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"Chacun est seul responsable de tous" - Page 218

  • Un petit tour en extrême-droite pilotée par David Horowitz (Heritage Foundation)

    david horowitz at heritage 13.11.2013
    David Horowitz, multimilliardaire, Heritage Foundation, le grand financier



    Marine a bien changé, avant, tous les frontistes qui auraient participé à ce genre de saloperies auraient été explusés illico presto.

    Heu, tape la bise à Horowitz Marine, ses lobbies sont au mieux de leur forme grâce à toi, tu devrais demander des fonds, tu le vaux bien.

    "En ce moment la manifestation du 9 mars 2014. Les participants se rassemblent à Vincennes, esplanade Saint Louis (94), puis 
    défileront sur l'itinéraire suivant : 
    avenue Daumesnil, rue Lyon, place de la Bastille, rue Saint Antoine, rue de Rivoli, rue de la Coutellerie, avenue Victoria à contresens (pause), chaussée latérale ouest de l’Hôtel de Ville (à contresens), quai de Gesvres (à contresens), place du Châtelet, boulevard de Sébastopol, rue de Rivoli, place de la Concorde, pont de la Concorde, quai d’Orsay, place de la Résistance, quai Branly, pont d’Iéna. 
    La dispersion est envisagée place de Varsovie (16e) vers 18 heures. 
    Oskar Freysinger de l’UDC, Jacques Bompard, député-maire d’Orange, l’écrivain Renaud Camus, l’inventeur du concept du « Grand Remplacement », Fabrice Robert, président du Bloc identitaire mais aussi Paul-Marie Coûteaux, président du SIEL et Administrateur du RBM (Rassemblement Bleu Marine) prendront la parole. Par ailleurs, Philippe Martel, tête de liste FN-RBM pour le 18ème arrondissement de Paris et Fabien Engelmann, ex-délégué CGT et tête de liste FN pour les élections municipales à Hayange seront aussi présents lors de ce rassemblement.

    Avec un mot d'ordre très clair ("non au grand remplacement" et "non à l'islamisation"), cette manifestation doit envoyer un signal fort au gouvernement : dorénavant, notre peuple doit pouvoir, souverainement, se prononcer sur son avenir."

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    Robert Spencer, Pamela Geller & friends: Clockwise from top-left - Mitt Romney, Newt Gingrich, Allen West, John Bolton, with Kevin Carroll, chairman of the far-right BFP, and Stephen Yaxley-Lennon (a.k.a. Tommy Robinson), co-founder of the EDL


    Geert 
    Wilders, Robert Spencer, Pamela GellerOskar Freysinger
    Assises Internationales de l'islamisation



    Barbie et Ken by HF, ils ne se quittent plus.eysinger 



    Quelques livres publiés aux Editions David Reinharc (disponibles sur Internet et en librairies)

    Comment le peuple palestinien fut inventé, David Horowitz et Guy Millière

    Sans concessions, William Goldnadel

    Face à l’Islam radical, Daniel Pipes et Guy Millière

    L’État de trop, Fabien Ghez.

    Vive Israël ! , William Goldnadel (à paraître)



    Pierre Renversez (connu sous son nom de plume : DAVID ERZET) est président de l'association belge NONALI, contre la charia et responsable de l'ICLA  (Opus Dei, Heritage Foundation) en Belgique




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    Pamela Geller with Lord Pearson, millionaire insurance man, who defected from the Conservatives to join UKIP, becoming its leader in 2009 after an anti-Islam campaign

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    Pamela Geller et David Horowitz

     

  • La journée de la femme étant aussi la journée de la CIA, nos hommages

    Photo de Marilyn Monroe prise par l'armée américaine le 26 juin 1945, dix-neuf ans, avant qu'elle se fasse refaire le menton et le nez quatre ans après.
    Droguée, prostituée et au service de la CIA.

     

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    Lien permanent Catégories : Brèves
  • Born again ou mouvement dégénéré

    J'espère que le nouveau mouvement étudiant du Front n'est pas une résurgence du Renouveau Etudiant, royaume de la droite, des beuveries et des zigueries.
    Il était d'ailleurs un anti FNJ, comme nous étions un anti RE, mais comme tout est à front renversé depuis la reprise en main du Front par la droite ...

     
    Lien permanent Catégories : Brèves, Ecole
  • Le jour où j'ai avorté

    C'est une chose que je n'ai jamais dite à personne, même si tout le monde le sait, ma mère l'ayant propagée de façon mal intentionnée il y a deux-trois ans, ayant même appelé des journalistes pour le leur dire -certains m'ont même contactée pour me dire que même s'ils ne partageaient pas mes idées, ils trouvaient cela moyen- dans un élan du coeur dont elle seule a le secret.

    C'est une chose que je voulais dire, j'attendais de rencontrer une personne à qui je pourrais raconter ce terrible fardeau.
    Ne rencontrant jamais personne capable de m'écouter, je me confie une fois de plus à ma page blanche, c'est elle qui permet toujours tous les réconforts.

    Oui, je sais déjà, impudeur, narcissicisme, mythomanie, on m'a déjà tout dit.
    Que m'importe, je ne respire pas en fonction de ce que disent, pensent, extrapolent les gens sur moi.

    Je me moque royalement du regard des autres, et je crois que je l'ai prouvé toute ma vie, je n'aurais pas eu le parcours que j'ai si j'avais peur de mon ombre.

    Je ne relativise pas du tout le sujet, je dis au contraire que le poids est trop lourd pour moi-même.
    J'y pense réguièrement, mais aussitôt je jette un blanc, je forme un mur, je ne veux pas.

    J'avais dix-neuf ans, je fréquentais un garçon depuis mes quinze ans, mon véritable premier amour avec lequel je suis restée près de huit ans.
    A dix-neuf ans, je partais pour Londres dans le cadre de mes études, quinze jours après, je savais.
    J'étais très mal, loin de tout, saturée de travail, seule.
    J'ai prétexté un mal du pays, dans tous les cas, j'avais du mal à retenir longtemps des larmes.

    De retour en France, j'ai appelé des religieuses en cherchant de l'aide dans l'annuaire.
    Elles n'ont pu m'aider, elles m'ont seulement donné le numéro d'un médecin.
    Je lui ai dit qui j'étais, il m'a dit qu'il fallait que j'en parle à mes parents.

    J'ai eu beaucoup de mal et un soir, lors d'une de ses longues promenades que je faisais avec ma mère, je lui apprends que j'attends un bébé.

    Elle connaissait ma relation depuis longtemps, en revanche, je n'avais jamais pris de moyen de contraception.
    Je suis fille de médecin, j'ai un Bac D, nous avions étudié toute la Terminal le sujet de la procréation, je sais tous les bébés jusqu'aux prémices de la génétique, je ne peux pas dire que j'ai été prise au dépourvu.
    Pourtant ...

    J'appréhendais tellement sa réaction, qui fut glaciale, comme attendu, que je lui dis dans la foulée que je ne vais pas le garder.

    Ma mère devrait me connaître, depuis toute petite, je pouponne, ma petite soeur, mon petit frère, mes petits cousins, j'achète dès que je peux de la layette pour mes poupées, que j'ai toujours eues et gardées dans ma chambre, et même un lit de bébé , ce qui exaspérait ma soeur et faisait se moquer mes copines, je gardais des bébés et des enfants tout le temps.

    A dix-neuf ans, il était inconcevable que j'arrête mes études, en fait, je n'arrivais même pas à concevoir une vie différente en dehors des parents et des études, je n'avais jamais envisagé l'avenir, sauf une chose, devenir maman.

    Sans autre discussion, ma mère a pris un rendez-vous pour une échographie.
    On a vu quelque chose, j'ai bien vu cette forme.
    Cette forme n'avait pas de forme, mais moi, j'ai vu mon bébé, je trouvais même bêtement des ressemblances, je le trouvais beau, et je pleure la nuit.

    Tout se passe très vite.
    J'en parle au papa, c'était un garçon très doux, un ange.
    Mais là, il me dit : "Il est bien de moi j'espère".

    Cela fait un choc.
    Je suis restée quelques années ensuite encore avec lui, mais cela a marqué incontestablement une cassure.
    Quelques années après il m'avait dit qu'il se sentait prêt à être papa, j'ai eu un sourire triste.

    Dans cet espace très laid de la Rue Barla, tout était froid, aucune chaleur ni dans l'agencement des locaux ni dans le personnel.
    Vous passez, vous n'êtes qu'un numéro.
    Je pleurais, j'étais un problème, on a dit qu'il y avait un problème avec moi.
    Une psychologue est venue me voir, je crois n'avoir jamais vu un sourire aussi faux, aussi méchant.
    J'ai dit que je savais que c'était un bébé.

    Elle m'a dit que j'allais voir, que ça allait vite passer, elle voulait que ça aille vite.
    Le médecin est venu me voir, il était en colère : "Vous voulez le gardez ou pas."
    J'avais pensé à ma mère, j'ai dit que non. On m'a endormie.

    Je me souviens des femmes avec moi, une maman, très décontractée, avec ses trois autres enfants qui étaient venus la rechercher.
    Une autre, assez âgée, sans doute mon âge aujourd'hui, mais déjà frippée, décolorée, froide, une sorcière à faire peur, les autres -nous devions être cinq- je ne m'en souviens plus, elles ne parlaient pas trop, j'étais la seule à être mal, on m'a séparée du groupe.

    On ressort le lendemain.
    Personne ne s'aperçoit de rien.

    Chez moi, on n'a rien dit, on n'en a plus parlé.

    Personne n'a jamais dit ce que j'attendais, personne ne m'a dit que ce n'était pas la fin du monde, qu'il y avait une autre voie, bien plus heureuse, personne ne m'a dit que cet enfant, je pouvais le garder, et peut-être même, qu'on allait m'aider.


    Je ne veux pas me dédouaner, je savais parfaitement ce que je faisais, mais je n'ai jamais, à aucun moment, senti que j'avais le choix.


    Quand je suis tombée enceinte de mon premier enfant, je travaillais à temps complet tout en poursuivant mes études, je m'étais inscrite pour passer une autre maîtrise, de Droit International, plus en rapport avec mon travail.
    Je vivais dans mon appartement, j'étais à ma charge et autonome, mes parents s'étaient séparés l'année d'avant de façon impromptue, mes frères et soeurs étaient partis, je n'avais plus de famille.

    Le papa et moi ne nous fréquentions que depuis trois mois.
    Il habitait entre la Baule et Paris, et moi à Nice.
    Autant dire que ce n'était pas vraiment prévu.
    J'en avais averti le père par téléphone, nous ne nous voyions que rarement, il avait dit qu'on en reparlerait.

    Lors d'une randonnée en montagne, un ami me fait remarquer que j'ai changé, et là, je lui ai dis tout de suite que j'attendais un bébé. Je n'avais même pas fait de test, je le savais.

    Nous dormons tous dans les collines de la Madone des Fenestres.
    Je n'ai pas peur, je me sens parfaitement bien, cet enfant, il peut arriver n'importe quoi, il sera toujours avec moi.


    Cette équipe de randonneurs étaient composés de responsables du Front, le papa était à Paris, il militait au siège du Front, mais travaillait au Ministère de l'Agriculture.

    Il m'appelle peu de temps après, furieux.
    Il n'était pas content que je l'ai révélé.

    J'étais moitié sereine moitié inquiète, j'ai dit que je voulais le garder mais qu'il n'était pas obligé d'en subir les conséquences.

    Il m'a rappelée, nous nous sommes revus.
    Nous avons vécu ainsi, lui au Nord, moi à Nice.

    J'ai fini par démissionner de mon travail, et par le rejoindre à Paris, et nous avons eu trois autres enfants, magnifiques. Je pense avoir aimé le papa de tout mon soûl.

    Ma mère, que j'appelais régulièrement, ne s'est jamais déplacée pour venir les voir, ni à leur naissance ni jamais, sauf une fois, elle se rendait chez ma soeur en Guadeloupe et avait besoin de garer sa voiture pendant le séjour, pour ne pas payer le parking de l'aéroport.


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      Henry P Si tu avais connu SOS Tout Petits - Ton bébé serait encore là... Nous t'aurions aidés, discrètement mais sûrement... d'ailleurs, il est : son âme est éternelle, il t'aime et pense à toi... 
      Je partage ta peine (autant que je le peux, moi qui ne suis qu'un homme, je ne peux pas tout comprendre) mais en tant que grand-père je commence à être pas mal au courant. Sais-tu qu'il existe des cessions de guérisons profondes pour ce traumatisme de l'âme ?
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      Oriane Borja Je n'ai pas envie que mon âme oublie.
      On peut vivre avec les douleurs les plus profondes, sans doute comprend-on mieux encore le sens de la vie.
      Et je n'aurais pas aimé être sous l'emprise d'une secte.
      Après mes études de droit, j'ai appris que la Loi n'avait pas été respectée.
      La Loi Veil comprend deux alinéas, le premier -le plus important- est formel, la règle, c'est la vie, c'est de mettre tous les moyens en oeuvre pour cela.
      Le second, c'est l'exception.
      Or cette Loi a été pervertie par ceux qui s'en sont emparés parce d'autres ont déserté parce qu'elle leur faisait peur.
      L'exception est devenue la règle.




  • A quand la journée de la sous-femme ?

    Alors que je profitais hier de ma dernière non-journée de moi-même en attendant son retour dès demain, l'agression verbale ce matin d'une jeune militante FN par un militant PS, m'a rappelé certains souvenirs.

    Aux dernières cantonales de Saint-Nazaire, le ténor communiste avait pris son élan et m'avait foncé très violemment dedans comme un bélier, devant tout le monde et créant un attroupement pour l'arrêter, et notamment devant la militante féministe en chef du secteur. 

    Je lui avais demandé si ça ne lui faisait rien, elle avait haussé les épaules tout en bégayant trois mots, hébétée que je lui demande des comptes sur le comportement de son acolyte.

    J'ai été plusieurs fois agressée sur les marchés, systématiquement par des hommes.

    Je dois mentionner qu'une fois, la candidate Modem locale, sur le marché de Rezé est intervenue devant la sauvagerie d'un homme à mon égard, disant que même si elle ne partageait pas mes idée, il était inconcevable de laisser faire, et elle a pris à partie tous les autres candidats -des hommes- qui avaient laissé faire sous leurs yeux.

  • Tarte à la crème municipale

    Municipales, l'enracinement de 2014 correspond à celui de 1995 qui n'a pas fait long feu.
    Les listes, faites de bric et de broc, comme en 95, ne sont guère plus crédibles.
    Sur cinq cents, s'il y a ne serait-ce qu'une dizaine de têtes de liste potentiellement capables ...
    Pour ne rien dire du reste de la liste, les jeunes (la propagande qui consiste à dire que l'on met les jeunes en avant trompe qui ? On met ce qu'on a sous la main, voilà tout) et les mourants étant bien sûr les bienvenus.

    Une chose est sûr, il y a moins de lâches en période faste.

    Certes, on prend le peuple pour des cons, le pouvoir est à ce prix, pense sans doute Marine.
    Une fois, élu, sûr, on le respectera.
    Avec quoi, on ne sait pas, avec la méthode "Cauet" sans doute, qui consiste à faire passer les vessies pour des lanternes.

    Vous me direz, les autres listes sont-elles plus réjouissantes ...

  • Ces choses étrangères qui nous parlent

     
    Pour la journée de la femme, le 8 mars, Julie Gayet joue dans un court-métrage choc contre le mariage forcé > http://bit.ly/1fPfpr4
    Pour la journée de la femme, le 8 mars, Julie Gayet joue dans un court-métrage choc contre le mariage forcé > http://bit.ly/1fPfpr4


    C'est étrange.

    On sent que ça a été fait pour parler aux musulmans, qui sont à l'évidence concernés, tout en se payant au passage les catholiques.

     

    Mais moi, par exemple, ma mère est issue d'une famille très bourgeoise et très catholique, son frère aîné est prêtre, comme il se doit, et j'ai souvenir que ma mère, en pension aux Dames de Saint-Maur à Monaco de l'âge de deux ans à dix-huit ans, est tombée rapidement enceinte juste après, qu'elle avait deux amoureux, que sa famille a choisi le plus riche, et mon père était bien plus âgé qu'elle, et l'a forcée à se marier.

     

    Et ça ne rigolait pas, c'était où le mariage ou elle quittait la maison.

     

    De l'autre côté, le père de mes enfants, a été abandonné par son père.

     

    On sait qui c'est, un ingénieur, très catholique, d'une famille très bourgeoise, il a payé une sorte de pension à sa mère, très longtemps et sans que celle-ci ne demande rien.

     

    Les deux familles lui avaient demandé d'accoucher sous X, d'abandonner l'enfant à la naissance, ce qu'elle a fait, avant de se rétracter un jour avant la date fatidique des trois mois où il allait être adopté.

     

    Il porte d'ailleurs toujours les trois prénoms d'usage que l'on donnait aux enfants abandonnés : Philippe Pierre François.

    Et la mère a dû aller se cacher chez des soeurs parce qu'elle n'avait pas réussi à se faire épouser.

     

    L'enfant - le père de mes enfants- a été confié en famille d'accueil jusqu'à ses trois ans, en sachant qu'on l'a laissé emmailloté, sans affection durant ses trois premiers mois.

     

    C'est tout.

     

    Personnellement, toute l'expérience que j'ai tirée des secrets de ma famille, c'est de la philosophie, du recul, de la sagesse, un cynisme bienveillant, mais je l'avoue, une franche réfraction à l'hypocrisie.

    Pour le père de mes enfants, je pense que c'est une fragilité qu'il a hélas, que j'ai toujours vue et que j'ai voulu soigner, en vain.

    Le mariage forcé concerne d'après les chiffres, 6 % des catholiques, et 12 % des musulmans.


    Il y a les mariages forcés chez les catholiques, mais aussi les forcés au non-mariage.
    Mon oncle a été mis au séminaire à l'âge de cinq ans, et forcé de devenir prêtre.
    Les catholiques enjoignent aussi leurs enfants homosexuels à devenir prêtre, ou à se marier.

    Pourtant, notre culture a toujours fait référence à l'amour, toute notre littérature en parle, Chevaliers de la Table Ronde, Tristan et Iseult, Roméo et Juliette, nos Contes et nos Légendes, Molière, Beaumarchais.
    Intellectuellement, la France a toujours refusé le mariage de raison.

    Le mariage de raison s'accorde parfaitement avec l'idéologie libérale, qui fait passer l'économique avant les sentiments.
    Flaubert, Balzac nous racontent comment ce sont des arrangements de petits bourgeois.

    "Même si les motifs de Tristan sont directement liés à ceux de mythes celtiques, il n'est pas difficile d’établir des relations entre les romans antiques et les romans de Tristan, notamment celui de Thomas. En effet, les caractéristiques les plus originales de ce dernier par rapport à la version commune, comme la multiplication des monologues et des commentaires au détriment du récit pur, semblent empruntées au roman antique. Elles sont la base d’une réflexion sur l’amour au sein même du roman qui se rapproche des préoccupations de certains romans antiques. Surtout, et ici de façon plus générale, les romans de Tristan, même si aucun n'est complet, retracent le parcours du héros de sa naissance jusqu’à sa mort. Ils se caractérisent par ce que Baumgartner appelle dans son étude Tristan et Iseut : de la légende aux récits en vers une « structure biographique » qui calque « le temps du récit sur le modèle du temps humain ». Cette structure est héritée en droite ligne des romans antiques."


    Lien permanent Catégories : Education
  • Serait-ce possible alors ...

    C'est là que dans les enregistrements de Buisson, figure celui où un des meilleurs amis de Nicolas et de Carla (il a même appelé sa deuxième fille Carlita), lui présente sa première fille : Marion Maréchal Le Pen.

  • Vipère au Point

     

    Le Point se fournit auprès de l'IFRAP, Think tank extrême-libéral américain qui veut tuer l'école française.

    Et vous ?


    http://www.ifrap.org/Le-Point-Fonction-publique-le...

    Le Point | Fonction publique - iFRAP
    www.ifrap.org
    Jeudi 20 février, le magazine Le Point reprend l’étude à paraître de la Fondation iFRAP
  • L'Alliance européenne de Marine et les amis nazis de BHL

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    Belgique et Ukraine. Anatolyy Osukhovskyy, qui dirige le bureau de Svobada (Ukraine) à Bruxelles, a rencontré, fin octobre 2013, Frank Creyelman du Vlaams Belang. Ils ont discuté d’une possible coopération entre les deux partis politiques.

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    Frank Creyelman et Anatolyy Osukhovskyy

    Frank Creyelman et Anatolyy Osukhovskyy

     

     Head of Svoboda's representative office in Brussels Anatolyy Osukhovskyy held a meeting with Frank Creyelman, one of the leaders of the Flemish nationalist party Vlaams Belang.

     

    Both parties profess traditional European and Christian values, morality and culture, thus the representatives discussed the possibility of cooperation between the two political forces.

     

    Last year, Frank Creyelman participated in the Ukrainian elections as an international observer. The politician stated that he may again personally witness the upcoming by-election to the Verkhovna Rada, and will register as an observer in the 223 constituency where Svoboda's Yuriy Levchenko is registered as a candidate.

     

    The attendees then agreed that in order to identify areas of cooperation, more frequent meetings shall take place between the two parties in the future.

     

    Press Service of Svoboda

     

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