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Education - Page 17

  • Humanitaire à domicile et cantine de proximité

    Alors que certains maires sont prompts à s'en prendre aux plus faibles, proposons une initiative appropriée :

    Une solution existe bien pour les cantines scolaires :

    Sodexo leader de la restauration scolaire, se pique d'actions caritatives, on n'a qu'à lui proposer une action en faveur des Français les plus démunis en leur offrant la nourriture gratuite dans les école.
    Et honnêtement, il n'y perdrait même pas, d'une part parce que le groupe impose de s'inscrire à l'avance, il reste donc toujours des repas des enfants absents, et d'autre part, les repas sont pesés pour pas cher, les actionnaires mangent plus que nos enfants dans l'affaire.

    Les mairies feraient bien d'ailleurs de revenir aux cantines maison, nos enfants ne sont pas des variables d'ajustement des profits des grands groupes cotés en bourse.

    Depuis cotation

    SODEXO, un des leaders de la restauration collective, a choisi d'aider une…
    MARQUESOLIDAIRES.COM

     

     
  • Sortie de maternité et délai raisonnable

    J'ai accouché quatre fois et suis toujours sortie le plus rapidement possible, soit moins de deux jours après (il faut parfois insister et attendre en tous les cas la visite et l'aval du pédiatre), on est beaucoup mieux à la maison et on peut s'occuper de ses autres enfants.
    L'accouchement n'est pas une maladie, s'il n'y a pas de problème, on peut sortir, surtout si on s'en sent capable.
    Je précise que je n'ai jamais reçu d'aide de personne, sauf de la maie qui a gardé mes enfants pensant mes accouchements, et dont il a fallu que je m'occupe juste après ...

    J'ajoute que s'il y a évidemment de la fatigue -et je le sais pour avoir accoucher par voie basse les quatre fois et quasiment sans péridurale, le premier accouchement a duré près de vingt heures-, la mère est physiologiquement armé pour.
    Elle est, sauf cas particuliers, bombardée d'hormones qui permettent de dormir d'un oeil et de faire face aux besoins de l'enfant et aux siens.

    De façon générale, l'hôpital n'incite pas assez les mères à s'occuper de leur bébé, on met à leur disposition des pouponnières où les bébés hurlent toute la nuit, et où ce sont des personnels qui leur donnent le biberon et les changent, quand il faudrait évidemment les bras et les soins de la maman, nous n'étions que de rares exceptions à garder notre bébé la nuit.

    Comme il ne faut pas séparer les chatons de leur mère, il ne faudrait pas enlever les bébés de la façon dont cela se fait dans les maternités.
    Le lien se crée davantage dans le soin et je crois qu'il peut y avoir des perturbations dans le fait de détacher ainsi la relation mère-nouveau-né.
    Les hormones de l'attachement sont sollicités de part et d'autre par ce lien contigu, le phénomène de manque tout autant.
    Et on ne dira jamais assez comment l'amour vient dans le soin.
    Bébé, puis le petit enfant, ne veut qu'une chose, qu'on le regarde et que le regard pétille de vigilance et d'amour, ce qu'il saura reproduire, ou, qu'il méconnaîtra le cas malheureux échéant.
    Et pour le cerveau en formation du petit, quelques instants peuvent être l'infini, le sentiment d'abandon, la dépression, l'extinction d'une flamme qui peut ne jamais renaître.

     


    Ensuite une infirmière toujours admirablement aimable passait à domicile mais en général tout va bien et on n'en a pas besoin.
    Evidemment la surveillance à domicile de la maman et du bébé peut être utile en cas de problème.

    On peut faire confiance en la médecine qui sait établir ce qui est bon ou moins bon pour les patients, et ce en fonction de l'évolution des techniques et des savoirs.

    En revanche, on peut toujours se méfier des coupes sombres gouvernementales et de la tentation du tout privé, ce à quoi chacun doit veiller comme à la prunelle des yeux de ses bébés.

    sur Trois jours à la maternité suffisent-ils après un accouchement ?

    Lien permanent Catégories : Education
  • Rejetons les femmes et les enfants d'abord !

    Les femmes et les enfants d'abord, mais pas dans le sens que l'on croit.

    Le maire-de-propagande du Pontet (Vaucluse) ignore sans doute que les familles les plus démunies sont en France les familles monoparentales, ces mères qui élèvent seules leurs enfants et dont les revenus sont ou seraient inférieurs au frais de garde et de transport qu'ils occasionne(rai)ent.
    Il souhaite supprimer la gratuité de la cantine pour les plus démunis.
    Relevons que cet édile si soucieux des deniers publics a commencé par prendre en toute première mesure, sa propre augmentation d'indemnité d'élu, une augmentation qui permettrait d'offrir 500 repas par mois.

    Comme Ménard, il assène la double peine aux catégories les plus fragilisées de nos concitoyens.

    On peut garantir que plus l'acharnement contre les faibles est fort, moins les attaques contre les puissants le seront, c'est quasiment un théorème de base.

    Les électeurs et tous ceux qui reconnaissent la France comme la patrie du petit, du sans grade, contre l'injustice, apprécieront.

    Ceux qui traitent les pauvres d'assistés feraient mieux de mouler le ton, j'en ai rencontré beaucoup de ces tueurs qui font les malins quand ils ont du travail, et quand ils tombent eux aussi -car chacun peut être touché par la maladie, l'accident, l'abandon, la faillite, le licenciement 
    etc.- ils tombent de haut.
     
    Etre au chômage ou autres formes de précarité aujourd'hui n'a rien à voir avec sa volonté ni ses capacités, ce serait mal comprendre le fonctionnement du système actuel.

    Sachons ce qui oppose notre pays au monde libéral anglo américain.
    Nous sommes un pays de redistribution, notre sytème d'éducation,de santé, de retraite, de justice, de police, d'assurances même, ou de banques, tout dans notre droit contient ce principe d'unité et d'égalité des droits.
    La France organise la société de façon à ne laisser personne au bord du chemin.
     
    Ceux qui sont prompts à définir ce système comme de l'assistanat, ignorent parfois qu'ils ne défendent pas le modèle français, mais la conception anglo américaine où les écoles sont différentes en fonction de la fortune des parents, où les plus aisés s'offrent une police privée, une justice plus favorable, peuvent s'offrir des soins de santé inaccessibles aux plus démunis, etc.
    Nos chevaliers jadis, défendaient la veuve et l'orphelin.
    Choisissez bien vos références, nous, c'est la France.

    Un maire FN supprime la gratuité de la cantine pour les familles pauvres
    www.huffingtonpost.fr
    Le conseil municipal du Pontet, commune du Vaucluse conquise par le Front national aux élections de mars dernier...

  • Les idiots-utiles des libertariens à la manoeuvre

    C'est un débile ce type ou il le fait exprès.
    Le seul rempart au mondialisme, c'est l'Etat selon son acception française avec tous ses attributs (monnaie, défense, police, législatif, exécutif, judiciaire, unité, prérogatives stratégiques comme l'énergie et les transports, école).
    Les religions, quelles qu'elles soient, sont entièrement manipulées par les puissances privées dont le seul et unique ennemi est l'Etat.
    L'Etat est en revanche une création de nos rois catholiques, ils avaient bien compris quelles institutions bien temporelles permettaient de lutter contre la barbarie.

    "Le seul contrepoids au mondialisme, c'est la Croix du Christ."
    Adrien Abauzit

  • Le journalisme facile et tape-à-l'oeil contre la réalité

    Les journalistes, les sociologues et les experts sont parfois des gens étranges et ont de réelles difficultés à appréhender la réalité.
    Ou simplement se laissent-ils facilement berner par une opération de communication leur permettant au passage de faire un papier et de passer pour un expert, chacun y trouve son compte.

    Lorsque j'ai été étudiante il y a vingt ans -et j'ai fait six ans d'études supérieures-, nulle part en France ni chez moi à Nice, les étudiants frontistes ne se cachaient pas.
    Je le sais puisque nous nous connaissions et nous réunissions tous et préparions des actions communes.
    Quant à notre nombre, il y a juste eu des haut et des bas en fonctions des groupes et du charisme de leurs membres et des résultats aux éléctions (les profondes convictions et le courage de certains s'affirmant davantage quand le Front est fort ...), il suffit d'un gars pour faire une équipe, il reste invariable, sur les différentes années de faculté, on trouve bien une dizaine d'étudiants qui s'affichent ouvertement.
    A Nice, nous organisions même des soirées qui comptaient autant de monde que les autres.

    Evidemment, pour avoir été étudiante à la fois en fac de Lettres et en fac de droit, je sais qu'il y a certaines universités où il vaut mieux ne pas trop la ramener.
    En fac de Lettres, quand on refusait de signer une pétition gauchiste, on retrouvait systématiquement sa voiture avec une grosse bosse en creux le jour-même, on finit vite par comprendre.
    En fac de droit, comme nous étions un petit groupe, cela suffisait à en faire un fac "facho".

    Pour être honnête, nos groupes étaient gangrénés par des gens de droite forte et droite dure, la droite forte étant proches de la droite classique et la droite dure, des groupuscules.
    Ils nous méprisaient cordialement, ce qui était absolument réciproque, mais ils surfaient sur les succès électoraux du Front et profitaient de leurs réseaux de petits bourgeois pour s'imposer.

    Les groupes étaient si hétéroclites qu'ils éclataient souvent puis se reformer au gré des consignes des états-majors.
    Le Front les tolérait avec toute l'ambiguité que nous connaissons encore aujourd'hui.
    Au niveau du FNJ, nous savions pertinnement que nous étions différents tant sur le fond que sur la forme, mais en douce, les états-majors de chaque camp discutaient continuellement entre eux.

    La méthode reste malheureusement inchangée.
    Les étudiants qui votent FN de plus en plus nombreux et décomplexés
    www.lemonde.fr
    Jusqu'à il y a peu, les sympathisants d'extrême droite étaient peu visibles sur les campus.

  • Victor Hugo, 2014, et les misérables

    Victor Hugo le bâtard de ouf, l'enfoiré de sa mère.

    On se calme.

    Mon fils a eu 17,5 à l'écrit du Bac français en première scientifique et il est tout à fait capable de s'exprimer ainsi sur les réseaux sociaux.

    Les lycéens savent parfaitement usé des différents registres de langage et passeraient pour des débiles s'ils envoyaient un tweet en langage soutenu.

    Il faut vraiment être une bande de réac type lecteur du Figaro ou de Valeurs Actuelles, suivi par le Nouvel Obs et autres déconnectés pour ignorer autant le monde réel et celui des ados.

    Sauf à faire du buzz quand on n'a rien de mieux à se mettre sous la dent.
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      C'est de l'humour.

      Les lycéens rendaient à leur manière décalée, l'hommage dû au grand écrivain, qui n'est pas forcément accessible au premier degré.

      Les lycéens qui ont planché sur ce sujet sont parmi les meilleurs puisqu'il s'agissaient des Bac S et ES.
      D'ailleurs le commentaire de texte est le plus difficile des exercices, ne s'y frottent que ceux qui s'en sentent capables.

      Balancer un tweet blasphématoire, c'est du second degré pour relâcher la pression.
       
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      Peut-être y a-t-il eu des tweets qui ont pu se surajouter pour profiter de l'aubaine (Il en est dont c'est l'occupation principale), ce qui a permis d'écrire un marronnier sur le niveau des lycéens.
      Et puis on a tous eu des rigolos dans la classe qui n'en ont rien eu à faire de cette épreuve, à tort sans doute, mais qui ont pu effectivement avoir à coeur d'amuser la galerie.
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      Je préfère prendre la défense de gamins que je connais bien et  d'une jeunesse que je ne trouve pas pour si désespérante qu'on veut bien le dire.

      Nous sommes un certain nombre à les trouver attachantes ces bêtes-là.
      Le professeur de français de mon deuxième fils, qui est en seconde, leur a gentiment rendu tout récemment, ce qu'il disait avoir reçu de leur part durant toute l'année : chacun a eu droit à une Bêtise de Cambrai.
      Les élèves l'ont pris comme il fallait le prendre, en riant, c'était bien une marque d'affection.

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       «Victor Hugo, si j'te croise dans la rue, t'es mort», c' est drôle.

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      N'avons-nous jamais été jeune ?

      J'avais dans ma classe d'excellents éléments qui avaient un jour traité George Sand de grosse "biiiiip".

      C'est déplacé si on le pense vraiment, mais quand c'est  un anachronisme doublé d'une litote, ça permet juste de décompresser quand on vient de plancher quatre heures sur une dissert.


      Pas de quoi en faire un fromage, juste un papier de journaliste.

  • Blouse de travail, école des bleus, et marketing de la connaissance

    Bob Ménard a lancé la nouvelle mode, alors Le Figaro embraye, on ne s'y attendait pas ...

    Ménard se fait néopédagogue, on va changer le fond en changeant la robe.
    Demain, tous en djellaba, tunique uniforme, il n'est pas dit si Bob va rempiler avec la Qatar Academy et refourguer le logo du PSG à toutes ses équipes.

    Il ne s'agit pas du tout du retour de la blouse du temps où le vêtement faisait le moine.
    Aujourd'hui, il existe deux classes dans les écoles, et elles traversent indifféremment les classes sociales : ceux qui portent des marques Adidas, Lacoste, ou autres Desigual, et ceux qui se moquent pas mal de ce qu'ils portent.

    La blouse ne changera pas plus la donne que le pédagogisme n'assoit la formation.
    La transmission n'a rien à voir avec l'accessoire mais avec l'essentiel.

    Une leçon de grammaire suivie d'une dictée, de questions de grammaire et qu'une bonne correction, sans blouse, donnent plus de résultat que la même non-leçon suivie d'une non-dictée et d'un moindre effort d'application, avec blouse.

    C'est l'agencement du cerveau qui engendrera une meilleure absorption des règles et règlements, pas l'hanarchement de la bourrique.

    Le port du voile en forme de blouse répond à un tout autre but.

    Il s'agit de copier les écoles privées anglo saxonnes avec logo de la marque -pardon, de l'école- et de s'inscrire dans le futur marché éducatif.
    Cette marque pouvant tout aussi bien être le nom d'une ville, les entités territoriales participant pleinement du découpage économique à venir.

    Les élèves porteront la blouse comme les employés de Carrefour ou de Macdo portent la leur, et on leur apprendra à en être fiers et à les porter haut ...
    Et sans doute comme les joueurs de foot exiberont-ils aussi les couleurs de leurs sponsors chargés de financer leurs études, en médaillon.
    Avec Prix L'Oréal dans les écoles de coiffure et Prix Areva dans les écoles d'ingénieur.

    Alors retournons la blouse et examinons-la sous toutes les coutures avant d'en devenir esclave et de ne pouvoir plus en faire partir les malfaçons comme autant de taches indélébiles.

  • Connaissez-vous le Powell Memorendum, parce que lui, vous connaît bien


    Les "think tanks" qui pénètrent le spectre politique français jusqu'au Front National, sont issus du Powell Memorendum.
    (Il est à noter que des résistances étatiques subsistent et notamment aux USA, dont les batailles incessantes entre l'oligarchie industrialo financière et les Etats)

    Le mémo Powell: un appel à-bras pour les sociétés

     

    Dans cet extrait de Winner-Take-All Politics: Comment Washington Fait les riches plus riches - et tourné le dos à la classe moyenne , les auteurs Jacob S. Hacker et Paul Pierson expliquer l'importance de la Powell protocole, un appel aux armes pour sociétés américaines écrits par Virginie avocat (et futur justice de la Cour suprême) Lewis Powell à un voisin de travailler avec la Chambre de commerce des États-Unis.

    Winner-Take-All Politics veste du livreÀ l'automne de 1972, le vénérable National Association of Manufacturers (NAM) a fait une annonce surprenante: Il a prévu de déménager ses bureaux principaux de New York à Washington, DC Comme son chef, Burt Raynes, observé:

    Nous avons été à New York depuis avant le tournant du siècle, en raison 
    nous avons considéré cette ville comme le centre des affaires et de l'industrie. 
    Mais la chose qui touche les entreprises le plus aujourd'hui, c'est le gouvernement. La 
    relations de l'entreprise avec les entreprises n'est plus si important
    que la relation de l'entreprise avec le gouvernement. Au cours des dernières 
    ans, qui est devenu très évident pour nous. [ 1 ]

    Pour être plus précis, ce qui était devenu très évident pour la communauté d'affaires était qu'il devenait son horloge nettoyé. Utilisé pour avoir une large domination, les employeurs confrontés à une série de défaites surprenantes dans les années 1960 et au début des années 1970. Comme nous l'avons vu, ces défaites ont continué sans relâche lorsque Richard Nixon a remporté la Maison Blanche. Malgré les revers électoraux, le libéralisme de la Grande Société avait surprenant élan politique. "De 1969 à 1972," comme le politologue David Vogel résume dans l'un des meilleurs livres sur le rôle politique de l'entreprise, "la quasi-totalité de la communauté d'affaires américaine a connu une série de revers politiques sans précédent dans la période d'après-guerre." En particulier , Washington a entrepris une vaste expansion de son pouvoir de réglementation, d'introduire des restrictions et des exigences strictes et exhaustives sur les activités dans des domaines de l'environnement à la sécurité au travail pour la protection des consommateurs. [ 2 ]

    Dans les milieux d'affaires, ce changement prononcée et soutenue a été accueillie avec incrédulité, puis alarme. En 1971, l'avenir de la Cour suprême de justice Lewis Powell s'est senti obligé d'affirmer, dans une note de service qui était d'aider à galvaniser les milieux d'affaires, que le «système économique américaine est en grande attaque." Cette attaque, Powell maintenue, la mobilisation nécessaire pour le combat politique: " Les entreprises doivent apprendre la leçon. . . que le pouvoir politique est nécessaire; que ce pouvoir doit être assidûment cultivé; et que lorsque cela est nécessaire, elle doit être utilisée de manière agressive et avec détermination, sans gêne et sans hésitation qui a été si caractéristique de l'entreprise américaine "En outre, Powell a souligné, l'ingrédient essentiel à la réussite serait l'organisation:". force réside dans l'organisation, Attention à la planification à long terme et la mise en œuvre, en cohérence de l'action pendant une période indéterminée d'années, dans l'ampleur du financement disponible que par un effort commun, et dans le pouvoir politique disponible que par l'action unie et les organisations nationales. "[ 3 ]

    U.S. President Richard Nixon holds a commission that he will present to Lewis F. Powell Jr., left, and another will be given to William Rehnquist, right, at a White House ceremony in Washington, D.C., Wednesday, Dec. 22, 1971. Both Powell and Rehnquist are commissioned as Associate Justices of the Supreme Court and will take their oath Jan. 7, 1972. The two men were appointed to the Supreme Court by President Nixon. (AP Photo/Charles Tasnadi)

    Le président américain Richard Nixon est titulaire d'une commission qu'il présentera à Lewis F. Powell Jr., à gauche, et un autre sera donnée à William Rehnquist, à droite, à une cérémonie à la Maison Blanche à Washington, DC, le 22 décembre 1971. Les deux hommes ont été nommés à la Cour suprême par le président Nixon. (AP Photo / Charles Tasnadi)

    Powell est un de ceux qui a poussé à relancer le poids politique des employeurs.Avant les vents politiques décalées dans les années 60, l'entreprise avait vu peu de nécessité de mobiliser quelque chose de plus que d'un réseau d'associations professionnelles. Elle s'appuie essentiellement sur des contacts personnels, et le rôle principal de lobbyistes à Washington était à la traîne des marchés publics et des allégements fiscaux. L'explosion de l'activisme politique, et la montée des groupes d'intérêt public, comme ceux qui sont affiliés avec Ralph Nader, a créé un défi fondamental. Et comme les années 1970 ont progressé, les problèmes semblent s'aggraver. Powell a écrit en 1971, mais même après Nixon a balayé à une réélection écrasante l'année suivante, la marée législatif a continué à venir en jeu. Avec Watergate conduit à la démission de Nixon humiliante et une victoire démocratique spectaculaire en 1974, la situation s'est encore plus désastreuse. "Le danger avait soudainement augmenté," Bryce Harlow, représentant Washington senior pour Procter & Gamble et l'un des ingénieurs de la renaissance politique de l'entreprise devait dire plus tard. «Nous avons dû empêcher les entreprises d'être roulé et mis dans la poubelle par le Congrès." [ 4]

    Powell, Harlow, et d'autres ont cherché à remplacer de club avec un appareil plus moderne, sophistiqué et diversifié - capable de faire avancer les employeurs garçons intérêts même dans des circonstances politiques les plus difficiles. Ils ont reconnu que l'entreprise avait à peine commencé à exploiter son potentiel pour exercer le pouvoir politique. Non seulement les ressources financières à la disposition des chefs d'entreprise hors pair. Les structures hiérarchiques des sociétés ont permis à une poignée de décideurs de déployer ces ressources et de les combiner avec des capacités énormes, mais sous-utilisées de leurs organisations éloignées. Ce sont les conditions préalables à une révolution organisationnelle qui était à refaire Washington en moins d'une décennie - et, dans le processus, de jeter les bases critique pour winner-take-tout politique.

    Les hommes d'affaires du monde, unissez-vous!

    La contre-attaque de l'organisation de l'entreprise dans les années 1970 a été rapide et radicale - une version domestique de Shock and Awe. Le nombre de sociétés ayant leur siège social aux affaires publiques à Washington est passé de 100 en 1968 à plus de 500 en 1978. En 1971, seulement 175 entreprises ont enregistré des lobbyistes à Washington, mais en 1982 près de 2500 fait. Le nombre de PAC d'entreprise est passé de moins de 300 en 1976 à plus de 1200 d'ici le milieu de 1980. [ 5 ] Sur toutes les dimensions de l'activité politique de l'entreprise, les chiffres révèlent une œuvre dramatique, une mobilisation rapide des ressources de l'entreprise au milieu des années 1970.

    Qu'est-ce que les chiffres seuls ne peuvent pas montrer quelque chose de potentiellement encore plus d'importance: les employeurs ont appris à travailler ensemble pour atteindre des objectifs politiques communs. En tant que membres de coalitions, les entreprises pourraient mobiliser plus activement et sur un front beaucoup plus large. Les dirigeants d'entreprise sont devenus des défenseurs non seulement pour les intérêts étroits de leurs entreprises, mais aussi pour les intérêts communs de l'entreprise dans son ensemble.

    Ironiquement, cette nouvelle capacité est en partie un cadeau inattendu de la Grande Société libéralisme. L'un des traits distinctifs de la grande expansion de l'autorité du gouvernement dans les années 60 et au début des années 70, c'est qu'elle a créé de nouvelles formes de régulation qui ont affecté simultanément de nombreuses industries. Auparavant, les compagnies aériennes auraient fait pression sur le Conseil de l'aéronautique civile, les entreprises sidérurgiques auraient porté sur la restriction de la concurrence étrangère, les producteurs d'énergie pourraient avoir gagné allégements fiscaux spéciaux à partir d'un membre du Congrès préféré. Maintenant, les entreprises à travers un large éventail de secteurs confrontés à une menace commune: les organismes de réglementation de plus en plus puissants superviser leur traitement de l'environnement, les travailleurs et les consommateurs. Les entreprises individuelles ont peu de chance de repousser ces grandes initiatives de leur propre chef; pour élaborer une politique suffisamment large défense, ils ont besoin l'organisation.

    L'activité a été galvanisé par plus de portée excessive du gouvernement perçu. Il répond également aux défis économiques croissants auxquels elle est confrontée. Renforcement Organisation a commencé avant même que l'économie aigri au début des années 1970, mais l'économie tumultueuse de cette décennie - battue par deux grands chocs pétroliers, qui ont poussé l'inflation et traîné la croissance - la panique créée dans les secteurs sociaux ainsi que l'insatisfaction croissante parmi les électeurs . Les années 1970 n'était pas le désert économique que les comptes rétrospectives suggèrent souvent.L'économie a en fait augmenté plus rapidement en général (après ajustement pour l'inflation) pendant les années 1970 que dans les années 1980. [ 6 ] Mais dans le contexte des années 1960 rugissantes, la turbulence économique était une secousse désagréable qui a renforcé le cas des chefs d'entreprise que les nouveaux approche régissant était nécessaire.

    Quand il a écrit sa note influent, Lewis Powell était le président du Comité de l'éducation de la Chambre de commerce. La Chambre a été l'un d'un certain nombre de groupes d'entreprises qui ont répondu à la menace émergente en devenant beaucoup plus organisée. La Chambre doublé de composition entre 1974 et 1980. Son budget a triplé. La Fédération nationale des entreprises indépendantes (NFIB) doublé ses effectifs entre 1970 et 1979. [ 7 ]

    Reconnaissant que légiférer à Washington est devenu plus ouvert et plus dynamique, des groupes d'entreprises se refait pour s'adapter à son temps.

    L'expansion de la Chambre et la NFIB signalé non seulement une augmentation de la capacité collective de l'entreprise; il a une forme plus difficile tranchant de la mobilisation. Composé de manière disproportionnée des petites entreprises, ces organisations ont été particulièrement livide de la montée de la réglementation gouvernementale. Les grandes entreprises ont une absorption des coûts administratifs pour se conformer aux nouvelles règles, et plus de possibilités de répercuter les coûts sur les consommateurs plus facile temps. En outre, les associations professionnelles basées sur une multitude de petites entreprises se sont révélées particulièrement capable de mobiliser l'indignation de masse, qui se révèlent être une arme politique très efficace.

     

    Bien sûr, les grandes entreprises ont riposté ainsi. En 1972, trois organisations d'entreprises ont fusionné pour former la Business Roundtable, la première association d'affaires dont la composition a été limitée aux premiers dirigeants de l'entreprise. En partie à la demande de Bryce Harlow, lobbyiste pour Procter & Gamble, cette nouvelle organisation a combiné deux groupes ont porté sur des questions d'affaires relativement étroits avec une organisation informelle appelé le Groupe Mars. Le Groupe Mars avait grandi d'une réunion avec de hauts responsables de l'administration Nixon et d'éminents dirigeants et a été conçu pour réunir un grand nombre de chefs d'entreprise les plus puissants de la nation. Dans les cinq ans, la nouvelle méga-organisation avait enrôlé 113 des meilleurs Fortune 200 entreprises, représentant près de la moitié de l'économie. [ 8 ]

    La Business Roundtable a rapidement développé en un groupe formidable, destiné à mobiliser PDG de haut niveau en tant que force collective de faire pression pour la promotion des intérêts communs. Vice-secrétaire du Trésor de président Ford Charls Walker, un organisateur entreprise leader dont nous dirons plus dans un moment, plus tard mis de cette façon: «La Table ronde a fait beaucoup de différence. Ils savent comment obtenir les PDG dans Washington et le lobby; ils entretiennent de bonnes relations avec les états-majors du Congrès; ils ont juste appris beaucoup de choses sur Washington qu'ils ne connaissaient pas auparavant. "[ 9 ]

    Garder le contact avec les Naders

    Le rôle de la communauté d'affaires non seulement augmenté mais élargi, passant de nouveaux modes d'organisation qui avaient été confinés à ses détracteurs. Reconnaissant que légiférer à Washington est devenu plus ouvert et plus dynamique, des groupes d'entreprises se refait pour s'adapter à son temps.L'extension du réseau des groupes d'affaires serait bientôt capable de hisser les groupes d'intérêt public sur leurs propres pétards. L'utilisation d'outils en émergence rapide de marketing et de communication, ils ont appris à générer des campagnes de masse. création de réseaux d'employés, actionnaires, les entreprises locales et les entreprises ayant des intérêts communs (par exemple, les détaillants et les fournisseurs), ils pourraient bientôt inonder Washington avec des lettres et des appels téléphoniques. En quelques années, ces organisations top-down classiquement étaient à prospérer à générer "bottom up" campagnes de style qui non seulement correspond aux efforts de leurs rivaux mais dépassé.

    Ces nouvelles stratégies "extérieurs" étaient mariés à ceux "à l'intérieur". Les organisations d'entreprises ont développé des listes de premier plan dirigeants capables de faire des contacts personnels avec les chiffres législatives clés. Au cours de réunions privées organisées par le Conference Board, PDG comparé leurs notes et discuté de la façon d'apprendre et de déjouer les syndicats. Dans les mots d'un exécutif, "Si vous ne connaissez pas vos sénateurs sur la base du premier nom, vous ne faites pas un travail adéquat pour vos actionnaires." [ 10 ]

    Affaires aussi massivement augmenté ses dons politique - précisément au moment où le coût des campagnes a commencé à monter en flèche (en partie à cause de la montée de la télévision). Le besoin insatiable de l'argent donné politiciens bonnes raisons d'être attentif à ceux qui ont les poches profondes.Affaires et de loin, les poches les plus profondes, et il était heureux de verser des cotisations aux membres des deux parties. Clifton Garvin, président à la fois Exxon et le Business Roundtable dans les années 1980, a résumé l'attitude envers l'impartialité de cette façon: «La Table ronde essaie de travailler avec n'importe quel parti politique est au pouvoir. Nous pouvons avoir chacun individuellement nos propres alliances politiques, mais comme un groupe de la Table ronde travaille avec chaque administration dans la mesure ils nous ont laissé. "[ 11 ]

    Les groupes d'entreprises nouvellement mobilisés compris que les démocrates et les républicains pourraient jouer des rôles distincts mais complémentaires. En tant que partie d'une serrure apparemment permanent sur le Congrès, les démocrates devaient être fouillait loin de leur alliance traditionnelle avec les syndicats. L'argent est la clé ici: De la fin des années 1970 à la fin des années 1980, PAC entreprises ont augmenté leurs dépenses dans les courses du Congrès presque quintuplé. Les dépenses de main-d'œuvre PAC n'a augmenté que près de la moitié aussi vite. Au début des années 1970, PAC d'activité ont contribué à moins courses du Congrès général de PAC du travail fait. Vers le milieu des années 1970, les deux étaient à parité approximative, et par la fin de la décennie, PAC d'affaires étaient en avance. En 1980, les syndicats représentaient moins d'un quart de toutes les contributions PAC - en bas de la moitié six ans plus tôt. Le changement a été plus grand chez les démocrates, qui étaient bien sûr les plus dépendants de l'argent du travail: Près de la moitié des fonds de campagne des titulaires du Sénat vient de PAC de travail dans le milieu des années 1970. Une décennie plus tard, la part était inférieure à un cinquième. [ 12]

    A cette époque, cependant, PAC d'affaires ont été détournent de leur accent traditionnel sur la pommade titulaires (surtout démocratique) vers une stratégie qui mélange des dons à ceux au pouvoir avec le soutien de challengers politiques conservatrices. Cette tendance se manifeste dans l'année électorale cruciale de 1978. Grâce à Septembre de la saison électorale, près de la moitié des contributions de campagne entreprise coulait dans les coffres des démocrates.Dans les semaines cruciales avant les élections de 1978, toutefois, seulement 29 pour cent 
    fait. À la fin de la campagne 1978, plus de 60 pour cent des contributions des entreprises était allé aux républicains, les deux challengers du GOP et les titulaires républicains de défense hors démocrates libéraux [. 13 ] Une nouvelle ère de financement de la campagne est née: Non seulement les contributions des entreprises de plus en plus jamais plus, les démocrates ont dû travailler plus dur pour eux. De plus en plus, pour recevoir les largesses de l'entreprise, ils ont dû faire plus que détiennent le pouvoir; ils devaient l'exercer de façon que les entreprises aimé.

    Lire le mémo Powell . Télécharger le PDF).

    Notes

    •  1. National Journal, 1974, 14.
    •  2 David Vogel, vicissitudes: le pouvoir politique de l'entreprise en Amérique (New York: Basic Books, 1989)., 59; R. Shep Melnick, "De l'impôt et de dépenses à Mandat-et-Sue: libéralisme Après la Great Society», dans La Grande Société et la marée haute du libéralisme, Sidney Milkis et Jérôme Mileur, eds. (Amherst, MA: University of Massachusetts Press, 2005).
    •  3 Lewis Powell, "protocole d'accord confidentiel: Attaque sur le système de libre entreprise", 23. Août 1971, cité dans Kim Phelps-Fein, Invisible Hands: The Making of du Mouvement conservateur du New Deal de Reagan (New York: Norton, 2009), 158, 160.
    •  . 4 Thomas Byrne Edsall, La Nouvelle Politique de l'inégalité (New York: Norton, 1984), 114.
    •  5. Vogel, vicissitudes, ch. 8.
    •  6. Calculé à partir http://www.bea.gov/national/xls/gdplev.xls .
    •  7. Ibid., 198.
    •  8. Vogel, vicissitudes, 198; John Judis, Le paradoxe de la démocratie américaine: Elites, des intérêts particuliers, et la trahison de la confiance publique (Panthéon: New York, 2000), 121.
    •  . 9 Cité dans Sidney Blumenthal, The Rise of the Counter-création: de l'idéologie conservatrice au pouvoir politique (New York: Times Books, 1986), 80.
    •  10. Cité dans Leonard soie et David Vogel, éthique et profits: la crise de confiance dans American Business (New York: Simon & Schuster, 1976), 65.
    •  11. Blumenthal, Rise of the Counter-Création, 78.
    •  12. E. Taylor foncé, les syndicats et les démocrates: une alliance durable (Ithaca, NY: Cornell University Press, 1999), 149.
    •  13. Vogel, vicissitudes, ch. 8

     

    Extrait du Winner-Take-All Politics par Jacob S. Hacker et Paul Pierson 
    Copyright © 2010 par Jacob S. Hacker et Paul Pierson. Reproduit avec la permission de Simon & Schuster, Inc, NY. Pour plus d'informations s'il vous plaît visitez www.SimonandSchuster.com.

     

     

  • Massacré gracieusement par les Américains

    Ils ont laissé Hitler annexer les Sudètes en 38, ils ont permis la Guerre éclair grâce à la technologie ITT Bell en 39, ils ont équipé les chars allemand avec les moteurs de General Motor alors que l'on savait déjà l'horreur des camps, Ford admirait Hitler, les Américains pratiquaient le radicalisme avant et encore après lui.


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      Le mythe de la bonne guerre
      La Deuxième Guerre Mondiale, une croisade américaine pour la défense de la liberté et de la démocratie ? Les vainqueurs écrivant l'histoire, c'est cette version qui est enseignée depuis 1945 des deux côtés de l'Atlantique. Alors que l'on se prépare à célébrer le 60ème anniversaire de la capitulation…
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Puis ils sont venus nous libérer, nous leur devons ainsi reconnaissance, ils nous ont libérés en massacrant des civils, et ils ont rasé des villes en les bombardant alors qu'ils savaient qu'il n'y avait pas d'Allemand.

     
     
     
    tri yann La ville que j'ai tant aimée
    une magnifique chanson pour de magnifique ville

  • Les prestations de la CAF ne sont pas un privilège

    Selon la vision extrême-droitiste du Figaro ou de valeurs Actuelles, la moitié de la population obtiendrait une "aide" de la CAF.

    Les commentaires des suiveurs ayant la même idéologie n'oublient pas de s'offusquer de cet "assistanat".

    Une "aide" ?

    Quelle est donc cette façon de présenter les choses !
    Toutes les forces vives de la nation reçoivent une prestation de la CAF pour service rendu à la nation en lui offrant des enfants.

    Je dirais donc au contraire que les personnes qui ne bénéficient pas des prestations d'allocations familiales de la CAF sont des personnes qui servent moins la nation que les autres, beaucoup moins.


    Les prestataires ne gagnent rien, ils ne sont pas "aidés", c'est une maigre compensation de ce qu'ils donnent en échange.

    Même les bénéficiaires des autres prestations sont un plus pour la nation, ils donnent plus qu'ils ne reçoivent.
    La dernière des cloches touchant les minima sociaux réinjecte illico tout ce qu'on lui donne et ne garde rien pour lui, il donne même du travail aux services sociaux.

    C'est le rentier du capitalisme financier qui bouleverse l'équilibre de la nation, il entretient la finance internationale qui méprise l'homme, l'asservit et travestit l'économie au profit d'une caste de privilégiés.

    Il n'est de richesse que d'homme.

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    • Stessy  pour les assistées et ceux qui en ont vraiment besoin et bien rien
      2 h · J’aime · 1
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      Oriane Borja Une "aide" ?
      Quelle est donc cette façon de présenter les choses !
      Toutes les forces vives de la nation reçoivent une prestation de la CAF pour service rendu à la nation en lui offrant des enfants.


      Les prestataires ne gagnent rien, ils ne sont pas "aidés", c'est une maigre compensation de ce qu'ils donnent en échange.

      Même les bénéficiaires des autres prestations sont un plus pour la nation, ils donnent plus qu'ils ne reçoivent.

      Il n'est de richesse que d'homme.

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      Philippe Filou On fait d'abord des enfants pour soi ! Il ne devrait en aucun cas y avoir des aides ! On fait des enfants pour les voir grandir ! Le problème aujourd'hui c'est que bcq de personnes font des enfants mais sont incapable de les aider à grandir, donner une éducation, ..... Il serait temps de stopper ces aides faites juste pour combler les ressources des familles qui svt lâchent leurs enfants dans les rues !!
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      Oriane Borja Cela signifierait que seuls les riches pourraient avoir des enfants.
      Salauds !
      En plus, pour être riche, il faut abandonner ses enfants à d'autres, voire ne pas en faire, comme le regrette le Pape.

      Avoir des enfants avec les salaires d'aujourd'hui serait impossible à une grande partie de la population.
      Et je signale que les plus pauvres s'occupent bien plus de leurs enfants, ils ne les confient pas à des nounous et autres tierce personnes et sont donc de facto mieux élevés.

      La rue, d'une part, c'est très bien, faire du patin à roulettes, du vélo, jouer à des jeux d'enfants, d'autre part, là encore, c'est une question de moyens, ceux qui en ont, cachent leurs carences éducatives et affectives en reléguant leurs enfants dans des loisirs honéreux.

      Arrêtez de vivre dans une bulle et de lire des revues idéologiques, ça vous rapprochera de la vraie vie et du Vrai tout court.
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      FFC Je suis d'accord dans le fond, mais dans la forme... 
      Faire des enfants ne devrait pas être un luxe mais une nécessité, un service rendu à la société. Mais les aides sociales, quand on regarde leurs répartitions, sont bien ciblées. Exemple flagrant : roubaix et ses 18 millions de caf par mois! On va en crever.
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      FFC Ne soyez pas hargneuse inutilement.
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      Oriane Borja La colère est fort utile.
      Ceux qui ne sont jamais en colère contre l'injustice, la manipulation, la mauvaise foi, sont des sauvages.
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      Oriane Borja Et puis, on les voit venir avec leur connerie ambulante, demain ce serait encore, la fin de l'assurance maladie qui ne serait acceptable que si l'on pouvait se payer qu'une assurance privée; l'école deviendrait payante, la retraite.
      Bref, vive l'Amérique et à bas la France, voilà ce que cela signifie en substance.
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      Oriane Borja En France, l'Etat pourvoit à l'emploi et la protection des citoyens en général, c'est le contrat social, l'unité nationale en étant le fil conducteur.
      Tous ceux qui ne comprennent pas cela ne comprennent pas la France et tout ce qui la sépare de l'idéologie anglo américaine.
      9 min · J’aime


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      Oriane Borja Le premier décile concerne des personnes qui ne peuvent pas travailler parce que malades (dont alcooliques, dépressifs) ou handicapés, qui peuvent bien d'ailleurs être des enfants du neuvième décile tout autant.
      On ne s'amuse pas à être aux minima sociaux, il faut être stupide pour dire que ceux-là sont bien lotis.
      Demain un accident de la vie peut tous nous mettre à ce niveau-là.

      Pour le reste, les revenus les plus hauts ne le sont que car il y a des revenus plus bas, ils gagnent aussi sur la masse salariale qu'ils ne paient pas.

      Cette progressivité est normale et juste car elle est plus importante au sommet et aide en prorité et mieux les plus faibles.
      9 min · Modifié · J’aime · 1
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      Oriane Borja Rappelons aussi certaines évidences :
      - les grosses entreprises se servent dans le vivier formé gratuitement par l'éducation nationale, et soigné par la sécu.
      Eh oui, un ingénieur, comme un ouvrier, ça ne tombe pas du ciel.
      -que les plus natis paient moins d'impôts en utilisant des montages légaux et parfois illégaux pour éviter leur participation à l'effort national
      - qu'ils disposent de subventions énormes en faisant jouer leur puissance et leurs relations, et de bien d'autres privilèges
      - qu'une bonne partie des ayants-droit au minima sociaux ou autres prestations sociales, n'en font pas la demande pour diverses raisons

      Méfiez-vous, les assistés et les profiteurs ne sont pas ceux que l'on croit.


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        Oriane Borja Et pour en rajouter une couche, spéciale fronto frontiste, je raconte une histoire vraie :

        il était une fois une mère de famille qui élevait seule ses quatre enfants.
        Elle est très diplômée et n'a jamais cessé de travailler en tant que salariée depuis l'âge de quatorze ans tout en poursuivant ses études supérieures (Bac +6).

        Pour élever ses enfants, elle travaille à la maison.
        Se retrouvant seule quand son dernier n'est qu'un bébé, elle vit avec un seul congé parental pour s'occuper de ses enfants, avec ses allocations familiales, ses revenus sont plus faibles encore que les minima sociaux.

        Une fois ses enfants tous scolarisés, elle reprend un travail tout en s'occupant toujours de ses enfants.
        Elle a un smic + les prestations sociales ordinaires.

        Sa situation aurait pu se stabiliser si un député frontiste, gênée par son travail de recherche et ses nombreuses publications, ne l'assignait pas en justice sur un prétexte : une prétendue atteinte à sa vie privée, en demandant 23 000 euros de dommages et intérêts, ce qui permettrait à ce députée de "s'offrir des vacances" comme elle le mentionne dans un entretien.

        Mais pour la mère de famille, cette somme signifierait ipso facto une mise aux minima sociaux.
        En effet, pour gagner le smic (980 euros net), elle a besoin d'un budget mensuel de 200 à 300 euros pour sa voiture.

        Si le député FN lui ponctionne ne serait-ce que 100 euros par mois pendant 230 mois (vingt ans ans), elle ne pourrait plus nourrir ... sa voiture, et donc, plus travailler.

        Forcée aux minima sociaux à vie par un député de la nation qui prétend s'en prendre aux puissants contre les faibles ...
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          FFC Personne n'est innocent, personne. Le choix, nous l'avons eu, nos prédécesseurs aussi et on a fait Ce choix : celui d'être les esclaves d'un système vérolé qui tarde à disparaître. Il ne disparaîtra pas, il pourrira !
          Désolée mais la moitié de la Franc
          e ne peut pas supporter l'autre moitié ad vitam. Surtout que la part d'assistés tend à augmenter dangereusement. L'immigration en est la cause POINT. Je n'ai jamais comparé les nécessiteux français et les autres. Les premiers sont de notre responsabilité, les autres le sont devenus...par notre faute !
          Et si vous voulez à tout prix ignorer cet état de fait, ça vous regard. Une chose est sûre c'est que nous crèverons de notre crédulité. Et si nous n'en mourrons pas, nos enfants eux paieront l'addition.
          Espérons le réveil français. On en voit les frémissements, voire les grands sursauts. Il faut espérer que cela suffira. S'ils coupent les robinets (ce qui arrivera), peut être aurons-nous une réaction en chaîne... La douche froide, la ruée, le chaos, ... Mais il vaut mieux ça que cette petite mort et avant qu'il ne soit trop tard ! Il faut que le peuple saisisse son destin et que les équilibres se recréent.

          Pour ce qui est de votre problème avec Mme Maréchal Le Pen, je n'ai pas de jugement à porter. Vous savez comme moi qu'elle ne les obtiendra pas.
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          Oriane Borja Le chaos qui rétablira le meilleur ordre, ça parle beaucoup à ceux qui connaissent l'action des lobbies extrémistes américains vous savez.

          Vous avez un discours totalement anti national, c'est effrayant et irresponsable.


          Si nous voulons la France, a priori, c'est parce que nous pensons, à raison, notre civilisation comme protectrice et empreinte de sagesse, parce que la barbarie nous fait horreur,; nous ne sommes pas là pour nous précipiter nous-mêmes dans l'abîme.

          La pente est plus dure à remonter quand on vient de l'enfer.
          Il nous faut remettre la France sur pied, et ce n'est pas en lui pétant les jambes que l'on y arrivera mieux.