L’UNICEF est une organisation mondialiste pilotée par les Etats-Unis au service de l’oligarchie financière.
L’éducation est le prétexte utilisé par les services américains pour pénétrer les Etats et asseoir l’idéologie libérale.
Les archives historiques ont révélé ce genre d’actions subversives.
On sait les actions de la Milton & Rose Friedman Foundation en la matière, charity business soutenu par les néoconservateurs.
Les services américains ont même mis en place des organismes privés d’éducation qui sous-traitent le travail, sur le modèle des Blackwaters (armées privées), existe la Creative Associates dont le siège se trouve à Washington :
http://www.creativeassociatesinternational.com/CAIIStaff/Dashboard_GIROAdminCAIIStaff/Dashboard_CAIIProjectDescription/CAIIAdminResultsPage.aspx?RowNumber=100&submitter&SurveyID=0&part&sort=1D
L’UNICEF agit directement pour l’oligarchie financière.
En partenariat avec le Groupe éthique du MEDEF, ils développent leurs affaires parallèlement.
Dès que l’on entend « éthique » dans ces milieux, c’est comme lorsque l’on entend « dévelopement durable » , « éducation » ou encore "démocratie", il faut déceler le son de prétextes pour pénétrer des marchés et asseoir une domination.
On sait par exemple que la Rotary Foundation qui regroupe des businessmen s'est très tôt convertie aux actions caritatives ne cachant pas l'intérêt pour les affaires, c'est d'ailleurs un de leurs slogans : .« Qui sert le mieux profite le plus » (They profit most who serve the best).
Pour ne rien dire de la NED (National Endowment for Democraty) ...
On a ainsi récemment appris que l’UNICEF soutenait le travail des enfants via l’une des fille et femme de cette aristocratie financière, Sophie de Menthon, dont la famille est liée aux réseaux de l’European Round Table, du Cercle de l’Industrie ou de l’American Enterprise Institute, qui détiennent vraiment le pouvoir.
Ces gens justifient le travail des enfants au prétexte qu’ils ramènent ainsi de quoi nourrir toute leur famille.
Il est évidemment plus rentable pour une entreprise d’exploiter l’enfant plutôt que son père moins souple et plus cher, payer un adulte quatre sous, c’est bien, mais donner à un enfant trois cacahuètes, c’est mieux.
Le Comité Ethique du Medef offre le crayon et le cahier bonus avec le kit, faudrait pas le prendre pour un sauvage.
Bien entendu, tiquer sur la chose reviendrait à nous faire passer pour un abruti qui ne comprendrait rien à l’économie et à la compétitivité, voire au sens du bien, forcément :
http://youtu.be/1HPhs881mVU
Bref l’UNICEF est le roi de l’« Economie de la connaissance », une économie à multiples facettes.
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