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libéralisme mondialisme - Page 55

  • Dis-moi qui tu fréquentes je te dirai qui tu es

    Encore un nouvel économiste mariniste, ancien de la BNP et de Natixis, formateur à First Finance, proche des libertariens et de l'Opus Déi.
    Se fait-on innocemment mettre en avant par ceux dont la mission consiste à promouvoir l'idéologie anglo américaine la plus libérale ?

    Entretien avec Philippe Murer, président du Manifeste pour un débat sur le libre-échange et...
    LIBERTEPOLITIQUE.COM
     
    J’aimehttp://www.libertepolitique.com/L-assoc.../Sites-partenaires


    Evidemment, il n'est pas le seul.
    Personne ne se pose jamais la question de savoir pourquoi les économistes "souverainistes" sont portés par les extrêmes libéraux.
    C'est une question qu'il faudrait leur poser à eux-mêmes.

    http://www.libertepolitique.com/.../Jacques-Sapir-Euro-l...
    www.libertepolitique.com
    Jacques Sapir est économiste, directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS). Spécialiste de l’économie russe et des questions monétaires, il a consacré son dernier ouvrage à la crise de la monnaie unique : Faut-il sortir de l’euro ? (Seuil, Janvier 2012). Il e…


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    Depuis sa création, l'Association pour la Fondation de Service politique travaille avec des associations et des partenaires engagés qui partagent les mêmes valeurs.


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    • ICHTUS

      ICHTUS au service de la cité

      Héritier de la Cité catholique fondée par Jean Ousset, ICHTUS, fort aujourd'hui de soixante ans d'expérience, s'adresse à toutes les personnes, groupes ou associations qui entendent participer au renouvellement de la vie sociale, politique et culturelle. ICHTUS a pour vocation de favoriser l'action des laïcs, afin de les aider à exercer leurs responsabilités en fonction de la place qu'ils occupent dans la société, pour " pénétrer d'esprit chrétien les mentalités et les moeurs, les lois et les structures de la communauté où ils vivent " (CEC, n° 2105). Pour ce faire, ICHTUS propose une formation doctrinale, culturelle et méthodologique, et encourage la mise en place de réseaux sociaux naturels.

      http://www.ichtus.fr/
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      AEC - Association des économistes catholiques

      L'Association des économistes catholiques (AEC) a été créée en France en 2000. Elle regroupe des économistes (universitaires ou professionnels en entreprise) qui entendent rester fidèles aux enseignements du Magistère, notamment dans de la doctrine sociale de l'Église. Le réseau qu'ils constituent travaille par échanges d'informations, de publications, de réflexions communes... au service de l'Église et de la société. L'AEC organise des colloques sur l'actualité économique et de la doctrine sociale de l'Eglise. Ses membres peuvent aussi fournir une expertise économique, intervenir lors de rencontres et publier des articles ou des ouvrages dans leur domaine de compétence.

      Président : Jean-Yves Naudet

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      Collège des Bernardins

      Le Collège des Bernardins est un lieu dédié aux espoirs et aux questions de notre société et à leur rencontre avec la sagesse chrétienne.

      Ouvert à tous, il invite à participer à ces dialogues par des travaux de réflexion ou de recherche, de formation ou d’expression artistique. Pour toucher l’homme dans toutes ses dimensions, spirituelle, intellectuelle et sensible, le Collège des Bernardins propose une démarche pluridisciplinaire à travers :

      - des expositions d’art contemporain, des arts vivants, de la musique et des activités pour le jeune public ;

      des rencontres et débats (conférences, tables rondes, colloques) ;

      -  de la formation théologique et biblique (École Cathédrale).

      Le Collège des Bernardins s’appuie sur un pôle de recherche composé de six départements : « Sociétés humaines et responsabilités éducatives », « Économie, Homme, Société », « Éthique biomédicale », « Société, Liberté, Paix », « Judaïsme et christianisme », « La parole de l’art ».

      La Chaire des Bernardins, présidée chaque année par une personnalité internationale, contribue au rayonnement du pôle de recherche. En 2009, la Chaire a été présidée par René Girard de l’Académie française. Marcel Gauchet, directeur de recherche à l’EHESS, préside la Chaire des Bernardins pour les années 2010 et 2011 sur le thème « Transmettre, apprendre ».

      http://www.collegedesbernardins.fr/
    • European Sunday Alliance

      European Sunday Alliance

      L'Alliance européenne pour le dimanche (European Sunday Alliance) est un réseau d'alliances, de syndicats, d'organisations de la société civile et de communautés religieuses nationaux engagé dans la sensibilisation à la protection du dimanche comme valeur unique du temps libre synchronisé pour nos sociétés européennes.

      Le dimanche et, plus généralement, les heures de travail décentes sont les thèmes majeurs de nos campagnes. Dans notre Déclaration fondatrice, nous attirons l'attention sur l'équilibre entre le travail et la vie de famille ainsi que la cohésion sociale qui dépend d'une large majorité de personnes qui souhaite avoir leur temps libre légal en même temps.

      http://www.europeansundayalliance.eu/
    • Cardinal Van Thuân International Observatory

      Cardinal Van Thuân International Observatory

      L'Observatoire international Card. Van Thuân a été crée dans le but de promouvoir la doctrine sociale de l'Église dans le monde entier. Il fournit de l'information rationnelle en ce qui concerne la Doctrine sociale de l'Église; il entreprend également de rassembler de façon systématique les données, documents et études afin qu'ils soient accessibles aux personnes intéressées. L'Observatoire prépare aussi des travaux de réflexions et d'évaluation ainsi que des études approfondies sur la doctrine sociale de l'Église, dans une perspective universelle et interdisciplinaire. L'Observatoire collabore avec les conférences épiscopales et autres entités ecclésiales, des centres d'études dédiés à la doctrine sociale de l'Église et des agences internationales appropriées. L'Observatoire international Card. Van Thuân est en parfaite communion d'intention avec le Conseil Pontifical pour la Paix et la Justice dont le mandat guide ses activités en tant que telles.

      http://www.vanthuanobservatory.org/?lang=en
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      Espace Bernanos

      Partenaire de l'AFSP depuis plusieurs années, l'Espace Georges Bernanos est un lieu de culture et d'enseignement riche d'initiatives.

      4, rue du Havre - 75009 Paris
      Metro Havre Caumartin ou St-Lazare

      http://www.espace-bernanos.com/
    • IFP

      IFP – Institut de Formation Politique

      Créé en 2003, l'Institut de Formation Politique est une association loi 1901 qui forme les étudiants et jeunes actifs aux idées et à l'action politique. Régulièrement, l'IFP organise des séminaires et des conférences dédiés aux étudiants attachés à la primauté de la personne, et aux valeurs de liberté et de responsabilité. Indépendant des partis politiques, l'IFP n'accepte aucun financement public. 

      http://www.ifpfrance.org/
    • France Audace

      France Audace

      Le collectif France Audace s'est constitué pour redonner confiance aux Français en recommandant aux candidats aux élections des mesures décisives pour réorienter la politique dans le respect des valeurs humaines et universelles qui ont fait la France et l’Europe. En 2012, sous le nom d'Audace 2012, il a rassemblé 116 associations représentant plus de 2.140.000 adhérents. 

      http://www.france-audace.fr/
    • Collectif pour la confiance

       

      Les membres du Collectif pour la Confiance sont convaincus qu’il est possible de faire émerger des crises que nous traversons une société solide juste et libre.

      Un très grand nombre de Français et d’Européens doutent de la capacité des politiques à réguler la mondialisation, à retrouver des équilibres économiques et sociaux équitables et à refonder l’initiative et la volonté de vivre ensemble de nos sociétés.

      Le retour de la confiance nécessite de croire que l’on peut construire au niveau mondial une société qui respecte l’homme ; en articulant les opportunités et les contraintes économiques et politiques, à chaque niveau de communauté : entreprises, territoires, États, Europe comme au niveau mondial.

      L’éclairage chrétien de certains de ses membres fonde la volonté commune de bâtir un projet de société, ni confessionnel ni communautariste, sur la dignité de l‘homme, le bien commun et l’espérance qu’une crise peut mener à une renaissance, par un changement des comportements et le respect d’une morale et d’une politique capables de dépasser les intérêts économiques, culturels ou corporatistes, pour s’adresser à tous, dans une vraie recherche du bien commun.

      http://www.collectifpourlaconfiance.com/

  • Les idiots-utiles des libertariens à la manoeuvre

    C'est un débile ce type ou il le fait exprès.
    Le seul rempart au mondialisme, c'est l'Etat selon son acception française avec tous ses attributs (monnaie, défense, police, législatif, exécutif, judiciaire, unité, prérogatives stratégiques comme l'énergie et les transports, école).
    Les religions, quelles qu'elles soient, sont entièrement manipulées par les puissances privées dont le seul et unique ennemi est l'Etat.
    L'Etat est en revanche une création de nos rois catholiques, ils avaient bien compris quelles institutions bien temporelles permettaient de lutter contre la barbarie.

    "Le seul contrepoids au mondialisme, c'est la Croix du Christ."
    Adrien Abauzit

  • A contre vent du nouveau monde

    Envoyé ce jour au site Atlantico

    A l'attention de la rédaction du site Atlantico


    Bonjour,

    Je souhaiterais vivement ne pas être mentionnée par votre media comme l'a fait Barbara Lambert dans sa dernière revue de presse datée du 20 juin 2014.
    Que je sache, je ne vous ai jamais accordé d'entretien et tiens à ne jamais le faire.
    J'ai déjà expliqué à Alexandre Latsa combien ce site si bien nommé était la voix de son maître et comment je m'appliquais à dénoncer les allégeances dont il fait preuve.
    Latsa croit travailler pour la Russie, ce qui serait bien drôle si je ne prenais pas cela au sérieux.
    En vous remerciant de m'oublier.
    Nationalement
    Oriane Borja

  • Blouse de travail, école des bleus, et marketing de la connaissance

    Bob Ménard a lancé la nouvelle mode, alors Le Figaro embraye, on ne s'y attendait pas ...

    Ménard se fait néopédagogue, on va changer le fond en changeant la robe.
    Demain, tous en djellaba, tunique uniforme, il n'est pas dit si Bob va rempiler avec la Qatar Academy et refourguer le logo du PSG à toutes ses équipes.

    Il ne s'agit pas du tout du retour de la blouse du temps où le vêtement faisait le moine.
    Aujourd'hui, il existe deux classes dans les écoles, et elles traversent indifféremment les classes sociales : ceux qui portent des marques Adidas, Lacoste, ou autres Desigual, et ceux qui se moquent pas mal de ce qu'ils portent.

    La blouse ne changera pas plus la donne que le pédagogisme n'assoit la formation.
    La transmission n'a rien à voir avec l'accessoire mais avec l'essentiel.

    Une leçon de grammaire suivie d'une dictée, de questions de grammaire et qu'une bonne correction, sans blouse, donnent plus de résultat que la même non-leçon suivie d'une non-dictée et d'un moindre effort d'application, avec blouse.

    C'est l'agencement du cerveau qui engendrera une meilleure absorption des règles et règlements, pas l'hanarchement de la bourrique.

    Le port du voile en forme de blouse répond à un tout autre but.

    Il s'agit de copier les écoles privées anglo saxonnes avec logo de la marque -pardon, de l'école- et de s'inscrire dans le futur marché éducatif.
    Cette marque pouvant tout aussi bien être le nom d'une ville, les entités territoriales participant pleinement du découpage économique à venir.

    Les élèves porteront la blouse comme les employés de Carrefour ou de Macdo portent la leur, et on leur apprendra à en être fiers et à les porter haut ...
    Et sans doute comme les joueurs de foot exiberont-ils aussi les couleurs de leurs sponsors chargés de financer leurs études, en médaillon.
    Avec Prix L'Oréal dans les écoles de coiffure et Prix Areva dans les écoles d'ingénieur.

    Alors retournons la blouse et examinons-la sous toutes les coutures avant d'en devenir esclave et de ne pouvoir plus en faire partir les malfaçons comme autant de taches indélébiles.

  • Passe ton Bac libéral d'abord

     

    1)
    Il est évident qu'un employeur qui a besoin d'une main d"oeuvre un jour sur deux, ou seulement le soir ou seulement le dimanche en fonction de la période où il fait le plus de bénéfices, emploiera plus facilement, surtout si on l'autorise à ouvrir son commerce le soir ou le dimanche par exemple.

    Il emploiera encore davantage si on lui autorise la flexibilité des salaires, en fonction de la conjoncture qui de conjoncturelle s'évérera structurelle pour atteindre les objectifs de compétitivité.

    Rappelons judicieusement qu'en employé ne travaillant que 20 h par semaine, est plus efficace pour travailler pour deux, et ne viendra pas se plaindre d'une crise de burn out., cette flexibilité est donc bien plus rentable.

    2)
    Le protectionnisme priverait les multinationales et nombreuses de leurs filiales sous-traitantes, de nombreux marchés en dehors de notre territoire.
    Elles n'arriveraient jamais à faire de bénéfices grâce au travail des enfants des pays d'Asie ou d'Afrique, empêchant ces enfants de manger et de nourrir leurs parents. Ce qui pourrait entraîner des révoltes remettant en cause la sécurité de l'accès aux matières premières indispensables.

    Le protectionnisme pourrait également faire prendre le risque d'un retour au plein emploi qui remettrait en cause les bas salaires et les fondements même du libéralisme qui veut que la puissance financière permettent le pouvoir de décision réel.


    Bref, le système actuel serait remis en cause et les 1 % les plus riches ne pourraient plus maintenir leur train de vie augmentant exponentiellement , voire, seraient contraints de payer des impôts.
    Tandis que les plus pauvres le seraient moins et effraieraient moins les autres populations qui n'auraient ainsi plus peur de rejoindre le bataillon.

    Conclusion : la mobilisation des connaissances est un bien vilain défaut.

    Sujets (très objectifs, pas du tout orientés hein...) du Bac SES 2014. Dans la même veine, prévoyons ceux de 2015: 
    "1) Explique pourquoi les cheminots ruinent la Nation en faisant grève pour protéger leurs privilèges.
    2) En quoi l'Euro protège-t-il les pays européens du nazisme?"
    Photo : Sujets (très objectifs, pas du tout orientés hein...) du Bac SES 2014. Dans la même veine, prévoyons ceux de 2015: 
"1) Explique pourquoi les cheminots ruinent la Nation en faisant grève pour protéger leurs privilèges.
2) En quoi l'Euro protège-t-il les pays européens du nazisme?"
     
  • Marine, le Grisbi, et autre esprit de groupe

    Si tu veux l'oseille, rejoins-nous.

    C'est en substance ce que disent Marine Le Pen et son attelage européen.

    Ils tentent un dernier gros coup de bluff en faisant fuiter dans les réseaux d'extrême-droite que le groupe serait formé afin de faire céder les dernières digues et que ceux qui ont décidé de rejoindre le thatcho Farage, les rejoignent in extremis pour toucher le magot.

    Le conseiller à deux balles indexé sur l'étalon-or des libertariens, Ludovic de Danne (ceinture bannière étoilée), met en garde contre les fausses rumeurs, lesquelles ? Les siennes ?

    Jusqu'où Marine Le Pen va-t-elle descendre ?
    Le suppléant de Fritz Bolkestein ne lui suffisait pas (j'ai changé de teinture disait-il), elle veut la clique libérale au grand complet, ultra libéraux du 
    Congrès de la nouvelle droite (KNP) polonais bien compris.

    Marine ne veut pas s'embarrasser que de l'extrême-droite folklorique, elle veut aussi un peu de sérieux, elle la veut aussi économique.


    Bon, si elle n'y arrive pas, elle fera porter la faute sur le Vieux (c'est ainsi qu'on l'appelait au Paquebot, ou Neunoeil, selon l'humeur).

    Ce ne sera pas la première fois qu'un dérapage de Le Pen servira de prétexte aux libéraux me dira-t-on, sans doute, sans doute, et que derrière la petite histoire, une autre se déroule.

    Et Marine qui ne comprend pas que pour certains "antisémite" signifient surtout, "pas encore assez libérale".

    "Je ne comprends pas Nigel Farage, on est tout comme lui et il ne veut pas de nous."

    Mais non, Marine, tu n'as pas écouté Nicolas Dupont Aignan, tu es encore un trop infâme gauchiste à leurs yeux, ils disent "antisémite" comme Soral dit "Inuit" pour cacher "antisémite", Soral qui a bien fait l'allégeance libertarienne suffisante, lui, on ne lui reproche pas son soufre.

    C'est que pour les libertariens durs, les tiens sont trop mous, tu diras à  Monot et Sulzer qu'ils se font traiter de sous-libertariens par les copains, demande à Gaspard Koenig, ta race libertarienne est batarde, du sang-de-bourbe, voilà, ton parti est de sang mêlé, c'est cela qui fait que tu ne peux pas encore appartenir à la race des seigneurs.


    Soigne ta droite Marine, autrement tu vas le perdre ton combat de catch, demande à ton père ce que le Bourreau de Béthune lui a appris, derrière la parade, il faut un minimum de préparation.


  • Connaissez-vous le Powell Memorendum, parce que lui, vous connaît bien


    Les "think tanks" qui pénètrent le spectre politique français jusqu'au Front National, sont issus du Powell Memorendum.
    (Il est à noter que des résistances étatiques subsistent et notamment aux USA, dont les batailles incessantes entre l'oligarchie industrialo financière et les Etats)

    Le mémo Powell: un appel à-bras pour les sociétés

     

    Dans cet extrait de Winner-Take-All Politics: Comment Washington Fait les riches plus riches - et tourné le dos à la classe moyenne , les auteurs Jacob S. Hacker et Paul Pierson expliquer l'importance de la Powell protocole, un appel aux armes pour sociétés américaines écrits par Virginie avocat (et futur justice de la Cour suprême) Lewis Powell à un voisin de travailler avec la Chambre de commerce des États-Unis.

    Winner-Take-All Politics veste du livreÀ l'automne de 1972, le vénérable National Association of Manufacturers (NAM) a fait une annonce surprenante: Il a prévu de déménager ses bureaux principaux de New York à Washington, DC Comme son chef, Burt Raynes, observé:

    Nous avons été à New York depuis avant le tournant du siècle, en raison 
    nous avons considéré cette ville comme le centre des affaires et de l'industrie. 
    Mais la chose qui touche les entreprises le plus aujourd'hui, c'est le gouvernement. La 
    relations de l'entreprise avec les entreprises n'est plus si important
    que la relation de l'entreprise avec le gouvernement. Au cours des dernières 
    ans, qui est devenu très évident pour nous. [ 1 ]

    Pour être plus précis, ce qui était devenu très évident pour la communauté d'affaires était qu'il devenait son horloge nettoyé. Utilisé pour avoir une large domination, les employeurs confrontés à une série de défaites surprenantes dans les années 1960 et au début des années 1970. Comme nous l'avons vu, ces défaites ont continué sans relâche lorsque Richard Nixon a remporté la Maison Blanche. Malgré les revers électoraux, le libéralisme de la Grande Société avait surprenant élan politique. "De 1969 à 1972," comme le politologue David Vogel résume dans l'un des meilleurs livres sur le rôle politique de l'entreprise, "la quasi-totalité de la communauté d'affaires américaine a connu une série de revers politiques sans précédent dans la période d'après-guerre." En particulier , Washington a entrepris une vaste expansion de son pouvoir de réglementation, d'introduire des restrictions et des exigences strictes et exhaustives sur les activités dans des domaines de l'environnement à la sécurité au travail pour la protection des consommateurs. [ 2 ]

    Dans les milieux d'affaires, ce changement prononcée et soutenue a été accueillie avec incrédulité, puis alarme. En 1971, l'avenir de la Cour suprême de justice Lewis Powell s'est senti obligé d'affirmer, dans une note de service qui était d'aider à galvaniser les milieux d'affaires, que le «système économique américaine est en grande attaque." Cette attaque, Powell maintenue, la mobilisation nécessaire pour le combat politique: " Les entreprises doivent apprendre la leçon. . . que le pouvoir politique est nécessaire; que ce pouvoir doit être assidûment cultivé; et que lorsque cela est nécessaire, elle doit être utilisée de manière agressive et avec détermination, sans gêne et sans hésitation qui a été si caractéristique de l'entreprise américaine "En outre, Powell a souligné, l'ingrédient essentiel à la réussite serait l'organisation:". force réside dans l'organisation, Attention à la planification à long terme et la mise en œuvre, en cohérence de l'action pendant une période indéterminée d'années, dans l'ampleur du financement disponible que par un effort commun, et dans le pouvoir politique disponible que par l'action unie et les organisations nationales. "[ 3 ]

    U.S. President Richard Nixon holds a commission that he will present to Lewis F. Powell Jr., left, and another will be given to William Rehnquist, right, at a White House ceremony in Washington, D.C., Wednesday, Dec. 22, 1971. Both Powell and Rehnquist are commissioned as Associate Justices of the Supreme Court and will take their oath Jan. 7, 1972. The two men were appointed to the Supreme Court by President Nixon. (AP Photo/Charles Tasnadi)

    Le président américain Richard Nixon est titulaire d'une commission qu'il présentera à Lewis F. Powell Jr., à gauche, et un autre sera donnée à William Rehnquist, à droite, à une cérémonie à la Maison Blanche à Washington, DC, le 22 décembre 1971. Les deux hommes ont été nommés à la Cour suprême par le président Nixon. (AP Photo / Charles Tasnadi)

    Powell est un de ceux qui a poussé à relancer le poids politique des employeurs.Avant les vents politiques décalées dans les années 60, l'entreprise avait vu peu de nécessité de mobiliser quelque chose de plus que d'un réseau d'associations professionnelles. Elle s'appuie essentiellement sur des contacts personnels, et le rôle principal de lobbyistes à Washington était à la traîne des marchés publics et des allégements fiscaux. L'explosion de l'activisme politique, et la montée des groupes d'intérêt public, comme ceux qui sont affiliés avec Ralph Nader, a créé un défi fondamental. Et comme les années 1970 ont progressé, les problèmes semblent s'aggraver. Powell a écrit en 1971, mais même après Nixon a balayé à une réélection écrasante l'année suivante, la marée législatif a continué à venir en jeu. Avec Watergate conduit à la démission de Nixon humiliante et une victoire démocratique spectaculaire en 1974, la situation s'est encore plus désastreuse. "Le danger avait soudainement augmenté," Bryce Harlow, représentant Washington senior pour Procter & Gamble et l'un des ingénieurs de la renaissance politique de l'entreprise devait dire plus tard. «Nous avons dû empêcher les entreprises d'être roulé et mis dans la poubelle par le Congrès." [ 4]

    Powell, Harlow, et d'autres ont cherché à remplacer de club avec un appareil plus moderne, sophistiqué et diversifié - capable de faire avancer les employeurs garçons intérêts même dans des circonstances politiques les plus difficiles. Ils ont reconnu que l'entreprise avait à peine commencé à exploiter son potentiel pour exercer le pouvoir politique. Non seulement les ressources financières à la disposition des chefs d'entreprise hors pair. Les structures hiérarchiques des sociétés ont permis à une poignée de décideurs de déployer ces ressources et de les combiner avec des capacités énormes, mais sous-utilisées de leurs organisations éloignées. Ce sont les conditions préalables à une révolution organisationnelle qui était à refaire Washington en moins d'une décennie - et, dans le processus, de jeter les bases critique pour winner-take-tout politique.

    Les hommes d'affaires du monde, unissez-vous!

    La contre-attaque de l'organisation de l'entreprise dans les années 1970 a été rapide et radicale - une version domestique de Shock and Awe. Le nombre de sociétés ayant leur siège social aux affaires publiques à Washington est passé de 100 en 1968 à plus de 500 en 1978. En 1971, seulement 175 entreprises ont enregistré des lobbyistes à Washington, mais en 1982 près de 2500 fait. Le nombre de PAC d'entreprise est passé de moins de 300 en 1976 à plus de 1200 d'ici le milieu de 1980. [ 5 ] Sur toutes les dimensions de l'activité politique de l'entreprise, les chiffres révèlent une œuvre dramatique, une mobilisation rapide des ressources de l'entreprise au milieu des années 1970.

    Qu'est-ce que les chiffres seuls ne peuvent pas montrer quelque chose de potentiellement encore plus d'importance: les employeurs ont appris à travailler ensemble pour atteindre des objectifs politiques communs. En tant que membres de coalitions, les entreprises pourraient mobiliser plus activement et sur un front beaucoup plus large. Les dirigeants d'entreprise sont devenus des défenseurs non seulement pour les intérêts étroits de leurs entreprises, mais aussi pour les intérêts communs de l'entreprise dans son ensemble.

    Ironiquement, cette nouvelle capacité est en partie un cadeau inattendu de la Grande Société libéralisme. L'un des traits distinctifs de la grande expansion de l'autorité du gouvernement dans les années 60 et au début des années 70, c'est qu'elle a créé de nouvelles formes de régulation qui ont affecté simultanément de nombreuses industries. Auparavant, les compagnies aériennes auraient fait pression sur le Conseil de l'aéronautique civile, les entreprises sidérurgiques auraient porté sur la restriction de la concurrence étrangère, les producteurs d'énergie pourraient avoir gagné allégements fiscaux spéciaux à partir d'un membre du Congrès préféré. Maintenant, les entreprises à travers un large éventail de secteurs confrontés à une menace commune: les organismes de réglementation de plus en plus puissants superviser leur traitement de l'environnement, les travailleurs et les consommateurs. Les entreprises individuelles ont peu de chance de repousser ces grandes initiatives de leur propre chef; pour élaborer une politique suffisamment large défense, ils ont besoin l'organisation.

    L'activité a été galvanisé par plus de portée excessive du gouvernement perçu. Il répond également aux défis économiques croissants auxquels elle est confrontée. Renforcement Organisation a commencé avant même que l'économie aigri au début des années 1970, mais l'économie tumultueuse de cette décennie - battue par deux grands chocs pétroliers, qui ont poussé l'inflation et traîné la croissance - la panique créée dans les secteurs sociaux ainsi que l'insatisfaction croissante parmi les électeurs . Les années 1970 n'était pas le désert économique que les comptes rétrospectives suggèrent souvent.L'économie a en fait augmenté plus rapidement en général (après ajustement pour l'inflation) pendant les années 1970 que dans les années 1980. [ 6 ] Mais dans le contexte des années 1960 rugissantes, la turbulence économique était une secousse désagréable qui a renforcé le cas des chefs d'entreprise que les nouveaux approche régissant était nécessaire.

    Quand il a écrit sa note influent, Lewis Powell était le président du Comité de l'éducation de la Chambre de commerce. La Chambre a été l'un d'un certain nombre de groupes d'entreprises qui ont répondu à la menace émergente en devenant beaucoup plus organisée. La Chambre doublé de composition entre 1974 et 1980. Son budget a triplé. La Fédération nationale des entreprises indépendantes (NFIB) doublé ses effectifs entre 1970 et 1979. [ 7 ]

    Reconnaissant que légiférer à Washington est devenu plus ouvert et plus dynamique, des groupes d'entreprises se refait pour s'adapter à son temps.

    L'expansion de la Chambre et la NFIB signalé non seulement une augmentation de la capacité collective de l'entreprise; il a une forme plus difficile tranchant de la mobilisation. Composé de manière disproportionnée des petites entreprises, ces organisations ont été particulièrement livide de la montée de la réglementation gouvernementale. Les grandes entreprises ont une absorption des coûts administratifs pour se conformer aux nouvelles règles, et plus de possibilités de répercuter les coûts sur les consommateurs plus facile temps. En outre, les associations professionnelles basées sur une multitude de petites entreprises se sont révélées particulièrement capable de mobiliser l'indignation de masse, qui se révèlent être une arme politique très efficace.

     

    Bien sûr, les grandes entreprises ont riposté ainsi. En 1972, trois organisations d'entreprises ont fusionné pour former la Business Roundtable, la première association d'affaires dont la composition a été limitée aux premiers dirigeants de l'entreprise. En partie à la demande de Bryce Harlow, lobbyiste pour Procter & Gamble, cette nouvelle organisation a combiné deux groupes ont porté sur des questions d'affaires relativement étroits avec une organisation informelle appelé le Groupe Mars. Le Groupe Mars avait grandi d'une réunion avec de hauts responsables de l'administration Nixon et d'éminents dirigeants et a été conçu pour réunir un grand nombre de chefs d'entreprise les plus puissants de la nation. Dans les cinq ans, la nouvelle méga-organisation avait enrôlé 113 des meilleurs Fortune 200 entreprises, représentant près de la moitié de l'économie. [ 8 ]

    La Business Roundtable a rapidement développé en un groupe formidable, destiné à mobiliser PDG de haut niveau en tant que force collective de faire pression pour la promotion des intérêts communs. Vice-secrétaire du Trésor de président Ford Charls Walker, un organisateur entreprise leader dont nous dirons plus dans un moment, plus tard mis de cette façon: «La Table ronde a fait beaucoup de différence. Ils savent comment obtenir les PDG dans Washington et le lobby; ils entretiennent de bonnes relations avec les états-majors du Congrès; ils ont juste appris beaucoup de choses sur Washington qu'ils ne connaissaient pas auparavant. "[ 9 ]

    Garder le contact avec les Naders

    Le rôle de la communauté d'affaires non seulement augmenté mais élargi, passant de nouveaux modes d'organisation qui avaient été confinés à ses détracteurs. Reconnaissant que légiférer à Washington est devenu plus ouvert et plus dynamique, des groupes d'entreprises se refait pour s'adapter à son temps.L'extension du réseau des groupes d'affaires serait bientôt capable de hisser les groupes d'intérêt public sur leurs propres pétards. L'utilisation d'outils en émergence rapide de marketing et de communication, ils ont appris à générer des campagnes de masse. création de réseaux d'employés, actionnaires, les entreprises locales et les entreprises ayant des intérêts communs (par exemple, les détaillants et les fournisseurs), ils pourraient bientôt inonder Washington avec des lettres et des appels téléphoniques. En quelques années, ces organisations top-down classiquement étaient à prospérer à générer "bottom up" campagnes de style qui non seulement correspond aux efforts de leurs rivaux mais dépassé.

    Ces nouvelles stratégies "extérieurs" étaient mariés à ceux "à l'intérieur". Les organisations d'entreprises ont développé des listes de premier plan dirigeants capables de faire des contacts personnels avec les chiffres législatives clés. Au cours de réunions privées organisées par le Conference Board, PDG comparé leurs notes et discuté de la façon d'apprendre et de déjouer les syndicats. Dans les mots d'un exécutif, "Si vous ne connaissez pas vos sénateurs sur la base du premier nom, vous ne faites pas un travail adéquat pour vos actionnaires." [ 10 ]

    Affaires aussi massivement augmenté ses dons politique - précisément au moment où le coût des campagnes a commencé à monter en flèche (en partie à cause de la montée de la télévision). Le besoin insatiable de l'argent donné politiciens bonnes raisons d'être attentif à ceux qui ont les poches profondes.Affaires et de loin, les poches les plus profondes, et il était heureux de verser des cotisations aux membres des deux parties. Clifton Garvin, président à la fois Exxon et le Business Roundtable dans les années 1980, a résumé l'attitude envers l'impartialité de cette façon: «La Table ronde essaie de travailler avec n'importe quel parti politique est au pouvoir. Nous pouvons avoir chacun individuellement nos propres alliances politiques, mais comme un groupe de la Table ronde travaille avec chaque administration dans la mesure ils nous ont laissé. "[ 11 ]

    Les groupes d'entreprises nouvellement mobilisés compris que les démocrates et les républicains pourraient jouer des rôles distincts mais complémentaires. En tant que partie d'une serrure apparemment permanent sur le Congrès, les démocrates devaient être fouillait loin de leur alliance traditionnelle avec les syndicats. L'argent est la clé ici: De la fin des années 1970 à la fin des années 1980, PAC entreprises ont augmenté leurs dépenses dans les courses du Congrès presque quintuplé. Les dépenses de main-d'œuvre PAC n'a augmenté que près de la moitié aussi vite. Au début des années 1970, PAC d'activité ont contribué à moins courses du Congrès général de PAC du travail fait. Vers le milieu des années 1970, les deux étaient à parité approximative, et par la fin de la décennie, PAC d'affaires étaient en avance. En 1980, les syndicats représentaient moins d'un quart de toutes les contributions PAC - en bas de la moitié six ans plus tôt. Le changement a été plus grand chez les démocrates, qui étaient bien sûr les plus dépendants de l'argent du travail: Près de la moitié des fonds de campagne des titulaires du Sénat vient de PAC de travail dans le milieu des années 1970. Une décennie plus tard, la part était inférieure à un cinquième. [ 12]

    A cette époque, cependant, PAC d'affaires ont été détournent de leur accent traditionnel sur la pommade titulaires (surtout démocratique) vers une stratégie qui mélange des dons à ceux au pouvoir avec le soutien de challengers politiques conservatrices. Cette tendance se manifeste dans l'année électorale cruciale de 1978. Grâce à Septembre de la saison électorale, près de la moitié des contributions de campagne entreprise coulait dans les coffres des démocrates.Dans les semaines cruciales avant les élections de 1978, toutefois, seulement 29 pour cent 
    fait. À la fin de la campagne 1978, plus de 60 pour cent des contributions des entreprises était allé aux républicains, les deux challengers du GOP et les titulaires républicains de défense hors démocrates libéraux [. 13 ] Une nouvelle ère de financement de la campagne est née: Non seulement les contributions des entreprises de plus en plus jamais plus, les démocrates ont dû travailler plus dur pour eux. De plus en plus, pour recevoir les largesses de l'entreprise, ils ont dû faire plus que détiennent le pouvoir; ils devaient l'exercer de façon que les entreprises aimé.

    Lire le mémo Powell . Télécharger le PDF).

    Notes

    •  1. National Journal, 1974, 14.
    •  2 David Vogel, vicissitudes: le pouvoir politique de l'entreprise en Amérique (New York: Basic Books, 1989)., 59; R. Shep Melnick, "De l'impôt et de dépenses à Mandat-et-Sue: libéralisme Après la Great Society», dans La Grande Société et la marée haute du libéralisme, Sidney Milkis et Jérôme Mileur, eds. (Amherst, MA: University of Massachusetts Press, 2005).
    •  3 Lewis Powell, "protocole d'accord confidentiel: Attaque sur le système de libre entreprise", 23. Août 1971, cité dans Kim Phelps-Fein, Invisible Hands: The Making of du Mouvement conservateur du New Deal de Reagan (New York: Norton, 2009), 158, 160.
    •  . 4 Thomas Byrne Edsall, La Nouvelle Politique de l'inégalité (New York: Norton, 1984), 114.
    •  5. Vogel, vicissitudes, ch. 8.
    •  6. Calculé à partir http://www.bea.gov/national/xls/gdplev.xls .
    •  7. Ibid., 198.
    •  8. Vogel, vicissitudes, 198; John Judis, Le paradoxe de la démocratie américaine: Elites, des intérêts particuliers, et la trahison de la confiance publique (Panthéon: New York, 2000), 121.
    •  . 9 Cité dans Sidney Blumenthal, The Rise of the Counter-création: de l'idéologie conservatrice au pouvoir politique (New York: Times Books, 1986), 80.
    •  10. Cité dans Leonard soie et David Vogel, éthique et profits: la crise de confiance dans American Business (New York: Simon & Schuster, 1976), 65.
    •  11. Blumenthal, Rise of the Counter-Création, 78.
    •  12. E. Taylor foncé, les syndicats et les démocrates: une alliance durable (Ithaca, NY: Cornell University Press, 1999), 149.
    •  13. Vogel, vicissitudes, ch. 8

     

    Extrait du Winner-Take-All Politics par Jacob S. Hacker et Paul Pierson 
    Copyright © 2010 par Jacob S. Hacker et Paul Pierson. Reproduit avec la permission de Simon & Schuster, Inc, NY. Pour plus d'informations s'il vous plaît visitez www.SimonandSchuster.com.

     

     

  • Massacré gracieusement par les Américains

    Ils ont laissé Hitler annexer les Sudètes en 38, ils ont permis la Guerre éclair grâce à la technologie ITT Bell en 39, ils ont équipé les chars allemand avec les moteurs de General Motor alors que l'on savait déjà l'horreur des camps, Ford admirait Hitler, les Américains pratiquaient le radicalisme avant et encore après lui.


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      Le mythe de la bonne guerre
      La Deuxième Guerre Mondiale, une croisade américaine pour la défense de la liberté et de la démocratie ? Les vainqueurs écrivant l'histoire, c'est cette version qui est enseignée depuis 1945 des deux côtés de l'Atlantique. Alors que l'on se prépare à célébrer le 60ème anniversaire de la capitulation…
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Puis ils sont venus nous libérer, nous leur devons ainsi reconnaissance, ils nous ont libérés en massacrant des civils, et ils ont rasé des villes en les bombardant alors qu'ils savaient qu'il n'y avait pas d'Allemand.

     
     
     
    tri yann La ville que j'ai tant aimée
    une magnifique chanson pour de magnifique ville

  • Les prestations de la CAF ne sont pas un privilège

    Selon la vision extrême-droitiste du Figaro ou de valeurs Actuelles, la moitié de la population obtiendrait une "aide" de la CAF.

    Les commentaires des suiveurs ayant la même idéologie n'oublient pas de s'offusquer de cet "assistanat".

    Une "aide" ?

    Quelle est donc cette façon de présenter les choses !
    Toutes les forces vives de la nation reçoivent une prestation de la CAF pour service rendu à la nation en lui offrant des enfants.

    Je dirais donc au contraire que les personnes qui ne bénéficient pas des prestations d'allocations familiales de la CAF sont des personnes qui servent moins la nation que les autres, beaucoup moins.


    Les prestataires ne gagnent rien, ils ne sont pas "aidés", c'est une maigre compensation de ce qu'ils donnent en échange.

    Même les bénéficiaires des autres prestations sont un plus pour la nation, ils donnent plus qu'ils ne reçoivent.
    La dernière des cloches touchant les minima sociaux réinjecte illico tout ce qu'on lui donne et ne garde rien pour lui, il donne même du travail aux services sociaux.

    C'est le rentier du capitalisme financier qui bouleverse l'équilibre de la nation, il entretient la finance internationale qui méprise l'homme, l'asservit et travestit l'économie au profit d'une caste de privilégiés.

    Il n'est de richesse que d'homme.

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    • Stessy  pour les assistées et ceux qui en ont vraiment besoin et bien rien
      2 h · J’aime · 1
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      Oriane Borja Une "aide" ?
      Quelle est donc cette façon de présenter les choses !
      Toutes les forces vives de la nation reçoivent une prestation de la CAF pour service rendu à la nation en lui offrant des enfants.


      Les prestataires ne gagnent rien, ils ne sont pas "aidés", c'est une maigre compensation de ce qu'ils donnent en échange.

      Même les bénéficiaires des autres prestations sont un plus pour la nation, ils donnent plus qu'ils ne reçoivent.

      Il n'est de richesse que d'homme.

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      Philippe Filou On fait d'abord des enfants pour soi ! Il ne devrait en aucun cas y avoir des aides ! On fait des enfants pour les voir grandir ! Le problème aujourd'hui c'est que bcq de personnes font des enfants mais sont incapable de les aider à grandir, donner une éducation, ..... Il serait temps de stopper ces aides faites juste pour combler les ressources des familles qui svt lâchent leurs enfants dans les rues !!
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      Oriane Borja Cela signifierait que seuls les riches pourraient avoir des enfants.
      Salauds !
      En plus, pour être riche, il faut abandonner ses enfants à d'autres, voire ne pas en faire, comme le regrette le Pape.

      Avoir des enfants avec les salaires d'aujourd'hui serait impossible à une grande partie de la population.
      Et je signale que les plus pauvres s'occupent bien plus de leurs enfants, ils ne les confient pas à des nounous et autres tierce personnes et sont donc de facto mieux élevés.

      La rue, d'une part, c'est très bien, faire du patin à roulettes, du vélo, jouer à des jeux d'enfants, d'autre part, là encore, c'est une question de moyens, ceux qui en ont, cachent leurs carences éducatives et affectives en reléguant leurs enfants dans des loisirs honéreux.

      Arrêtez de vivre dans une bulle et de lire des revues idéologiques, ça vous rapprochera de la vraie vie et du Vrai tout court.
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      FFC Je suis d'accord dans le fond, mais dans la forme... 
      Faire des enfants ne devrait pas être un luxe mais une nécessité, un service rendu à la société. Mais les aides sociales, quand on regarde leurs répartitions, sont bien ciblées. Exemple flagrant : roubaix et ses 18 millions de caf par mois! On va en crever.
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      FFC Ne soyez pas hargneuse inutilement.
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      Oriane Borja La colère est fort utile.
      Ceux qui ne sont jamais en colère contre l'injustice, la manipulation, la mauvaise foi, sont des sauvages.
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      Oriane Borja Et puis, on les voit venir avec leur connerie ambulante, demain ce serait encore, la fin de l'assurance maladie qui ne serait acceptable que si l'on pouvait se payer qu'une assurance privée; l'école deviendrait payante, la retraite.
      Bref, vive l'Amérique et à bas la France, voilà ce que cela signifie en substance.
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      Oriane Borja En France, l'Etat pourvoit à l'emploi et la protection des citoyens en général, c'est le contrat social, l'unité nationale en étant le fil conducteur.
      Tous ceux qui ne comprennent pas cela ne comprennent pas la France et tout ce qui la sépare de l'idéologie anglo américaine.
      9 min · J’aime


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      Oriane Borja Le premier décile concerne des personnes qui ne peuvent pas travailler parce que malades (dont alcooliques, dépressifs) ou handicapés, qui peuvent bien d'ailleurs être des enfants du neuvième décile tout autant.
      On ne s'amuse pas à être aux minima sociaux, il faut être stupide pour dire que ceux-là sont bien lotis.
      Demain un accident de la vie peut tous nous mettre à ce niveau-là.

      Pour le reste, les revenus les plus hauts ne le sont que car il y a des revenus plus bas, ils gagnent aussi sur la masse salariale qu'ils ne paient pas.

      Cette progressivité est normale et juste car elle est plus importante au sommet et aide en prorité et mieux les plus faibles.
      9 min · Modifié · J’aime · 1
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      Oriane Borja Rappelons aussi certaines évidences :
      - les grosses entreprises se servent dans le vivier formé gratuitement par l'éducation nationale, et soigné par la sécu.
      Eh oui, un ingénieur, comme un ouvrier, ça ne tombe pas du ciel.
      -que les plus natis paient moins d'impôts en utilisant des montages légaux et parfois illégaux pour éviter leur participation à l'effort national
      - qu'ils disposent de subventions énormes en faisant jouer leur puissance et leurs relations, et de bien d'autres privilèges
      - qu'une bonne partie des ayants-droit au minima sociaux ou autres prestations sociales, n'en font pas la demande pour diverses raisons

      Méfiez-vous, les assistés et les profiteurs ne sont pas ceux que l'on croit.


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        Oriane Borja Et pour en rajouter une couche, spéciale fronto frontiste, je raconte une histoire vraie :

        il était une fois une mère de famille qui élevait seule ses quatre enfants.
        Elle est très diplômée et n'a jamais cessé de travailler en tant que salariée depuis l'âge de quatorze ans tout en poursuivant ses études supérieures (Bac +6).

        Pour élever ses enfants, elle travaille à la maison.
        Se retrouvant seule quand son dernier n'est qu'un bébé, elle vit avec un seul congé parental pour s'occuper de ses enfants, avec ses allocations familiales, ses revenus sont plus faibles encore que les minima sociaux.

        Une fois ses enfants tous scolarisés, elle reprend un travail tout en s'occupant toujours de ses enfants.
        Elle a un smic + les prestations sociales ordinaires.

        Sa situation aurait pu se stabiliser si un député frontiste, gênée par son travail de recherche et ses nombreuses publications, ne l'assignait pas en justice sur un prétexte : une prétendue atteinte à sa vie privée, en demandant 23 000 euros de dommages et intérêts, ce qui permettrait à ce députée de "s'offrir des vacances" comme elle le mentionne dans un entretien.

        Mais pour la mère de famille, cette somme signifierait ipso facto une mise aux minima sociaux.
        En effet, pour gagner le smic (980 euros net), elle a besoin d'un budget mensuel de 200 à 300 euros pour sa voiture.

        Si le député FN lui ponctionne ne serait-ce que 100 euros par mois pendant 230 mois (vingt ans ans), elle ne pourrait plus nourrir ... sa voiture, et donc, plus travailler.

        Forcée aux minima sociaux à vie par un député de la nation qui prétend s'en prendre aux puissants contre les faibles ...
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          FFC Personne n'est innocent, personne. Le choix, nous l'avons eu, nos prédécesseurs aussi et on a fait Ce choix : celui d'être les esclaves d'un système vérolé qui tarde à disparaître. Il ne disparaîtra pas, il pourrira !
          Désolée mais la moitié de la Franc
          e ne peut pas supporter l'autre moitié ad vitam. Surtout que la part d'assistés tend à augmenter dangereusement. L'immigration en est la cause POINT. Je n'ai jamais comparé les nécessiteux français et les autres. Les premiers sont de notre responsabilité, les autres le sont devenus...par notre faute !
          Et si vous voulez à tout prix ignorer cet état de fait, ça vous regard. Une chose est sûre c'est que nous crèverons de notre crédulité. Et si nous n'en mourrons pas, nos enfants eux paieront l'addition.
          Espérons le réveil français. On en voit les frémissements, voire les grands sursauts. Il faut espérer que cela suffira. S'ils coupent les robinets (ce qui arrivera), peut être aurons-nous une réaction en chaîne... La douche froide, la ruée, le chaos, ... Mais il vaut mieux ça que cette petite mort et avant qu'il ne soit trop tard ! Il faut que le peuple saisisse son destin et que les équilibres se recréent.

          Pour ce qui est de votre problème avec Mme Maréchal Le Pen, je n'ai pas de jugement à porter. Vous savez comme moi qu'elle ne les obtiendra pas.
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          Oriane Borja Le chaos qui rétablira le meilleur ordre, ça parle beaucoup à ceux qui connaissent l'action des lobbies extrémistes américains vous savez.

          Vous avez un discours totalement anti national, c'est effrayant et irresponsable.


          Si nous voulons la France, a priori, c'est parce que nous pensons, à raison, notre civilisation comme protectrice et empreinte de sagesse, parce que la barbarie nous fait horreur,; nous ne sommes pas là pour nous précipiter nous-mêmes dans l'abîme.

          La pente est plus dure à remonter quand on vient de l'enfer.
          Il nous faut remettre la France sur pied, et ce n'est pas en lui pétant les jambes que l'on y arrivera mieux.
         
  • Pas de région pas de pleurs (reprise)

    17/01/2014

    No Région no cry

    Supprimer les Régions ?
    Chiche.
    Mais TOUTES !

    Et le Front qui se plaint de voir disparaître le Conseil Régional de Picardie (là où on a plein d'élus).

    Oh oh, les gars, on se réveille, les Régions sont des voleurs de France, on bazarde tout.

    Même si la réforme à venir, en effet prévue par Balladur qui avait organisé à l'époque tout cela dans sa réforme territoriale, ainsi que la disparition des petites communes et des départements pour faire rentrer le tout dans le cadre-moule mondialiste, la Région va rester et devenir plus encore, la cellule de base du monde mondialiste.
    Ce monde étant un gâteau dont le marché se réserve les parts, il sera libéral et donc, oui, le système veut en faire disparaître les fonctionnaires qui n'auront pas plus le droit de citer au niveau central que régional.
    Et en ce sens, l'appel de Marine à dégraisser les collectivités territoriales est parfaitement entendu et plébicité.

    Tout cela se fait petit à petit, tranquillement mais sûrement.

    Disons qu'il faut, et savoir ce que l'on veut, et une fois cela (ce qui est loin d'être évident au FN comme on le voit), le vouloir pour les bonnes raisons !

    . . .