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La liberté du bocal du poisson journaliste

Aude Lancelin, madame Frédéric Lordon à la ville, feint de découvrir que l'Obs (NouvelObs) est un journal de gauche-PS.
Le journal n'étant pas sur sa ligne, elle s'est fait virer.

Mais les journalistes ont beau dire, ils ne sont libres que d'être ce qu'on leur demande d'être.

Bourdin se croit libre parce qu'il est embauché en tant que journaliste populiste de droite et qu'il colle parfaitement au rôle.

Pleynel est le journaliste qui embauche des journalistes qui sont libres de penser comme lui, et ils ont droit d'y mettre toute la mauvaise foi qu'ils veulent, libres on vous dit.

Zemmour est libre d'être le fer de lance de l'extrême-droite à droite, mais il ne s'aperçoit pas qu'il n'a pas le droit que cela se voit trop, il n'est libre que de faire le pantin qui permet à la droite de se sentir à l'aise dans son extrême-droitisme, il est ce que la droite pense tout bas, mais il doit prendre garde à ne pas le dire trop haut.

Dans un genre encore plus guignol, vous aurez le patron de bar, Martial Bild, qui vous réinforme comme Bob Ménard vous apprend la liberté d'être racialolibéraloxénophobe, ils vous entretiendront de l'extrémisme sur le ton mal joué du candide journaliste qui veut accoucher ses idées en les plaçant dans les paroles d'un autre qu'il prétendrait presque malmener pour lui sortir la propagande attendue sur un plateau.

Tous reçoivent les moyens d'exister, des réseaux de communication, et sont donc stipendiés par des finances, non pas libres comme l'air, mais comme le cours de l'or, illusoire reflets de miroirs aux alouettes.

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