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Maçonnerie Dégage ! Et tous tes avortons avec toi

La franc-maçonnerie n'est pas une institution républicaine contrairement à ce qu'elle voudrait faire croire, j'ai étudié le droit dans l'université française qui ne la reconnaît pas.

Nulle part dans nos institutions est fait une quelconque référence à ces loges.

La démocratie n'a rien de secret ni rien qui fasse l'intermédiaire entre le peuple et ses représentants politiques.

La maçonnerie, aux abois aujourd’hui face à la concurrence, revendique ce dont elle a toujours été accusée, à savoir son immission totale dans les sphères du pouvoir durant la IIIème république.

Elle profite de la folie nazie et de ses collaborateurs pour redorer son blason, mais elle n'est rien d'autre qu'un lobby, ancêtre et précurseur des think tanks actuels.

Qui finance la maçonnerie, qui paie ses locaux, ses réunions ?

Des donateurs qui sont des financiers qui y trouvent leurs intérêts, comme pour les autres lobbies.

Notre république française ne reconnaît aucun lobby, et n'admet, faut-il le rappeler à ses grands républicains, que le fonctionnement de ses institutions, toutes dûment définies et contrôlées par nos assemblées, émanations du peuple.

Les réflexions s'élaborent au sein de nos instituts de recherche nationaux, sous l'égide de notre université, ces cercles privés n'ont rien à faire dans l'élaboration nationale de nos lois.

La maçonnerie comme les think tanks qui lui succèdent ne sont qu'affairisme et il faut croire que le business est rentable tant il s'en développe sans cesse, le marché de la maçonnerie s'étant ouvert à la concurrence comme tout marché, le monopole privé s'est fait doubler sur son extrême-droite (anti-parlementarisme, anti-démocratie).

Lobby tout puissant devenu anecdotique face à l'émergence des nouveaux activistes, il se démène dans un dernier baroud d'honneur pour survivre dans la jungle des cercles de réflexion privés.

Ils font presque pitié, telle une aristocratie moribonde face à la prolétarisation du lobbying, aujourd'hui, le membre d'un réseau d'influence est un précaire qui doit jouer des coudes pour appartenir à ce petit microcosme dont il faut être dans le petit royaume des sociétés qui n'ont aucune légitimité au regard du citoyen qui, jusqu'à nouvel ordre, est seul grand maître dans la Cité.

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