- Page 8
-
Lien permanent Catégories : libéralisme mondialisme, Libertariens (Libéralisme)
-
Ces étrangers qui viennent manger le pain de Nike ...
Fil d’actualité
Lien permanent Catégories : libéralisme mondialisme -
Marine ou l'incapacité
Lien permanent Catégories : Municipales -
Les Identitaires n'est qu'un lobby émergé des lobbies qui gangrènent le Front National via Marine Le Pen, Le Monde ne suffit toujours pas ...
Lien permanent Catégories : Libertariens (Libéralisme) -
-
Aymeric Chauprade, l'agent russe de la Washington libertarienne
Claude Askolovitch interrogeait récemment Aymeric Chauprade, le conseiller spécial de Marine Le Pen, sur ITélé.
Il lui demande tout de go s'il n'est pas un agent russe.
Cherchez plus à l'Ouest monsieur le journaliste, à défaut de l'être vous-même.Les réseaux russes de Chauprade sont les réseaux forgés par l'Opus déi et les libertariens de Washington, les mêmes qui lui ont inspiré sa position sur le 11 septembre et sur tant d'autres sujets.
Remontez les réseaux de Konstantin Malofeev, l'oligarque russe milliardaire du pétrole et fomenteur de l'annexion de la Crimée et du Donbass en Ukraine.
Passez par Exxon Mobil, tournez autour du Family Research Council de l'Heritage Foundation (Fondée par d'anciens dirigeants de l'OSS qui ont fait fortune dans les matières premières, et alimentée par les multinationales et les multimilliardaires comme David Horowitz que l'on trouve partout où le projet Eurabia est propagé).
Ces mêmes réseaux que vous retrouverez en France avec toujours les mêmes personnages principaux, Radio Courtisans évidemment, clique des Contribuables Associés, IFRAP, Institut de Formation Politique, opusiens, cadres d'Exxon (on se souvient de la visite en France du Docteur Nigel Ashford), aux anciens de la CIA reconvertis dans le privé que l'on trouve autour de Ron Paul et de son agent en France, Europe et Russie, John Laugland.
Tout le monde peut remonter ces réseaux, un journaliste n'est pas plus con qu'un autre.
A priori ... -
Choisis ton Klan Kamarade !
Lien permanent Catégories : ;), Brèves, Libertariens (Libéralisme) -
Le cas Franck Lepage ou comment le trop bien est l'ennemi du bien
Franck Le page est un personnage sympathique.
Je l'ai découvert il y a quelques années et comme d'autres, je l'ai fait tourner sur les réseaux sociaux et ai été de ceux qui ont contribué à le faire connaître au sein du Front, de ses cadres, militants et sympathisants.
Le bonhomme a l'esprit vif, il comprend l'importance du langage et sait distinguer les impostures.
C'est un orwellien, c'est indéniablement appréciable.
Mais.
Mais je ne vais pas contribuer à ne plus me rendre antipathique et ne manquerai toujours pas de ne pas paraître sans prétention aux yeux de certains quand je vais dire que je trouve le personnage limité et donc, sans intérêt dans un second temps.
Car enfin, une fois qu'il a posé un diagnostic correct, dénoncé la main bien visible du capitalisme dans notre gueule, ses buts et sa présence de plus en plus prégnante partout et bien compris au sein de la gauche, nous le voyons dénoncer l'idée nationale et de souveraineté.
Evidemment, il rattraperait le coup en demandant à une hypothétique Europe, une protection sociale par le haut, une protection hors-sol, un deus ex machina.
Théâtre.
Car enfin comment crée-t-on des protections ?
Par des lois.
Qu'est-ce que la souveraineté ?
Le droit de faire ces lois.
La France, répétons-le, s'est construite grâce aux pans de souveraineté de son Etat-Nation :
- droit de battre monnaie (simple outil d'échange et nerf de la guerre tout à la fois)
- droit de faire et d'exécuter les lois
- droit de rendre justice
- droit de police
- droit de se défendre (armée) qui revient au droit de dire non aux puissances d'argent (qui nous sont étrangères) quand l'Etat est lui-même, c'est-à dire au service du peuple
Ce sont ces attributs qui confèrent la liberté et qui ont érigé la France en civilisation pérenne avant qu'on ne commence à abattre ses arbres, déterrer ses racines, alors que ce sont ces graines qui donnent les fruits de protection les plus parfaits, l'assise la plus stable pour permettre l'instruction, l'accès à la réflexion, qui sont les véritables richesses de l'homme libre.
Toutes choses qui ne peuvent se transférer au niveau autre que national.
On comprend bien que si l'échelon était européen, quelle monnaie alors que les économies (règles de la maison), les langues, l'esprit des lois, sont différents ?
Le "modèle" libéral anglo saxon n'est pas celui de la France où l'Etat est garant de l'unité et de la prospérité, et où donc, la transmission est publique, l'Etat interventionniste.
Pour permettre cette unité et cette égalité devant la loi, nous ne pouvons nous accommoder d'un système anglo saxon encore, ou allemand, ou russe, beaucoup plus décentralisés que notre organisation intrinsèquement centralisée.
Et quelle langue dominerait, quel pays serait "plus égal" que les autres pour imposer ses mots, sa tournure d'esprit, et tout le système qui en découle.
Notre histoire nous a forgés, c'est l'histoire de l'humanité avant nous, dont ne ne pouvons faire table rase sous peine de nous retrouver alors seuls au monde.
Franck Le page est, comme les autres Chouards, pièce utile aux libertariens.
Tenants d'une révolution, tenants d'une prétendue démocratie participative, soréliéno compatibles, libertariano solubles, parfaites pour atteindre le chaos dont surgirait le meilleur-ordre-libéral, selon la formule con-sacrée.
Bref, rien de bon.
Rien en dehors du continuum, le résultat serait pire que la situation actuelle dans la mesure où elle la parachèverait.
En cela, Franck Le page est bien plus proche des souverainistes (idéologues de la Paneurope) qu'il ne pourrait le croire.
Lui aussi vit dans sa bulle, et les bulles sont faites pour être explosées ... -
La chapelle des gogauliens des deux églises
1945 a été le début de la fin de la France et de Gaulle n'y est pas pour rien, pas de quoi célébrer quoi que ce soit.
La deuxième guerre n'a pas été très glorieuse, la France était certes suffisamment grande pour avoir des hauts et des bas toute seule, mais c'est réellement au sortir de la guerre que nous allions commencer à tout perdre, depuis 45, la France ne descend pas, elle se fait descendre.On ne grandit pas d'une guerre, mais 1945 fut la victoire américaine sans guerre et sur un plateau, tous nos pans de souveraineté se sont délités à partir de ce moment, c'est en réalité une véritable rupture épistémologique que la France a eu à connaître, le passage qui nous a fait passer de ce que nous étions vraiment à ce que nous ne sommes plus ou de moins en moins, un peuple jadis protégé par les institutions les plus abouties.
Certains se faisaient une certaine idée de la France, d'autres en ont une idée plus certaine.
A l'heure où les dits souverainistes se rassemblent au sein d'un collectif se réclamant de l'héritage gaullien, il est bon de rappeler certains éléments :
- on méconnaît la face mondialiste d'un de Gaulle qui s'est fourvoyé dans l'idéologie paneuropéenne
- la Paneurope qui suppose à terme le transfert du pouvoir politique dans les mains d'une Europe politique, implique de facto les transferts de souveraineté
- les dits souverainistes sont les descendants de cette idéologie qui ne correspond pas du tout au maintien des pans de souveraineté, attributs de l'Etat depuis la France de toujours
- ils se réclament évidemment de cette idée de l'Europe des nations de Condenhove Kalergi
- tous les tenants de cette Europe confédérale sont parmi les libéraux, les tenants les plus absolus des paradigmes du libéralisme.
Ce n'est pas à moi d'expliquer l'incohérence avec l'étatisme prononcé du de Gaulle d'après guerre, il semblerait que cet état ne soit qu'une étape temporaire.
Pour corroborer mes dires, je renvoie à la correspondance de Gaulle/Kalergi, et à l'idéologie libertarienne commune à membre de la Paneurope, projet si cher au Général :Connaissez-vous les correspondances entre le mondialiste Kalergi et de Gaulle ?
Cahiers de la Fondation Charles de Gaulle
RICHARD COUDENHOVE-KALERGI - CHARLES DE GAULLE
Colloque organisé à Nancy le 14 novembre 1998
par la Fondation Coudenhove-Kalergi, la Fondation
Charles de Gaulle et l'Université de Nancy-II
Textes rassemblés par le Professeur Alain I ARC AN
Fondation Charles de Gaulle
5, rue de Solferino 75007 Paris
Fondation Coudenhove-Kalergi
Case Postale 3279 Genève 3 CH 1218
"Avant-proposAlain LARCAN
Le sujet du colloque, organisé à Nancy le 14 novembre 1998,
peut surprendre au premier abord, car l'action courageuse et prolongée
de Richard Coudenhove-Kalergi en faveur de Paneurope s'estompe
un peu, non relayée par les instances européennes qui
préfèrent se placer dans le sillage d'autres « inspirateurs ».
Les relations qu'il établit avec le général de Gaulle n'étaient
jusqu'à présent connues ou supposées que d'un très petit nombre
de personnes mais l'étude de la correspondance, des rendez-vous,
des textes des deux personnalités montre à l'évidence l'ancienneté
et la continuité de relations de plus en plus confiantes et la parenté
des points de vue sur une « Europe européenne » telle qu'elle fut
proposée en particulier dans le plan Fouchet et repoussée par
le Bénélux.
La collaboration des deux fondations Coudenhove-Kalergi et
Charles de Gaulle, dont les présidents Bauer et Foyer sont ici
présents, de l'Université de Nancy II présidée par le professeur
Bardelli a permis cette réunion précédée par une autre rencontre
elle aussi européenne, organisée par le Groupe de recherche, information,
communication et propagandes dirigé par le professeur
Louis-Philippe Laprévote, également co-organisateur de la journée
Richard Coudenhove-Kalergi - Charles de Gaulle.
Je remercie toutes les personnalités qui ont accepté de figurer
au Comité d'Honneur et ont souvent accepté de répondre à des
questions et de communiquer de précieux renseignements ; certains
sont présents à ce colloque, d'autres, retenus ailleurs, m'ont fait
parvenir des messages exprimant leurs regrets.
Je remercie aussi les conférenciers et tout spécialement les
spécialistes des Archives européennes qui travaillent en liaison avec
la Fondation Coudenhove-Kalergi, les représentants de Paneurope
France, tous ceux qui exercent une responsabilité au sein des deux
Fondations, de l'Institut Charles de Gaulle, de l'Université de
Nancy-II, du Centre européen universitaire et du Groupe de
recherche, information, communication et propagandes.
Je remercie tous les participants nombreux, dont les questions
et les interventions animeront le débat et je souligne que si cette
réunion a lieu à Nancy, c'est justement parce que Nancy et son
maire André Rossinot ont établi avec la Fondation Coudenhove-
Kalergi des liens privilégiés et un protocole original de jumelage
qui se concrétise ici pour la première fois.
L'édition est assurée dans la collection des Cahiers de la Fondation
Charles de Gaulle, car la Revue Espoir, initialement envisagée
ne pouvait accueillir tous les textes ; elle comprend les actes du
colloque, qui sont complétés par la correspondance classée par la
Fondation Coudenhove-Kalergi, entre le Comte et le Général. Ces
documents apportent la preuve d'une relation importante, capitale
entre les deux hommes à laquelle on n'a pas, jusqu'à présent,
attaché suffisamment d'importance. Ce document, essentiel pour
l'histoire de l'Europe retiendra très certainement l'attention des
historiens et des hommes d'Etat."
Le mondialiste Condenhove Kalergi :
L'Union paneuropéenne internationale a été fondée au lendemain de la Première Guerre mondiale, en 1926 à Vienne, par le comte Richard Coudenhove-Kalergi qui a publié en 1923 son livre-manifeste Paneuropa où il préconise la création d'une union des États européens, union qui lui semble le seul moyen d'éviter que se reproduise la catastrophe de 14-18 : « L'Europe, dans son morcellement politique et économique, peut-elle assurer sa paix et son indépendance face aux puissances mondiales extra-européennes qui sont en pleine croissance ? »Sommaire
[masquer]Emblème
Homme cosmopolite et lettré, convaincu de l'unité de la civilisation européenne, le comte Coudenhove-Kalergi choisit comme emblème de la Pan-Europe une croix rouge sur un disque d'or.
Il en donne la signification dans son ouvrage : « La croix rouge des croisades du Moyen Âge est le symbole le plus ancien d'une union européenne supranationale. Aujourd'hui elle est l'emblème de l'humanitarisme international1.
Le soleil figure l'esprit européen dont le rayonnement éclaire le monde entier »2. Le soleil est aussi interprété comme étant le symbole d'Apollon, référence à l'influence culturelle de la Grèce antique sur l'évolution de la civilisation européenne3 .
Historique
Connaissant très vite un vif succès, les idées de Coudenhove-Kalergi inspirent très directement Aristide Briand dans les années 1920 qui accepte pour sa part la présidence d'honneur du mouvement paneuropéen en France, tandis que le président exécutif de la section française est son collaborateur Louis Loucheur. Mais l'arrivée du national-socialisme en Allemagne, conjuguée aux effets du Traité de Versailles qui prétendait, au lendemain de la Première Guerre mondiale, dessiner une Europe nouvelle, ruine provisoirement les efforts de Coudenhove-Kalergi.
Après la victoire des Alliés, Coudenhove-Kalergi est l'inspirateur du Conseil de l'Europe qui est créé en 1949. De nationalité française depuis 1939, il poursuit avec le Général de Gaulle une correspondance entreprise durant la guerre, ce qui aboutit en 1960 à la création du Comité français pour l'Union Paneuropéenne (CFUP). On trouvera à sa création Georges Pompidou comme trésorier et Alain Peyrefittecomme Secrétaire général.
Rénové au début des années 1990, le CFUP, qui avait été présidé, après Louis Terrenoire, par Raymond Triboulet, Michel Habib-Deloncle et Michel Cointat, prend l'appellation de PanEurope France. et est présidé par Yvon Bourges (1993-2000), Hervé Gaymard (2000-2002) et Alain Terrenoire (2003-2013).En 2013, PanEurope France devient l'Union Paneuropéenne de France (UPF). Après une courte présidence du député européen Arnaud Danjean (2013), Alexis Bautzmann est nommé président en mai 2013.
Participant activement aux travaux de l'Union paneuropéenne internationale dont le président, après la disparition de Richard Coudenhove-Kalergi en 1972, fut Otto de Habsbourg et depuis fin 2004, Alain Terrenoire, et qui compte aujourd'hui, de l'Atlantique à la Baltique, près de trente organisations nationales, l'Union Paneuropéenne de France (UPF) poursuit son action pour l'élargissement de l'Union européenne, donc pour une réforme des institutions, et défend l'idée d'une Europe politique.
Présidents de l'Union paneuropéenne internationale (UPI)
- Richard Coudenhove-Kalergi (1926-1972)
- Otto de Habsbourg (1972-2004)
- Alain Terrenoire (2004-2013)
20:28 Publié dans Européennes, libéralisme mondialisme, Libertariens (Libéralisme) | Lien permanent | Commentaires (0)
-
Si vous voulez vraiment que la justice devienne un jeu de loto où seuls les gagnants du premier rang raflent la mise ...
Lien permanent Catégories : Brèves, Libertariens (Libéralisme) -
Marine, le navire poubelle
Lien permanent Catégories : Brèves, Présidentielles