Attention à la question des délais de paiement entre grandes surfaces et fournisseurs, nous n'avons pas à prendre part dans ce jeu de dupes.
Il faut savoir que les petits producteurs ne sont pas concernés, le délai rapide est prévu par la loi.
De toute façon, soit les gros ont bouffé les petits, soit les petits se regroupent pour faire les mêmes saloperies que les grands, mais à leur petit niveau (exploitation de la main d'oeuvre, clientèle captive par contrat, prix élevés -revoir la critique des AMAP).
En revanche, tant les grandes surfaces que les gros fournisseurs font leurs profits sur la masse et le placement des micro marges accumulées (c'est ainsi qu'ils peuvent vendre des produits à perte par exemple, en s'en servant comme produits d'appel pour faire plus de masse dans les autres micro marges).
Ils peuvent aussi se faire de belles marges sur certains produits.
Viennent aussi des combines de fixation des prix en échange de promesse d'achat.
Il s'agit donc d'une querelle libérale dans laquelle les deux parties prennent à partie l'Etat afin qu'il favorise l'un ou l'autre de ces placements financiers, l'argent placé rapporte le temps du délai de paiement, et la cagnotte passe de l'autre côté si on raccourci le délai de paiement.
Avec toujours les mêmes pseudo syndicats agricoles du MEDEF qui viennent chialer leurs subventions et l'intervention de l'Etat en s'en servant pour tirer la couverture à eux.
"Chacun est seul responsable de tous" - Page 236
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Ne choisis pas ton camp camarage (bis repetita)
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Des nouvelles des lobbies de Washington
"Le 23 novembre, ce sont plus de 700 personnes qui sont attendues pour lancer la résistance européenne contre la mondialisation à outrance qui phagocyte les traditions de nos nations. Le Printemps français fait partie des invités. Béatrice Bourges, très attendue, va parler aux auditeurs allemands et russes de la situation en France. La vraie Europe, voulue par le Général de Gaulle, refuse le démantèlement de son Histoire, de ses traditions et de son origine historique. Les Russes, largement représentés, sont là pour soutenir et rencontrer leurs collègues européens.
Image de la France à l’étranger. « La conférence de Leipzig, qui se pose la question de savoir si les peuples européens risquent d’être éliminés, invite des experts de la famille, de la politique de l’Allemagne, la Russie et la France, pour parler du rôle du féminisme, des dangers des nouvelles lois touchant la famille et les enfants, pour parler de la baisse des naissances des peuples européens, de la rééducation sexuelle qui a court aujourd’hui dans nos sociétés », explique Jürgen Elsässer l’organisateur de la conférence et patron du magazine Compact, qui dénonce une France qui marche sur la tête : « Nous invitons Béatrice Bourges, qui est considérée par le gouvernement français comme la femme la plus dangereuse de France. »
Invités. Cette conférence invite des personnalités comme Peter Scholl Latour (journaliste expert du monde arabe et franco-allemand, Thilo Sarrazin (politicien allemand du SPD connu pour son livre fracassant sur la fin de l’Allemagne), Béatrice Bourges (politicienne française et chef du Printemps français ) qui nous avait parlé de nouveau projets et de ses inquiétudes sur ce qui constitue une menace pour notre civilisation, les députés russes de la Douma et du parti de Poutine Elena Mizoulina, chef à la Douma de la commission des affaires familiales et adjointe Olga Batalina, qui sont à l’origine de la loi de juin 2013 interdisant la propagande homosexuelle auprès des mineurs en Russie, Natalia Narotchnitskaya (historienne, spécialiste des relations internationales) qui a participé à la fondation en France de l’Institut de la Démocratie et de la Coopération (IDC) à Paris pour répondre aux accusations émises contre le gouvernement de Vladimir Poutine et pour mettre en garde contre la réécriture américaine de l’histoire des relations entre la Russie et l’Occident, André Sikojev chef de la communauté orthodoxe russe en Allemagne, Frauke Petry, chef du nouveau parti allemand AfD, parti anti Bruxelles.
La conférence mettra notamment en garde contre les nouvelles tendances visant à donner la vie sans l’existence de parents.
Olivier Renault"
http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2013/07/23/les-anti-antigone-5127667.html
https://www.google.fr/?source=search_app&gws_rd=cr&ei=sOePUvjUNJLL0AXWn4HoDA#q=oriane+borja+Institut+pour+la+coop%C3%A9ration+d%C3%A9mocratieLien permanent Catégories : Libertariens (Libéralisme), Textes externes -
L’étrange connexion d’Abdelhakim Dekhar avec un barbouze de l’armée française
L’étrange connexion d’Abdelhakim Dekhar avec un barbouze de l’armée française
INFO PANAMZA. L'homme que son ADN désigne aujourd'hui comme le "tireur de Libération" avait affirmé, lors du procès de Florence Rey, être un agent des services secrets. En 1996, Abdelhakim Dekhar avait fait la démonstration, face à un juge, de son lien inattendu avec un militaire au passé obscur. Révélations.
Dekhar prétendait avoir rencontré au Liban, lors d'une mission, un officier français dont il avait donné le nom.
Lors de cette séance au Palais de justice, étaient présents trois gendarmes du Palais et cet homme dont le juge d'instruction n'a pas voulu me donner le nom.
Abdelhakim Dekhar est allé directement vers lui, lui a serré la main et l'a appelé par son nom, ils semblaient très bien se connaître.
Tels sont les propos extraits d'un entretien accordé aujourd'hui au Figaro par Emmanuelle Hauser-Phelizon, ancienne avocate d'Abdelhakim Dekhar.
De 1994 à 1998, le Franco-Algérien était en détention provisoire en raison de son implication présumée dans l'affaire Rey-Maupin. En 2003, l'émission Faites entrer l'accusé de France 2 lui avait consacré une séquence.
Interrogée dans la nuit de mercredi à jeudi sur I Télé, l'avocate avait déjà souligné l'importance de cet "officier français" connu au Liban par Abdelhakim Dekhar. La chaîne d'information n'a pas mis en ligne la vidéo intégrale de cette interview (dont un extrait peut être vu ici). Les propos tenus alors par Emmanuelle Hauser-Phelizon sont néanmoins similaires à ceux exprimés ensuite auprès du Figaro.
Dans la matinée de jeudi, l'avocate, sollicitée par RTL, France Inter et BFM TV, a nuancé le portrait sommaire qui allait être esquissé par François Molins, procureur de la République de Paris, au sujet de son ancien client et repris sans sourciller par la plupart des médias hexagonaux : il serait réducteur, selon celle qui l'a fréquenté durant quatre années, de considérer simplement Abdelhakim Dekhar comme un ancien hurluberlu "aux tendances affabulatrices" comme l'a décrit le magistrat. "Il n'était pas un mythomane", a-t-elle fait savoir au Figaro.
Je ne le voyais pas comme un homme violent mais comme un homme intelligent, extrêmement méfiant, même vis-à-vis de moi.
C'est une affaire (ndlr: l'affaire Rey-Maupin) qui a traumatisé le pays. On ne s'est intéressé qu'à Florence Rey et Audry Maupin à l'époque. Des tas de choses ne sont pas sorties lors de ce procès. Je n'ai plus aucune nouvelle de lui depuis 1998.
Cet homme est une énigme. Je n'ai jamais eu de rapports proches. J'avais des convictions dans son dossier mais c'était quelqu'un d'extrêmement réservé et d'extrêmement intelligent.
Emmanuelle Hasuer-Phelizon, BFM TV, 21.11.13
Lors du procès Rey-Maupin, les experts psychiatriques étaient d'ailleurs beaucoup moins catégoriques que François Molins. Voici les extraits du rapport médical effectué alors sur Abdelhakim Dekhar et rapportés aujourd'hui par le journaliste Frédéric Ploquin deMarianne (passages en gras soulignés par Panamza):
A en croire l’un des docteurs qui a mené son examen psychologique pour le compte de la justice après son arrestation, en 1994, pour complicité de vol à main armée, « ses différents emplois n’auraient en fait qu’un rôle de prétexte, puisque son activité réelle, officielle et mensualisée selon lui, aurait été celle d’officier de renseignements pour les autorités algériennes ».
« C’est ainsi, poursuit le docteur, qu’il aurait eu pour mission d’infiltrer les milieux gauchistes, marginaux et potentiellement violents de la région parisienne ». Dernière réflexion : « Il n’est pas impossible que les services de renseignements algériens ou français utilisent des personnalités plus ou moins déséquilibrées et plus ou moins insérées socialement pour justement infiltrer les milieux marginaux ».
Marianne rapporte également les propos tenus alors par Dekhar devant le juge.
Dès ses premières déclarations devant le juge chargé d'élucider l'attaque d'une fourrière parisienne par deux apprentis gauchistes, ponctuée par la mort de trois policiers et d'un chauffeur de taxi, Dekhar raconte en effet qu’il a bénéficié d’une formation dans une école militaire, près d’Alger (« On m’a appris à formuler des messages, à les coder, à filmer avec des caméscopes et à filer les gens »). Puis comment il a mené ses premières missions d’espionnage parmi les étudiants algériens, sur le campus universitaire de Metz, pour le compte d’un membre de l’amicale des algériens en Europe, un certain Mohamed Boudiaf.C’est sous le contrôle d’un officier palestinien, un certain Haffif Lakdar, qu’il aurait approfondi ses contacts avec la mouvance autonome, en particulier avec Philippe Lemoual, qu’il a connu à l’occasion d’un concert, puis en fréquentant les squats parisiens, fin 1990. « On m’avait, dit-il, demandé de m’infiltrer auprès de gens susceptibles de faire partie de milieux islamistes dans certaines banlieues ». On lui aurait également permis d’accéder à une sorte de centre de documentation sur l’extrême gauche clandestine, situé à l’intérieur de l’ambassade d’un pays du Golfe, près de Trocadéro. Il aurait ensuite été pris en main par un membre du consulat d’Algérie à Aubervilliers, un certain Moukran. Travaux pratiques : un mystérieux tract appelle à la jonction de la violence entre l’Algérie et les banlieues françaises, en novembre 1993. « On » lui demande « d’être bien » avec Philippe, mais aussi avec un garçon surnommé « Francky », qui semble lui aussi avoir un lien avec ce tract.
« C’est dans ces conditions, explique-t-il, que Philippe est venu me demander d’acheter un fusil de chasse » S’il a accepté, c’est « dans une optique précise, qui consistait à faire du renseignement pour mon pays, qui est en guerre ».
Officiellement, la justice n'a jamais corroboré ces déclarations singulières d'Abdelhakim Dekhar, surnommé alors "Toumi". Mais une chose est certaine: la condamnation clémente de l'homme qui se disait "protégé par les services" avait surpris sa propre avocate. Malgré le témoignage de Florence Rey qui le désigna comme le "troisième homme", Dekhar a seulement été reconnu coupable d'association de malfaiteurs et écopa de quatre années de prison, soit la durée exacte de sa détention provisoire. Comme le fit remarquer -hier soir, sur I Télé- son ancienne avocate, le Parquet avait pourtant requisdix années. Ce fut une décision "étrange", ajouta Emmanuelle Hauser-Phelizon.
Barbouzes, terrorisme d'Etat et coups tordus
Panamza a découvert le nom de ce mystérieux "officier français" auquel l'avocate fait mention dans son entretien accordé au Figaro, précisant que le juge n'avait pas voulu alors lui décliner son identité. Il s'agit de Gérard Manzanal. Cette information avait été obtenue et divulguée le 28 mai 1996 par la journaliste Cathy Capvert de L'Humanité. Extraits (passages en gras soulignés par Panamza) :
Parce qu'il en dit trop ou pas assez, et qu'il faudra bien un jour savoir s'il est complètement fou ou un vrai agent secret, le juge Hervé Stéfan a décidé de le confronter avec l'homme qui l'aurait recruté et lui aurait permis, indirectement, d'infiltrer les mouvements autonomes français.
Ce matin-là, le magistrat ordonne donc à trois ou quatre gendarmes, habituellement employés au Palais de justice, de venir dans son bureau en civil.Il faut brouiller les pistes. Les hommes s'alignent. Tous âgés d'une cinquantaine d'années. Au milieu, le recruteur présumé. Un certain Gérard Manzanal que bien peu de monde connaît. Sauf peut-être ceux qui s'intéressent au dossier du GAL, le Groupe antiterroriste de libération dont les commandos ont semé la mort au Pays basque entre 1983 et 1987.
Dans cette affaire de terrorisme d'Etat, supposé lutter contre l'ETA, son nom a été cité par un témoin à charge dans le volet espagnol de l'enquête. Nulle part son portrait n'a été diffusé. Dans les milieux nationalistes basques, on pensait même qu'il avait disparu. Mais il est bien vivant. Au milieu de la parade d'identification, Abdelhakim Dekhar le reconnaît, tend son index et dit: « C'est Gérard Manzanal, l'officier qui nous dirigeait à Beyrouth et m'a présenté à des officiers de la Sécurité militaire algérienne. Il était membre du SAC. C'est lui qui me l'a dit ».
Plus loin, la journaliste précisa que l'intéressé avait évidemment démenti tout lien avec Abdelhakim Dekhar.
L'ancien sergent recruteur de la légion étrangère à Bayonne, aujourd'hui affecté près du commandement général des régiments étrangers, explique: « De par mes fonctions, je suis un homme public. Dans toutes les gendarmeries, les ANPE, les commissariats, il y a des affiches pour inciter les hommes à s'engager, j'y agrafe ma carte de visite ». Reste que sa photographie n'y est pas accolée. De toute façon, il dit: « Je n'ai jamais fait partie du SAC. Je ne suis jamais allé à Beyrouth. Je ne connais aucun membre de la Sécurité militaire ».
Et d'émettre, à propos de l'affaire Rey-Maupin survenue au début de la campagne présidentielle de 1994/95 et sous l'ère Pasqua (alors ministre de l'Intérieur et ancien responsable du Service d'Action Civique) une audacieuse hypothèse (que certains taxeraient probablement aujourd'hui du mot fourre-tout de "complotiste") pour conclure son article:
Un légionnaire qui aurait fait partie du SAC: la coïncidence est trop belle, colle trop bien avec la thèse de la manipulation policière que défend depuis son arrestation Abdelhakim Dekhar. Le SAC dissout, les aventuriers n'ont pas obligatoirement disparu.
Et si, effectivement Dekhar avait raison et qu'un groupe de militants d'ultra-gauche avait été infiltré afin d'être utilisé pour servir une idéologie de droite?
Dans un ouvrage paru en 1981, juste après la tuerie d'Auriol, Lecavelier, ancien membre du SAC, expliquait que la stratégie de cette milice consistait à « déstabiliser le régime par des actions d'infiltration et d'intimidation pouvant aller jusqu'à la violence ». On aurait le « comment? ». Peut-être même le « pourquoi? » de l'attaque de la préfourrière.
Hormis cet article de L'Humanité, exhumé aujourd'hui par Panamza, il existe très peu d'éléments publics -disponibles en ligne- à propos de Gérard Manzanal. Il faut consulter la presse espagnole et les essais hispanophones consacrés à l'ETA pour avoir des bribes d'information. Ainsi, le quotidien El País paru le 17 septembre 1988 évoqua le démenti de Manzanal à propos de son implication dans l'affaire du GAL, ce groupe clandestin de paramilitaires secrètement appuyés par l'Espagne et la France pour lutter contre les indépendantistes basques de l'ETA. Le 21 septembre 1995, le même quotidien espagnolsouligna la participation vraisemblable de Manzanal dans les opérations du GAL. Un livre paru en 2008 sur les services secrets espagnols qualifia Manzanal de "mercenaire" au service des agences de renseignements. En avril 2011, le site La Gaceta consacra un portrait à l'une des figures opaques du GAL, un policier français surnommé "Jean-Louis": incidemment, le journaliste Manuel Cerdán fit allusion à Gérard Manzanal, présenté comme l'un de ses "ex-collaborateurs" qui serait aujourd'hui décédé.
En mars 2012, Canal+ diffusa une enquête de 52 mn consacrée à ce sujet particulièrement obscur dans les relations franco-espagnoles et dénommé "GAL: des tueurs d'Etat ?". En 1996, les députés communistes avaient réclamé, en vain, la création d'une commission d'enquête parlementaire sur la question. Un juge d'instruction, Christophe Seys, avait également tenté, sans succès, de faire la lumière sur le volet français de ces opérations clandestines et meurtrières: « J'ai commencé à vouloir le faire, expliqua-t-il, mais les choses sont devenues difficiles…».
Quel rapport avec Dekhar? Si l'homme avait bien été "recruté" par Manzanal, comme il l'affirma au juge, reste à savoir comment et jusqu'à quand cette collaboration occulte se déroula. Un seul fait semble assuré, à ce jour, à propos de son rapport officiel avec l'institution militaire: selon Evelyne Gosnave-Lesieur, avocate générale du procès Rey, Dekhar aurait été réformé de l'armée en raison d'un problème oculaire.
Un ancien du SAC décoré par le ministre ?
En mai 1996, lorsqu'il fut convoqué au Palais de justice de Paris, Gérard Manzanal n'était plus sergent instructeur en poste à Bayonne comme ce fut le cas du temps de l'affaire du GAL. Il avait entretemps intégré le Commandement de la Légion étrangère, basé à Aubagne. Trois mois auparavant, le 6 mars 1996, l'adjudant-chef Gérard Manzanal recevait, pour ses "28 ans de services", la prestigieuse "médaille militaire" de la part de Charles Millon, alors ministre de la Défense et compagnon historique des mouvances groupusculaires d'extrême droite.
Dans un document publié en 1995 par El Mundo et rédigé par les indépendantistes basques de Batasuna, il est fait mention de Manzanal :
Gérard Manzanal Pan était le chef de recrutement de la Légion étrangère. Né dans la localité de Garbajosa de Alba, proche de Salamanque, il entra dans la Légion française la 6 août 1967. Sa carrière professionnelle est brillante et il a été décoré, entre autres, de la médaille d’Outre-Mer et de la Défense nationale de l’Armée française. Le 1er mars 1987, il fut arrêté et interrogé par la Police judiciaire de Bayonne en relation avec une affaire du GAL.
Pedro Sanchez (est) un homme-clef dans l’affaire du GAL. Ex-légionnaire, originaire de Santander, naturalisé français, résidant à Biarritz, extrémiste de droite convaincu, comme son ami Manzanal, ex-membre du SAC. Il fut arrêté le 4 décembre 1984 au cour de l’enlèvement de Segundo Marey par un commando du GAL. La police fit ne perquisition à son domicile, 29 rue de Mazagran à Biarritz et saisit 43 photos de membres d’ETA provenant de dossiers policiers. En outre, il portait sur lui le numéro de téléphone direct du bureau d’Amedo à la Direction supérieure de la police de Bilbao. Il alla en prison. Après une brève période de liberté conditionnelle, il fut réincarcéré jusqu’en 1986. Le 27 août de cette même année, les juges français lui accordèrent de nouveau la liberté, cette fois à cause de son état de santé extrêmement précaire. Le 7 octobre, il mourut à Bordeaux. Avec lui disparaissait une des personnes-clef dans le réseau initiale du GAL, en particulier en ce qui concerne le recrutement des mercenaires pour la formation des commandos.
Herrira, un mouvement dédié à la libération des "prisonniers politiques" basques,évoque également Manzanal, présenté comme un fournisseur d'hommes chargés d'opérations clandestines:
Amedo signale un de ses contacts comme étant le chef du recrutement de la Légion étrangère à Baiona : Gérard Manzanal Pan. C'est par son intermédiaire qu'il a connu plusieurs ex-membres de la Légion comme Sanchez ou Echalier qui participeront à des attentats.
Au lendemain de l'arrestation de Dekhar dans un parking de Bois-Colombes, et dix-sept ans après sa désignation (qui a stupéfié le juge et son avocate) de Manzanal -présenté comme son "recruteur"-, une énigme demeure : si l'homme avait collaboré durant plusieurs années (au moins de 1990 à 1994, période au cours de laquelle il infiltra avec succès l'ultra-gauche parisienne) avec un militaire rôdé dans la pratique du terrorisme d'Etat, qu'en est-il de ses contacts aujourd'hui avec de tels personnages similaires?
Rien n'exclut l'hypothèse d'une action solitaire dans les tentatives d'assassinat (non assimilées, curieusement, à une "entreprise terroriste") perpétrées à BFM, Libération et devant le siège de la Société générale. Mais rien, non plus, n'autorise à balayer d'un revers de la main, au regard de sa connexion antérieure avec Manzanal, la possibilité d'une manipulation policière et barbouzarde aux visées politiques. Poursuivre l'exploration du passé trouble de Dekhar et de ses éventuels réseaux sera nécessaire : pour des raisons évidentes, le terrorisme d'Etat(s) constitue un tabou absolu pour la corporation médiatique actuellement au pouvoir.
Hicham HAMZA
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Le Front des lobbies
Des candidats FN aux municipales signent la Charte des lobbies de Washington DC.
C'est bien les gars, on n'en attendait pas moins de vous.
Et surtout, n'oubliez pas, cinq courbettes par jour et par candidat, la carpette en direction de la mecque libérale ...Sponsorship Inquiries
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To show your American spirit, we encourage attending men to wear blue, women to wear red, andchildren to wear white.
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Révolutionnaire : l'instruction instruit !
Trente ans pour découvrir une évidence : il faut apprendre l'orthographe à l'école ...
Reste la grrrrande question du "burn out" cognitif, parce que s'il faut aussi, alors, apprendre à travailler à l'école, où va le monde enseignant !
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/11/15112013Article635200997379561591.aspxLien permanent Catégories : Brèves, culture, Ecole, Education -
Ne choisis pas ton camp camarade
Le 11 septembre comme de nombreux sujets font l'objet d'affrontement entre le Pentagone et la CIA.
Côté Pentagone, on soutient la thèse officielle, côté CIA, l'inverse.
Personne n'est capable de dire la vérité sur le sujet.Je sais juste que l'affrontement a lieu au-dessus, je vois simplement les réseaux des uns défendre une thèse, et les réseaux des autres, la thèse inverse.
La thèse no 1 devant impliquer le choc des civilisations, et la thèse no 2, la théorie du chaos.
Sur les expertises, il n'existe pas d'experts.
Je connais des architectes, ils se tirent dans les pattes dès que possible; je connais des avocats, les uns me disent de ne pas m'adresser à tel autre, qu'il ne lui confierait pas ses clefs de voiture, quant à ceux de ma promo ou que j'ai pu cotoyer en fac ou au Front, je sais combien ils étaient de mauvais élèves, quand ils n'ont pas carrément jamais fait de procédure en passant à travers les mailles des options pour avoir un diplôme plus facile; quant aux médecins, tout le monde est médecin dans ma famille, mon père disait que mon grand-père était un con, ma soeur dit que mon père dit n'importe quoi et mon père dit que les médecins ne font plus de la médecine aujourd'hui.Lien permanent Catégories : Brèves, libéralisme mondialisme -
Ainsi font font font les petites Marionnettes
Les Américains n'auront jamais fini d'exploiter la connerie des actrices. C'est Marion Cotillard qui s'y colle et qui vient se mêler de défendre les ingérences de Greenpeace, faux-nez des intérêts US. Elle va encore se choper un Oscar si elle continue, la CIA a plein de moyens de distribuer ses médailles dignes de la ferme des animaux ...
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Une page FB RBM Municipales Nice 2014 liée aux Identitaires raconte des conneries
[J'ai laissé ses fautes d'orthographe]
"Rassemblement Nice Bleu Marine - Municipales: Nice 2014 a partagé un lien.
8 novembre
C'est inadmissible de s'attaquer à la vie privé des gens en public.
J’espère que les facebookeurs ayant cette personne en ami saurons à quoi s'en tenir.
Par qui la polémique est arrivée:
Cette information à été révélé par "Oriane Borja" ancienne membre du FN et virée par le FN pour son parlé complotiste et proche de la psychose paranoïaque. Marion l'a assignée devant les tribunaux en lui réclamant 23 000 euros de dommages, intérêts et dépens pour atteinte à la vie privée. Si vous surfez sur la page facebook de cette personne vous vous rendrez vite compte du degré de sa paranoïa avancé, Les propos tenue et peut être rémunérateur de madame Borja à la journaliste Christine Clerc lui servirons surement d'acquitter les 23.000 euros de dommage et intérêts demandé par Marion.
PS: j'ai visité sa page et bien entendue tous son historique à été effacé."
Oriane Borja:
"Je n'ai jamais été "virée".
J'écrivais pour le compte personnel de Marine Le Pen, mes articles avaient donc son aval et ils passaient nombreux sur NPI et NPMag.
http://www.nationspresse.info/author/oriane-borja
J'étais membre du Comité Central (élue par deux fois) où j'étais candidate sur injonction de Marine Le Pen qui m'a également sommée d'être tête de liste aux élections régionales en Loire-Atlantique, ce que je ne souhaitais pas, je l'ai fait pour l'aider.
Vous faites de la diffamation.
C'est moi qui ai démissionné de toutes mes fonctions et du Comité Central en novembre 2011.
Vous êtes donc très mal informés et participez d'une désinformation caractérisée.
Mon historique FB n'a jamais été effacé, autre mensonge.
Je ne connais pas la journaliste Christine Clerc, que je n'ai évidemment jamais rencontrée.
Et vous semblez oublier que c'est la mère de Marion elle-même qui a donné gracieusement l'info à cette même journaliste.
Je n'ai jamais reçu un centime de mes activités politiques , et j'en suis très fière.
Je n'ai jamais révélé le nom du père de Marion -qui était un secret de polichinelle-.
Ce que je révèle est bien plus important, et je ne l'avais pas fait "en public", mais en un vingt-cinquième commentaire d'un des milliers de statuts de mon journal privé Facebook (que vous n'avez visiblement même pas été foutu de retrouver... et si toutefois nous sommes "amis" sous un autre de vos pseudos -la technique des lâches et des menteurs- autrement ma page ne vous est pas accessible).
Le père biologique de Marion a été nommé ambassadeur par les très atlantistes Sarkozy et Kouchner, pour services rendus, au grand étonnement du Quai D'Orsay.
Je m'inquiétais de ces choses qui vous dépassent sûrement ...Lien permanent Catégories : Brèves, Municipales, Non classé -
Des nouvelles de Monsieur l'ambassadeur
Les gamelles d'Auque, ami choisi de Sarkozy
22-11-2011 16:01 - 5465 visites - People, Jet Set, Luxe - Ecrit par Jef Tombeur Lien permanent Catégories : ;), Non classé -
Il ne leur manque plus qu'un bonnet pour être habillés Libertas pour l'hiver...
Quand je vois toutes les têtes de listes frontistes aux municipales qui "aiment" Dominique Reynié, libertarien en chef de Fondapol, libéralo américain, et qui suivent peut-être les formations de l'IFP qui vont bien avec, je me dis qu'il y a quelque chose de pourri au royaume de France.
En attendant les Européennes, où il va falloir en plus donner des cautions islamophobes à la pétasse décolorée libertarienne Geert Wilders ...Lien permanent Catégories : Brèves, Européennes, Libertariens (Libéralisme), Municipales