Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Pourquoi notre société est fragilisée par les mêmes qui prétendent la défendre (en réponse aux papiers de Laurent Ozon et du FNJ, et en général)

    Laurent Ozon a donc commis un article en écho à celui du responsable du Front National de la Jeunesse sur la relative fragilité de la jeunesse européenne confrontée à l’arrivée de populations d’origine étrangère censées l’être moins.

     

    Le papier de Julien Rochedy est malhonnête et biaisé -le terme toubab n’a rien d’infâmant à la base, et le fragile ne représente qu’une fange infime, Rochedy ne cherche qu'à mettre de l‘huile sur le feu en prétendant que les arabes et les noirs (faisons simple) se moqueraient de l'ensemble des blancs (faisons simple) dont il se sent investi de défendre la « race » (faison simple)- et surtout, ridicule, quand on sent son idéologie du surhomme transparaître.

     

    Le sujet est repris par Laurent Ozon du haut de sa virilité censée elle, faire autorité.

    Le papier a plu au Club de l’Horloge, on le trouve sur Polemia, et à Nouvelles de france de Washington, alléluia !

     

    Le mérite de ces questions réside dans l’interrogation sur l’éducation.

    La façon dont le petit d’homme est façonné est un sujet primordial, tout l’avenir de l’humanité se base sur l’éducation.

     

    L’éducation qui devrait être la charge essentiellement des familles à qui on laisse de moins en moins d’espace, ce domaine est devenu chasse gardée, non pas de l’Etat que l‘on vide de ses attributs, mais des instances mondialistes (OCDE, Rand Coporation et déclinaisons).

     

    J’ai maintes fois parlé de l’Education Tout au Long de la vie ou Comité mondial des apprentissages, Lifelong Learning  mondial mis en place par l’oligarchie mondialiste -de Jacques Delors au souverainiste Bournazel, main dans la main au service des Round Tables of Industrialists- qui  a aligné tous les pays sur sa norme jusqu‘en Chine, Russie ou Venezuela, même la Corée du Nord est en train d‘y passer, le voisin du Sud étant carrément premier de la classe aux baromètres PISA et PIRLS.

     

    Cette éducation mondialiste entend s’occuper de l’homme, de sa naissance à sa mort, s’occupant des politiques antifamiliales, des crèches, écoles,  formation, emploi/chômage, et du crédit formation de la naissance à la retraite qui va avec, au service du monde marchand.

     

     

    Mais revenons aux manifestations envisagées par Laurent Ozon.

     

    Il parle de faiblesses physiques et mentales de l’ « homme européen » qui se révèlent face à la « force » des populations d’origines étrangères.

     

    Le surhomme n’étant visiblement plus ce qu’il était …

     

     

    Il est évident que le petit occidental, élevé dans un cocon consumériste n’est guère prêt à affronter la vie.

    Abandonné tout petit par sa mère obligée par la pression sociale et/ou l’insécurité matérielle à travailler, elle doit très tôt laisser la charge de l’éducation y compris évidemment affective, de son enfant.

    Pour comprendre que l’amour vient dans le soin, il faut relire Le Petit Prince.

     

    L’enfant est ensuite pris en charge par l’école, la majeure partie d’entre eux connaissent le rythme garderie du matin, école, cantine, garderie du soir, ceux qui bénéficient de la présence parentale sont l’exception.

     

    Ce mode d’éducation ne favorise guère la responsabilité, le parent coupable arrive difficilement à asseoir son autorité sur le peu d’espace qui lui reste.

    La culpabilité l’entraîne à céder aux caprices de l’enfant, c’est ou cela, ou l’affrontement invivable, le cercle est vicieux.

     

    Ajoutons à cela donc, le reste de la société consumériste, l’alimentation rapide trop salée trop sucrée trop hyper excitante, la course aux gadgets, la fainéantise des uns et des autres sur le peu d’espace de repos familial.

    Les temps ne sont pas à la sagesse.

     

    Les progrès médicaux font aussi à la fois une population plus apte à surmonter les maladies, tout en affaiblissant ses fonctions immunitaires, mais c’est une choix de société globalement positif.

     

    [Disant cela, je dois reconnaître que fille de pédiatre ayant pourtant pignon sur rue au CHU de Nice, j’ai grandi en l’absence totale de vaccination ou de médicamentation et dans des conditions que d’aucuns jugeront farfelues, sans chauffage, fenêtres ouvertes et au sens propre comme figuré, élevée aux grains.

    Une enfance à la dure sans s’en rendre compte, c’est plus tard que l’on réalise. Randonnées en hautes montagnes, école de voile où l’on obligeait à dessaler en hiver,  importance du travail scolaire.

    Mon père avait cette préoccupation de l’endurcicement que je retransmets à mes enfants.

    Mais il connaissait et prévenait les risques, sur la vaccination par exemple, il ne préconise pas du tout ce qu’il a fait avec ses propres enfants, la société n’y gagnerait pas, et cela nécessite une surveillance rapprochée.]

     

    L’enfant façonnant son identité sur l’exemple, le modèle étant aujourd’hui évanescent, il ne peut s’adosser à du vide.

    Pour transmettre, il faut déjà se donner le temps pour ce faire. Cela prend beaucoup beaucoup de temps.

    Le petit va le plus souvent se construire tout seul, à tout risque et péril.

     

     

    Contrairement à ce que l’on peut penser, la force de son caractère ne va pas se forger sur ce mal être.

     

    Le petit est constamment en manque, il peut se former une carapace, mais en dessous, c’est du mou.

     

    On comprend que le petit veau élevé sous la mère, c’est mieux, on ne comprend pas la même chose pour l’enfant.

     

     

    L’enfant compense par le repli ou par la violence.

     

    L’enfant élevé dans les conditions optimales n’est ni l’un ni l’autre, il canalise son énergie, sa vitalité, dans des activités intelligentes, qu’elle soient d’ordre physique ou intellectuel.

    Il construit, ne cherche pas à détruire ni lui-même, ni l’autre, ni la nature.

     

    Ozon fait l’erreur classique très moderne d’ailleurs de mettre la charrue avant les bœufs.

    Il entend transmettre à l’enfant la façon dont les solidarités naissent pour l’aider à s’insérer dans un groupe.

    Ces choses-là n’obéissent pas à ce schéma, on s’insère naturellement dans un groupe par affinités de caractère (correspondant ou complémentaire), pas en se disant que l’on va construire un groupe en se créant un adversaire, en se liant contre lui, en se désignant un chef.

     

    Ozon demanderait une réponse face aux prétendues forces étrangères et donc de répliquer en conséquence.

    D’une part, la sauvagerie éventuelle de ces masses ne vient justement que de leur faiblesse, et on constate la même à l’identique chez l’homme européen ayant rencontré les mêmes carences (éducatives/affectives, de sentiment d’infériorité).

     

    D'autre part, de plus en plus de parents poussent leurs enfants à la même réponse de barbare, Ozon n’est que dans le lieu commun là où il croit être original.

     Rien d'étonnant quand on sait que l'école est pilotée par l'idéologie d'extrême-droite.

    Les parents, dépassés, demandent aujourd’hui expressément aux gamins de se débrouiller seuls.

     

    L’institution scolaire elle-même le demande, Ozon est largué, l’école, c’est la jungle, les équipes pédagogiques ont abandonné depuis longtemps, elles mettent en place des comités d’élèves chargés de régler les problème entre eux (j'ai eu àen signer des conventions de ce genre, la sous-traitance de la responsabilité d'adultes à des bébés caids en formation ...), l’autorité n’intervient que quand il y a un évènement tragique, et seulement pour blablater.
     
     

    En cela, Ozon a raison.

    Mais il a tort à un autre niveau, en cas de problème, certes, il ne faut rien attendre de l’institution scolaire, qui ne veut pas de vague, c’est très mauvais pour sa cote.
     
    Les équipes pédagogiques ont intérêt pour leur notation et leur avancement à se conformer au moule fixé par l'Inspection académique entièrement au service de l'idéologie pédagogiste.

    Et de toute façon, elles sont formées en ce sens.

     

    En revanche, le parent citoyen a des moyens.

     

    Il peut en référer à l’autorité des officiers de police judiciaire, et là, ça fonctionne parfaitement.

     

    Certes, on ne va pas emprisonner un gamin qui emmerde le monde, mais on le convoque, lui et ses parents, et ça les calme bien, l’institution scolaire a horreur de ça évidemment puisque ce qu’elle veut, elle, c’est étouffer les problèmes pour  préserver sa notoriété au sein même de la hiérarchie éducative, et vis-à-vis de la population.

     

    Mais la police ou la gendarmerie prennent en compte les faits de violence, et c’est de cette manière que les enfants violents sont dégagés.

    Ce genre d’enfants auront sans doute une vie de délinquance, c’est souvent trop tard pour eux, les parents, et, l’école qui a laissé se développer des comportements inappropriés à la vie en société, en sont responsables.

     

    Mais très peu de parents ont le soucis d’en référer aux rouages légaux de protection de la société, ils préfèrent en général se plaindre par derrière, et ont au final, peur de leur ombre.

     

     

    Et disant cela, je ne suis pas du tout en dehors de la réalité, je fréquente ce monde depuis toujours et j’ai habité successivement avec mes quatre enfants -que j'élève seule- dans des zones dites sensibles et des quartiers plus bourgeois, où la violence existe aussi mais où on a les moyens de ne pas lui donner de visibilité.

     

    Il est des maisons bourgeoises propres sur elles où les enfants règlent leur compte avec leurs parents en les tabassant, et où les parents prennent soin de planquer les couteaux, même si en général, on peut acheter un caprice et que cela suffit à calmer l’enfant tout puissant, il arrive des moments où il veut voir jusqu’où ses parents sont lâches et irresponsables.

    Ce qui aggrave évidemment son sentiment d’insécurité.

     

     

    L’engrenage de la violence est à prendre en compte, l’enfant n’a guère de limites naturelles, si vous l’autorisez, voire l’inciter à cela, vous ne savez pas où cela peut s’arrêter.

     

     

    L’incitation de Laurent Ozon à élever l’enfant dans cette réponse à l’agressivité qui serait celle des autres et non pas la sienne, fut-elle latente, est irresponsable.

     

    En revanche, la question du développement physique de l’enfant est essentielle.

     

    D’une part pour canaliser justement sa vitalité naturelle, mais encore pour répondre le cas échant à une agression fortuite.

     

    C’est-à-dire qu’il faut à la fois ne pas inciter l’enfant à se battre, en intervenant systématiquement y compris au sein même de la fratrie, mais également ne pas le laisser démuni en cas d’agression.

     

    Il faut que l’enfant ait le soutien responsable de ses parents, qui ne l’abandonnent pas dans cette jungle, qui lui apprennent à ne pas y tomber, et en lui donnant les moyens de s’en prémunir, sans tomber dans la sauvagerie que l’on dénonce (a priori).

     

    Il ne faut pas douter de la puissance du caractère bien mené.

    L’enfant qui n’a pas appris spontanément à se battre, sait mieux se défendre s’il a appris à canaliser sa force physique et mentale.

    [Mon fils aîné a été emmerdé une fois au collège -il a très vite atteint une taille qui inspire le respect ...- en sixième, il s'est fait "baptiser" juste à la sortie du collège par une bande de la commune voisine dont les membres redoublaient leur sixième et qui avaient déjà un dossier lourd au niveau comportement (tous des biens blancs pour précision aux lecteurs qui aiment bien les nuances de couleur).
    Ils n'aimaient pas son indéniable côté intello.
    Ils l'ont encerclé, lui ont balancé ses affaires, l'ont jeté au sol et roué de coups, visant la tête (je suppose que chacun mesure les conséquences que peuvent engendrer un coup à la tête).
    Les copains de mon fils étaient dans le car scolaire et voyaient la scène sans pouvoir réagir.
    Mon fils a eu le réflexe d'attrapper le leader et de lui coller la tête au sol, le gamin a gueulé pour que cela cesse, la bande s'est dispersée.
    Mon fils rentré, j'ai immédiatement appelé le collège, qui ne voulait pas connaître de l'affaire.
    Le lendemain, je me suis rendue sur place, vu le CPE qui a fait semblant d'abonder dans mon sens.
    En réalité, elle a convoqué les parties, reconnues sur photo par mon fils et les témoins du car, elle a fait rédiger à chacun la scène par écrit, les voyous de la bande s'accusaient les uns les autres, mon fils fut mis totalement hors de cause.
    Le CPE a ensuite laconiquement apposé sur leur carnet de correspondance : "s'est bagarré" à chacun, mon fils compris, et leur a demandé de se serrer la main.
    Je suis revenue la voir. Je lui ai demandé de consulter le dossier scolaire de mon fils qu'elle ne connaissait pas, et qui dresse le portrait d'un élève exceptionnel, celui des autres -dont j'avais appris le curriculum vitae-, je lui ai demandé si devant tous les éléments, elle persistait à mettre tout le monde dans le même panier, elle m'a juste répondu : "Oui".
    Je suis partie lui disant que si elle vit ensuite dans une société de dégénérés, elle n'aura qu'à s'en prendre à elle-même.

    J'ai fait connaître l'affaire partout, tout le monde m'a donné raison et la CPE en a pris pour son grade .
    Depuis, mon quatrième enfant rentrera dans ce même collège l'an prochain, elle a entendu tous les conseils de classe de mes aînés et les lauriers que l'on tressait à mes enfants, quand je la croise, elle baisse la tête.

    J'ai convoqué tout le petit monde à la gendarmerie, la CPE a été contrainte de s'y rendre aussi.
    On n'a plus jamais été emmerdé au collège. Ma réputation précède ma famille, c'est suffisant pour avoir la paix.


    J'ai deux autres exemples d'agressions sur mes enfants propres.

    Une première fois dans une école classée ZEP avec une majorité de population d'origine immigrée, mais de deuxième et troisième génération.
    Nous venions de revenir dans cette commune qui était ma commune d'origine.
    A l'école, mes enfants ont été considérés comme des étrangers, mais la violence était générale -coups de compas et en tout genre, bordel incessant, enseignants dépassés et en congés fréquents dus à l'ambiance.
    J'ai retiré mes enfants en CP et CE pendant une semaine suite à une agression plus violente qu'une autre, de la part de gamins non d'origine étrangère, et notamment d'une famille qui faisait le larbin UMP à la mairie du genre qui milite pour se gaver dans les coktails et qui se croit toute puissante parce qu'elle a une photo avec le président de son parti de minables.
    Elle ignorait qu'il y a quelques années, elle me léchait les bottes quand elle savait qui j'étais, mais m'avait insultée quand j'étais venue lui dire quatre vérités sur son affreux rejeton et alors qu'elle ne m'avait pas reconnu après dix d'absence.
    La directrice et une enseignante sont venues me voir le dimanche pour me demander de revenir et de me dire qu'elles protégeraient mes enfants personnellement.
    On a une force incontestable lorsque notre propre comportement est irréprochable.
    Ma tante était directrice de l'école maternelle qui jouxtait ce primaire et ma famille était à la mairie (mon grand-père a été maire de cette commune).

    Une autre fois, dans ma commune actuelle encore, des gitans sédentarisés, une famille nombreuse dont les enfants ont été virés d'école en école.
    Personne ne savait plus comment faire avec eux, jusqu'au jour où ils s'en sont pris à mes deux derniers.
    Direction gendarmerie, où ils avaient leur abonnement, j'ai apparemment fait tomber un sursis, les parents m'ont traitée de tous les noms et j'ai reçu des menaces de mort.
    Aujourd'hui, ils ont été contraints de quitter la commune. Il faut dire que la tentative de viol d'un de leurs monstres sur une gamine au collège n'a pas arrangé leur cas ...
    ]
     

     

    La violence naît plus de la peur et de la lâcheté, de la bêtise en général, qu’autre chose.

    D’ailleurs, on vient rarement chercher plus grand, plus costaud, plus nombreux que soi.

     

    La civilisation, c’est canaliser les instincts pour construire et donc s’éloigner au mieux de l’affrontement, la civilisation, ce sont des protections qu‘on érige, et à commencer contre la violence privée.

     

    Evidemment, Ozon reprend les théories qui permettent de classer Hobbes comme un des premiers libéraux par la légitime rebellion contre l’Etat qui n’assure plus la sécurité et la possibilité de se défendre seul.

    Mais toujours rien d'étonnant quand on comprend le fonctionnement du mondialisme.

     

    Mais il confond aussi l’absence d’Etat, son sabordage par ces libéraux qui demandent alors les rebellions individuelles. C’est le cercle vicieux libéral.

     

    Je répète que le petit d’homme suit le modèle, si le modèle est le mal, il ira vers le mal, si le modèle est le bien, il ira vers le bien.

     

    L’engrenage va dans un sens comme dans l’autre, on choisit vers où on veut faire aller la société à venir pour ses enfants.

     

     

    Notons que Ozon fait l’impasse sur les filles.

    Il méconnaît que les filles sont confrontées aux mêmes type de violence, entre elles mêmes.

    Parce que les mêmes causes ont les mêmes conséquences que l’on soit fille ou garçon.

  • 2084, l'Odyssée libertarienne

    Un scenario d'anticipation vient de sortir, plutôt pas mal vu, cela s'appelle: 2084.

    Washington a placé Julian Assange premier ministre mondial et Big Brother est un fou d'extrême-droite qui vit seul au fond d'une cabane dans une forêt canadienne.

    Ceux qui me lisent régulièrement peuvent comprendre puisque j'arrive aux mêmes conclusions en passant par des chemins que je pensais être la seule à avoir explorés.

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • De droite des neiges d'antan

    Alain Delon, c'est l'extrême-droite qui pue par excellence : la droite sarkozyste libéralo libérale avec ses comptes en Suisse, sa nationalité de singe et le mépris du peuple français qui va avec.

    Il révèle son appui au Front National car il pense en vieux con qui a dû toujours l'être, que le Front, c'est Sarkozy en encore plus à droite, ce qui ne le dérange pas du tout au contraire, même s'il a préféré pendant des années cacher ses accointances avec ses idées de droite extrême.
    Le courage du planqué.

    Mais Alain Delon ne pense pas que le lepenisme est un sarkozysme pour rien.
    Le Pen dans ses années folles, a dû lui en donner des gages.

    Ce que Delon défend, ce sont les idées de droite bien à droite, et il se dit qu'en l'absence de son Sarkozy, et maintenant que les sondages sont favorables, il peut se lâcher.

    Alain Delon est tout ce que le militant de base du Front devrait détester et tout ce dont le cadre frontiste devrait s'éloigner, tout le monde n'est pas obligé d'avoir les vices bling-bling, pan-pan des Le Pen.


     De droite de la dernière averse :

    ""Il faut s'adapter. Je suis gaulliste et je suis sarkozyste. Avec le FN, nous n'en serions pas là si Nicolas Sarkozy était au pouvoir. Point", conclut-il.
    (Alain Delon, RTL.fr 09.10.13)

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • Suicide des agriculteurs, le sang de la terre

                    A Saint-Nazaire, beaucoup connaissent l’histoire de Michel le paludier, qui était des nôtres.

    Michel est un symbole.

    Michel travaillait aux Chantiers à la belle époque où sortait une immense vague d’hommes qui déferlait sur le port où les longues tablées des cantines ouvrières accueillaient et réconfortaient leur labeur.

    Michel a été licencié comme tant d’autres.

    Comme tant d’autres, il a tenté de s’en sortir, il a mis sa vitalité au service de la terre et de l’eau, travaillant une saline abandonnée.

    C’était compter sans l’acharnement des kolkhozes, exploitant une main-d’oeuvre idéologique esclave, qui s’efforçaient de tuer les indépendants.

    Les politiques venant porter le coup de grâce en augmentant d’un coup exorbitant les loyers des entrepôts servant à stocker le sel.

    Michel a mis fin à ses jours par un coup de fusil dans la tête et c’est son père qui est allé nettoyer sa chambre …

    Michel était un homme jeune, vaillant et admirable, nous avons vu souvent à nos BBR, sa vareuse couleur de voiles rouges burinées par l’air marin, il était un ouvrier-poète, amoureux de la langue, amoureux des livres, amoureux de la France.
    Il aimait accueillir sur sa saline, ses amis, les enfants, les étrangers, leur expliquer le vent, l’histoire des marais.

    En Michel, reconnaissons le martyr de ce que nous laisse espérer le système.

    Nous sommes beaucoup des Michel, et à Saint-Nazaire plus qu’ailleurs.

    Et ne nous demandez jamais si nous sommes de droite ou de gauche, nous sommes, comme dans l’Affiche rouge, amoureux de la France, à en mourir !

    Lien permanent Catégories : culture
  • Fondapol : le LA de l'extrême-droite

    Sur l'accusation du patron de Fondapol concernant les liens Jobbik/FN :

    Marine n'a simplement pas assez d'autorité, d'hommes et de moyens pour dire merde à Gollnisch.
    Le Jobbik n'est pas la tasse de thé de Marine, c'est une certitude.

    En revanche, je dénonce pour ma part, en tant que frontiste, à la fois l'alliance de Bruno, et celle de Marine avec les Partis pour la Liberté (Alliance européenne pour la liberté).

    Mais là, sans doute, Dominique Reynié ne dira-t-il rien, lui qui est cul et chemise avec le libéralisme tendance hyper extrême-droite, les libertariens.

  • L'autre mondialisme

    Chauprade est un agent libéral qui entend utiliser Marine Le Pen pour lutter contre l'Etat-Providence à la Française. Il est là pour influencer et pousser à achever la France dans le dernier bastion que les mondialistes ont du mal à faire tomber.

     
    "Vous ne pensez pas que cette femme (Marine Le Pen), qui a grandi dans l’hostilité violente, injuste, que le système opposait au talent de son père, a justement la cuirasse qu’il faut pour affronter les défis de la France et faire les choix courageux qui s’imposent en matière d’immigration et de réforme de l’État-providence ?

    (Aymeric Chauprade, 7 octobre 2013, Entretien pour Nouvelles de France, portail libéral directement affilié à l'Heritage Foundation, Cato Institute, American Enterprise Institute, issus de l'OSS/CIA)

    Chauprade vient de ce bas fond libéral souverainiste, il s'est rendu en Russie récemment avec un agent du puissant lobby du Research Council de l'Heritage Foundation (on a eu droit à un défilé libertarien en Russie, j'ai expliqué l'infiltration de Washington à Moscou dans de précédents articles

    Notamment :

    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2013/07/23/les-anti-antigone-5127667.html

    ).

    Il travaille avec eux, et il est très facile d'identifier son jeu quand on connaît leur fonctionnement et le fond de leur idéologie.

    Chauprade s'est infiltré au Front il y a plusieurs années après l'aventure Villiers -ancien poulain Chicago boy-, il n'a fait son coming out que cette année, il a dû estimé que c'était le bon moment étant donné la place actuelle du Front.

    Le dernier bastion anti libéral réside par ailleurs au sein du FN et nulle part ailleurs.

    D'où la nécessité de s'y atteler pour les libéraux, la brèche libérale existe malheureusement au FN aussi.


     

    N'oublions pas qu'avant Villiers, le Chicago boy en chef en France, était un certain Jean-Marie Le Pen. 


    La sphère libertarienne s'est mise en ordre de bataille pour les Européennes avec la reprise du projet paneuropéen du mondialiste Kalergi, et l'Europe des nations piloté par l'Alliance Européenne Pour la Liberté à laquelle Marine Le Pen s'est malencontreusement arrimée alors que celle-ci est un rouage de la Washington libertarienne qui entend mettre les nations au pas libéral, un pilotage automatique de la version libérale totale du mondialisme.

  • Les rythmes destructeurs de l'enfant

    Avant, et comme cela paraît normal, les véritables rythmes biologiques de l'enfant étaient pris en compte à l'école :

    "Entre 2 et 3 ans, votre tout-petit dort en moyenne 12 heures par 24 heures, même si le besoin de sommeil est très variable d'un enfant à l'autre. La sieste dure une à deux heures. Sans elle, votre enfant aurait bien du mal à se concentrer et à aller au bout d'une journée de petit écolier bien remplie.

    Un dortoir, des copains, la sieste... quelle aventure !
    A l'école, votre enfant doit passer de son rythme individuel à celui de la vie collective. Pas si simple !
    La sieste à l'école est un moment-clé : votre tout-petit doit accepter l'absence des rituels rassurants de la maison. Difficile de se laisser aller dans les bras de Morphée sans maman, papa, ou son assistante maternelle. Patience, il va vite intégrer les nouveaux repères et s'endormira comme un loir... ou presque.
    L'école est un espace plus neutre où les adultes ne font pas partie de son univers affectif. Tout le monde doit se tenir tranquille et se reposer à la même heure ! Pas facile, là encore, de respecter la gestion collective du temps, mais comme c'est enrichissant.
    Le rôle de l'école maternelle est d'amener l'enfant à mieux connaître les besoins de son corps. La sieste a une dimension pédagogique : votre enfant comprend que les autres petits sommeillent aussi, qu'il est indispensable de dormir."

     http://www.enfant.com/votreenfant-1-3ans/education/Les-bienfaits-de-la-sieste-a-l-ecole-maternelle.html

    Aujourd'hui, les nouveaux rythmes sont proprement aberrants.

    On propose royalement dix minutes de sommeil réparateur à l'enfant.
    C'est du mauvais traitement à enfant et tout à fait scandaleux :

    http://www.thouare.fr/sites/default/files/plaquette-100x210-bd-halbarderie1.pdf


    http://www.thouare.fr/sites/default/files/plaquette-100x210-bd-halbarderie2.pdf




    Les mairies de la sphère Ayrault se sont précipitée
    s pour s'aligner sur des rythmes idéologiques sans même penser une seconde à l'enfant.




    Quand mes enfants étaient petits, je les ai scolarisés en petite, moyenne et grande section,comme je l'avais été moi-même, et une fois à l'école, pas question de faire l'école à la carte, si je tenais et tiens toujours à les faire manger à la maison entre midi et deux, ils retournaient à l'école l'après-midi.
    Je les couchais dans le dortoir avec les autres -bien sûr, ils étaient favorisés d'avoir leur maman qui venait les coucher à ce moment-là, et c'est bien cela qui semble aussi sanctionné aujourd'hui, c'était un choix d'éducation de ma part- mais les enfants dormaient tous jusqu'aux alentours de 15 heures, les premiers émergeaient vers 14h15.

    Les activités scolaires reprenaient en milieu d'après-midi.

    Aujourd'hui, à 13 h 50, les petits sont censés être opérationnels (j'entends d'ici la chorale de pleurs ...) !

    Evidemment, les parents trouvent leurs enfants fatigués, avec l'énervement qui va avec.

    Les mots ne sont pas assez forts pour dénoncer cette maltraitance.




  • Chat échaudé craint de prendre son bain froid

    Un journaliste de gauche, Raphaël Krafft, qui s'était fait contacter par l'armée pour créer une radio libre en Afghanistan et qui vient regretter ensuite qu'elle ait été retournée après coup pour en faire une radio de propagande une fois les gens en confiance.



    Mais il rajoute aussitôt que c'était quand même une belle aventure qu'il retenterait si c'était à refaire.


    Deux fois plus idiot qu'utile donc.

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • Athènes versus Jérusalem

    De tout temps, il y eut des sectaires paiens, des juifs et des chrétiens sectaires, qui opposèrent Athènes et Jérusalem, quand d'autres paiens, juifs, chrétiens, y voient au contraire un continuum.

     
    Ce que signifient les juifs et les chrétiens dans leur affrontement avec Athènes, c'est que la philosophie a cela d'inférieur à la Bible que le Livre a été donné par Dieu; il contient la Vérité.

    La philosophie n'est elle que compilation de recherche d'une vérité plus ou moins bien établie quand il n'existe pas pour certains se prétendant supérieurs à Dieu, plusieurs "Vérités"
    Les philosophes se remettant sans cesse en cause les uns les autres, quand il ne s'agit pas absolument ainsi, de simples fadaises idéologiques.


    Cependant, l'homme est capable de connaissance.

     Maïmonide reconnaît qu'Athènes recèle des vérités.

    L'homme est un sauvage à l'origine, oui, c'est un animal.

    C'est par l'étude qu'il se fait homme.

    Plus on cherche à se rapprocher de la vérité divine, plus on devient humain.


     

     A un paien qui demandait à deux rabbins comment il pouvait étudier la Torah rapidement, un des rabbins outré, lui répondit par la violence et le mépris, l'autre, plus sage, lui dit : "Fais le Bien, c'est tout ce qu'il y a à apprendre de la Torah. Va, et apprends".

  • Il est l'Or de se réveiller ...

    C'est à cause des trafiquants d'Or au sommet, qui jouent sur les cours, du type CIA et leurs pions pions libertariens de type Jovanovic, que les braquages de bijoutiers augmentent. La même soif de l'or de chaque côté, gros brigands en amont contre petits brigands en aval, et encore, on se demande s'il n'y aurait pas un mélange des genres entre les trois parfois ...

    Lien permanent Catégories : Brèves