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Ecoles hors-contrat, buts et réseaux

Ce sont bien les réseaux d’extrême-droite qui incitent à l’école hors-contrat, y compris et bien compris « islamiste ».

Les réseaux de « Créer son école » recensent tous leurs points d’ancrage et listent l’avancée de leur modèle de libéralisation de l’école, car c’est le but final.

Ce sont ces réseaux que l’on trouve derrière des personnes comme Kémi Seba (qui a tenté de créer une école « black power » ou Farida Belgoulh (dont la mission était d’agiter les milieux musulmans contre l’école française puis de les diriger vers l’école hors-contrat), des amis d’Alain Soral qui incitent à créer ce genre d’écoles dont la création est incitée auprès des partisans d’Egalité et Réconciliation dans le but de déstabilisation de l’Etat et de son démantèlement.

Ces réseaux libéraux savent pertinemment que le repli identitaire, de quelque bord qu’il soit, est un fabuleux terreau d’implantation, et ils le travaillent en ce sens.

Il y a des noms derrière ces réseaux, Anne Coffinier, Agnès Verdier Molinier, Polony (oui, elle aussi tient un double langage et nous cache soigneusement ses accointances avec ces réseaux), Zemmour, Zimmern (IFRAP, Contribuables Associés, Bourse Tocqueville, Intitut de Formation Politique), etc.

Ils sont « naturellement » affiliés aux think tanks états-uniens, Trump a d’ailleurs nommé Secrétaire d’Etat à l’éducation, une incompétente à la tête d’un des think tanks où les lobbies français sus-cités forment leurs cadres.

Elle a d’ores et déjà exprimé sa volonté de rétablir « le royaume de Dieu » dans l’école américaine.

Pour info, son frère est lui, à la tête de la plus importante armée privée du monde, ACADEMI, plus misérablement connue sous les nom de Blackwater.

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