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culture - Page 4

  • Lavoine et le blé

    Marc Lavoine, c'est la gauche bien pensante qu'on n'entendra jamais dénoncer la famille Poniatowski qui, en matière d'extrême-droite, sera difficilement égalée.

    Famille proche de Charles Millon et de l'Opus Dei, à côté desquels le petit Fillon -même en jouant des coudes pour faire de son mieux- paraîtra presque un bolchevique.

    Et pour cause, le chanteur passe sans encombre des Restos du coeur à son standing caste supérieure via son mariage.

    Les nouveaux Roméo et Juliette, c'est l'ami des Sans-Dents qui s'offre une couronne en épousant ceux qui les leur pètent en s'amusant, tout en se trouvant si miséricordieux de vouloir s'occuper des pauvres qu'ils aiment tant qui, s'ils n'existaient pas, ne feraient pas mieux pour continuer de les pérenniser.

  • Maçonnerie Dégage ! Et tous tes avortons avec toi

    La franc-maçonnerie n'est pas une institution républicaine contrairement à ce qu'elle voudrait faire croire, j'ai étudié le droit dans l'université française qui ne la reconnaît pas.

    Nulle part dans nos institutions est fait une quelconque référence à ces loges.

    La démocratie n'a rien de secret ni rien qui fasse l'intermédiaire entre le peuple et ses représentants politiques.

    La maçonnerie, aux abois aujourd’hui face à la concurrence, revendique ce dont elle a toujours été accusée, à savoir son immission totale dans les sphères du pouvoir durant la IIIème république.

    Elle profite de la folie nazie et de ses collaborateurs pour redorer son blason, mais elle n'est rien d'autre qu'un lobby, ancêtre et précurseur des think tanks actuels.

    Qui finance la maçonnerie, qui paie ses locaux, ses réunions ?

    Des donateurs qui sont des financiers qui y trouvent leurs intérêts, comme pour les autres lobbies.

    Notre république française ne reconnaît aucun lobby, et n'admet, faut-il le rappeler à ses grands républicains, que le fonctionnement de ses institutions, toutes dûment définies et contrôlées par nos assemblées, émanations du peuple.

    Les réflexions s'élaborent au sein de nos instituts de recherche nationaux, sous l'égide de notre université, ces cercles privés n'ont rien à faire dans l'élaboration nationale de nos lois.

    La maçonnerie comme les think tanks qui lui succèdent ne sont qu'affairisme et il faut croire que le business est rentable tant il s'en développe sans cesse, le marché de la maçonnerie s'étant ouvert à la concurrence comme tout marché, le monopole privé s'est fait doubler sur son extrême-droite (anti-parlementarisme, anti-démocratie).

    Lobby tout puissant devenu anecdotique face à l'émergence des nouveaux activistes, il se démène dans un dernier baroud d'honneur pour survivre dans la jungle des cercles de réflexion privés.

    Ils font presque pitié, telle une aristocratie moribonde face à la prolétarisation du lobbying, aujourd'hui, le membre d'un réseau d'influence est un précaire qui doit jouer des coudes pour appartenir à ce petit microcosme dont il faut être dans le petit royaume des sociétés qui n'ont aucune légitimité au regard du citoyen qui, jusqu'à nouvel ordre, est seul grand maître dans la Cité.

  • Pour une définition juste de la fachosphère

    Certains journalistes travaillant pour des groupes de milliardaires assimilent fachospère à patriosphère.

    La fachosphère est bien plus grande que la patriosphère qu'elle englobe.

    Le fascisme est une idéologie dominatrice anti parlementaire, anti républicaine, anti démocratique.

    Or le grand patronat se passerait volontiers de ces contre-pouvoirs pour asseoir ses volontés, ce n'est que l'existence de ces forces de résistance qui contient son lobbying.

    Les grands magnats industrialo financiers sont partie intégrante de la fachosphère.

    Les journalistes qui travaillent pour eux travaillent ainsi pour des fachos à l'insu de leur plein gré.

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  • Il y a une vie sinon la vie entre de Gaulle et Pétain

    De mes deux grands-pères, l'un est mort comme radio en 1940 dans les caves d'Alger, et l'autre, chef de la résistance à Nice, refusa la légion d'Honneur mais fut porté maire de sa commune par la population reconnaissante au sortir de la guerre, aucun des deux n'était gaulliste ni pétainiste, pourquoi toujours vouloir enfermer les Français dans un camp !

  • La patrie, une incertaine idée de la France

    Je n'aime pas le terme de patriote, outre le fait que ça fait tout droit sorti de références outre-Atlantique, la patrie, c'est la terre des aïeux, je suis Française, totalement attachée aux principes fondateurs français, mais mes aïeux ne sont pas tous Français.

    Il ne s'agit pas d'un attachement symbolique à nos ancêtres les Gaulois, la patrie est un terme très connoté extrême-droite car rattaché au clan, à une conception étriquée de la société, qui n'est pas la conception française.

    La France, c'est plus grand que la patrie, c'est un Etat-Nation, c'est à mon sens, à ce concept que les tenants de la France se rattachent et doivent s'attacher.

    Nationaliste, oui, mais à associer tout de suite à nationalisme français, qui n'a rien à voir avec les autres nationalismes, puisqu'il s'agit d'une conception opposée à ces autres nationalismes.

    La nation américaine, la nation allemande, la nation corse, etc., n'ont rien à voir avec la nation française, qui se rattache à un Etat aux attributs uniques.

    Mon nationalisme n'est pas la laide conception légitime que l'on s'en fait habituellement, faute d'avoir été entaché de racialisme, de xénophobie, d'antisémitisme, de violence tribale, de pensées obscurantistes.

    Je préfère d'ailleurs ne pas l'employer avant d'avoir explicitement expliqué ce que j'entendais par là, voire ne pas du tout y faire référence, ne parler que de la France, de ses fondements véritables, de son esprit d'unité et de paix sur lequel elle a bâti toutes ses institutions.



    En fait de "Les patriotes sont ceux qui aiment leur pays, les nationalistes sont ceux qui détestent le pays des autres ", je pense l'exact inverse.



    Et comme en France, tout finit par des chansons, a mi me gusta mucho esa :

    José Carreras Canta "Canción Húngara" de la Zarzuela "Alma de Dios"

    https://www.youtube.com/watch?v=L2uOi6GzMjQ

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  • L'extrême-droite, le nid douillet de l'écologie libérale

    Les verts sont d'extrême-droite, ce n'est pas nouveau, des libéraux libertaires, libéraux sur le plan économique et libéraux sur le plan sociétal.
    Ce sont des libertariens, dont le levier écologiste est très important afin de lever des voix pour asseoir leur idéologie où la liberté prime.
    Ce sont des petits télégraphistes de l'idéologie des pères fondateurs des USA, où le suprématisme règne en maître car dans ce monde-là, la liberté est celle du renard dans le poulailler, pour le plus grand bénéfice des puissances d'argent.

    Rappelons que la branche libérale conservatrice n'est qu'une variante de l'arbre libéral libertaire, la liberté autorisant naturellement celle de vivre de façon sectaire.



    Présidentielle : François de Rugy fait le choix de rejoindre Emmanuel Macron
    Le député écologiste, a déclaré en exclusivité sur franceinfo mercredi, qu'il soutiendra Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle.
    FRANCETVINFO.FR

  • Marine Le Pen jette un voile terne sur la tradition française

    Il me semble que si A Rome fais comme les Romains, il est déplacé de ne pas porter le voile dans les pays où c'est la tradition.

    Les seuls hommes légitimes à faire un tel geste seraient les femmes du pays concernés, avec le support de leurs frères masculins.

    C'est aux citoyens de gérer les affaires de la Cité, pas aux étrangers.

    Madame Obama s'était aussi autorisée ce genre de faux-pas en considérant que la loi américaine s'applique naturellement partout et de façon dominatrice, mais c'est bien dans la lignée des USA que d'asseoir ainsi leur impérialisme sur les autres par une volonté de soumission à leurs valeurs forcément supérieures.

    La France, c'est plus grand que cela, et il est justement une supériorité universelle qui réside dans le respect de l'autre même s'il est différent.

    C'est la tradition de se voiler dans des lieux sacrés, comme les hommes se couvrent la tête en entrant dans une synagogue ou que les femmes portaient autrefois une mantille en entrant dans l'église.

    Si Au Liban il est de tradition de se voiler en allant rendre visite au mufti, il faut le faire, comme lorsque l'on va voir le pape, on respecte le protocole, à moins de vouloir absolument passer pour un sauvage naturellement.

    Marine a voulu faire un coup en le prévoyant, et se faire plus gros bœuf que les féministes.

    Marine Le Pen montre aux étrangers, l'exemple à ne pas suivre en leur indiquant qu'ils peuvent venir imposer leur façon de voir les choses chez nous, elle provoque, qu'attend-elle en retour ?

    De la considération ou l'engrenage de la violence en réponse à la sienne ?

    Dans tous les cas, Marine est allée au Liban par l'entremise de lobbies religieux extrêmement dangereux et de saloperie universelle.

  • Macron, le baiser de la mort

    Le programme de Macron est celui que je dénonce depuis toujours, mais en l'espèce, et même s'il drague l'électorat du Maghreb pour les berner avec la libre entreprise et l'arnaque de l'ubérisation, pour en faire des esclaves consentants -il veut exploiter l'élan vital de jeunes qui n'ont guère à perdre afin d'en sucer la substantifique moelle à offrir à son idéologie-,sur le sujet de la dénonciation de la colonisation comme de toutes formes d'impérialisme, je suis d'accord pour les condamner, et de dire que la France, ce n'est pas cela.

    Le colonialisme de Macron est un crime sans morts apparents mais c'est du soft power à mort.


    L’impeccable leçon de Macron sur la colonisation
    "La colonisation a été un crime contre l'humanité", déclare le candidat d'En Marche !, suscitant un tollé. Quelques éléments de rappel pour les oublieux.
    TEMPSREEL.NOUVELOBS.COM

  • Ecoles hors-contrat, buts et réseaux

    Ce sont bien les réseaux d’extrême-droite qui incitent à l’école hors-contrat, y compris et bien compris « islamiste ».

    Les réseaux de « Créer son école » recensent tous leurs points d’ancrage et listent l’avancée de leur modèle de libéralisation de l’école, car c’est le but final.

    Ce sont ces réseaux que l’on trouve derrière des personnes comme Kémi Seba (qui a tenté de créer une école « black power » ou Farida Belgoulh (dont la mission était d’agiter les milieux musulmans contre l’école française puis de les diriger vers l’école hors-contrat), des amis d’Alain Soral qui incitent à créer ce genre d’écoles dont la création est incitée auprès des partisans d’Egalité et Réconciliation dans le but de déstabilisation de l’Etat et de son démantèlement.

    Ces réseaux libéraux savent pertinemment que le repli identitaire, de quelque bord qu’il soit, est un fabuleux terreau d’implantation, et ils le travaillent en ce sens.

    Il y a des noms derrière ces réseaux, Anne Coffinier, Agnès Verdier Molinier, Polony (oui, elle aussi tient un double langage et nous cache soigneusement ses accointances avec ces réseaux), Zemmour, Zimmern (IFRAP, Contribuables Associés, Bourse Tocqueville, Intitut de Formation Politique), etc.

    Ils sont « naturellement » affiliés aux think tanks états-uniens, Trump a d’ailleurs nommé Secrétaire d’Etat à l’éducation, une incompétente à la tête d’un des think tanks où les lobbies français sus-cités forment leurs cadres.

    Elle a d’ores et déjà exprimé sa volonté de rétablir « le royaume de Dieu » dans l’école américaine.

    Pour info, son frère est lui, à la tête de la plus importante armée privée du monde, ACADEMI, plus misérablement connue sous les nom de Blackwater.

  • Les écoles hors-contrat, au nom de la rose, bleue

    Les écoles hors-contrat, au nom de la rose, bleue

    La défense des écoles hors-contrat par Marine Le Pen est tout-à-fait scandaleuse.
    Elle est une résurgence des pouvoirs des lobbies libéraux au sein du Front National, des mesures que seule l’extrême-droite, si bien représentée par Gilbert Collard et Marion Maréchal Le Pen, peut accepter.

    Les écoles hors-contrat ne s’inscrivent nullement dans la logique de la liberté.
    Les enseignants sont libres, une fois dans leur classe, de pratiquer la pédagogie qui leur semble la plus adaptée, ce qui compte, c’est le respect du programme, un programme national.

    Nous savons tous que les professeurs font leur classe, le plus souvent avec conscience, et que le jour de l’inspection, ils vont se contorsionner pour entrer dans les grilles de l’Inspection académique.
    Je l’ai vécu, mes enfants l’ont vécu, le jour où l’inspection arrive, ce sont des élèves comme je l’ai été, comme le sont mes enfants, qui sont interrogés par le maître car il espère et son regard vous le dit, que malgré le cours inhabituel, vous allez sauver la mise et répondre grâce à vos facultés d’adaptation; c’est votre cahier qui viendra échouer dans les mains du contrôleur car il est bien tenu et regorge de petits plus dont l’inspection raffole car oui, vous avez le temps et le goût d’avoir fait les exercices d’improvisation et votre cahier, riche et bien tenu, à de l’allure.
    Il s’agit plus de plaire à la hiérarchie, d’avoir de bonnes notes et une meilleure grille administrative.
    On voit les professeurs des écoles, revenir à des méthodes qui fonctionnent dans le silence des murs chahuteurs des écoles, parce qu’il faut bien apprendre aux élèves et qu’il y a des moyens qui font leurs preuves.

    L’école hors-contrat n’est rien de tout cela.
    Ces lieux hors-Etat, sont les lieux choisis et rêvés pour distiller des idéologies, pour éluder des questions scientifiques au profit de croyances.
    Marine Le Pen pédale dans la semoule pour expliquer qu’elle contrôlera les dérives « islamistes » dans ces écoles, alors que c’est justement le propre de ces écoles de se mettre hors d’accès du contrôle de l’Etat.
    Marine ne voyant d’ailleurs que ce qu’elle veut y voir car les écoles hors-contrat sont avant tout le fait de croyances extrémistes d’extrême-droite.
    Il s’y pratique des méthodes farfelues dignes des plus expérimentales des dingueries pédagogistes, sous la non moins informelle formation de formateurs formatés.

    Il s’agit, sous couvert d’écoles confessionnelles, de transmettre des idéologies, et d’entretenir un marché éducatif.
    Ecoles payante, formations des enseignants payante et privatisation à l’avenant de l’enseignement et de la pensée.
    Le sectarisme n’est guère loin, mais, à suivre les lobbies libéraux qui « encadrent » ces écoles, de l’école traditionaliste catholique, à l’école orthodoxe juive, en passant par les écoles islamistes, le royaume est surtout celui de l’idéologie libérale communautariste, en cela, madame Vallaud-Belkacem a raison.
    Défendre les écoles hors-contrat, c’est défendre l’idée que des citoyens vivent sans jamais se rencontrer, restent entre ceux qui lisent les mêmes choses, pensent de la même façon, s’isolent du reste de la communauté nationale en lui substituant des micros communautés aussi oppressives qu’opprimantes.

    C’est l’inverse d’un programme national, c’est l’inverse de notre principe fondateur français basé sur l’unité.
    Ce sont des lubies anglo américaines soutenues par des lobbies non moins reliés aux grands groupes d’influence de Washington, dont l’impérialisme éducatif n’est qu’un moyen de pénétration parmi d’autres pour répandre l’hégémonie libérale en poussant à s’aligner sur leurs propres paradigmes si opposés aux nôtres.

    Marine a tout faux et elle le sait parfaitement, elle concède seulement des parcelles de son programme à des groupes extrémistes dangereux pour les enfants et pour notre pays.
    L’incohérence est patente, mais elle sait pouvoir compter sur le fait qu’il suffit de faire entendre différents sons de cloches, audibles à qui veut les entendre, et incompréhensibles au reste de son électorat captif.
    C’est répugnant mais ça peut avoir son petit effet, Marine n’ayant pas les capacités de comprendre que c’est toutefois ce genre de manœuvres qui la cantonne sous le plafond de verre.
    Fillon n’est pas le seul à vivre dans sa bulle.