Oriane Borja a partagé la photo de Aurelien Denizeau.
1)
Il est évident qu'un employeur qui a besoin d'une main d"oeuvre un jour sur deux, ou seulement le soir ou seulement le dimanche en fonction de la période où il fait le plus de bénéfices, emploiera plus facilement, surtout si on l'autorise à ouvrir son commerce le soir ou le dimanche par exemple.
Il emploiera encore davantage si on lui autorise la flexibilité des salaires, en fonction de la conjoncture qui de conjoncturelle s'évérera structurelle pour atteindre les objectifs de compétitivité.
Rappelons judicieusement qu'en employé ne travaillant que 20 h par semaine, est plus efficace pour travailler pour deux, et ne viendra pas se plaindre d'une crise de burn out., cette flexibilité est donc bien plus rentable.
2)
Le protectionnisme priverait les multinationales et nombreuses de leurs filiales sous-traitantes, de nombreux marchés en dehors de notre territoire.
Elles n'arriveraient jamais à faire de bénéfices grâce au travail des enfants des pays d'Asie ou d'Afrique, empêchant ces enfants de manger et de nourrir leurs parents. Ce qui pourrait entraîner des révoltes remettant en cause la sécurité de l'accès aux matières premières indispensables.
Le protectionnisme pourrait également faire prendre le risque d'un retour au plein emploi qui remettrait en cause les bas salaires et les fondements même du libéralisme qui veut que la puissance financière permettent le pouvoir de décision réel.
Bref, le système actuel serait remis en cause et les 1 % les plus riches ne pourraient plus maintenir leur train de vie augmentant exponentiellement , voire, seraient contraints de payer des impôts.
Tandis que les plus pauvres le seraient moins et effraieraient moins les autres populations qui n'auraient ainsi plus peur de rejoindre le bataillon.
Conclusion : la mobilisation des connaissances est un bien vilain défaut.
Il est évident qu'un employeur qui a besoin d'une main d"oeuvre un jour sur deux, ou seulement le soir ou seulement le dimanche en fonction de la période où il fait le plus de bénéfices, emploiera plus facilement, surtout si on l'autorise à ouvrir son commerce le soir ou le dimanche par exemple.
Il emploiera encore davantage si on lui autorise la flexibilité des salaires, en fonction de la conjoncture qui de conjoncturelle s'évérera structurelle pour atteindre les objectifs de compétitivité.
Rappelons judicieusement qu'en employé ne travaillant que 20 h par semaine, est plus efficace pour travailler pour deux, et ne viendra pas se plaindre d'une crise de burn out., cette flexibilité est donc bien plus rentable.
2)
Le protectionnisme priverait les multinationales et nombreuses de leurs filiales sous-traitantes, de nombreux marchés en dehors de notre territoire.
Elles n'arriveraient jamais à faire de bénéfices grâce au travail des enfants des pays d'Asie ou d'Afrique, empêchant ces enfants de manger et de nourrir leurs parents. Ce qui pourrait entraîner des révoltes remettant en cause la sécurité de l'accès aux matières premières indispensables.
Le protectionnisme pourrait également faire prendre le risque d'un retour au plein emploi qui remettrait en cause les bas salaires et les fondements même du libéralisme qui veut que la puissance financière permettent le pouvoir de décision réel.
Bref, le système actuel serait remis en cause et les 1 % les plus riches ne pourraient plus maintenir leur train de vie augmentant exponentiellement , voire, seraient contraints de payer des impôts.
Tandis que les plus pauvres le seraient moins et effraieraient moins les autres populations qui n'auraient ainsi plus peur de rejoindre le bataillon.
Conclusion : la mobilisation des connaissances est un bien vilain défaut.
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