Robert Ménard serait un bon candidat au Prix Razel et à la Bourse Tocqueville s'il n'avait pas dépassé la limite d'âge.
Nul doute que la libertarienne sphère va se pâmer.
Le chômage n'est pas suffisant, les habitants de Béziers qui ne trouvent pas de travail sont maintenant prévenus, on les prend a priori pour des profiteurs et des privilégiés, et on s'en prend à leurs enfants.
On commence par leur supprimer la garderie du matin -comme quoi, le chômeur se lève de bonne heure-, qui est payante au demeurant, et sans doute bientôt la cantine monsieur Ménard.
La mesure est bien sûr purement idéologique, Ménard donne des gages à ses maîtres, il est à la bonne heure libérale avec une précision d'Horloger ...
La mission n'est-elle pas de rompre avec tout ce qui fait la spécificité de la France et qui nous attache encore à la protection d'un Etat garant de l'Unité nationale et du principe d'égalité républicaine.
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Bob Ménard et la double peine pour les enfants de chômeurs
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Tuerie de Bruxelles et les réseaux russes de Lieberman
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Assassinats de Bruxelles, détails sur l'autre piste
"Le site du journal Israel Hayom ajoute aujourd'hui un détail intéressant à propos de leur collaboration antérieure avec Nativ, une agence d'espionnagefondée en 1952 et devenue semi-clandestine après la fin de la guerre froide. Extrait:
Il y a quatre ans, ils (les Riva) ont été envoyés travailler en Allemagne par le ministère des Affaires étrangères.
Selon Yediot Aharonot, ils ont vécu à Berlin jusqu'en 2011.
En 2009, responsable de Nativ et soucieux de l'avenir de la communauté juive allemande, le ministre des Affaires étrangères était déjà celui de mai 2014: Avigdor Lieberman. Leader de l'extrême droite locale, cet ultra-nationaliste (rencontré en secret par Manuel Valls à la mi-février) s'était distingué sur la scène politique pour avoir suscité le courroux du Mossad, du Shin Beth et del'Agence juive pour une raison spécifique: sa volonté d'utiliser Nativ pour favoriser l'émigration en Israël des citoyens juifs originaires de Russie et résidant en Allemagne.
Dans son poste antérieur (celui de ministre des Affaires stratégiques de 2006 à 2008), il avait ainsi bravé la désapprobation des organisations juives allemandes et la colère de plusieurs haut-responsables israéliens qui s'opposèrent à son projet (annoncé en 2006) car il était susceptible de saborder l'amitié israélo-allemande.
En 2005, le quotidien Haaretz rapportait que Nativ, dans le collimateur du Mossad qui la jugeait caduque et encombrante, ne devait son maintien que par la volonté du Premier ministre alors en exercice: Ariel Sharon. Dans sa foulée, Avigdor Lieberman a repris le flambeau et a réorienté la mission de l'agence en direction des 200 000 juifs russes d'Allemagne.
Ancienne ambassadrice d'Israël en Ukraine et ex-conseillère politique de Lieberman, Naomi Ben-Ami dirige Nativ depuis sept ans. L'Agence juive l'accusa en 2008 d'avoir provoqué une crise diplomatique avec l'Allemagne, pays allié, pour avoir exaucé le souhait de son mentor: ce dernier, d'origine russe, comptait précisement sur ces potentiels citoyens israéliens originaires de l'ex-Union soviétique pour consolider sa propre base électorale.
En janvier 2008, un article du Jerusalem Post rapportait un détail intrigant au regard du profil des victimes israéliennes de Bruxelles: selon le quotidien, la récente démission de Lieberman du poste des Affaires stratégiques devait geler un projet décidé en juillet 2007 et relatif à l'envoi -en Allemagne- de "deux émissaires" de Nativ. Sa dirigeante n'avait pas commenté cette information et l'entourage de Lieberman s'etait contenté de réitérer son souhait que ce projet aille jusqu'au bout.
Un an plus tard, Lieberman revint au gouvernement et dans le ministère, plus puissant, des Affaires étrangères. C'est alors que le couple Riva, travaillant pour Nativ, fut envoyé en Allemagne sous sa tutelle. Troublante similitude: leur départ -dont les détails sont inconnus à ce jour- semble s'inscrire dans la reprise du projet antérieur de 2006-2008 (dit "Operation Germany").
Dans le contexte actuel de la crise russo-ukrainienne, le rôle de Nativ, autrefois attaquée publiquement par le Mossad, a pris une ampleur inattendue. Critiquée également dans un rapport officiel (paru fin 2013) en raison de son opacité, l'agence -qui constitue toujours une tête de pont avec les communautés juives de Russie, d'Ukraine et d'Allemagne – demeure sous la tutelle ministérielle d'un seul homme qui continue de l'instrumentaliser: Avigdor Lieberman. De notoriété publique, ce dernier aspire à succéder à Benyamin Netanyahou au poste de Premier ministre.
Transformée en tremplin politique à usage personnel, Nativ n'en finit pas d'agacer: les rivaux politiques de Lieberman comme les groupes hostiles à l'émigration juive hors d'Allemagne demandent toujours la cessation des activités de l'agence.
Rien n'exclut que la fusillade du Musée juif de Bruxelles soit l'oeuvre d'un"terroriste" antisémite agissant à l'aveugle mais, au regard de l'engagement passé du couple Riva au sein d'une organisation controversée, rien ne permet non plus d'écarter la piste d'un assassinat ciblé en guise de représailles. Ou d'avertissement. "
HICHAM HAMZA
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L'école à l'épreuve des pièges mondialistes (reprise)
Un vieux texte passé sur AgoraVox et où le du revenu minimum crédit formation est évoqué (il doit y avoir une discussion sur le sujet ensuite), avant que mes anciens "amis" ne me bloquent définitivement l'accès de ce media :
samedi 15 octobre 2011 - par orianeborja
L’école à l’épreuve des pièges mondialistes, dernières nouvelles
Les politiques éducatives sont aujourd'hui bien ancrées dans le mondialisme, entièrement élaborées et conduites par les instances économiques et financières internationales, nous les retrouvons dans toutes les réformes gouvernementales sans que souvent, tant personnels politiques que pédagogiques n'y comprennent quoi que ce soit.
Au sujet du statut du directeur d’école :
Ce statut serait un danger pour l’école républicaine, enfin, ce qu’il en reste dans les structures, les méthodes républicaines d’apprentissage, poursuivent, elles, leur tranquille disparition pour laisser place aux méthodes mondialistes.
Une fois de plus, il faut l’analyser à l’aune de l’idéologie mondialiste.
Ce sont les dirigeants de l’ERT (European Round Table) affiliés au groupe Bilderberg, qui pilotent les politiques mondialistes avec l’Ocde, on retrouve leurs desiderata directement dans toutes les directives de l’UE en matière éducative.
Ils instillent les idées d’autonomie des établissements scolaires, en se servant toujours d’idiots-utiles, car ce sont des prémices nécessaires à l’instauration progressive, selon la théorie de l’ajustement de l’Ocde, de la libéralisation à venir du marché éducatif.
La personnalité juridique implique le statut d’Etablissement Public Administratif de l’école.
Or les critères du passage de l’EPA à l’EPIC sont déjà réunis pour les établissements qui ne seraient plus destinés à rester publics, l’école publique ne concernera qu’un reliquat poubelle destiné aux indigents, servant de garderie ou d’antichambre à la prison.
L’Etablissement public industriel et commercial est régi en majorité par le droit privé, il faut trois critères pour passer de l’EPA à l’EPIC, ils seront vite atteints puisque l’Education tout au long de la vie (Lifelong Learning, autre concept mondialiste élaboré par le monde économique) les prévoit :
- l’école devient au sein de l’Education tout au long de la vie, un produit culturel comme un autre, avec services à la carte
- il faut qu’une partie des ressources soit d’origine privée, ce qui se fait progressivement pour de nombreux projets sous-traités (voyages dits pédagogiques, journées découverte, projets intra muros du type la Main à la pâte, Défi lecture, Big Challenge, etc.), logiciels éducatifs actuellement fournis gracieusement par des entreprises privées (School.net, Beneyluschool, et autres sociétés qui se positionnent d’ores et déjà).
- enfin, le critère de rendement évalué par les Livrets de compétences de l’Ocde, commandés et au service des magnas de l’European Round Table
Cette réalité du passage d’EPA à EPIC est ajourd’hui celle du CNED.
Quant au passage de l’EPIC en Sociétés Anonymes, voire complètes privatisations quand les capitaux sont majoritairement privés, nous connaissons :
France Télécom, d’Electricité de France, de Gaz de France, d’Aéroports de Paris.
Un nouveau statut signifierait également un nouveau concours, même pas sûre que les directeurs actuels l’obtiendraient, aujourd’hui, le métier est prisé par des surdiplômés qui ont du mal à gagner leur vie dans le privé, ils ont l’habitude de travailler beaucoup et le bilan coût-avantage est vite fait, surtout pour une femme. J’y vois d’ailleurs la raison du glisssement de cette profession de la gauche vers la droite.
L’EN emploie d’ailleurs directement des enseignants qui n’en sont pas et qui viennent du monde de l’entreprise.
On a vu ainsi la nomination à la direction d’une université d’un grand patron de l’European Round Table pour laquelle la transformation est toute stratégique.
Ce qui est appelé pudiquement le « partenariat public-privé » par les mondialistes, est un piège qui mènera directement à la privatisation au service du monde marchand.
Et si l’on fait miroiter un statut dont on bout du compte, il est essentiellement question de revalorisation salariale, elle sera conditionnée à l’adéquation aux résultats attendus par l’aune entrepreneuriale bien comprise dans les compétences DESECO de l’Union Européenne.
La « nécessité » d’un statut de directeur d’école ne se fait que parce les politiques mondialistes concomitantes le demandent, le maître n’est plus maître dans sa classe, il doit s’inscrire dans une pédagogie de groupe, construire des projets dont il ne sera pas plus maître, s’aligner sur des plans de formation, etc., qui s’articuleront autour de l’idée d’adéquation aux objectifs de « régions apprenantes » (concept mondialiste qui casse toute idée de diplômes nationaux, l’éducation n’est vue que comme outil pour mettre à disposition une main-d’oeuvre opérationnelle, flexible, mobile à l’échelle planétaire en fonction des besoins du marché, l’apprendre à apprendre de l’éducation et la formation tout au long de la vie est fait pour cela), le système est bien bouclé, le monde marchand l’a noyauté bien plus dangereusement que les idiots-utiles du ministère.
Au sujet de l'évaluation des élèves en maternelle :
Il est vrai que les enfants portent toute leur vie les carences essentiellement éducatives que leurs parents leur ont données en héritage.
En maternelle, ceux qui ne suivent pas sauf pathologies très rares, sont ceux dont les parents n’ont pas pris gare à leur éducation.
Mais il faut bien comprendre ce dont il s’agit, et voir que la maternelle a cessé d’être la préparation à l’entrée dans l’écriture et la lecture pour ne s’attarder que sur des procédés superficiels et illusoires du vivre-ensemble, entre méthodes globales et nombrilisme.
En l’occurrence, la mesure annoncée relève du Livret de compétences et autre rapport Pisa, Pirls (c’est-à-dire des instances mondialistes) qui entendent très clairement établir une traçabilité de la viande humaine et ne l’évalueront qu’à l’aune de leurs propres prescriptions. Ce sont des politiques demandées par le monde économique et qui seront appliquées dans tous les pays de l’Ocde et même au-delà.
Et puis, il faut bien que les industriels adaptent les prochains logiciels ludopédagogiques destinés à « enseigner » à nos enfants, et que le marché éducatif à la carte prennent ses marques.
Or leur façon de jauger est idéologique, tant sur le fond que dans la forme, elle est superficielle, la méthode de type Assimil est utilisée à tous les niveaux, y compris dans le relevé de compétences.
Il est intéressant de lire dans les derniers rapports de l’Ocde qu’ils ont dorénavant définitivement renoncé à leur précédente idéologie égalitariste, leurs experts ayant conclu que l’économie du XXI ème siècle a besoin de peu de diplômés et pour rentabiliser l’affaire, de peu d’enseignants (à remplacer par des encadrants).
Autonomie et flexibilité sont les deux nouvelles mamelles de l’enseignement.
Chacun recevra un socle commun minimaliste, le darwinisme social se chargeant de faire le tri pour extirper une petite élite tout aussi stupide mais adaptée au système.
Enfin, peut-être un jour, même l’économie comprendra-t-elle qu’elle est perdante à ce petit jeu.
Autrement, il va s’agir pour nous, de vite changer nos logiciels concernant la façon de juger les politiques éducatives, si nous nous refusons à connaître le Nouvel ordre éducatif mondial, nous tomberons dans tous ses pièges.
Un exemple de ces pièges techniques :
Le "Compte formation universel régional" est un concept issu de l'Education tout au long de la vie.
C'est une première étape dans l'idée de la Banque mondiale de doter chaque citoyen du monde d'un crédit-assurance formation que nous recevrons dès la naissance et qu'il s'agira de rembourser tout au long de la vie. Cela regroupera le financement tant de la crèche que les études, le chômage, le revenu minimal le cas échéant, la retraite, à lui de se fondre dans la flexibilité maximale, la nomadité planétaire, pour rembourser. -
Lobbyiste ! Dégage.
Terra Nova, le think tank à l'origine de la politique gouvernementale doit prendre pour son grade, le désaveu des Français pour la politique, tout comme le reste des think tanks qui distillent la même politique et ont les mêmes entreprises pour grands argentiers.
L'économiste Gaël Giraud motive son désengagement du think-tank ainsi: « J’ai cessé ensuite de venir aux réunions, qui n’aboutissaient à rien, des financiers étant tout le temps là pour empêcher la réflexion. »
Pour Laurent Léger, journaliste à Charlie Hebdo, en 2013, le poids des financiers est devenu considérable au sein de Terra Nova : BNP Paribas y siège, ainsi qu'Ernst et Young, un des principaux cabinets d'audit financier au monde.
Mais le journaliste pointe tout particulièrement la banque Rothschild, également présente par le biais de l’un de ses associés au sein du conseil d'administration, Guillaume Hannezo, lequel « est omniprésent depuis juin 2012 et se montre particulièrement interventionniste, sans commune mesure avec les autres administrateurs ». -
Le Bréviaires des patriotes américains ?
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Oriane Borja a partagé un lien.
Regardez cette belle illustration du Bréviaires des Patriotes mendiant des sous (les mecs, c'est toujours, t'as pas cent balles ? Non, heu, une cigarette alors ...), sur la table, on trouve la Revue Nouvelles de France, revue libertarienne directement reliée aux lobbies libertariens de Washington.
Acte manqué ?
http://www.lebreviairedespatriotes.fr/16/05/2014/politique-societe/appel-aux-fideles-lecteurs-du-breviaire/
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Le libertarien 'chérien Gaspard Koenig limite son champ privé
Le libertarien Gaspard Koenig de Liberté Chérie, prive le public d'une bonne partie de la réalité dans un article du Point en date du 30 mai 2014.
Mais n'est-ce pas le fonctionnement même de ce genre d'experts lobbyistes, extraire, ce qu'ils veulent, vous montrer ce qu'ils souhaitent, biaser ce qu'ils entendent, et pour ne pas dire autre chose de ceux qui les écoutent.
Je vous propose d'aller plus loin.
On peut voir dans le programme de Marine Le Pen la patte libertarienne.
Evidemment, comme pour Nicolas Dupond Aignan, le petit bras droit cassé du thatchérien Farage, Marine Le Pen est trop à gauche.
Pour le petit candidat menaçant au primaire UMP, Philippe Herlin, elle était indécrottablement inaccessible aux libertariens.
Dumait est pourtant bien revenu à la charge.
Boutin a même donné sa bénédiction à la petite Marion.
Et jusqu'au suppléant de Fritz Bolkenstein, Geert Wilders soi-même, grand guignol de l'Heritage Foundation, qui va jusqu'à l'Alliance, pour la liberté il va sans dire ...
Tous les libertariens ne pensent donc pas comme un seul homme.
Oui, évidemment pour les ultra libéraux de Liberté Chérie, les néocons américains sont d'infâmes gauchistes.Ils font semblant de ne pas savoir comment ils fonctionnent eux-mêmes.
Leur leader aux USA, Ron Paul, n'espèrent pas prendre le pouvoir un jour par les instances traditionnelles.
Le jeu libertarien, c'est de pénétrer les groupes politiques implantés, de façon transversale.
Il faut y distiller le virus libéral.
On se doute bien que Bernard Monot n'a pas pu totalement se faire entendre.
De toute façon, le Front fonctionne ainsi.
Louis Aliot l'a affirmé lui-même, gaulliste à ses heures, il reprend la formule du général selon laquelle on peut faire beaucoup de choses avec l'ambiguité, et même s'asseoir dessus.
C'est même du lepénisme pur jus.
Le Pen a toujours préservé chèvres et choux, ânes et moutons, grain et ivraie.
Au Front, on est un jour de droite, puis ni de droite ni de gauche puis de droite par sa nièce, et ta soeur ...
Monsieur Koeing n'a étrangement pas étudié le programme de "liberté" monétaire de Marine Le Pen.
La Théorie de la monnaie est pourtant un principe élémentaire chez les libertariens.
Il était tout à fait frappant d'entendre au moment des présidentielles, Marine Le Pen asséner, non pas le principe de souveraineté monétaire, mais celui de liberté monétaire, avec indexation sur l'étalon-or.
Ca ne vous aura pas échappé tout de même, on va vous retirer le Prix Razel et la Bourse Tocqueville par anticipation petit Gaspard !
Une Nation= Une Monnaie, il ne saurait y en avoir une autre, fut-elle d'or et d'autres matières précieuses.
Et s'il vous plaît que l'on ne ressorte pas de Gaulle, ni les Accords américains de Bretton Woods.
De Gaulle n'est pas le dernier à s'être fait manipuler un temps, et ses preceptes sont aujourd'hui obsolètes.
Nous n'avons plus d'or.
Et il existe aujourd'hui des groupes privés, sans territoire, sinon des parcelles de ceux des autres, dont la richesse et la puissance sont telles, qu'ils ont leurs propres règles et leurs propres politiques étrangères, par-dessus les Etats et même par-dessus l'Etat américain (avec les guerres internes et de services que l'on voit appararaître par-ci par-là à qui sait les lire).
Le droit de battre monnaie, voilà le nerf de la guerre, et voilà ce qui est battu en brèche.
La monnaie libertarienne n'est qu'un outil financier, quand la monnaie nationale est un attribut de souveraineté.
C'est LE pan de souveraineté sine qua non.
J'ai mieux cherché que monsieur Koenig, et avait relevé nombreuses autres pénétrations dans le programme.
C'est simple, j'avais annoncé la couleur deux ans avant le coming-out de monsieur Monot.
J'avais vu les drapeaux "Liberté" fleurir au milieu des drapeaux français pour la première fois.
Tout de suite, ça a fait "tilt".
J'ai connu la censure quand j'écrivais pour Marine.
On ne touche pas aux lobbies de Contribuables Associés.
Il y a eu le voyage, le premier, symbolique, à Washington, Ron Paul.
Ron Paul qui dit d'ailleurs que ceux qui ne comprennent pas que le programme économique libertarien ne saurait se détacher du reste, sont des imbéciles.
Je l'ai toujours dit, à Bruno Gollnisch notamment, le libéralisme n'a pas de frontière, on ne peut se réclamer du libéralisme philosophique comme il le faisait, et pas du libéralisme économique.
On pourrait parler de l'autonomie des écoles, proposée par Marine Le Pen, de l'immigration choisie et de ses références libertariennes à Laulan et Gourévitch (Les libertariens ne sont pas contre les déplacements de population, ils sont pour le fait de rentabiliser au maximum le marché de l'humain, il ne faut pas que cela coûte un rond à l'Etat, il faut refiler aux entreprises exactement la main-d'oeuvre dont elles ont besoin).
Du LifeLong Learning qui ravit deloriens et souverainistes pour le plus grand bonheur des organisations pilotées par Washington, et des multinationales qu'elles servent.
Ou encore dans la forme, du lobbying, des étapes formulées certes par Friedman et son affreuse Ecole de Chicago à en croire Monot et Sulzer, de David Friedman, le cul entre deux chaises, jusqu'à Von Mises et Hayek, et des multiples querelles intra libérales.
On pourrait parler aussi d'Aymeric Chauprade, vieux routard de l'Institut Thomas More, et qui donne toujours des formations à l'IFP/IFRAP, ça doit bien parler à monsieur Koenig n'est-ce pas ?
IFP qui forme des cadres du Front, l'invitation reçue vient-elle de Chauprade d'ailleurs ?
De PMC ?
Les liens et les ponts existent nombreux, les media, envahissants, les clubs refondés à l'heure libérale des Horlogers.
Allez monsieur Koenig, encore quelques petits efforts.Lien permanent Catégories : culture, Ecole, Education, Européennes, libéralisme mondialisme, Libertariens (Libéralisme) -
Le beau est universel
A Vava Inouva (A Baba-inu Ba) est le titre de la première chanson du chanteur kabyle Idir. Ce titre fait partie de l'album du même nom sorti en 1976.
A Vava Inouva (« mon papa à moi ») est une magnifique berceuse, composée par Idir, et inspirée de contes et légendes traditionnels que l'on transmettait de générations en générations le soir aux veillées assis au coin du feu.
A Vava Inouva fut par la suite traduite en plusieurs langues (grec, français, espagnol, arabe, etc.), sur une musique traditionnelle kabyle que je faisais écouter à mes enfants, parce que la beauté est universelle.
La version ci-dessous est très touchante, aussi bien par la simplicité du chanteur que par l'émotion dégagée par les visages de l'écho qui lui répond :Lien permanent Catégories : culture, Ecole, Education -
En parlant de la connerie d'un lobby
Il n'a qu'à retourner à Washington le Contras.
Le même innonde ses media lobbyistes ultra libéraux quand on s'en prend aux chrétiens d'Orient, FRERE Jacques, sonnez-lui les matines !
C'est limite pas très catholique de faire chanter l'appel à la messe matinale à l'école publique et à faire du prosélytisme en arabe ;) .Lien permanent Catégories : culture, Ecole, Education, Municipales -
Snowden sans blague
Je le dis depuis le départ, je suis même la seule à avoir démonté ses réseaux et c'était relativement simple.
Evidemment, je ne vous dis pas le nombre de crétins qui se sont foutus de moi, et le nombre de journalistes ahuris qui ne comprennaient pas le début du commencement de ce que je leur expliquais.
Je trouve pourtant toujours que les Américains avancent avec de tellement gros sabots que l'on voit ce qu'ils trafiquent comme le nez au milieu de la figure.Lien permanent Catégories : Brèves, culture, libéralisme mondialisme, Libertariens (Libéralisme)