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"Chacun est seul responsable de tous" - Page 218

  • Marine perd le Nord pour gagner sa race

    Canal + traite les électeurs du Front comme des sous-citoyens, et Marine  comme des sous-cons.


    Le député européen italien de la Ligue du Nord, Mario Borghezio, a été ovationné samedi à la convention du Bloc identitaire, à Orange (Vaucluse), lorsqu'il a crié à la tribune: "Vive les Blancs de l'Europe, vive notre identité, notre ethnie, notre race".Habitué des dérapages, l'eurodéputé, qui s'exprimait en français, s'est d'abord enthousiasmé pour "notre soleil, notre ciel bleu, comme les yeux de nos femmes". "Bleu, dans un peuple qui veut rester blanc, comme d'autres cultures", a-t-il ajouté. Puis, sous les ovations des quelques centaines de personnes présentes au Palais des princes d'Orange, il a lancé: "Vive les Blancs de l'Europe, vive notre identité, notre ethnie, notre race".Le député européen, invité du mouvement d'extrême droite français, avait commencé son discours sur un ton résolument radical, avant d'attaquer à plusieurs reprises les musulmans."Il faut être avec le livre, la doctrine", "mais il faut aussi bâtonner", avait-il lancé, "bâtonner" voulant visiblement dire "bastonner"."Et il faut, quand notre patrie charnelle est envahie, il faut bâtonner", avait-il ajouté, s'enflammant à la tribune.


    Le Front national et la Ligue du Nord veulent s'unir à Strasbourg

    lemonde.fr
    Les deux partis souhaitent s'unir après les élections européennes pour défendre des objectifs communs




    "En 2009, M. Salvini s'était déclaré favorable à des wagons séparés pour les Milanais de souche dans le métro de la capitale lombarde. La Ligue du Nord attaque ad hominem Cécile Kyenge, la ministre de l'intégration italienne, seule Noire du gouvernement.

    En France, la Ligue du Nord est pris en exemple par le Bloc identitaire (extrême droite radicale). Ces deux formations ont beaucoup de points communs, notamment l'Europe des régions, la xénophobie et l'islamophobie."

     

    "FN et Ligue du Nord sont opposés sur de nombreux sujets essentiels. L'un, le FN, se dit« jacobin », farouche partisan de « l'Etat nation » et opposant tout aussi virulent au« régionalisme ». De son côté, la Ligue du Nord est séparatiste et prône une Europe des « peuples ». Elle souhaite l'indépendance du Nord de l'Italie, qui regroupe les régions les plus riches du pays.

    « Le discours de la Ligue du Nord est le contraire de celui du FN. Ils sont fondamentalement opposés. La Ligue milite pour le démembrement des Etats nations », précise Jean-Yves Camus, chercheur associé à l'Institut de relations internationales et stratégiques, spécialiste de l'extrême droite européenne. Par ailleurs, leur xénophobie les empêche d'avoir une vision « assimilationniste » de l'immigration, comme le revendique le FN."

    L'accord a été conclu entre la présidente du FN, Marine Le Pen, et le nouveau patron du parti autonomiste italien de la Ligue du Nord, Matteo Salvini, lors d'une rencontre à Strasbourg mercredi 15 janvier.

    C'est vrai qu'après ça, on ne voit pas bien pourquoi on empêcherait Paul-Marie Coûteaux  et les candidats frontistes de se pavaner avec les Identitaires.

     
  • Une dose dans le cartable

    La propagande d'extrême-droite fait tourner en boucle un fait-divers selon lequel les petits belges seraient incités à ne plus amener de bonbons à l'école, la cause en serait l'islam.

    Nos anti bougnoules en goguettes, de pousser les hauts cris, on ne peut plus bouffer de Haribo à l'école !

    Mais je veux, qu'on n'amène plus de bonbons à l'école, ces parents aiment-ils tant leurs enfants pour leur donner autant de merde ?

    Et s'ils ne pensent pas aux leurs -ou s'ils s'en débarrassent avec ça-, qu'ils pensent au moins aux autres, ras-le-bol de toutes ces sucreries qui circulent entre les cartables !

    Et vous croyez que le sussucre va leur suffire longtemps ?
    Demain, le hakik et la gnôle pour leurs mauvaises passes ?

  • Où l'histoire ne dit si PMC était derrière Camel Bechikh lors de la Manif Pour Tous

    J’aime ·  · Promouvoir · 

  • Les camps, c'est pour le Front National

    Marine, PMC a un message pour toi :

    "Si le mot "camp" a été mal interprété, je le regrette. (...) Je suis catholique, je ne suis pas au Front National, je suis gaulliste. Comment voulez-vous que je demande l'érection de camps de concentration en 2014 ? Si le mot "camps" que j'ai utilisé connote ces camps-là, alors oui, je vous le répète, je regrette de l'avoir utilisé", affirme dans un entretien à Metronews.fr le président du Siel (Souveraineté, Indépendance et Libertés).

    PMC, laissez parler son inconscience ...

    Marine, PMC nuit à l'esthétique du Front.

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • Un petit tour en extrême-droite pilotée par David Horowitz (Heritage Foundation)

    david horowitz at heritage 13.11.2013
    David Horowitz, multimilliardaire, Heritage Foundation, le grand financier



    Marine a bien changé, avant, tous les frontistes qui auraient participé à ce genre de saloperies auraient été explusés illico presto.

    Heu, tape la bise à Horowitz Marine, ses lobbies sont au mieux de leur forme grâce à toi, tu devrais demander des fonds, tu le vaux bien.

    "En ce moment la manifestation du 9 mars 2014. Les participants se rassemblent à Vincennes, esplanade Saint Louis (94), puis 
    défileront sur l'itinéraire suivant : 
    avenue Daumesnil, rue Lyon, place de la Bastille, rue Saint Antoine, rue de Rivoli, rue de la Coutellerie, avenue Victoria à contresens (pause), chaussée latérale ouest de l’Hôtel de Ville (à contresens), quai de Gesvres (à contresens), place du Châtelet, boulevard de Sébastopol, rue de Rivoli, place de la Concorde, pont de la Concorde, quai d’Orsay, place de la Résistance, quai Branly, pont d’Iéna. 
    La dispersion est envisagée place de Varsovie (16e) vers 18 heures. 
    Oskar Freysinger de l’UDC, Jacques Bompard, député-maire d’Orange, l’écrivain Renaud Camus, l’inventeur du concept du « Grand Remplacement », Fabrice Robert, président du Bloc identitaire mais aussi Paul-Marie Coûteaux, président du SIEL et Administrateur du RBM (Rassemblement Bleu Marine) prendront la parole. Par ailleurs, Philippe Martel, tête de liste FN-RBM pour le 18ème arrondissement de Paris et Fabien Engelmann, ex-délégué CGT et tête de liste FN pour les élections municipales à Hayange seront aussi présents lors de ce rassemblement.

    Avec un mot d'ordre très clair ("non au grand remplacement" et "non à l'islamisation"), cette manifestation doit envoyer un signal fort au gouvernement : dorénavant, notre peuple doit pouvoir, souverainement, se prononcer sur son avenir."

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    Robert Spencer, Pamela Geller & friends: Clockwise from top-left - Mitt Romney, Newt Gingrich, Allen West, John Bolton, with Kevin Carroll, chairman of the far-right BFP, and Stephen Yaxley-Lennon (a.k.a. Tommy Robinson), co-founder of the EDL


    Geert 
    Wilders, Robert Spencer, Pamela GellerOskar Freysinger
    Assises Internationales de l'islamisation



    Barbie et Ken by HF, ils ne se quittent plus.eysinger 



    Quelques livres publiés aux Editions David Reinharc (disponibles sur Internet et en librairies)

    Comment le peuple palestinien fut inventé, David Horowitz et Guy Millière

    Sans concessions, William Goldnadel

    Face à l’Islam radical, Daniel Pipes et Guy Millière

    L’État de trop, Fabien Ghez.

    Vive Israël ! , William Goldnadel (à paraître)



    Pierre Renversez (connu sous son nom de plume : DAVID ERZET) est président de l'association belge NONALI, contre la charia et responsable de l'ICLA  (Opus Dei, Heritage Foundation) en Belgique




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    Pamela Geller with Lord Pearson, millionaire insurance man, who defected from the Conservatives to join UKIP, becoming its leader in 2009 after an anti-Islam campaign

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    Pamela Geller et David Horowitz

     

  • La journée de la femme étant aussi la journée de la CIA, nos hommages

    Photo de Marilyn Monroe prise par l'armée américaine le 26 juin 1945, dix-neuf ans, avant qu'elle se fasse refaire le menton et le nez quatre ans après.
    Droguée, prostituée et au service de la CIA.

     

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    Lien permanent Catégories : Brèves
  • Born again ou mouvement dégénéré

    J'espère que le nouveau mouvement étudiant du Front n'est pas une résurgence du Renouveau Etudiant, royaume de la droite, des beuveries et des zigueries.
    Il était d'ailleurs un anti FNJ, comme nous étions un anti RE, mais comme tout est à front renversé depuis la reprise en main du Front par la droite ...

     
    Lien permanent Catégories : Brèves, Ecole
  • Le jour où j'ai avorté

    C'est une chose que je n'ai jamais dite à personne, même si tout le monde le sait, ma mère l'ayant propagée de façon mal intentionnée il y a deux-trois ans, ayant même appelé des journalistes pour le leur dire -certains m'ont même contactée pour me dire que même s'ils ne partageaient pas mes idées, ils trouvaient cela moyen- dans un élan du coeur dont elle seule a le secret.

    C'est une chose que je voulais dire, j'attendais de rencontrer une personne à qui je pourrais raconter ce terrible fardeau.
    Ne rencontrant jamais personne capable de m'écouter, je me confie une fois de plus à ma page blanche, c'est elle qui permet toujours tous les réconforts.

    Oui, je sais déjà, impudeur, narcissicisme, mythomanie, on m'a déjà tout dit.
    Que m'importe, je ne respire pas en fonction de ce que disent, pensent, extrapolent les gens sur moi.

    Je me moque royalement du regard des autres, et je crois que je l'ai prouvé toute ma vie, je n'aurais pas eu le parcours que j'ai si j'avais peur de mon ombre.

    Je ne relativise pas du tout le sujet, je dis au contraire que le poids est trop lourd pour moi-même.
    J'y pense réguièrement, mais aussitôt je jette un blanc, je forme un mur, je ne veux pas.

    J'avais dix-neuf ans, je fréquentais un garçon depuis mes quinze ans, mon véritable premier amour avec lequel je suis restée près de huit ans.
    A dix-neuf ans, je partais pour Londres dans le cadre de mes études, quinze jours après, je savais.
    J'étais très mal, loin de tout, saturée de travail, seule.
    J'ai prétexté un mal du pays, dans tous les cas, j'avais du mal à retenir longtemps des larmes.

    De retour en France, j'ai appelé des religieuses en cherchant de l'aide dans l'annuaire.
    Elles n'ont pu m'aider, elles m'ont seulement donné le numéro d'un médecin.
    Je lui ai dit qui j'étais, il m'a dit qu'il fallait que j'en parle à mes parents.

    J'ai eu beaucoup de mal et un soir, lors d'une de ses longues promenades que je faisais avec ma mère, je lui apprends que j'attends un bébé.

    Elle connaissait ma relation depuis longtemps, en revanche, je n'avais jamais pris de moyen de contraception.
    Je suis fille de médecin, j'ai un Bac D, nous avions étudié toute la Terminal le sujet de la procréation, je sais tous les bébés jusqu'aux prémices de la génétique, je ne peux pas dire que j'ai été prise au dépourvu.
    Pourtant ...

    J'appréhendais tellement sa réaction, qui fut glaciale, comme attendu, que je lui dis dans la foulée que je ne vais pas le garder.

    Ma mère devrait me connaître, depuis toute petite, je pouponne, ma petite soeur, mon petit frère, mes petits cousins, j'achète dès que je peux de la layette pour mes poupées, que j'ai toujours eues et gardées dans ma chambre, et même un lit de bébé , ce qui exaspérait ma soeur et faisait se moquer mes copines, je gardais des bébés et des enfants tout le temps.

    A dix-neuf ans, il était inconcevable que j'arrête mes études, en fait, je n'arrivais même pas à concevoir une vie différente en dehors des parents et des études, je n'avais jamais envisagé l'avenir, sauf une chose, devenir maman.

    Sans autre discussion, ma mère a pris un rendez-vous pour une échographie.
    On a vu quelque chose, j'ai bien vu cette forme.
    Cette forme n'avait pas de forme, mais moi, j'ai vu mon bébé, je trouvais même bêtement des ressemblances, je le trouvais beau, et je pleure la nuit.

    Tout se passe très vite.
    J'en parle au papa, c'était un garçon très doux, un ange.
    Mais là, il me dit : "Il est bien de moi j'espère".

    Cela fait un choc.
    Je suis restée quelques années ensuite encore avec lui, mais cela a marqué incontestablement une cassure.
    Quelques années après il m'avait dit qu'il se sentait prêt à être papa, j'ai eu un sourire triste.

    Dans cet espace très laid de la Rue Barla, tout était froid, aucune chaleur ni dans l'agencement des locaux ni dans le personnel.
    Vous passez, vous n'êtes qu'un numéro.
    Je pleurais, j'étais un problème, on a dit qu'il y avait un problème avec moi.
    Une psychologue est venue me voir, je crois n'avoir jamais vu un sourire aussi faux, aussi méchant.
    J'ai dit que je savais que c'était un bébé.

    Elle m'a dit que j'allais voir, que ça allait vite passer, elle voulait que ça aille vite.
    Le médecin est venu me voir, il était en colère : "Vous voulez le gardez ou pas."
    J'avais pensé à ma mère, j'ai dit que non. On m'a endormie.

    Je me souviens des femmes avec moi, une maman, très décontractée, avec ses trois autres enfants qui étaient venus la rechercher.
    Une autre, assez âgée, sans doute mon âge aujourd'hui, mais déjà frippée, décolorée, froide, une sorcière à faire peur, les autres -nous devions être cinq- je ne m'en souviens plus, elles ne parlaient pas trop, j'étais la seule à être mal, on m'a séparée du groupe.

    On ressort le lendemain.
    Personne ne s'aperçoit de rien.

    Chez moi, on n'a rien dit, on n'en a plus parlé.

    Personne n'a jamais dit ce que j'attendais, personne ne m'a dit que ce n'était pas la fin du monde, qu'il y avait une autre voie, bien plus heureuse, personne ne m'a dit que cet enfant, je pouvais le garder, et peut-être même, qu'on allait m'aider.


    Je ne veux pas me dédouaner, je savais parfaitement ce que je faisais, mais je n'ai jamais, à aucun moment, senti que j'avais le choix.


    Quand je suis tombée enceinte de mon premier enfant, je travaillais à temps complet tout en poursuivant mes études, je m'étais inscrite pour passer une autre maîtrise, de Droit International, plus en rapport avec mon travail.
    Je vivais dans mon appartement, j'étais à ma charge et autonome, mes parents s'étaient séparés l'année d'avant de façon impromptue, mes frères et soeurs étaient partis, je n'avais plus de famille.

    Le papa et moi ne nous fréquentions que depuis trois mois.
    Il habitait entre la Baule et Paris, et moi à Nice.
    Autant dire que ce n'était pas vraiment prévu.
    J'en avais averti le père par téléphone, nous ne nous voyions que rarement, il avait dit qu'on en reparlerait.

    Lors d'une randonnée en montagne, un ami me fait remarquer que j'ai changé, et là, je lui ai dis tout de suite que j'attendais un bébé. Je n'avais même pas fait de test, je le savais.

    Nous dormons tous dans les collines de la Madone des Fenestres.
    Je n'ai pas peur, je me sens parfaitement bien, cet enfant, il peut arriver n'importe quoi, il sera toujours avec moi.


    Cette équipe de randonneurs étaient composés de responsables du Front, le papa était à Paris, il militait au siège du Front, mais travaillait au Ministère de l'Agriculture.

    Il m'appelle peu de temps après, furieux.
    Il n'était pas content que je l'ai révélé.

    J'étais moitié sereine moitié inquiète, j'ai dit que je voulais le garder mais qu'il n'était pas obligé d'en subir les conséquences.

    Il m'a rappelée, nous nous sommes revus.
    Nous avons vécu ainsi, lui au Nord, moi à Nice.

    J'ai fini par démissionner de mon travail, et par le rejoindre à Paris, et nous avons eu trois autres enfants, magnifiques. Je pense avoir aimé le papa de tout mon soûl.

    Ma mère, que j'appelais régulièrement, ne s'est jamais déplacée pour venir les voir, ni à leur naissance ni jamais, sauf une fois, elle se rendait chez ma soeur en Guadeloupe et avait besoin de garer sa voiture pendant le séjour, pour ne pas payer le parking de l'aéroport.


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      Henry P Si tu avais connu SOS Tout Petits - Ton bébé serait encore là... Nous t'aurions aidés, discrètement mais sûrement... d'ailleurs, il est : son âme est éternelle, il t'aime et pense à toi... 
      Je partage ta peine (autant que je le peux, moi qui ne suis qu'un homme, je ne peux pas tout comprendre) mais en tant que grand-père je commence à être pas mal au courant. Sais-tu qu'il existe des cessions de guérisons profondes pour ce traumatisme de l'âme ?
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      Oriane Borja Je n'ai pas envie que mon âme oublie.
      On peut vivre avec les douleurs les plus profondes, sans doute comprend-on mieux encore le sens de la vie.
      Et je n'aurais pas aimé être sous l'emprise d'une secte.
      Après mes études de droit, j'ai appris que la Loi n'avait pas été respectée.
      La Loi Veil comprend deux alinéas, le premier -le plus important- est formel, la règle, c'est la vie, c'est de mettre tous les moyens en oeuvre pour cela.
      Le second, c'est l'exception.
      Or cette Loi a été pervertie par ceux qui s'en sont emparés parce d'autres ont déserté parce qu'elle leur faisait peur.
      L'exception est devenue la règle.




  • A quand la journée de la sous-femme ?

    Alors que je profitais hier de ma dernière non-journée de moi-même en attendant son retour dès demain, l'agression verbale ce matin d'une jeune militante FN par un militant PS, m'a rappelé certains souvenirs.

    Aux dernières cantonales de Saint-Nazaire, le ténor communiste avait pris son élan et m'avait foncé très violemment dedans comme un bélier, devant tout le monde et créant un attroupement pour l'arrêter, et notamment devant la militante féministe en chef du secteur. 

    Je lui avais demandé si ça ne lui faisait rien, elle avait haussé les épaules tout en bégayant trois mots, hébétée que je lui demande des comptes sur le comportement de son acolyte.

    J'ai été plusieurs fois agressée sur les marchés, systématiquement par des hommes.

    Je dois mentionner qu'une fois, la candidate Modem locale, sur le marché de Rezé est intervenue devant la sauvagerie d'un homme à mon égard, disant que même si elle ne partageait pas mes idée, il était inconcevable de laisser faire, et elle a pris à partie tous les autres candidats -des hommes- qui avaient laissé faire sous leurs yeux.

  • Tarte à la crème municipale

    Municipales, l'enracinement de 2014 correspond à celui de 1995 qui n'a pas fait long feu.
    Les listes, faites de bric et de broc, comme en 95, ne sont guère plus crédibles.
    Sur cinq cents, s'il y a ne serait-ce qu'une dizaine de têtes de liste potentiellement capables ...
    Pour ne rien dire du reste de la liste, les jeunes (la propagande qui consiste à dire que l'on met les jeunes en avant trompe qui ? On met ce qu'on a sous la main, voilà tout) et les mourants étant bien sûr les bienvenus.

    Une chose est sûr, il y a moins de lâches en période faste.

    Certes, on prend le peuple pour des cons, le pouvoir est à ce prix, pense sans doute Marine.
    Une fois, élu, sûr, on le respectera.
    Avec quoi, on ne sait pas, avec la méthode "Cauet" sans doute, qui consiste à faire passer les vessies pour des lanternes.

    Vous me direz, les autres listes sont-elles plus réjouissantes ...