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culture - Page 7

  • De Jean-Frédéric Poisson aux Poissons Roses du PS, l'extrême-droite n'est jamais loin

    Les libéraux-chrétiens appelés Poissons Roses du Parti Socialiste ne sont pas pour rien des alliés de l'extrême-droite au sein de La Manif Pour Tous.

    Historiquement, ils viennent du personnalisme d'Emmanuel Mounier et de la Revue Esprit.

    Dès 1927, Jacques Maritain soutenait cette Primauté du spirituel. À sa suite, des revues comme la Jeune Droite, l'Ordre Nouveau et Esprit reprendront cette exigence.

    Ainsi, en mars 1931, l'un des premiers manifestes de l'Ordre Nouveau lançait ce slogan promis à un succès durable: «Spirituel d'abord, économique, ensuite, politique à leur service».

    Emmanuel Mounier écrira quelque temps plus tard: «Le spirituel commande le politique et l'économique.

    L'esprit doit garder l'initiative et la maîtrise de ses buts, qui vont à l'homme par-dessus l'homme, et non au bien-être».

    Selon eux, redonner la «primauté à la personne», c'est retrouver la voie de la vraie hiérarchie des valeurs; c'est réunir ce que le monde moderne a eu tendance à séparer.

    Cette volonté est surtout le souci de la revue Esprit et, dans une moindre mesure, celui de l'Ordre nouveau, revues qui possèdent quelques collaborateurs communs.

    Toutefois, puisqu'il n'est personne pour croire que cette nouvelle civilisation s'édifiera seulement à coup d'idéal, on a aussi pensé à organiser ce qui relève du matériel sur une base concrète qui puisse permettre d'atteindre la réalisation de cet objectif.

    Il faut savoir que pour cette génération, Proudhon sera, en ce qui a trait à l'organisation de la dimension matérielle, ce que Charles Péguy représenta pour la dimension spirituelle.

    Esprit, qui est avant tout Emmanuel Mounier, approfondira surtout la réalité de la personne alors que l'Ordre Nouveau s'attachera plutôt, en s'inspirant plus directement de Proudhon, à définir le cadre organisationnel qui va permettre à l'humanité nouvelle d'émerger.

    Leur "personnalisme" est une façon recouverte de vernis humaniste de recouvrer la notion d'individualisme anglo saxon.
    Et il s'oppose en tout à notre conception française de la société, unitaire.

  • L'extrême-droite en état d'agitation extrême

    Si les lobbies pro-union des droites vont se réunisr le 12 décembre avec entre autres, Bob Ménard, Marion Maréchal Le Pen, Charles Beigbeder, Jean-Frédéric Poisson, Philippe de Villiers, il ne s'agit en rien de rabattre pour le Front National (du moins tant que Marion Maréchal Le Pen n'y a pas pris le pouvoir).

    Il y a erreur de diagnostic à chaque fois, ici comme avec la révolte policière.

    Il ne s'agit pas du Front National, mais bien de la réelle extrême-droite, transcourants, dont la maison-mère se situe aux Etats-unis dans les groupes d'influence libertariens/libéraux conservateurs.



    C'est bien au Family Research Council de l'Heritage Foundation et autres Cato Institute que Boutin, Bourges, Margain, Bastié et tant d'autres vont se former à Washington avant de "manifester pour tous"; dans ces think tanks américains qui sont les plus grands groupes d'influence au monde, que sont formés à l'activisme anti-république et pro-libéralisation économique de la société, notamment en utilisant le communautarisme et le maillage et la force de l'Eglise catholique, protestante ou autre, les tas de petits porteurs lobbyistes.
    Même s'ils ont aussi de grands think tanks en France, l'IFRAP pour les nouveaux, mais l'Institut Montaigne distillait déjà la même idéologie,que l'on retrouve éparpillée de Fondation Jean Jaurès en Terra Nova.

    De ces réseaux que sortent Fils de France ou le SIEL, là que l'on retrouve Beigbeder et autres Millon père et fils.


    Transcourants car s'ils pénètrent le FN depuis longtemps (c'est au Front, proche des Le Pen, que je les y ai connus il y a plus de vingt ans), ils apparaissent aussi à droite, évidemment, mais aussi au PS (Les Poissons Roses), auprès de Mélenchon (on a vu Mélenchon se coucher auprès d'un de leurs multiples lobbies, l'Institut Pour la Justice en l'occurrence, mais de nombreux cadres mélenchonistes se font happer par leurs lobbies climatosceptiques, antivaccins, anti-santé publique en général, pro-démocratie directe et bien d'autres), chez les écologistes.

    Au sein de l'Assemblée Nationale, un de leurs lobbies sur la Démocratie Directe rassemble FN, PS, écologistes, droite sans porblème, le tout piloté par les lobbyistes de l'Ecole de Guerre Economique de l'ancien mao-spontex Harbulot, affiliés aux grands groupes d'influence américains.

    Ménard et ses coreligionnaires d'Ichtus/Opus dei y sont naturellement affiliés.

    Certes Jean-Frédéric Poisson est lié à des antisémites, chez les tradi, on a un rapport mitigé aux juifs (ils n'ont rien contre le communautarisme au contraire, le tout étant de ne pas les mélanger), mais, en parlant de "lobby sioniste" il ne répète là que la doxa libertarienne, tel un vulgaire Soral, Dieudonné ou Kémi Seba.

    Ce n'est pas le lobbying qu'il dénonce, -les réseaux de Poisson ne sont que des lobbies, de maison-mère américaine-, ce que les libéraux cons exècrent, ce ne sont pas non plus les juifs ni leurs supposés liens avec la finance, ce sont les lobbies qui fonctionnent encore sur un mode étatique, le sionisme étant un étatisme, ils le condamnent, comme ils le feraient de l'interventionnisme.

    D'ailleurs, les lobbies de l'Heritage Foundation desquels dépendent Poisson, et autre Boutin ou Maréchal Le Pen, sont liés tant à l'Opus Dei qu'aux multimilliardaires comme David Horowitz et son projet Eurabia défendu par Pamela Geller, Robert Spencer et autres Geert Wilders.

    Il faut bien comprendre la politique dite "non-interventionniste" des libertariens et partisans de Trump, ce qu'ils veulent stopper, c'est l'Etat, dans ses prérogatives intérieures, et, extérieures, comme en toutes choses, ils préfèrent laisser faire le privé, les armées privées en l'occurrence en matière d'impérialisme, il s'agirait d'un impérialisme libéral pur, où les bénéficiaires ne seraient plus certains particuliers aidés par les Etats, mais certains particuliers aidés par d'autres particuliers.

    D'ailleurs quand ils vénèrent Poutine, ce n'est pas "l'homme d'Etat" qu'ils adulent, c'est le dictateur, la violence de l'autorité individuelle, pas la régulation étatique. l'individu en tant que partie d'un corps national ne les intéresse pas.
    Il s'agit d'émulation entre individus regroupés en communautés, et dont on flatte l'identitarisme pour mieux renforcer leur combativité entre eux et leur soumission à tous.

    La Russie n'est pas un Etat en fonctionnement, c'est le royaume des maffias, qu'un réel Etat ne saurait tolérer.
    On n'y défend pas l'intérêt général des Russes, mais des intérêts particuliers de certains Russes contre tous les autres, autres que l'on dresse contre un ennemi commun, (les USA ou l'Occident en l'espèce) afin de les maintenir sous dépendance.

    Ce qui est intéressant avec ces adeptes, comme il en est d'un Poisson ou d'une Marion Maréchal Le Pen, c'est qu'ils finissent toujours par révéler l'horreur de leur idéologie, rien qu'en répétant bêtement leurs arguments tout faits et ressassés dans leur milieu sans qu'aucune conscience ni même ersatz d'intelligence ne viennent un jour analyser ce qu'ils disent vraiment.

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  • Comment le CRIF se noie avec le Poisson dans le bain libertarien

    Certes Jean-Frédéric Poisson est lié à des antisémites, chez les tradi, on a un rapport mitigé aux juifs (ils n'ont rien contre le communautarisme au contraire, le tout étant de ne pas les mélanger), mais je pense qu'il ne répète là que la doxa libertarienne.

    Ce n'est pas le lobbying qu'il dénonce, -ses réseaux à lui ne sont que des lobbies, de maison-mère américaine-, ce que les libéraux cons exècrent, ce ne sont pas non plus les juifs ni leurs supposés liens avec la finance, ce sont les lobbies qui fonctionnent encore sur un mode étatique, le sionisme étant un étatisme, ils le condamnent, comme ils le feraient de l'interventionnisme.

    D'ailleurs, les lobbies de l'Heritage Foundation desquels dépendent Poisson, et autre Boutin ou Maréchal Le Pen, sont liés tant à l'Opus Dei qu'aux multimilliardaires comme David Horowitz et son projet Eurabia défendu par Pamela Geller, Robert Spencer et autres Geert Wilders.

    Il faut bien comprendre la politique dite "non-interventionniste" des libertariens et partisans de Trump, ce qu'ils veulent stopper, c'est l'Etat, dans ses prérogatives intérieures, et, extérieures, comme en toutes choses, ils préfèrent laisser faire le privé, les armées privées en l'occurrence en matière d'impérialisme, il s'agirait d'un impérialisme libéral pur, où les bénéficiaires ne seraient plus certains particuliers aidés par les Etats, mais certains particuliers aidés par d'autres particuliers.

    D'ailleurs quand ils vénèrent Poutine, ce n'est pas "l'homme d'Etat" qu'ils adulent, c'est le dictateur, la violence de l'autorité individuelle, pas la régulation étatique. l'individu en tant que partie d'un corps national ne les intéresse pas.
    Il s'agit d'émulation entre individus regroupés en communautés, et dont on flatte l'identitarisme pour mieux renforcer leur combativité entre eux et leur soumission à tous.

    La Russie n'est pas un Etat en fonctionnement, c'est le royaume des maffias, qu'un réel Etat ne saurait tolérer.
    On n'y défend pas l'intérêt général des Russes, mais des intérêts particuliers de certains Russes contre tous les autres, autres que l'on dresse contre un ennemi commun, (les USA ou l'Occident en l'espèce) afin de les maintenir sous dépendance.

    Ce qui est intéressant avec ces adeptes, comme il en est d'unPoisson ou d'une Marion Maréchal Le Pen, c'est qu'ils finissent toujours par révéler l'horreur de leur idéologie, rien qu'en répétant bêtement leurs arguments tout faits et ressassés dans leur milieu sans qu'aucune conscience ni même ersatz d'intelligence ne viennent un jour analyser ce qu'ils disent vraiment

  • La liberté du bocal du poisson journaliste

    Aude Lancelin, madame Frédéric Lordon à la ville, feint de découvrir que l'Obs (NouvelObs) est un journal de gauche-PS.
    Le journal n'étant pas sur sa ligne, elle s'est fait virer.

    Mais les journalistes ont beau dire, ils ne sont libres que d'être ce qu'on leur demande d'être.

    Bourdin se croit libre parce qu'il est embauché en tant que journaliste populiste de droite et qu'il colle parfaitement au rôle.

    Pleynel est le journaliste qui embauche des journalistes qui sont libres de penser comme lui, et ils ont droit d'y mettre toute la mauvaise foi qu'ils veulent, libres on vous dit.

    Zemmour est libre d'être le fer de lance de l'extrême-droite à droite, mais il ne s'aperçoit pas qu'il n'a pas le droit que cela se voit trop, il n'est libre que de faire le pantin qui permet à la droite de se sentir à l'aise dans son extrême-droitisme, il est ce que la droite pense tout bas, mais il doit prendre garde à ne pas le dire trop haut.

    Dans un genre encore plus guignol, vous aurez le patron de bar, Martial Bild, qui vous réinforme comme Bob Ménard vous apprend la liberté d'être racialolibéraloxénophobe, ils vous entretiendront de l'extrémisme sur le ton mal joué du candide journaliste qui veut accoucher ses idées en les plaçant dans les paroles d'un autre qu'il prétendrait presque malmener pour lui sortir la propagande attendue sur un plateau.

    Tous reçoivent les moyens d'exister, des réseaux de communication, et sont donc stipendiés par des finances, non pas libres comme l'air, mais comme le cours de l'or, illusoire reflets de miroirs aux alouettes.

    Lien permanent Catégories : culture
  • Le caïda, cet extrême-droitisme à combattre

    Les petits caïds de banlieue ignorent tout de la notion d'espace public, ce qui arrange grandement leurs trafics, pour eux, la cité est le territoire de leur tribu, ainsi s'affrontent-ils entre quartiers en guerres tribales.

    Pour entrer dans leur quartier, ils croient qu'il faut leur demander l'autorisation, voir leur graisser la patte.

    Ce sont vraiment de petits maffieux, comme dans le Sud de l'Italie où les maffia locales ont toujours refusé l'Etat et s'entretuent entre elles au gré de leurs acquisitions de marchés et territoires.

    Les identitaires sont les mêmes ignorants et récalcitrants, les mêmes ennemis de l'Etat qu'ils honnissent.

    Le grand retour de la France sera d'inculquer et de faire respecter nos principes de droit public, il faudra bannir impérativement les écoles hors-contrat avec l'Etat, qui sont les nids et les couveuses de ces sectarismes mortifères.

  • Au Nom de la rose, le retour

    Les lobbies de l'Opus Dei s'en prennent clairement à l'Education Nationale, sous le prétexte de livres qu'ils interdiraient sous prétexte de sexualité, ce sont l'éducation et l'instruction tout court qu'ils visent.

    A mon époque, je me souviens de la lecture de Ravage de Barjavel, en Cinquième, certains parents s'étaient émus d'une scène de viol, sans aucun recul, contextualisation et réel esprit critique vis-à-vis du texte naturellement.

    Texte d'une autre tenue tant sur le fond que sur la forme, et auquel Vigipirategender n'aurait peut-être rien à redire quand l'EN y aurait étant donné le passé sulfureux de l'écrivain, qui s'est sans doute frotté à des talents de son époque, dont le niveau littéraire était aussi vrai que leurs antisémitisme et collaborationnisme.

    On note par ailleurs que Barjavel, s'il fût précurseur de la science-fiction à la française, est bien ce genre de personnage à qui le progrès, la science, l'homme au final, font peur.

    Car sans doute l'instruction éloigne de leur conception sectaire et autoritaire du fait religieux.

    Les privatologues de l'Opus Dei s'acharnent sur l'EN pour des raisons autres que les prétextes qu'ils avancent; c'est l'instruction publique, la science pour tous qu'ils attaquent, leur fonds de commerce charlatanesque qu'ils défendent, et voulant ignorer sans doute que l'éducation sexuelle permettrait d'éviter les avortements.

  • Dupont-Aignan, l'extrême droite décomplexée sans complexe

    Discours de rentrée de Dupont-Aignan, gogaulliste de service, avec Charles Beigbeder, le hard Medef (et accessoirement agent de l'Opus Dei), pour qui Gattaz est un trotskiste.


    http://www.gaullisme.fr/.../discours-de-rentree-de.../
    Discours de rentrée de Nicolas Dupont-Aignan
    GAULLISME.FR


    Discours de rentrée de Nicolas Dupont-Aignan
    A l’occasion de la rentrée politique de Nicolas Dupont-Aignan, Charles Beigbeider, chef d’entreprise, Jacques Sapir, économiste, Dominique Jamet, écrivain, Stéphanie Gibaud, lanceuse d’…
    GAULLISME.FR



    Charles Beigbeder en gaulliste social (Nicolas Dupont Aignan l'avance en tête de proue de la galère souverainiste), Charlot qui voit en Marion Maréchal la lumière astrale libérale, pour qui toute contribution sociale est une plaie, toute aide sociale une hérésie, tout pauvre un parasite.

    Ah c'est beau le peuple version extrême-droite, les mêmes vont promouvoir les lobbies anti-vaccins, car il y va en matière de santé physique comme de santé économique, il faut laisser les plus faibles s'éliminer naturellement.


    Le souverainisme met l'accent sur l'Etat à l'anglosaxonne, c'est-à-dire sur les pouvoirs régaliens, et encore prône-t-il des pouvoirs régaliens décentralisés, ce qui est un non-sens dans le système français puisque nos rois n'auraient pour rien au monde abandonné leurs prérogatives.

    Le souverainisme est un système importé, tant que vous ne comprenez pas cela, vous ne comprendrez rien.

    Le souverainisme ne tient pas compte de notre système français unitaire et interventionniste, en souverainisme, l'Etat n'est pas garant ni de l'unité nationale ni de la prospérité, le souverainisme découple le politique de l'économique quand notre système français assujettit a priori le second au premier.

  • Aux gaullistes opportunistes au pire, imbéciles au mieux



    Il n'est pires aveugles et sourds que ceux qui ne veulent ni voir ni entendre.

    Votre Dieu de Gaulle se prenait sans doute lui-même pour une quasi divinité pour croire qu'il était la France.

    Que son intérêt était celui de la France et que la France n'était rien sans lui sûrement.

    Cette France justement n'admet rien au plus haut point que les justices et milices privées, celles que de Gaulle s'accordait de bonne grâce.

    De Gaulle toujours, l'homme des réseaux Foccart, et du traitement de l'Afrique comme il traitait le peuple français, avec mépris; l'homme qui a lancé Pompidou, l'homme des banques; l'homme des correspondances Kalergi et de son projet anti-national, des réseaux d'extrême-droite québécois et européens, toujours en activité.

    Oui, de Gaulle a été une verrue pour la France, le récit mythologique brodé autour de ce personnage n'y changera rien.

    Et je ne dis rien de la bande d'imbéciles qui le soutiennent et s'en revendiquent, qu'un cadre politicien veuille faire son beurre avec cette tartine faisandée, passe, que des gens du peuple se réclament d'un truand envers ce même peuple, c'est une hérésie.

    Un peu comme ce petit artisan qui croit se fendre des valeurs libérales sous prétexte d'être profession libérale, quand, sans l'Etat, il est mort, assassiné par la logique libérale.

    Logique libérale dont de Gaulle est par ailleurs, une fois sorti du chaos grâce à l'Etat, il était prêt à la rendre au chaos par idéologie droitarde, cette même logique sans doute qui l'autorise à suspendre l'esprit français de souveraineté intérieure (police, justice) et de se mêler de façon sournoise de corrompre la souveraineté des autres pays, tel un vulgaire impérialiste de la CIA et de ses concurrents descendants.

  • Squarcini et compagnie, l'inverse même de la police nationale

    Il y a du gaullisme dans ce Sarkozy et cette droite toute entière, qui croit, en démocratie, qu'il doit exister une police qui leur est dédiée et dévouée.

    Ces milices et miliciens répugnants, qui, de l'intérieur ou de l'extérieur comme au temps du SAC, croit à l'existence de cette caste supérieure sur les autres citoyens, ainsi que sur les autres Etats dont ils pensent pouvoir définir les dirigeants en les achetant à leur petite cause personnelle.

    Racisme de base envers les peuples, qu'il soit le leur et ceux d'ailleurs.

    Mépris, mépris, mépris, qu'ils tombent, les uns après les autres, ces maffieux d'un autre temps, indignes de la société française en particulier et de la civilisation en général.

  • Le galop de JMLP dans Marine aux enfers

    Jean-Marie Le Pen n'a jamais compris, non seulement que la France ne saurait être sauvée par l'extrême-droite -et pour cause, l'extrême-droite est un anglosaxonisme qui s'oppose à tout point de vue aux valeurs fondatrices et principielles de la France-, mais encore qu'elle ne fait pas gagner les élections, si tant est qu'il ait jamais voulu les gagner.

    Le but de l'extrême-droite étant d'avantage d'instiller des idées de chaos pour déstabiliser la république dans l'espoir de la faire tomber.

    JMLP veut faire le plein des voix "nationales" entre ceux qui sont partisans de la voie nationale et les tenants de conceptions de la "nation" qui sont étrangères à celle de la France.

    Ce faisant, il brouille le message de ceux dont le combat est réellement celui de la France et le condamne à ne jamais vivre en l'entachant de vices cachés, tout au plus permet-il à faire un semblant de voix et d’existence-leurre à chaque élection, poussant et permettant aux initiatives lobbyistes d'extrême-droite, d'asseoir leur pouvoir dans les autres mouvements politiques.