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libéralisme mondialisme - Page 56

  • L'école à l'épreuve des pièges mondialistes (reprise)

    Un vieux texte passé sur AgoraVox et où le du revenu minimum crédit formation est évoqué (il doit y avoir une discussion sur le sujet ensuite), avant que mes anciens "amis" ne me bloquent définitivement l'accès de ce media :


    Les politiques éducatives sont aujourd'hui bien ancrées dans le mondialisme, entièrement élaborées et conduites par les instances économiques (...)
    AGORAVOX.FR
     


    samedi 15 octobre 2011 - par orianeborja
    L’école à l’épreuve des pièges mondialistes, dernières nouvelles

    Les politiques éducatives sont aujourd'hui bien ancrées dans le mondialisme, entièrement élaborées et conduites par les instances économiques et financières internationales, nous les retrouvons dans toutes les réformes gouvernementales sans que souvent, tant personnels politiques que pédagogiques n'y comprennent quoi que ce soit.

    Au sujet du statut du directeur d’école :

    Ce statut serait un danger pour l’école républicaine, enfin, ce qu’il en reste dans les structures, les méthodes républicaines d’apprentissage, poursuivent, elles, leur tranquille disparition pour laisser place aux méthodes mondialistes.

    Une fois de plus, il faut l’analyser à l’aune de l’idéologie mondialiste.

    Ce sont les dirigeants de l’ERT (European Round Table) affiliés au groupe Bilderberg, qui pilotent les politiques mondialistes avec l’Ocde, on retrouve leurs desiderata directement dans toutes les directives de l’UE en matière éducative.

    Ils instillent les idées d’autonomie des établissements scolaires, en se servant toujours d’idiots-utiles, car ce sont des prémices nécessaires à l’instauration progressive, selon la théorie de l’ajustement de l’Ocde, de la libéralisation à venir du marché éducatif.

    La personnalité juridique implique le statut d’Etablissement Public Administratif de l’école.

    Or les critères du passage de l’EPA à l’EPIC sont déjà réunis pour les établissements qui ne seraient plus destinés à rester publics, l’école publique ne concernera qu’un reliquat poubelle destiné aux indigents, servant de garderie ou d’antichambre à la prison.

    L’Etablissement public industriel et commercial est régi en majorité par le droit privé, il faut trois critères pour passer de l’EPA à l’EPIC, ils seront vite atteints puisque l’Education tout au long de la vie (Lifelong Learning, autre concept mondialiste élaboré par le monde économique) les prévoit :

    - l’école devient au sein de l’Education tout au long de la vie, un produit culturel comme un autre, avec services à la carte

    - il faut qu’une partie des ressources soit d’origine privée, ce qui se fait progressivement pour de nombreux projets sous-traités (voyages dits pédagogiques, journées découverte, projets intra muros du type la Main à la pâte, Défi lecture, Big Challenge, etc.), logiciels éducatifs actuellement fournis gracieusement par des entreprises privées (School.net, Beneyluschool, et autres sociétés qui se positionnent d’ores et déjà).

    - enfin, le critère de rendement évalué par les Livrets de compétences de l’Ocde, commandés et au service des magnas de l’European Round Table

    Cette réalité du passage d’EPA à EPIC est ajourd’hui celle du CNED.

    Quant au passage de l’EPIC en Sociétés Anonymes, voire complètes privatisations quand les capitaux sont majoritairement privés, nous connaissons :

    France Télécom, d’Electricité de France, de Gaz de France, d’Aéroports de Paris.

    Un nouveau statut signifierait également un nouveau concours, même pas sûre que les directeurs actuels l’obtiendraient, aujourd’hui, le métier est prisé par des surdiplômés qui ont du mal à gagner leur vie dans le privé, ils ont l’habitude de travailler beaucoup et le bilan coût-avantage est vite fait, surtout pour une femme. J’y vois d’ailleurs la raison du glisssement de cette profession de la gauche vers la droite.

    L’EN emploie d’ailleurs directement des enseignants qui n’en sont pas et qui viennent du monde de l’entreprise.

    On a vu ainsi la nomination à la direction d’une université d’un grand patron de l’European Round Table pour laquelle la transformation est toute stratégique.

    Ce qui est appelé pudiquement le « partenariat public-privé » par les mondialistes, est un piège qui mènera directement à la privatisation au service du monde marchand.

    Et si l’on fait miroiter un statut dont on bout du compte, il est essentiellement question de revalorisation salariale, elle sera conditionnée à l’adéquation aux résultats attendus par l’aune entrepreneuriale bien comprise dans les compétences DESECO de l’Union Européenne.

    La « nécessité » d’un statut de directeur d’école ne se fait que parce les politiques mondialistes concomitantes le demandent, le maître n’est plus maître dans sa classe, il doit s’inscrire dans une pédagogie de groupe, construire des projets dont il ne sera pas plus maître, s’aligner sur des plans de formation, etc., qui s’articuleront autour de l’idée d’adéquation aux objectifs de « régions apprenantes » (concept mondialiste qui casse toute idée de diplômes nationaux, l’éducation n’est vue que comme outil pour mettre à disposition une main-d’oeuvre opérationnelle, flexible, mobile à l’échelle planétaire en fonction des besoins du marché, l’apprendre à apprendre de l’éducation et la formation tout au long de la vie est fait pour cela), le système est bien bouclé, le monde marchand l’a noyauté bien plus dangereusement que les idiots-utiles du ministère.

    Au sujet de l'évaluation des élèves en maternelle :

    Il est vrai que les enfants portent toute leur vie les carences essentiellement éducatives que leurs parents leur ont données en héritage.

    En maternelle, ceux qui ne suivent pas sauf pathologies très rares, sont ceux dont les parents n’ont pas pris gare à leur éducation.

    Mais il faut bien comprendre ce dont il s’agit, et voir que la maternelle a cessé d’être la préparation à l’entrée dans l’écriture et la lecture pour ne s’attarder que sur des procédés superficiels et illusoires du vivre-ensemble, entre méthodes globales et nombrilisme.

    En l’occurrence, la mesure annoncée relève du Livret de compétences et autre rapport Pisa, Pirls (c’est-à-dire des instances mondialistes) qui entendent très clairement établir une traçabilité de la viande humaine et ne l’évalueront qu’à l’aune de leurs propres prescriptions. Ce sont des politiques demandées par le monde économique et qui seront appliquées dans tous les pays de l’Ocde et même au-delà.

    Et puis, il faut bien que les industriels adaptent les prochains logiciels ludopédagogiques destinés à « enseigner » à nos enfants, et que le marché éducatif à la carte prennent ses marques.

    Or leur façon de jauger est idéologique, tant sur le fond que dans la forme, elle est superficielle, la méthode de type Assimil est utilisée à tous les niveaux, y compris dans le relevé de compétences.

    Il est intéressant de lire dans les derniers rapports de l’Ocde qu’ils ont dorénavant définitivement renoncé à leur précédente idéologie égalitariste, leurs experts ayant conclu que l’économie du XXI ème siècle a besoin de peu de diplômés et pour rentabiliser l’affaire, de peu d’enseignants (à remplacer par des encadrants).

    Autonomie et flexibilité sont les deux nouvelles mamelles de l’enseignement.

    Chacun recevra un socle commun minimaliste, le darwinisme social se chargeant de faire le tri pour extirper une petite élite tout aussi stupide mais adaptée au système.

    Enfin, peut-être un jour, même l’économie comprendra-t-elle qu’elle est perdante à ce petit jeu.

    Autrement, il va s’agir pour nous, de vite changer nos logiciels concernant la façon de juger les politiques éducatives, si nous nous refusons à connaître le Nouvel ordre éducatif mondial, nous tomberons dans tous ses pièges.

    Un exemple de ces pièges techniques :

    Le "Compte formation universel régional" est un concept issu de l'Education tout au long de la vie.

    C'est une première étape dans l'idée de la Banque mondiale de doter chaque citoyen du monde d'un crédit-assurance formation que nous recevrons dès la naissance et qu'il s'agira de rembourser tout au long de la vie. Cela regroupera le financement tant de la crèche que les études, le chômage, le revenu minimal le cas échéant, la retraite, à lui de se fondre dans la flexibilité maximale, la nomadité planétaire, pour rembourser.


     

     

  • Lobbyiste ! Dégage.

    Terra Nova, le think tank à l'origine de la politique gouvernementale doit prendre pour son grade, le désaveu des Français pour la politique, tout comme le reste des think tanks qui distillent la même politique et ont les mêmes entreprises pour grands argentiers.

    L'économiste Gaël Giraud motive son désengagement du think-tank ainsi: « J’ai cessé ensuite de venir aux réunions, qui n’aboutissaient à rien, des financiers étant tout le temps là pour empêcher la réflexion. »

    Pour Laurent Léger, journaliste à Charlie Hebdo, en 2013, le poids des financiers est devenu considérable au sein de Terra Nova : BNP Paribas y siège, ainsi qu'Ernst et Young, un des principaux cabinets d'audit financier au monde.
    Mais le journaliste pointe tout particulièrement la banque Rothschild, également présente par le biais de l’un de ses associés au sein du conseil d'administration, Guillaume Hannezo, lequel « est omniprésent depuis juin 2012 et se montre particulièrement interventionniste, sans commune mesure avec les autres administrateurs ».

  • Le libertarien 'chérien Gaspard Koenig limite son champ privé

    Le libertarien Gaspard Koenig de Liberté Chérie, prive le public d'une bonne partie de la réalité dans un article du Point en date du 30 mai 2014.

    Mais n'est-ce pas le fonctionnement même de ce genre d'experts lobbyistes, extraire, ce qu'ils veulent, vous montrer ce qu'ils souhaitent, biaser ce qu'ils entendent, et pour ne pas dire autre chose de ceux qui les écoutent.

    Je vous propose d'aller plus loin.


    On peut voir dans le programme de Marine Le Pen la patte libertarienne.

    Evidemment, comme pour Nicolas Dupond Aignan, le petit bras droit cassé du thatchérien Farage, Marine Le Pen est trop à gauche.
    Pour le petit candidat menaçant au primaire UMP, Philippe Herlin, elle était indécrottablement inaccessible aux libertariens.

    Dumait est pourtant bien revenu à la charge.
    Boutin a même donné sa bénédiction à la petite Marion.

    Et jusqu'au suppléant de Fritz Bolkenstein, Geert Wilders soi-même, grand guignol de l'Heritage Foundation, qui va jusqu'à l'Alliance, pour la liberté il va sans dire ...

    Tous les libertariens ne pensent donc pas comme un seul homme.



    Oui, évidemment pour les ultra libéraux de Liberté Chérie, les néocons américains sont d'infâmes gauchistes.

     

    Ils font semblant de ne pas savoir comment ils fonctionnent eux-mêmes.

     

    Leur leader aux USA, Ron Paul, n'espèrent pas prendre le pouvoir un jour par les instances traditionnelles.

     

    Le jeu libertarien, c'est de pénétrer les groupes politiques implantés, de façon transversale.

    Il faut y distiller le virus libéral.

     

    On se doute bien que Bernard Monot n'a pas pu totalement se faire entendre.

    De toute façon, le Front fonctionne ainsi.

    Louis Aliot l'a affirmé lui-même, gaulliste à ses heures, il reprend la formule du général selon laquelle on peut faire beaucoup de choses avec l'ambiguité, et même s'asseoir dessus.

     

    C'est même du lepénisme pur jus.

    Le Pen a toujours préservé chèvres et choux, ânes et moutons, grain et ivraie.

    Au Front, on est un jour de droite, puis ni de droite ni de gauche puis de droite par sa nièce, et ta soeur ...

    Monsieur Koeing n'a étrangement pas étudié le programme de "liberté" monétaire de Marine Le Pen.

    La Théorie de la monnaie est pourtant un principe élémentaire chez les libertariens.

    Il était tout à fait frappant d'entendre au moment des présidentielles, Marine Le Pen asséner, non pas le principe de souveraineté monétaire, mais celui de liberté monétaire, avec indexation sur l'étalon-or.

    Ca ne vous aura pas échappé tout de même, on va vous retirer le Prix Razel et la Bourse Tocqueville par anticipation petit Gaspard !

    Une Nation= Une Monnaie, il ne saurait y en avoir une autre, fut-elle d'or et d'autres matières précieuses.

    Et s'il vous plaît que l'on ne ressorte pas de Gaulle, ni les Accords américains de Bretton Woods.
    De Gaulle n'est pas le dernier à s'être fait manipuler un temps, et  ses preceptes sont aujourd'hui obsolètes.
    Nous n'avons plus d'or.
    Et il existe aujourd'hui des groupes privés, sans territoire, sinon des parcelles de ceux des autres, dont la richesse et la puissance sont telles, qu'ils ont leurs propres règles et leurs propres politiques étrangères, par-dessus les Etats et même par-dessus l'Etat américain (avec les guerres internes et de services que l'on voit appararaître par-ci par-là à qui sait les lire).

    Le droit de battre monnaie, voilà le nerf de la guerre, et voilà ce qui est battu en brèche.
    La monnaie libertarienne n'est qu'un outil financier, quand la monnaie nationale est un attribut de souveraineté.

    C'est LE pan de souveraineté sine qua non.

    J'ai mieux cherché que monsieur Koenig, et avait relevé nombreuses autres pénétrations dans le programme.
    C'est simple, j'avais annoncé la couleur deux ans avant le coming-out de monsieur Monot.

    J'avais vu les drapeaux "Liberté" fleurir au milieu des drapeaux français pour la première fois.
    Tout de suite, ça a fait "tilt".

    J'ai connu la censure quand j'écrivais pour Marine.
    On ne touche pas aux lobbies de Contribuables Associés.

    Il y a eu le voyage, le premier, symbolique, à Washington, Ron Paul.
    Ron Paul qui dit d'ailleurs que ceux qui ne comprennent pas que le programme économique libertarien ne saurait se détacher du reste, sont des imbéciles.
    Je l'ai toujours dit, à Bruno Gollnisch notamment, le libéralisme n'a pas de frontière, on ne peut se réclamer du libéralisme philosophique comme il le faisait, et pas du libéralisme économique.

    On pourrait parler de l'autonomie des écoles, proposée par Marine Le Pen, de l'immigration choisie et de ses références libertariennes à Laulan et Gourévitch (Les libertariens ne sont pas contre les déplacements de population, ils sont pour le fait de rentabiliser au maximum le marché de l'humain, il ne faut pas que cela coûte un rond à l'Etat, il faut refiler aux entreprises exactement la main-d'oeuvre dont elles ont besoin).
    Du LifeLong Learning qui ravit deloriens et souverainistes pour le plus grand bonheur des organisations pilotées par Washington, et des multinationales qu'elles servent.

    Ou encore dans la forme, du lobbying, des étapes formulées certes par Friedman et son affreuse Ecole de Chicago à en croire Monot et Sulzer, de David Friedman, le cul entre deux chaises, jusqu'à Von Mises et Hayek, et des multiples querelles intra libérales.

    On pourrait parler aussi d'Aymeric Chauprade, vieux routard de l'Institut Thomas More, et qui donne toujours des formations à l'IFP/IFRAP, ça doit bien parler à monsieur Koenig n'est-ce pas ?

    IFP qui forme des cadres du Front, l'invitation reçue vient-elle de Chauprade d'ailleurs ?
    De PMC ?
    Les liens et les ponts existent nombreux, les media, envahissants, les clubs refondés à l'heure libérale des Horlogers.

    Allez monsieur Koenig, encore quelques petits efforts.

  • Snowden sans blague

    Je le dis depuis le départ, je suis même la seule à avoir démonté ses réseaux et c'était relativement simple.

    Evidemment, je ne vous dis pas le nombre de crétins qui se sont foutus de moi, et le nombre de journalistes ahuris qui ne comprennaient pas le début du commencement de ce que je leur expliquais.


    Je trouve pourtant toujours que les Américains avancent avec de tellement gros sabots que l'on voit ce qu'ils trafiquent comme le nez au milieu de la figure.

    VIDEO - Snowden révèle avoir été "entraîné" pour être espion - BFMTV.com
    www.bfmtv.com
    Pour la première fois depuis la révélation du scandale des écoutes de la NSA, Edward Snowden a répondu aux questions d'une télévision américaine, depuis Moscou, où il est réfugié.
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  • D8 nous fait tout un fromage et zappe le partage de la tarte à la crème

    La chaîne de télévision D 8 nous refourgue un nième réchauffé des prétendues révélations sur le Front National où l'on apprend :

    - les liens du Rassemblement Bleu Marine avec les Identitaires.
    Alors ça, pour une annonce, alors que le suppléant tout ce qu'il y a de plus officiel de Marion Maréchal le Pen est estampillé Ligue du Sud, du nom même de leurs homologues identitaires Ligue du Nord, avec lesquels Marine Le Pen peine à fonder un parti européen à cause de la concurrence extrême-libérale de l'UKIP ...
    - que le folklore nazillon existe toujours, Marine s'evertuant elle-même à non seulement ne pas couper les ponts avec ses figures les plus emblématiques, mais encore à leur donner des postes d'encadrant sécurité et de propagande, postes au passage des plus lucratifs.
    L'amitié ayant bon dos, Marine n'a pas l'air de réaliser que c'est le destin de la France qui est en jeu, et qu'un prétendant au statut de chef de l'Etat ne peut faire étalage de ses sentiments personnels quand l'avenir de son pays est en jeu.
    Et d'autant que l'on sait combien Marine se fout de ses amitiés comme de ses dernières chemises.
    On comprend mal pourquoi elle ne sacrifie pas certains éléments gênants comme elle demande par ailleurs tant de sacrifices à ses militants.

    - D8 a à peine abordé le sujet de l'islam et des Français d'origine africaine, une militante est venue courageusement dire tout haut ce qu'elle avait entendu tout haut aussi de la part d'autres militants qui n'en ont pas été inquiétés, eux.
    Des militants lui auraient dit que la place de ses enfants devrait être au four, allons, on n'y croit pas une seconde, procès ! Saint Just, au taff !

    Madame, vous arriviez juste au moment où le brossage pro arabo musulman tournait court.
    c'était de la com', vous vous êtes fait avoir.
    Maintenant, on est les alliés tout ce qu'il y a de plus officiels des Jihad Watchers, Geert Wilders aux cheveux de feu (votre platine est des plus seyantes, mes soeurs et nièce et moi-même, et notre père avant nous, portons le faux-blond-à-rien depuis longtemps, nous devons avoir énormément de points communs), guidez-nous dans la lumière.

    Madame, vous avez toute ma considération, vous qui avez de plus, montrer tout votre attachement à la France et à sa défense, savez-vous qu'à bien des égards vos convictions à l'égard de notre pays commun, sont plus profondes que ceux de la famille Le Pen ?

    Et qu'on ne nous balance pas le coup de l'attentat contre les Le Pen, les réglements de compte, ça n'a rien à voir avec le militant qui va coller et distribuer seul des tracts.
    A-t-on vu une seule fois un membre de la famille Le Pen militer seul ?

    - Bon, mais tout cela, on le sait, tout le monde le sait.
    Si l'immense majorité des Français hésite à voter pour le mouvement national, c'est bien qu'ils trouvent quelque chose qui cloche, et ce, malgré les affirmations tonitruantes de Marine le Pen qui ne la ramène jamais autant que lorsqu'elle sait être en porte-à-faux.
    Marine est une comédienne à l'américaine, elle force le trait, elle met des "Lol" et des "Woo" à la place des virgules.
    Prendre les gens pour des imbéciles, c'est un leitmotiv, un paramètre naturel de sa façon d'être, elle vendrait du camembert Président en grande surface qu'elle ferait un tabac, pardon, un vaporetto.

     - En revanche, la chaîne D8 ne dit rien, mais alors rien sur l'extrême-droite sérieuse.
    S'ils sont, à tout casser, quelques milliers de malades en France, à se soigner en s'excitant sur les juifs -la mode étant tout de même plus à l'anti islam ces temps-ci-, ce n'est que la partie émergée de l'iceberg.

     - Pourquoi ?
    Mais tout simplement parce que nous vivons actuellement dans un monde d'extrême-droite, le monde va vers toujours plus d'extrême-droite.
    Et l'extrême-droite se ressemble et se rassemble.

    Un petit échantillon ?

    Quelques branleurs de l'UMP qui ont déjà un CV politique beau comme un camion de missions en missions dans les ministères à moins de vingt-six ans tout mouillés, ont fondé un Think tank plus vite qu'ils nous faut de temps à nous-autres sous-hommes, pour faire fondre une tablette de chocolat au bain-marie.

    Fondation qui refait le monde et refond la droite aux mains noires, mais toujours pas de chocolat, qu'ils vous refourguent dans des petits pains à l'occasion.

    Qui a aidé à la fondue ?
    Un certain Bernard Zimmern.
    L'IFRAP.
    Qui entre deux-trois refondations du partage de la fonte des fromages et du gâteau, s'offre des cerises : des rencontres entre think tanks et  petits fours pour savoir qui de Terra Nova, de l'IFRAP, Institut Jean-Jaurès, Turgot et autres Fondapol, se fond le mieux dans le paysage politique.
    Concurrence bon enfant et chasseurs de tête inter monopole des think tanks -libéraux il va de soi-, les sauteries à l'américaine des lobbyistes les plus actifs sont très prisées.

    Il semble qu'en dehors de cet encanaillement, plus aucune idée politique ne soit possible.

    Nous disions donc IFRAP.

    IFRAP, IFP.
    IFP, Chauprade, ou Le Gallou (Boulevard Voltaire), et tant d'autres.

    [Le premier crétin qui vient me dire que la présence de Chauprade, conseiller très spécial de Marine Le Pen et vieux routard de l'Institut Thomas More, en tant que formateur à l'IFP/IFRAP -lobbies au dessein affirmé de pénétration des mouvements politiques pour y distiller la pensée libérale véritable- il y a peu, est fortuite, je lui interdis de me lire, il ne faut pas donner trop de confiture aux gorets].

    La formation formée par Washington DC, les politiques en sont fondus.

    Oui, c'est fondu dégoulinant  du "modèle" américain, fromage et dessert, sur le fond et dans la forme.

    Pas du tout disent les fondés de pouvoir, c'est savoyard, on se partage fromage, et bouts de gras.




    La Fondation Concorde, émanation des lobbies libertariens
    Fondation Concorde — Wikipédia
    fr.wikipedia.org
    La Fondation Concorde est un laboratoire d'idées français fondé en 1997 par un groupe d'universitaires et d'hommes et femmes d'entreprises. La Fondation Concorde est présidée par Michel Rousseau (professeur associé à l'Université...
    J’aime ·  · Promouvoir · 

  • Il y a un moyen très simple de dire NON à l'Union Européenne, refuser son jeu de dupes

    Le seul geste fort et honorable serait que les députés européens du Front entament la politique de la chaise vide, ils ne vont pas siéger à ce Parlement fantoche et potiche.
    Il ne faut pas reconnaître ce faux parlement.
    Ce qu'ils ne feront pas hélas et simplement pour des questions dérisoires de pognon plein les poches.
    Les affaires Pygmalion montrent pourtant que la France ne fonctionne pas comme les USA, que ce n'est pas l'argent qui fait l'élection et que bien au contraire, les Français rejettent ce fonctionnement malsain.

  • Marine Le Pen et sa partie de quitte ou double

    Marine Le Pen et son étrange attelage tirant à hue et à dia européen  (ce n'est pas exactement le sien, elle n'est que vice-présidente) sont obligés d'afficher des mines réjouies, leur but est de tenter de faire croire au maximum à ceux qui sont tentés par l'UKIP de Farage que c'est dans leur giron que le groupe, les millions et les petits fours (il ne s'agit que de cela, son groupe s'il existe un jour, n'aura aucun pouvoir), sont.
    Il s'agit d'une partie de poker menteur.
    Ceux qui auront réussi à faire croire qu'ils ont le meilleur jeu, rafleront la mise.

  • L'écologie libérale, c'est le nec bobo.

     
    Les Verts sont prêts à discuter avec Juncker
    www.euract

  • Abel Mestre du Monde, déjà lepéniste ?

    Abel Mestre joue-t-il au con, ou au lèche-cul, ou tout simplement au trotskiste de droite :)  ?

    Monot se réclame de l'Ecole autrichienne CONTRE l'école de Chicago qui est elle, des deux écoles libérales, celle qui tolère un minimum d'interventionnisme.

    Le libertarianisme, c'est très clair, ce n'est pas Milton Friedman, c'est Hayek et Von Mises.

    Abel Mestre, en gros fainéant, ne cherche pas à approfondir le sujet et à savoir ce que Monot et les libéraux du Front entendent par "Etat".


    Les libertariens sont les économistes que nous qualifions souvent d'ultralibéraux. Ils pensent que le marché concourt mieux que tout autre mécanisme à faire que la recherche par chacun de son intérêt personnel débouche sur le meilleur intérêt général qui se puisse concevoir. Pour eux, l'Etat est l'ennemi toutes les fois qu'il empiète sur la liberté personnelle au nom d'un pseudo-intérêt général. L'auteur consacre ce livre - issu d'une thèse de doctorat - à la genèse et à la conceptualisation de ce courant d'analyse économique (le libertarianisme) aux Etats-Unis. Il en montre la diversité: les fondements sont parfois néoclassiques (Milton Friedman, David Friedman, James Buchanan), "autrichiens" (Ludwig von Mises, Friedrich von Hayek, Murray Rothbard), voire philosophiques (Ayn Rand et Robert Nozick), débouchant sur des analyses bien plus différentes qu'on ne le croit. Les uns s'attachent à un Etat minimal, les autres pensent qu'il est possible de s'en passer et que tout Etat porte avec lui prédation et arbitraire.
    "Les libertariens ne donnent au fond aucun sens au vivre ensemble et ne reconnaissent l'existence d'aucun bien commun."

    L'Etat vu par Hayek (Monot ou Chauprade, etc. ...) :

     L'État et son encadrement 
    La liberté est le point de départ de la réflexion politique de Hayek. Elle est définie comme l'absence de coercition., mais la coercition est une menace perpétuelle, et il semble impossible de l'abolir complètement. De là vient la nécessité de l'État, qui est une institution centrale du système hayékien ; celui-ci doit disposer du monopole de la coercition. Mais l'État a tendance à outrepasser son territoire, à exercer son monopole en d'autres lieux. Il importe qu'il soit lui-même contrôlé, contraint et limité. Il doit l'être par la règle de droit. Seul un cadre juridique dominé par la règle de droit peut garantir la liberté, l'absence de coercition, le fonctionnement naturel de l'ordre spontané. Le droit, tel que conçu par Hayek, est d'ailleurs lui-même un ordre spontané, fruit d'une longue évolution. Les lois ne sont pas élaborées rationnellement par les individus. Hayek ne propose donc pas pour autant le démantèlement de l'État, auquel il accorde au contraire un rôle important : il est seul en mesure d'assurer le cadre juridique nécessaire pour assurer le libre jeu des forces du marché.

    État et économie : sécurité sociale et services publics 
    Le système de sécurité sociale a outrepassé sa fonction légitime de protection des faibles et des démunis pour devenir un moyen détourné de redistribution des revenus. Il en est de même pour l'impôt sur le revenu dont Hayek propose qu'on abolisse la progressivité, qui constitue une autre violation de la règle de droit. Il propose également la suppression du monopole de représentation des syndicats, qui est une violation flagrante de la règle de droit. 
     
    Hayek reconnaît que l'État a un rôle à jouer pour assurer divers services ; ceux qui profitent à tous et qu'on ne peut fournir sans que tous contribuent à leurs coûts. Ces services sont les suivants : la protection contre la violence, les épidémies et catastrophes naturelles, telles qu'inondations, tremblements de terre, incendies, tempêtes, verglas, la plupart des routes ainsi que les problèmes de pollution… Néanmoins si ces services ne peuvent être financés que par l'impôt, il ne s'en suit pas qu'ils doivent être gérés par le gouvernement. Dans la gestion de ces activités il n'y a aucune raison pour laquelle le gouvernement ne devrait pas lui-même être soumis aux règles de la concurrence 
    Hayek envisage, en convergence avec les idées de Keynes, une place pour un secteur intermédiaire indépendant : des corporations semi-autonomes. 
    Pour lui le problème majeur de notre époque reste l'absence de contrôle sur le monopole gouvernemental ce qui amène ce dernier à élargir constamment son assiette. 
     

    Milton Friedman et l’école de Chicago sur le rôle de l’État

    Publié le 31 juillet 2012 dans Histoire de l'économie

     

    Si Milton Friedman admet que le fonctionnement des marchés libres n’est pas parfait, il considère que les défaillances de l’État sont la plupart du temps supérieures à celles des marchés, raison pour laquelle son périmètre d’intervention doit être précisément circonscrit à quelques activités. Dans cette vidéo de l’Institute for Humane Studies, le Dr Nigel Ashford expose avec clarté ce point de vue du chef de fil de l’école de Chicago.

    Un article de l’Institut Coppet.

    Selon Milton Friedman et l’école de Chicago, dans le but d’évaluer les mérites d’une loi, on doit mesurer les résultats de cette loi. Les lois peuvent avoir de bonnes intentions, mais l’école de Chicago exige qu’on mesure leurs conséquences, et pas seulement les intentions.

    L’école de Chicago admet que les marchés échouent parfois. Mais les administrations échouent aussi. Elle soutient qu’une défaillance de l’administration est presque toujours supérieure à une défaillance du marché. C’est pourquoi elle croit que l’administration devrait être considérablement limitée.

    Que dit l’école de Chicago au sujet du juste rôle de l’administration ? Selon la pensée de Friedman, que vous pouvez trouver dans ses livres populaires Capitalisme et Liberté et La liberté du choix, l’administration devrait avoir quatre domaines de responsabilité :

    • L’armée et la police,
    • L’administration judiciaire,
    • Les biens publics (comme la défense) et les externalités négatives (comme la pollution),
    • La protection des enfants et des handicapés mentaux.

     

     

  • Marine ou la trahison tranquille

      La garde rapprochée extrême-libérale de Marine Le Pen, entre IFRAP et Hayek ...

    Photo de Oriane Borja.

    "Bernard Monot: âgé de 51 ans, la tête de liste FN a obtenu 24,18% des voix et entre pour la première fois au Parlement de Strasbourg. Fils d'assureur et natif de Nice, cet analyste financier adhère au parti frontiste en 1989. Il y est depuis 2006 conseiller spécial en charge de la stratégie économique. Se considérant comme un économiste «libertarien», il est notamment à l'origine de la doctrine du FN sur la monnaie, le financement de l'Etat, l'emploi et les retraites." (Le Figaro 26/05/14).

    Les libertariens pénètrent facilement le Front National grâce à l'ignorance de ses cadres et de ses dirigeants au premier chef, en matière économique.
    Les journalistes n'étant pas plus avancés semble-t-il, ils sont incapables de comprendre le processus de pénétration, volontaire, coordonné, et évidemment à l'opposé des principes français.


    Incapables de comprendre que la "liberté monétaire", principe libertarien importé des USA, est à l'opposé de la "souveraineté monétaire".

    On retrouve évidemment la pensée anglo américaine dans le programme de Marine Le Pen, avec l'indexation à l'étalon-or (en refourguant un peu de gaullisme au passage, le Général de Gaulle s'étant déjà fait avoir par les Américains).

    En France, les attributs de l'Etat sont (étaient) intangibles depuis toujours :
    le droit de battre monnaie faisait partie de ses prérogatives qui lui conféraient sa souveraineté monétaire.

    Une monnaie= Une Nation


    Ce principe a toujours été entendu de nos rois.

    Le "franc" a été crée pour cela et signifie "libre.

    La Reine de France, Anne de Bretagne, avait fort bien compris cela et s'empressa lors de son deuxième mariage, de demander à recouvrer sa souveraineté monétaire, ce qui permis à la Bretagne d'exister indépendamment pendant des siècles.

    Notre souveraineté monétaire est indispensable à notre "Unité", principe constitutionnel dans tous les sens du terme, de la France.
    L'unité nationale est à la fois un principe constitutionnel depuis la Révolution, mais également constitutif de notre Etat-Nation depuis le départ.

    Les attributs de souveraineté de l'Etat sont restés inchangés depuis la création de la France et ont perduré après la Révolution, ce qui a permis la survie de la France.

    Ce n'est qu'après la seconde guerre et la victoire des Américains, que les attaques libérales ont pu avancer.

    A coups de Traités européens, notre souveraineté fut dépecée, les attributs de l'Etat réduits à peau de chagrin :

    - droit de battre monnaie (nerf de la guerre, disparu entre les mains de Bruxelles)
    - droit de faire et d'exécuter les Lois (qui ne sont aujourd'hui à la quasi unanimité que des transcriptions des directives européennes votées par le Parlement Européen mais décidées par la Commission Européenne non élue.
    - droit de se défendre (peu à peu grignoté)
    - droit de rendre justice (relativement préservé mais évidemment attaqué par les libertariens)

    Ajoutons que pour les libertariens, l'école ne saurait être publique (le programme de Marine Le Pen, laisse une large place à l'instauration de la libéralisation, avec autonomie des établissements dès le primaire très libéralement marquée, et rien contre l'emprise des écoles hors contrat et leur communautarisme avancé, déjà bien en pointe grâce à l'action des lobbies libéraux), et l'Etat ne saurait s'ingérer dans les ressources stratégiques ni les transports, ni la santé en général (lutte contre l'Obama Care, alors je vous laisse estimer ce qu'ils pensent de la Sécurité sociale ...).

    Les libertariens entendent indexer les monnaies sur l'étalon-or.

    Notons que la France n'a plus d'or ou quasiment plus, et que les ressources en la matière sont détenues par des groupes privés (avec toutes les "mystérieuses" disparitions d'or aux USA, qui ont bien été transférées dans des mains privées, la FED étant considérée par les libertariens comme encore trop dépendante de l'Etat américain.

    De plus, si l'or est une monnaie de référence, il y aurait donc deux monnaies : le franc, et l'or, et quelque chose d'autre qu'une seule nation et qu'une seule souveraineté et que l'indépendance nationale.

    La monnaie ne reste plus un attribut de souveraineté mais devient un instrument financier dépendant des possesseurs des ressources de matières précieuses.

    Ressources accaparées, via les moyens du bras armé américain, et comme par hasard largement réparties chez des anciens de l'OSS/CIA et/ou puissants oligarques industrialo financiers en place qui ont pu s'emparer des richesses des matières premières, acquérir une puissance financière telle qu'ils ont pu acheter ou racheter l'ensemble des richesses de la planète, ce qu'ils s'appliquent à faire encore pour le peu que détiennent encore les forces nationales.


    Le propre du libertarianisme est de considérer l'Etat comme un rempart au libéralisme à détruire à tout prix, seul doit rester une forme d'Etat fort, fortement enclin à permettre le libéralisme.
    L'Etat ne doit plus être que ce garant.

    L'économie est elle "régulée" par une dite "autorégulation", dont il faut bien comprendre qu'elle est la loi du plus fort.
    Cet ordre "naturel" se chargeant d'éliminer ce qui doit être éliminer pour un meilleur "ordre", une économie "saine".

    Aux USA, les lobbies libertariens ne cachent pas leur volonté de répandre leur idéologie.
    Ils disposent de moyens considérables, et de réseaux bien établis en France depuis une vingtaine d'années et en continuelle expansion.
    Lobbies qui opèrent de manière transversale dans tout le spectre politique, avec la facilité que l'on voit dans le parti pauvre en cadre de Marine Le Pen.

    Bernard Monot parle bien de l'Ecole autrichienne à laquelle il adhère, contre l'Ecole de Chicago qu'il charge de tous les maux actuels.

    Ce sont deux écoles libérales dont la première, l'Austrian school (tout aussi américaine que l'autre, sinon plus puisque basée sur les principes fondateurs des Etats-unis issus de la Boston Tea Party), entend prendre le pas sur la seconde, l'Ecole de Chicago, encore trop interventionniste à leur goût.

    On voit mal dès lors comment Bernard Monot, conseiller et rédacteur du programme économique de Marine Le Pen, prétendrait le contraire, sinon à jouer sur les termes, les définitions et l'ignorance.

    De nombreux détails du programme de Marine Le Pen doivent être analysé à la lumière du prisme libertarien.

    Ajoutons que Bernard Monot n'est pas seul, il nomme le Professeur Sulzer comme des siens, et nous savons que Aymeric Chauprade est lié à cette école libérale, j'ai déjà parlé de ses liés nombreux, ceux avec l'Institut de Formation Politique et l'IFRAP devrait amplement suffire à une personne avertie.
    Chacun d'entre ses personnes et institut sus-nommés, se chargeant de former les cadres de Marine Le Pen et Marine Le Pen elle-même.


    Sans que tout cela ne dérange absolument personne, ni même n'ai suscité jusqu'à présent la moindre interrogation.
    Plus c'est gros , plus ça passe.

    Personnellement, je pense à l'électorat, ses espoirs, et l'extraordinaire incohérence et mur, et disons-le, trahison, vers lesquels Marine avance tout cela.