : "On nous traite comme si nous étions des négationnistes. Le gouvernement fait l'inverse de ce qui se pratique dans le dialogue social, en décrédibilisant les plus modérés." 

    Pour eux, les choses sont claires : en ouvrant de nombreux fronts sociétaux au détriment du social, la gauche alimente les extrêmes. Ce carburant offert à l'adversaire excède aussi certains socialistes. Julien Dray attaque : "La théorie du genre à l'école, c'est la conséquence de l'influence d'un féminisme qui s'est radicalisé. Najat [NDLR : Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes], elle, est sur la ligne des féministes ultras américaines, qui sont en train d'émasculer les sexes !" 

    Hollande en première ligne

    Au gouvernement, le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, ronchonne devant son déjeuner; il a son idée sur le réveil de "ces réseaux nauséabonds d'extrême droite": "Les questions familiales, la représentation du père, etc. Ce ne sont pas des petits sujets. Et nous? On y va! Boum! Dedans! Sans trouver les bons mots, sans avoir le temps de les expliquer."  

    Face à une opposition menée par les catholiques, Stéphane Pocrain s'interroge sur la laïcisation de la société : " Il n'y a aucune transcendance républicaine à offrir en contrepartie. C'est à la philosophie politique de répondre à la philosophie religieuse. Mais la philosophie politique, ce n'est ni Standard & Poor's ni l'influence des lobbys sociétaux. " 

    François Hollande, président de l'apaisement, en première ligne des clivages : voilà un paradoxe qui dessine son quinquennat. Des appels à la démission sont lancés dans les manifestations, et une mère de famille de cinq enfants parvient à réunir 59 000 "j'aime" sur Facebook en lançant une page titrée "Hollande... Dégage!". Le 8 février, sur une place de Paris où un millier de personnes manifestent contre les Femen, le chef de l'Etat est une fois de plus la cible collatérale. A la tribune, le responsable d'une association catholique invective les féministes ukrainiennes, ces "bouffonnes du roi François, faux débonnaire et vrai queutard". 

    Pourtant à l'écoute des états d'âme de la société, le conseiller de François Hollande Bernard Poignant relativise le désamour. Le président ne ferait que catalyser la distanciation entre les Français et le personnel politique : " Il s'appellerait Dubois, ce serait pareil. " Le 3 février, quelques minutes avant le retrait du projet de loi sur la famille, le conseiller élyséen assurait encore : "Ce n'est pas la rue qui décide, c'est la loi." La rue a eu raison de la loi. La rue veut désormais dicter sa loi.


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/le-plan-secret-de-l-ultra-droite_1497206.html#yZhaeWHwStVGZXZd.99

  • Marine, arrête de nous précipiter dans l'abîme à cause de ton aveuglement intellectuel !

    Bernard Monot, le grand économiste de Marine Le Pen dont on ne trouve nulle trace sur le toile.
    Il est économiste comme Jean Robin est journaliste çui-là, bref, encore un escroc libertarien gracieusement fourni par la Cato Institute secte libérale de Washington.

  • Concentré de connerie des seconds coûteaux

    Paul-Marie Coûteaux n'a rien trouvé de plus malin que de faire référence aux camps de concentration pour évoquer le cas des Roms, en parlant d'un potentiel ministre courageux qui en ouvrirait.

    C'est très fin de sa part.
    Mais c'est très révélateur de sa mentalité d'extrême-droite, en espérant qu'il ne nous remette pas non plus les sidatoriums sur le tapis.

    En France, il n'y a pas de communautés autre que la communauté nationale, il n'y a pas de communauté gay ni rom.

    Ainsi, tout le monde doit se fondre à la norme.

    Quand on vit en France, on fait comme les Français.

    Et le rouleau compresseur républicain fait le reste.

    Il existe des exemples de Roms qui ont commencé dans la rue et qui ont fini brillamment à l'université, c'est cette voie qu'il faut suivre.
    Il n'y a pas de déterminisme, il n'y a que la foi dans notre civilisation.

     

    D'autre part, nous sommes pour rétablir nos frontières, sortir des Accords de Schengen, contrôler l'immigration, revenir sur le droit du sol et de la nationalité, qui s'hérite ou se mérite, et qui confère des droits qui ne sont pas les mêmes que ceux des non-nationaux.

    Et pendant que Paul-Marie Coûteaux s'excite sur les Roms, des idéologies étrangères à la France et qui la détruisent, pénètrent tous les mouvements politiques, dont le Front à l'extrême, par des gens comme PMC justement, et ça, ça ne dérange évidemment pas.

  • Retour aux sources

    La source du Point : l’ultra-libéral Ifrap (pour qui travaille aussi Aymeric Chauprade)

    Ce tableau provient de l’Ifrap, think tank ultra libéral, « qui n’est pas réputé pour l’exactitude de ses données », glisse Jean-Christophe Sarrot. D’une part, la proximité entre l’Ifrap et Le Point est une vieille histoire. Voir déjà, les attaques sur les « profs sous employés » ou sur les « doublons de compétences ». 

    Ensuite, la directrice de la fondation, Agnès Verdier-Molinier, avait ses entrées à l’Elysée du temps de Nicolas Sarkozy. Elle serait une égérie du libéralisme à tout crin, est très prisée par les grands patrons. Plus radicale dans sa pensée libérale que le Medef, elle figurait néanmoins parmi les invités de l’université d’été du syndicat des patrons en 2013. Et elle accepte périodiquement quelques prestations pour les Medef départementaux.

    Dans son livre « Les fonctionnaires contre l’Etat », publié en 2011, celle qui se présente comme une journaliste économique a lancé une lourde charge contre ces fonctionnaires « privilégiés dans la crise », en « grève en toute impunité », qui « vivent au-dessus de nos moyens »… Dans son dernier livre « 60 milliards d’économie ! », elle attaque indifféremment l’État, les collectivités locales et la Sécurité sociale « prêts à tout, même à nous spolier », une pensée très antisociale.

    La proximité entre les idées de l’Ifrap et le Medef est évidente : le 29 août, dans un entretien pour l’hebdomadaire L’Usine nouvelle, Pierre Gattaz, Président du Medef, cite l’Ifrap et ses rapports sur le thème de la baisse de la dépense publique. En outre, sur les retraites, l’Ifrap publie en mai ses « 15 clés de la réforme » dont la majeure partie est reprise par le Medef dans les « 24 propositions pour équilibrer durablement nos régimes de retraite », publié en juillet.

    Un tableau truffé d’erreurs

    Le tableau de l’Ifrap qui prétend que « Ne pas travailler peut rapporter autant qu’un Smic » est pourtant truffé d’erreurs ...

  • Comment les puissances d'argent ont créé de libertarianisme et l'école autrichienne d'économie par Anthony Migchels le 17 Février 2012

    Comment les puissances d'argent ont créé de libertarianisme et  l'école autrichienne d'économie
    par Anthony Migchels le 17 Février 2012

    "Vous dites que le marxisme est l'antithèse même du capitalisme, qui est tout aussi sacré pour nous [la puissance de l'argent] C'est précisément pour cette raison qu'ils sont contraires directs à l'autre, qu'ils ont mis dans nos mains les deux pôles de la planète et nous permettent d'être de son axe. Ces deux contraires, comme le bolchevisme et nous-mêmes, trouvent leur identité dans l'International ". 
    Otto Kahn, banquier d'investissement

    William S. Volker (1859-1947) était un homme d'affaires germano-juive aisée. Consternée par la montée du socialisme en Amérique, il a créé le fonds Volker pour fournir une idéologie réactionnaire fondée sur «laissez-faire» et le darwinisme social. C'était à devenir de libertarianisme.

    Cet article a été écrit pour Henry Makow

    Libertarianisme et sa soeur jumelle économie autrichienne ont été inventés par la puissance de l'argent pour être de l'autre côté de la dialectique avec le communisme.

    Selon ce rapport étonnant , toutes les citations non spécifiées dans cet essai sont prises d'elle, "Volker avait pas grand savant ou penseur. L'idéologie, il a décidé de créer a été construit à l'envers, en commençant seulement avec un ensemble de conclusions de brouillard pour laquelle il avait une prédisposition. A partir de ces conclusions, il a la tâche de la fortune considérable de Volker de trouver un ensemble de justifications, puis une idéologie permettant ou «théorie» qui lui a donné toute perspective et de l'unité et, à terme, une véritable plate-forme philosophique à partir de laquelle lancer l'ensemble ".

    Même si Volker n'était pas un économiste de philosophe, il avait de l'argent et, très important, les relations influentes avec l'Université de Chicago, fondée par John D. Rockefeller.

    Ceci s'est avéré être un lien crucial.

    Neveu Harold Luhnow de Volker a pris sur le Fonds en 1944.

    Friedrich Hayek «la route de la servitude» a été publié la même année. Avec sa défense du capitalisme «laissez-faire» et affirment que toute tentative de réglementation conduirait inévitablement au totalitarisme, c'est exactement ce que le Fonds Volker avait cherché. C'est alors seulement que le fonds Volker commencé à avoir un impact réel. Il a organisé une réimpression du livre de Hayek à l'Université de Chicago et fait en sorte que le livre s'est retrouvé dans toutes les bibliothèques aux États-Unis.

    Le Fonds Volker financerait tous les grands économistes autrichiens et aurait un impact considérable sur la «école de Chicago de l'économie», notamment Milton Friedman.

    Von Mises, qui tout au long de sa carrière jamais occupé un emploi payé à une université, a été maintenue d'abord par David Rockefeller et ensuite pendant des décennies reçu de l'argent de la caisse Volker et hommes d'affaires connexes, comme Laurent Fertig. 
    biographe de Von Mises, Richard M. Ebeling : 
    " Beaucoup de lecteurs peuvent être surpris d'apprendre à quel point l'Institut universitaire puis Mises lui-même dans les années immédiatement après qu'il est venu aux États-Unis ont été maintenus à flot financièrement grâce aux généreuses subventions de la Fondation Rockefeller. En fait, pour les premières années de la vie de Mises aux États-Unis, avant sa nomination comme professeur invité à la Graduate School of Business Administration de l'Université de New York (NYU) en 1945, il était presque totalement dépendants de subventions annuelles de recherche de la Fondation Rockefeller. "

    David Rockefeller lui-même a été cité comme disant : « Enfin, dans sa déclaration la plus surprenante, il a révélé lui-même un adepte de l'école autrichienne d'économie estime. Friedrich Hayek avait été son tuteur à la London School of Economics dans les années 1930. "

    Rothbard trop a été financé par le Fonds Volker: 
    "Rothbard a commencé son travail de consultation pour le Fonds Volker en 1951. Cette relation a duré jusqu'en 1962, quand la VF a été dissous. Une grande partie du travail de Rothbard pour la VF consistait à lire et évaluer des livres, des articles de journaux et d'autres documents. Sur la base de rapports écrits par Rothbard et un autre lecteur - Rose Wilder Lane - les administrateurs de la VF se décider soit de procéder diffusion massive des œuvres particulières aux bibliothèques publiques.

    Rothbard appelé plus tard son travail avec le Fonds Volker, «le meilleur travail que j'ai jamais eu dans ma vie."

    Le Fonds Volker a également exploré une tactique qui consistait à trouver une application plus large plus tard: il a engendré un très grand nombre d'organisations, mal organisés pour suggérer l'indépendance mutuelle et un «mouvement libertaire». Parmi ceux-ci était la Fondation pour l'éducation économique, qui à son tour créer la Société du Mont-Pèlerin.

    Le Mont Pelerin Society
    La Société du Mont-Pèlerin a été nommé d'après l'alpage suisse où la première conférence a eu lieu. Elle a été fondée par Hayek avec le soutien financier du fonds Volker, qui a payé les frais de tous les participants américains. Co-fondateurs clés étaient von Mises, Milton Friedman et Karl Popper.

    Pas moins de huit prix Noble de l'économie devaient être gagné par les membres Mont Pelerin dans les décennies à venir. Pas mal, pour un «mouvement de frange, ignoré par le Mainstream».

    Le Mont Pelerin, à son tour, a supervisé la création de nombreuses institutions influentes. L'un d'eux était l'Institut des affaires économiques à Londres, 1955. Cette organisation a réinventé le Parti conservateur, dont Margeret Thatcher a été de dire: « Vous avez créé l'atmosphère qui a rendu notre victoire possible ... Puis-je vous dire combien nous sommes reconnaissants à ceux qui ont rejoint votre grande entreprise. Ils étaient quelques-uns, mais ils avaient raison, et ils ont sauvé la Grande-Bretagne. "

    La Fondation du patrimoine est également le résultat de la Société du Mont-Pèlerin, de même que le Manhattan Institute for Policy Research et l'Atlas Economic Research Foundation, qui à son tour a donné naissance à une pléthore de groupes de réflexion, dont l'Institut Fraser.

    Le montant d'argent qui a été investi dans tout cela a été formidable: "John Blundell, le chef de l'AIE, dans un discours à la Fondation du patrimoine, et de l'Atlas en 1990, permettraient d'identifier une panne rare dans les efforts de la Société. Secouant la tête à la tentative avortée de subventionner «Chaires de Free Enterprise" universitaires dans des dizaines de pays à travers le monde, Blundell plaint de perdre, "des centaines de millions, peut-être un milliard de dollars". Ce n'était qu'une initiative parmi d'autres ".

    La famille Koch.
    Volker Le fonds a été dissoute en 1962. Il y avait toujours de 7 millions de dollars en actifs, qui en fit don à la société Hoover.

    Mais dans le même temps une autre famille juive très riche, la famille Koch (voir « les milliardaires sionistes qui contrôlent Politique »), avait pris en charge l'organisation de libertarianisme et de l'économie autrichienne.

    Fred Koch a fondé la John Birch Society en 1958. Ed Griffin, il a fait ses études. Il écrivit plus tard un livre célèbre, "la créature de Jekyll Island". Ce fut une resucée de de brillantes 'Secrets Eustace Mullins de la Réserve fédérale », à une exception près: il a laissé à tous Mullins 'analyse de l'étalon-or comme une opération de banquier et comment la demande de la Grande-Bretagne pour les taxes payées en or ont été la cause de la guerre de l'Indépendance. Au lieu de cela, il a appelé à la réintégration d'un étalon-or. Il s'agit d'un élément clé de l'histoire comment l'économie autrichienne a réussi à prendre la «vérité Mouvement» .

    Le fils de Charles Koch Koch a fondé l'Institut CATO, avec Murray Rothbard. L'Institut CATO reste à ce jour une prise libertaire leader.

    Libertarianisme comme un mouvement juif
    plupart des libertaires avancés sont ou étaient juifs . Von Mises, Rothbard, Ayn Rand, Irwin (et Peter) Schiff. Selon Peter Schiff, son grand-père Jacob Schiff n'est pas le même que le fameux financier.

    Rothbard lui-même avait des vues intéressantes sur la race et les inégalités sur le marché libre : "Rothbard était fier d'être un« raciste »parce que le racisme exposé la véritable source de l'inégalité dans un marché libre, à savoir la génétique. La croyance en l'inégalité raciale biologique était, pour Rothbard, une partie du projet libertaire, parce que l'inégalité raciale était tout simplement la façon dont les marchés reflètent la nature. De plus, ce n'était pas soudaine conversion: Rothbard promu le même point de vue, dès 1973, ici ".

    Suprématisme juif Donc peut être retracé directement au promoteur principal de l'économie autrichienne lui-même.

    Conclusion
    le libertarianisme et l'école autrichienne ne sont pas les produits de libres penseurs non conformistes. Au contraire, tous les principaux partisans du mouvement étaient des personnes très connectés. Dans les premières années du Fonds Volker a fait d'énormes sommes d'argent disponibles, parce que l'économie autrichienne a été considéré comme la bonne réponse au communisme, à maintenir la dialectique du pouvoir de l'argent a besoin .

  • Marine nous refourgue la querelle libérale américaine et s'inspire de la plus extrémiste

    Appelez-moi Maggie, Maguy Le Pen

    Maggie Le Pen & the Austrian School of Economics

    B
    ernard Monot (Groupe AREVA ? Aucune information à son sujet sur la toile, très étonnant) est l'un des conseillers les plus influents au sein du FN depuis 2006. On lui doit notamment la «nouvelle doctrine» du parti, écrite en réalité depuis 2007. "Nous nous inspirons très fortement de l'école autrichienne d'économie." dixit Bernard Monot.

    Je rappelle que j'avais remarqué qu'aux présidentielles, Marine Le Pen parlait de "liberté monétaire" et non de "souveraineté monétaire", ce qui est bien différent.


  • Le Front libertarien enfin dévoilé

    La candidature de ce «praticien des marchés financiers», économiste de l'ombre et homme clef de la doctrine économique du Front national, est dévoilée lundi à Chartres par Marine Le Pen.

    Marine Le Pen doit révéler son nom lundi 24 février lors d'une conférence de presse à Chartres.

    Homme de l'ombre du Front national dont il est sympathisant depuis plus de vingt-cinq ans et adhérent depuis 1989, Bernard Monot est, avec Jean-Richard Sulzer (responsable de la commission économique), l'un des conseillers les plus influents au sein du FN depuis 2006.

    On lui doit notamment la «nouvelle doctrine» du parti, écrite en réalité depuis 2007, qui s'est construite à partir de l'anticipation de la crise de 2008.

    «Nous avions vu arriver le big-bang dès 2005 et c'est d'ailleurs pour cela que j'avais rencontré Jean-Marie Le Pen à l'époque, explique Bernard Monot.

    Nous nous inspirons très fortement de l'école autrichienne d'économie par opposition à l'école de Chicago qui nous a conduits dans la situation où nous sommes.
     
     
    Notre ambition repose sur une nation et une monnaie comme cela existe partout dans le monde, pour pouvoir décliner la politique monétaire et nous rendre compétitifs au niveau mondial.»