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"Chacun est seul responsable de tous" - Page 234

  • La liberté selon les dépositaires de la marque

    Nouvelles de France de Washington présente :

    TV Liberté de chez libertarien (ta tan !)
    Avec l'argent ... des adhérents et de la quête de la messe de Saint Nicolas du Chardonnet sans doute ?


    Ah, Philippe Millau a toujours des subsides, on est content, les fonds européens de la Ligue Padane, c'était bien déjà.

    Bon, maintenant, on voit mieux les liens directs avec Washington au moins.

     On  retrouve pêle-mêle des personnalités comme Jean-Yves Le Gallou, Bernard Lugan, Philippe Conrad, Yvan Blot, Robert Ménard, Martial Bild, Arnaud Soyez, Jean-Baptiste Giraud, Anne Brassié, Christine Tasin.
    C'est étrange n'est-ce pas, on n'est pas étonné.

    C'est beau comme l'Empire la liberté. 

  • Détournement de flamme avant le retour ...

    Le Front à la carte, le front était unitaire à la base, aujourd'hui, c'est chacun pour sa gueule ?
    La Flamme du Front a été déposée à l'INPI par le père de mes enfants au moment de la crise de 98 pour le compte du Front National, en tant que propriété intellectuelle, il est interdit de la détourner.
    Le droit ne reconnaît le détournement que pour se moquer !

    Quel étrange bûcher cela forme-t-il d'ailleurs ...

    Le Front appartient au peuple, qui a tous les droits d'être gaulliste ou de ne pas l'être, le Front n'appartient pas à Philippot.

    S'il veut son propre parti, qu'il se mette au boulot, mais qu'il ne vienne pas voler celui des autres pour y apposer son sceau personnel.

    Forbach ne vote pas pour Philippot (chacun sait que l'on peut mettre une chèvre derrière l'étiquette) mais pour le Front National !


    Le Front à la carte, c'est si tout le monde se met à faire comme Florian Philippot, à mettre le Front à sa sauce, c'est totalement égoiste, malsain, ça ouvre la porte au communautarisme à l'intérieur du Front.
    Certains voudront ajouter à la flamme un bonnet rouge, un drapeau rose, une paire de couilles, une faucille, au choix ...

    Le Général avait refusé que la croix de Lorraine figurât sur le drapeau tricolore de la République française ainsi que sur les cachets officiels de la Ve République.
    C'est toute la différence entre celui qui pense à sa pomme et celui qui pense à la France.




     
    CP

  • "Droite extrême", le nouveau parti de Marine Le Pen

    Il est évident que la marque -déposée à l'INPI- "Rassemblement Bleu Marine", est là pour jouer la transition afin d'être connue lorsque Marine fera disaparaître le Front National.
    Le Bleu représentant la droite, le bleu marine, le bleu extrême, Marine signe là un lapsus absolument révélateur de ce qu'elle en train de faire devenir le Front en l'attelant à l'European Freedom Alliance.
    Alliance libertarienne dont elle n'est absolument pas le maître contrairement à ce qu'elle tente de faire croire aux ignorants, elle n'a cessé de se mettre à la traîne de l'attelage, en montrant patte blanche avant d'en franchir l'entrée qui exige une allégeance à une Chartre rédigée par les anglo saxons thatchériens, l'Ecole de Chicago reprenant du poil de la bête, immonde n'est pas de trop.

    Marine devrait se méfier, la nature a horreur du vide, si personne n'occupe la place de défendre honnêtement la France, il apparaîtra quelqu'un pour l'occuper.

     

  • Rattachement financier

    "Dans la liste publiée aujourd’hui par l’Assemblée, on note quelques curiosités. Notamment au niveau de Debout la République, le parti de Nicolas Dupont-Aignan. Jacques Bompard (Ligue du Sud), Véronique Besse (Mouvement pour la France de De Villiers), Maurice Leroy (UDI), Jean-Pierre Decool (apparenté UMP) et Gilles Bourdouleix se sont tous inscrits… à Debout la République.

    Au Sénat, même épidémie. Jean-Pierre Chevènement (président d’honneur du MRC), Philippe Darniche (Mouvement pour la France),  Alex Türk (divers droite) ainsi que Jean-Louis Masson sont également rattachés à Debout la République.

    A noter que Jean-Louis Masson, dirige Démocratie & République. Ce petit parti politique bénéficiait l’an dernier du financement public, grâce à un candidat présenté en Outre-Mer mais surtout à plusieurs rattachements comme ceux de Jacques Bompard, Jean-Pierre Decool ou Maurice Leroy … Qu’est-ce qui pourrait expliquer leurs soutiens soudain à Dupont-Aignan ?"

  • Le politique au-dessus de l'économique mais pas en couverture !

    Marine Le Pen est allée récemment faire un tour au Marche de Noel des Champs Elysées pour soutenir et affirmer son amitié aux forains.

    Ces amitiés louches  droitardes avec cet affairisme aux accents évangélistes anglo américains est des plus mauvais goûts.

    Surtout lorsque l'on connaît l'arnaque, 80 % des produits proviennent de Chine, d’Inde, du Pakistan, d’Indonésie ou de Turquie,  et même les produits dits artisanaux, de grossistes dont on ignore la provenance.

     Marine pourrait dire à son ami Campion -si admirablement choyé par les politiques- d'arrêter de s'engraisser en arnaquant les Français et en offrant ce piètre spectacle aux étrangers.

    Cela serait à son honneur et à mettre au compte de son impartialité et de sa loyauté envers la France.

    Un acte de chef d'Etat.

    On attend ... 

  • Connaissez-vous les correspondances entre le mondialiste Kalergi et de Gaulle ?

    Cahiers de la Fondation Charles de Gaulle

    RICHARD COUDENHOVE-KALERGI - CHARLES DE GAULLE

    Colloque organisé à Nancy le 14 novembre 1998

    par la Fondation Coudenhove-Kalergi, la Fondation

    Charles de Gaulle et l'Université de Nancy-II

    Textes rassemblés par le Professeur Alain I ARC AN

    Fondation Charles de Gaulle

    5, rue de Solferino 75007 Paris

    Fondation Coudenhove-Kalergi

    Case Postale 3279 Genève 3 CH 1218



    "Avant-propos

    Alain LARCAN

    Le sujet du colloque, organisé à Nancy le 14 novembre 1998,

    peut surprendre au premier abord, car l'action courageuse et prolongée

    de Richard Coudenhove-Kalergi en faveur de Paneurope s'estompe

    un peu, non relayée par les instances européennes qui

    préfèrent se placer dans le sillage d'autres « inspirateurs ».

    Les relations qu'il établit avec le général de Gaulle n'étaient

    jusqu'à présent connues ou supposées que d'un très petit nombre

    de personnes mais l'étude de la correspondance, des rendez-vous,

    des textes des deux personnalités montre à l'évidence l'ancienneté

    et la continuité de relations de plus en plus confiantes et la parenté

    des points de vue sur une « Europe européenne » telle qu'elle fut

    proposée en particulier dans le plan Fouchet et repoussée par

    le Bénélux.

    La collaboration des deux fondations Coudenhove-Kalergi et

    Charles de Gaulle, dont les présidents Bauer et Foyer sont ici

    présents, de l'Université de Nancy II présidée par le professeur

    Bardelli a permis cette réunion précédée par une autre rencontre

    elle aussi européenne, organisée par le Groupe de recherche, information,

    communication et propagandes dirigé par le professeur

    Louis-Philippe Laprévote, également co-organisateur de la journée

    Richard Coudenhove-Kalergi - Charles de Gaulle.

    Je remercie toutes les personnalités qui ont accepté de figurer

    au Comité d'Honneur et ont souvent accepté de répondre à des

    questions et de communiquer de précieux renseignements ; certains

    sont présents à ce colloque, d'autres, retenus ailleurs, m'ont fait

    parvenir des messages exprimant leurs regrets.

    Je remercie aussi les conférenciers et tout spécialement les

    spécialistes des Archives européennes qui travaillent en liaison avec

    la Fondation Coudenhove-Kalergi, les représentants de Paneurope

    France, tous ceux qui exercent une responsabilité au sein des deux

    Fondations, de l'Institut Charles de Gaulle, de l'Université de

    Nancy-II, du Centre européen universitaire et du Groupe de

    recherche, information, communication et propagandes.

    Je remercie tous les participants nombreux, dont les questions

    et les interventions animeront le débat et je souligne que si cette

    réunion a lieu à Nancy, c'est justement parce que Nancy et son

    maire André Rossinot ont établi avec la Fondation Coudenhove-

    Kalergi des liens privilégiés et un protocole original de jumelage

    qui se concrétise ici pour la première fois.

    L'édition est assurée dans la collection des Cahiers de la Fondation

    Charles de Gaulle, car la Revue Espoir, initialement envisagée

    ne pouvait accueillir tous les textes ; elle comprend les actes du

    colloque, qui sont complétés par la correspondance classée par la

    Fondation Coudenhove-Kalergi, entre le Comte et le Général. Ces

    documents apportent la preuve d'une relation importante, capitale

    entre les deux hommes à laquelle on n'a pas, jusqu'à présent,

    attaché suffisamment d'importance. Ce document, essentiel pour

    l'histoire de l'Europe retiendra très certainement l'attention des

    historiens et des hommes d'Etat."


    Le mondialiste Condenhove Kalergi :

     
    L'Union paneuropéenne internationale a été fondée au lendemain de la Première Guerre mondiale, en 1926 à Vienne, par le comte Richard Coudenhove-Kalergi qui a publié en 1923 son livre-manifeste Paneuropa où il préconise la création d'une union des États européens, union qui lui semble le seul moyen d'éviter que se reproduise la catastrophe de 14-18 : « L'Europe, dans son morcellement politique et économique, peut-elle assurer sa paix et son indépendance face aux puissances mondiales extra-européennes qui sont en pleine croissance ? »

     

     

    Emblème[modifier | modifier le code]

    Drapeau de l'Union paneuropéenne internationale

    Homme cosmopolite et lettré, convaincu de l'unité de la civilisation européenne, le comte Coudenhove-Kalergi choisit comme emblème de la Pan-Europe une croix rouge sur un disque d'or.

    Il en donne la signification dans son ouvrage : « La croix rouge des croisades du Moyen Âge est le symbole le plus ancien d'une union européenne supranationale. Aujourd'hui elle est l'emblème de l'humanitarisme international1.

    Le soleil figure l'esprit européen dont le rayonnement éclaire le monde entier »2. Le soleil est aussi interprété comme étant le symbole d'Apollon, référence à l'influence culturelle de la Grèce antique sur l'évolution de la civilisation européenne3 .

    Historique[modifier | modifier le code]

    Connaissant très vite un vif succès, les idées de Coudenhove-Kalergi inspirent très directement Aristide Briand dans les années 1920 qui accepte pour sa part la présidence d'honneur du mouvement paneuropéen en France, tandis que le président exécutif de la section française est son collaborateur Louis Loucheur. Mais l'arrivée du national-socialisme en Allemagne, conjuguée aux effets du Traité de Versailles qui prétendait, au lendemain de la Première Guerre mondiale, dessiner une Europe nouvelle, ruine provisoirement les efforts de Coudenhove-Kalergi.

    Après la victoire des AlliésCoudenhove-Kalergi est l'inspirateur du Conseil de l'Europe qui est créé en 1949. De nationalité française depuis 1939, il poursuit avec le Général de Gaulle une correspondance entreprise durant la guerre, ce qui aboutit en 1960 à la création du Comité français pour l'Union Paneuropéenne (CFUP). On trouvera à sa création Georges Pompidou comme trésorier et Alain Peyrefittecomme Secrétaire général.

    Rénové au début des années 1990, le CFUP, qui avait été présidé, après Louis Terrenoire, par Raymond TribouletMichel Habib-Deloncle et Michel Cointat, prend l'appellation de PanEurope France. et est présidé par Yvon Bourges (1993-2000), Hervé Gaymard (2000-2002) et Alain Terrenoire (2003-2013).En 2013, PanEurope France devient l'Union Paneuropéenne de France (UPF). Après une courte présidence du député européen Arnaud Danjean (2013), Alexis Bautzmann est nommé président en mai 2013.

    Participant activement aux travaux de l'Union paneuropéenne internationale dont le président, après la disparition de Richard Coudenhove-Kalergi en 1972, fut Otto de Habsbourg et depuis fin 2004, Alain Terrenoire, et qui compte aujourd'hui, de l'Atlantique à la Baltique, près de trente organisations nationales, l'Union Paneuropéenne de France (UPF) poursuit son action pour l'élargissement de l'Union européenne, donc pour une réforme des institutions, et défend l'idée d'une Europe politique.

    Présidents de l'Union paneuropéenne internationale (UPI)[modifier | modifier le code]

    1. Richard Coudenhove-Kalergi (1926-1972)
    2. Otto de Habsbourg (1972-2004)
    3. Alain Terrenoire (2004-2013)
  • No tea today

    Vous prendrez bien une tasse de tea.jpg




    A Radio Courtoisie de Washington, ils manquent te faire pendre, goudron et plumes compris, si tu prononces un anglicisme, quand ils sont les nervis avancés de l'Ecole de Chicago.
    Il faudra bien un jour ressortir la guillotine juste pour ceux-là, un criminel récidiviste est moins mal intentionné.

  • Le hasard je vous dis ...

    L'IDC -Institut de Washington en Russie- présente :
    Institut de la Democratie et de la Cooperation
     Les débats étaient co-présidés par Paul-Marie Coûteaux, président du RIF, et  député Nicolas Dupont-Aignan. Parmi les autres orateurs : Eric Zemmour, chroniqueur au Figaro ; Jacques Sapir, économiste ; Philippe Cohen, journaliste ; et Dragan Todorovic, vice-président du Parti radical de Serbie.
  • Quel libéral êtes-vous ? Ou pas ...

    Attention à la sémantique, attachez-vous au fond, la droite est nominaliste (comme la gauche et toute idéologie), quand les libéraux de droite fustige le "libéralisme libertaire", ils reprennent la terminologie anglo saxonne et cela signifie pour eux, la gauche.
    Le "libéralisme libertaire" serait pour eux les idées libérales en matière de moeurs au sens large.
    Ce qui les dispense de s'en prendre au libéralisme économique.

    Or c'est faux, le libéralisme est un et n'a seulement pas de limite, c'est la liberté au-dessus de tout et la seule limite est le droit d'enfreindre la liberté du laisser-faire laisser-passer.

    Nous avons affaire je le répète à une querelle libérale entre les tenants d'un libéralisme restreint (à droite) et ceux d'un libéralisme accompagné (à gauche), avec comme mouche du coche tenants du chaos global libéral, les libertariens, tenants du libéralisme total -qui abat l'Etat et la Nation- et qui font avancer l'attelage grâce aux deux forces qui font semblant de s'opposer, le tout pour le compte du libertarianisme qui laisse la place forte à l'oligarchie industrialo mondialiste.

  • Extrême-droite d'hier, d'aujourd'hui et de toujours

    Le régime afrikaner, qui distingue le peuple élu des autres, est la plus belle saloperie idéologique qui a mené tout droit à l'Empire anglo américain, ce sont les mêmes ressorts, les mêmes réseaux, et c'est tout, sauf la France.