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"Chacun est seul responsable de tous" - Page 179

  • IPhone, Marine Le Pen et les réseaux libertariens

    Il est toujours très étonnant de voir combien les hommes politiques sont ignorants des réseaux d'influence qui les traversent les uns et les autres.

     

    Le député-maire de Drancy, et candidat à la présidence de l'UDI  (extrême-droite autant que les autres dans la mesure où l'on trouve dans ce mouvement prétendument centriste, les plus virulents tenants de l'idéologie droito droitiste avec toujours les mêmes lobbies transversaux qui poussent au moindre Etat et au toujours plus de privatisation, fléxibilité, précarité au profit des plus puissants) s'inquiète de l'arrivée de Marine Le Pen aux affaires. Pas pour une question d'immigration, ni à propos de son programme économique. Mais au sujet des iPhone.



    C'est méconnaître ostensiblement les liens qui rattachent le conseiller de Marine le Pen, Aymeric Chauprade, aux réseaux libertariens américains (Instituts Thomas More, IFRAP, IFP), Heritage Foundation au premier chef, qui est une des centrales de lobbies parmi les plus influentes du monde.

    Soutenue par, et liée à, Apple comme aux plus grandes multinationales (il est simple comme un clic Internet de retrouver les noms des souteneurs de ces lobbies libéraux purs et durs).

    Comment le Rassemblement Bleu Marine, dont les principaux conseillers sont issus des lobbies libertariens (ils sont toute une clique de lobbyistes libertariens qui se sont précipités vers le vide sidérale d'une Marine Le Pen, la nature lepéniste lui faisant sans doute horreur) jouerait-il contre son camp, qui est en définitive, le libéralisme forcené des multinationales ?


    • Events - The Heritage Foundation - iTunes - Apple

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  • Un enfant ne s'abandonne pas ni ne se donne ni ne se vend

    En ces temps sans âme, rappelons combien Maupassant a su si terriblement bien saisir la nature humaine, si inhumaine parfois :

     

    MAUPASSANT, Guy de : Aux champs (ce conte parut le 31 octobre 1882, dans le journal Le Gaulois)


    SAISIE DU TEXTE : Sylvie Pestel pour la collection électronique de la Bibliothèque municipale de Lisieux (20.05.1995). ADRESSE : Bibliothèque municipale - B.P. 216 - 14107 Lisieux cedex.- TEL. : 31.48.66.50.- MINITEL : 31.48.66.55.-E-MAIL : 100346.471@compuserve.com


    Diffusion libre et gratuite (freeware)


    Aux champs par Guy de MAUPASSANT

    A Octave Mirbeau

    Les deux chaumières étaient côte à côte, au pied d'une colline, proches d'une petite ville de bains. Les deux paysans besognaient dur sur la terre inféconde pour élever tous leurs petits. Chaque ménage en avait quatre. Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. Les deux aînés avaient six ans et les deux cadets quinze mois environ ; les mariages et, ensuite les naissances, s'étaient produites à peu près simultanément dans l'une et l'autre maison.

    Les deux mères distinguaient à peine leurs produits dans le tas ; et les deux pères confondaient tout à fait. Les huit noms dansaient dans leur tête, se mêlaient sans cesse ; et, quand il fallait en appeler un, les hommes souvent en criaient trois avant d'arriver au véritable.

    La première des deux demeures, en venant de la station d'eaux de Rolleport, était occupée par les Tuvache, qui avaient trois filles et un garçon ; l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient une fille et trois garçons.

    Tout cela vivait péniblement de soupe, de pomme de terre et de grand air. A sept heures, le matin, puis à midi, puis à six heures, le soir, les ménagères réunissaient leurs mioches pour donner la pâtée, comme des gardeurs d'oies assemblent leurs bêtes. Les enfants étaient assis, par rang d'âge, devant la table en bois, vernie par cinquante ans d'usage. Le dernier moutard avait à peine la bouche au niveau de la planche. On posait devant eux l'assiette creuse pleine de pain molli dans l'eau où avaient cuit les pommes de terre, un demi-chou et trois oignons ; et toute la lignée mangeait jusqu'à plus faim. La mère empâtait elle-même le petit. Un peu de viande au pot-au-feu, le dimanche, était une fête pour tous, et le père, ce jour-là, s'attardait au repas en répétant : "Je m'y ferais bien tous les jours"

    Par un après-midi du mois d'août, une légère voiture s'arrêta brusquement devant les deux chaumières, et une jeune femme, qui conduisait elle-même, dit au monsieur assis à côté d'elle :

    - Oh ! regarde, Henri, ce tas d'enfants ! Sont-ils jolis, comme ça, à grouiller dans la poussière.

    L'homme ne répondit rien, accoutumé à ces admirations qui étaient une douleur et presque un reproche pour lui.

    La jeune femme reprit :

    - Il faut que je les embrasse ! Oh ! comme je voudrais en avoir un, celui-là, le tout petit.

    Et, sautant de la voiture, elle courut aux enfants, prit un des deux derniers, celui des Tuvache, et, l'enlevant dans ses bras, elle le baisa passionnément sur ses joues sales, sur ses cheveux blonds frisés et pommadés de terre, sur ses menottes qu'il agitait pour se débarrasser des caresses ennuyeuses.

    Puis elle remonta dans sa voiture et partit au grand trot. Mais elle revint la semaine suivante, s'assit elle-même par terre, prit le moutard dans ses bras, le bourra de gâteaux, donna des bonbons à tous les autres ; et joua avec eux comme une gamine, tandis que son mari attendait patiemment dans sa frêle voiture.

    Elle revint encore, fit connaissance avec les parents, reparut tous les jours, les poches pleines de friandises et de sous.

    Elle s'appelait Mme Henri d'Hubières.

    Un matin, en arrivant, son mari descendit avec elle ; et, sans s'arrêter aux mioches, qui la connaissaient bien maintenant, elle pénétra dans la demeure des paysans.

    Ils étaient là, en train de fendre du bois pour la soupe ; ils se redressèrent tout surpris, donnèrent des chaises et attendirent. Alors la jeune femme, d'une voix entrecoupée, tremblante commença :

    - Mes braves gens, je viens vous trouver parce que je voudrais bien... je voudrais bien emmener avec moi votre... votre petit garçon...

    Les campagnards, stupéfaits et sans idée, ne répondirent pas.

    Elle reprit haleine et continua.

    - Nous n'avons pas d'enfants ; nous sommes seuls, mon mari et moi... Nous le garderions... voulez-vous ?

    La paysanne commençait à comprendre. Elle demanda :

    - Vous voulez nous prend'e Charlot ? Ah ben non, pour sûr.

    Alors M. d'Hubières intervint :

    - Ma femme s'est mal expliquée. Nous voulons l'adopter, mais il reviendra vous voir. S'il tourne bien, comme tout porte à le croire, il sera notre héritier. Si nous avions, par hasard, des enfants, il partagerait également avec eux. Mais s'il ne répondait pas à nos soins, nous lui donnerions, à sa majorité, une somme de vingt mille francs, qui sera immédiatement déposée en son nom chez un notaire. Et, comme on a aussi pensé à vous, on vous servira jusqu'à votre mort, une rente de cent francs par mois. Avez-vous bien compris ?

    La fermière s'était levée, toute furieuse.

    - Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! mais non ; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère çà ! Ah ! mais non ! Ce serait abomination.

    L'homme ne disait rien, grave et réfléchi ; mais il approuvait sa femme d'un mouvement continu de la tête.

    Mme d'Hubières, éperdue, se mit à pleurer, et, se tournant vers son mari, avec une voix pleine de sanglots, une voix d'enfant dont tous les désirs ordinaires sont satisfaits, elle balbutia :

    - Ils ne veulent pas, Henri, ils ne veulent pas !

    Alors ils firent une dernière tentative.

    - Mais, mes amis, songez à l'avenir de votre enfant, à son bonheur, à ...

    La paysanne, exaspérée, lui coupa la parole :

    - C'est tout vu, c'est tout entendu, c'est tout réfléchi... Allez-vous-en, et pi, que j'vous revoie point par ici. C'est i permis d'vouloir prendre un éfant comme ça !

    Alors Mme d'Hubières, en sortant, s'avisa qu'ils étaient deux tout petits, et elle demanda à travers ses larmes, avec une ténacité de femme volontaire et gâtée, qui ne veut jamais attendre :

    - Mais l'autre petit n'est pas à vous ?

    Le père Tuvache répondit :

    - Non, c'est aux voisins ; vous pouvez y aller si vous voulez.

    Et il rentra dans sa maison, où retentissait la voix indignée de sa femme.

    Les Vallin étaient à table, en train de manger avec lenteur des tranches de pain qu'ils frottaient parcimonieusement avec un peu de beurre piqué au couteau, dans une assiette entre eux deux.

    M. d'Hubières recommença ses propositions, mais avec plus d'insinuations, de précautions oratoires, d'astuce.

    Les deux ruraux hochaient la tête en signe de refus ; mais quand ils apprirent qu'ils auraient cent francs par mois, ils se considèrent, se consultant de l'oeil, très ébranlés.

    Ils gardèrent longtemps le silence, torturés, hésitants. La femme enfin demanda :

    - Qué qu't'en dis, l'homme ? Il prononça d'un ton sentencieux :

    - J'dis qu'c'est point méprisable.

    Alors Mme d'Hubières, qui tremblait d'angoisse, leur parla de l'avenir du petit, de son bonheur, et de tout l'argent qu'il pourrait leur donner plus tard.

    Le paysan demanda :

    - C'te rente de douze cents francs, ce s'ra promis d'vant l'notaire ?

    M. d'Hubières répondit :

    - Mais certainement, dès demain.

    La fermière, qui méditait, reprit :

    - Cent francs par mois, c'est point suffisant pour nous priver du p'tit ; ça travaillera dans quéqu'z'ans ct'éfant ; i nous faut cent vingt francs.

    Mme d'Hubières trépignant d'impatience, les accorda tout de suite ; et, comme elle voulait enlever l'enfant, elle donna cent francs en cadeau pendant que son mari faisait un écrit. Le maire et un voisin, appelé aussitôt, servirent de témoins complaisants.

    Et le jeune femme, radieuse, emporta le marmot hurlant, comme on emporte un bibelot désiré d'un magasin.

    Les Tuvache sur leur porte, le regardaient partir muets, sévères, regrettant peut-être leur refus.

     

    On n'entendit plus du tout parler du petit Jean Vallin. Les parents, chaque mois, allaient toucher leurs cent vingt francs chez le notaire ; et ils étaient fâchés avec leurs voisins parce que la mère Tuvache les agonisait d'ignominies, répétant sans cesse de porte en porte qu'il fallait être dénaturé pour vendre son enfant, que c'était une horreur, une saleté, une corromperie.

    Et parfois elle prenait en ses bras son Charlot avec ostentation, lui criant, comme s'il eût compris :

    - J't'ai pas vendu, mé, j't'ai pas vendu, mon p'tiot. J'vends pas m's éfants, mé. J'sieus pas riche, mais vends pas m's éfants.

    Et, pendant des années et encore des années, ce fut ainsi chaque jour des allusions grossières qui étaient vociférées devant la porte, de façon à entrer dans la maison voisine. La mère Tuvache avait fini par se croire supérieure à toute la contrée parce qu'elle n'avait pas venu Charlot. Et ceux qui parlaient d'elle disaient :

    - J'sais ben que c'était engageant, c'est égal, elle s'a conduite comme une bonne mère.

    On la citait ; et Charlot, qui prenait dix-huit ans, élevé dans cette idée qu'on lui répétait sans répit, se jugeait lui-même supérieur à ses camarades, parce qu'on ne l'avait pas vendu.

    Les Vallin vivotaient à leur aise, grâce à la pension. La fureur inapaisable des Tuvache, restés misérables, venait de là.

    Leur fils aîné partit au service. Le second mourut ; Charlot resta seul à peiner avec le vieux père pour nourrir la mère et deux autres soeurs cadettes qu'il avait.

    Il prenait vingt et un ans, quand, un matin, une brillante voiture s'arrêta devant les deux chaumières. Un jeune monsieur, avec une chaîne de montre en or, descendit, donnant la main à une vieille dame en cheveux blancs. La vieille dame lui dit :

    - C'est là, mon enfant, à la seconde maison.

    Et il entra comme chez lui dans la masure des Vallin.

    La vieille mère lavait ses tabliers ; le père, infirme, sommeillait près de l'âtre. Tous deux levèrent la tête, et le jeune homme dit :

    - Bonjour, papa ; bonjour maman.

    Ils se dressèrent, effarés. La paysanne laissa tomber d'émoi son savon dans son eau et balbutia :

    - C'est-i té, m'n éfant ? C'est-i té, m'n éfant ?

    Il la prit dans ses bras et l'embrassa, en répétant : - "Bonjour, maman". Tandis que le vieux, tout tremblant, disait, de son ton calme qu'il ne perdait jamais : "Te v'là-t'i revenu, Jean ?". Comme s'il l'avait vu un mois auparavant.

    Et, quand ils se furent reconnus, les parents voulurent tout de suite sortir le fieu dans le pays pour le montrer. On le conduisit chez le maire, chez l'adjoint, chez le curé, chez l'instituteur.

    Charlot, debout sur le seuil de sa chaumière, le regardait passer.

    Le soir, au souper il dit aux vieux :

    - Faut-i qu'vous ayez été sots pour laisser prendre le p'tit aux Vallin !

    Sa mère répondit obstinément :

    - J'voulions point vendre not' éfant !

    Le père ne disait rien.

    Le fils reprit :

    - C'est-i pas malheureux d'être sacrifié comme ça !

    Alors le père Tuvache articula d'un ton coléreux :

    - Vas-tu pas nous r'procher d' t'avoir gardé ?

    Et le jeune homme, brutalement :

    - Oui, j'vous le r'proche, que vous n'êtes que des niants. Des parents comme vous, ça fait l'malheur des éfants. Qu'vous mériteriez que j'vous quitte.

    La bonne femme pleurait dans son assiette. Elle gémit tout en avalant des cuillerées de soupe dont elle répandait la moitié :

    - Tuez-vous donc pour élever d's éfants !

    Alors le gars, rudement :

    - J'aimerais mieux n'être point né que d'être c'que j'suis. Quand j'ai vu l'autre, tantôt, mon sang n'a fait qu'un tour. Je m'suis dit : "V'là c'que j'serais maintenant !".

    Il se leva.

    - Tenez, j'sens bien que je ferai mieux de n'pas rester ici, parce que j'vous le reprocherais du matin au soir, et que j'vous ferais une vie d'misère. Ca, voyez-vous, j'vous l'pardonnerai jamais !

    Les deux vieux se taisaient, atterrés, larmoyants.

    Il reprit :

    - Non, c't' idée-là, ce serait trop dur. J'aime mieux m'en aller chercher ma vie aut'part !

    Il ouvrit la porte. Un bruit de voix entra. Les Vallin festoyaient avec l'enfant revenu.

    Alors Charlot tapa du pied et, se tournant vers ses parents, cria :

    - Manants, va !

    Et il disparut dans la nuit.


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    table des auteurs et des anonymes

  • PMA, GPA, et les assassins en liberté

     

     

    Mère porteuse ou père donneur, c'est la même chose, la Procréation Médicalement Assistée, dans la majorité des cas, c'est un gamète pris à autrui, c'est-à-dire qu'une personne a donné son enfant en l'abandonnant à un autre, et que cet autre le lui a pris.
    Or un enfant, ça ne se prend ni ne se donne, et s'achète encore moins évidemment.

    Le mot « gamète » a été inventé à partir des noms « γαμέτης », gamétês et « γαμέτις », gamétis qui, en grec ancien, désignent respectivement l'époux et l'épouse.
    Un gamète est une cellule reproductrice arrivée à maturité, capable de fusionner avec un autre gamète, du type complémentaire, pour engendrer une nouvelle génération d'un être vivant.

    On comprend pourquoi les gouvernements s'attachent à détruire les humanités (comme je l'ai démontré dans un papier intitulé Crimes contre les humanités), qui signifient bien ce qu'elles veulent dire, et comment c'est à l'homme que l'on s'en prend directement.

    Avec la PMA et la GPA et l'adoption-plénière, c'est l'homme qu'on assassine !

    Et je pense que personne ne peut en conscience, démontrer le contraire.

    Et  qu'il n'y ait pas un crétin qui vienne me dire " c'est votre vérité", c'est LA vérité, l'esprit faible qui dirait le contraire -et il est sans doute légion- n'a tout simplement pas d'esprit du tout.

    Dans ce débat, je m'oppose à tous, les tenants du grand n'importe quoi, du aucun sens, et les pseudo religieux à la traîne de l'Opus déi/Manif Pour Tous qui sont pour l'abandon et le vol d'enfants comme je l'ai déjà démontré.

    La conscience est sans doute la quête que devrait se donner tout être humain, et l'atteindre fait de l'homme un être humain.

    J'avais déjà fait une démonstration selon laquelle il serait encore plus approprié de dire que "Conscience sans science n'est que ruine de l'âme", je crois que le théorème s'applique à nouveau.

     

    me ·  · 

     

     En ces temps sans âme, rappelons combien Maupassant a su si terriblement bien saisir la nature humaine, si inhumaine parfois :

     

    http://www.bmlisieux.com/litterature/maupassant/auchamp.htm

     

     
    Les deux chaumières étaient côte à côte, au pied d'une colline, proches d'une petite ville de bains. Les deux paysans besognaient dur sur la terre infconde pour lever tous leurs petits. Chaque mnage en avait quatre. Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. Les deux…
    BMLISIEUX.COM

     

     

     

     

  • Asselineau mi nigaud mi salaud

    Asselineau est pénible, sectaire, et gaulliste, donc pénible et sectaire.

    [Je ne reviens pas sur ses réseaux d'extrême-droite libertariens auxquels il ne comprend même pas qu'il est intégré, c'est la même histoire que le gars qui va faire une conférence chez Ayoub sans savoir où il met les pieds, mais en encore pire ...]

    Il ne sait en fait ni d'où il vient (extrême-droite), ni où il va (extrême-droite).

     

    Il ne connaît pas l'étymologie de "nation" ni ce que signifie les mots en "iste", ni ce que la nation représente dans nos institutions.

    Il se contente encore de répéter bêtement ce qu'a dit dit bêtement de Gaulle.

    Mettre la nation au cœur, cela signifie mettre le peuple au centre, étant entendu que cette notion doit être entendue selon notre acception française, l'Etat-Nation France qui comprend le peuple comme l'ensemble de ses citoyens, les hommes rattachés à notre conception de la Cité et du politique, dans le cadre de cette institution qu'est le cadre national.

    Autant "souverainiste" = mettre la souveraineté au cœur de tout, est débile, autant nationaliste a du sens, et un bon, sauf qu'il faut l'expliquer.

    La souveraineté est une condition nécessaire, mais non suffisante à la France, être souverainiste est donc une faible conception de ce que nous sommes.

    Pour ne rien dire de l'origine même du terme politique, qui est rattachée à la Paneurope de de Gaulle/Kalergi, et qui n'a rien de nationale.

    De même que le terme patriote revêt l'attachement à la terre de nos pères, il n'est pas satisfaisant car nos pères peuvent être d'une autre terre alors que nous pouvons tout de même être rattachés à la nation.

    Etre nationaliste français, c'est simplement être Français, c'est-à-dire rattaché en tant que citoyen au cadre national qui est la matrice qui nous constitue en tant que Français.

  • Marion Maréchal Le Pen et Louis Aliot se mettent à la botte des spins doctors libertariens aussi à l'Assemblée nationale

    24/07/2014

    Marion Maréchal Le Pen et Louis Aliot se mettent à la botte des spins doctors libertariens aussi à l'Assemblée nationale

    Voici le lobby auquel Marion Maréchal Le Pen et Louis Aliot se sont associés au sein de l'Assemblée nationale (en suivant en cela d'autres députés UMPSPCVerts) :

    www.parlement-et-citoyens.fr
    Afin de faciliter la mise en oeuvre du projet Parlement & Citoyens, plusieurs partenaires ont été sollicités et ont accepté de se joindre bénévolement à l'aventure.



    Fondapol et la Fondation Jean Jaurès (think tanks interchangeables de droite et de gauche soutenus et financés par les multinationales) sont également membres de ce lobby international pour la démocratie directe destiné à établir la vision anglo américaine du parlementarisme sur le modèle du Congrès américain, joujou des lobbies.

    Une création de Cyril Lage formé par les Spin Partners, Ecole de Guerre Economique, école privée libre fondée par le mao-révolutio-spontex Christian Harbulot très liée aux réseaux libertariens. 


    Cyril Lage, ex-lobbyiste de Spin Partners

    http://democratieouverte.org/author/cyril-lage

    democratieouverte.org
    Cyril est l’initiateur de cette démarche. Consultant en affaires publiques, il lance, dès 2003, plusieurs opérations visant à renforcer la transparence en matière de lobbying. En 2008, il s’investit dans le champ de la démocratie participative et met au point une nouvelle méthode de concertation ent…

    http://www.spinpartners.fr/

    www.spinpartners.fr
    Communication d'influence
     
    http://www.veillemag.com/Christian-Harbulot-Directeur...
    www.veillemag.com
    Depuis la fin de la guerre froide, les rapports de force entre les puissances s’articulent autour d’enjeux économiques. Les gouvernements de la planète, dans leur grande majorité, ne cherchent plus aujourd’hui à conquérir des terres ou à établir leur domination sur de nouvelles populations,...

     http://www.ege.fr/.../le-corps.../christian-harbulot.html

    Meilleur Master, MBA intelligence économique classement 2014, formations pro en intelligence économique, 3ème Cycle intelligence économique à Paris

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_Harbulot

    Christian Harbulot, né le 19 décembre1952 à Verdun, est directeur de l'École de guerre économique et directeur associé du cabinet de conseil Spin Partners, spécialisé en intelligence économique et lobbying. 

     http://democratieouverte.org/a-propos

    democratieouverte.org
    En 1999, Dick Morris, un ancien conseiller de Bill Clinton publiait Vote.com. Dans cet essai, il affirmait qu’Internet permettrait aux citoyens de peser si fortement sur les décisions publiques que leurs représentants seraient contraints, à terme, de changer la façon dont ils gouvernent.

     

    Le media libertarien de Washington DC Contrepoints est dithyrambique :

    http://www.contrepoints.org/.../146822-francais-savez...

    www.contrepoints.org
    Le vrai changement, que l'actuel président avait promis et qu'il est incapable de mettre en œuvre, passe par une réforme des institutions fondées sur une subsidiarité ascendante, faisant appel à l’engagement de citoyens là où ils peuvent agir.

    Tout comme leurs coreligionnaires et associés libéraux cons de Contribuables associés et de l'ex Club de l'Horloge :

    http://www.contribuables.org/.../la-democratie-directe.../
    www.contribuables.org

    Yvan Blot
    Contre les oligarchies, la prise de conscience et la mobilisation des citoyens doit pouvoir anticiper le tournant démocratique.

    Une importation anglo américaine évidemment :

    http://www.directdemocracynow.org/

    www.directdemocracynow.org
    Unlike the current “Representative Democracy” where elected representatives make decisions regardless of the wishes of their constituencies, in Direct Democracy individuals vote on critical issues and their decisions are carried out by their elected representatives… Whether they like it or not

     

    Une organisation et promotion en réseau :

    http://opengov.newschallenge.org/.../parliament-citizens....

    opengov.newschallenge.org
    Knight Foundation News Challenge is a global community that will draw on your optimism, inspiration, ideas and opinions to solve problems together for the collective social good.
     
     
     
     
    http://www.democratiedirecte.fr/
    www.democratiedirecte.fr
    Tout le monde en France croit vivre en démocratie. Et pourtant, aucun citoyen ne croit que son bulletin de vote va changer quelque chose. Le pouvoir réel est oligarchique, c’est-à-dire dans les mains d’un petit groupe d’hommes. Le parlement n’a plus guère de pouvoir : l’élu de la majorité doit voter…
     
     
     
     
     
     
     
    http://participedia.net/.../agir-pour-la-d-mocratie-directe
    participedia.net
    The association “Acting for direct democracy” has for aim to reform the Constitution of the French Republic to introduce at local, regional and national level, devices of direct democracy, especially, the referendum and the popular initiative. By this request, the association asks simply for the imp…
     
     
    Il est vrai que ces lobbies peuvent agir en toute tranquilité étant donné la "puissance" intellectuelle" des journalistes avaleurs  et enthousiastes sans jamais se poser de questions (notons qu Canal + est un de leur partenaires) :


    http://www.strategies.fr/download/pdf/guides/2014/AG_AD052233_FT.pdf
     
  • Ceux qui achètent le pétrole de l'Etat Islamique le financent

    Posséder du pétrole ne sert strictement à rien si personne ne l'exploite et si personne ne l'achète.
    Qui exploite le pétrole pour le compte de l'EI ?
    Qui le lui achète ?

     "... 

    des raffineries américaines et israéliennes étaient alimentées en pétrole « kurde » à l’origine douteuse…"

     

     

     "... petite phrase de Chistophe de Margerie, le PDG de Total en marge des rencontres économiques d’Aix en Provence début juillet (« …il n’y a pas de raison de payer le pétrole uniquement en dollars… ») a fait sensiblement monter la cote de l’Hexagone comme l’un des possibles acquéreurs du pétrole volé par l’émir à la Rolex ..."

     

     

     

    Après pétrole contre nourriture, l'Irak sera-t-il le théâtre d'une nouvelle saga pétrole contre barbus?
    BAKCHICH.INFO

     

  • Naissance et décès

    L'ancien ministre UMP de la Défense, de l'Intérieur, des Affaires Etrangères, ancien Garde des Sceaux, Michelle Alliot Marie venu rendre un dernier hommage au père du député Marion Maréchal Le Pen.

    Ce vendredi, de nombreuses personnalités sont venues assister aux obsèques du journaliste...
    MARIONLEPEN.ORG|PAR MARION LE PEN .ORG

     

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • A connaître; René Guénon

    Je l'ai personnellement connu par la bibliothèque héritée de ma grand-mère paternelle (aux côtés de Gustave Thibon, Simone Weil, Charles Maurras ...) mais sans doute l’empreinte se transmet-elle dans la façon de penser et d'être, l'opposition entre l'attachement à la connaissance et le détachement face au matériel, la distinction entre ce qui a du sens et ce qui n'en a aucun.

     

    http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4911580

     

     
     
     
    David Bisson, Docteur en sciences politiques et historien des idées est spécialiste de l'histoire des...
    FRANCECULTURE.FR
  • Elections au Comité Central du Front National, beaucoup de bruit pour rien

    Etre élu au Comité Central du Front National ne sert à rien sauf que si t'es pas élu, pour les Le Pen, tu existes encore moins que si tu n'y étais pas.

    En gros, tout ce que tu fais en tant que militant, il faut faire de la sur-communication autour afin de le faire connaître, voire favoriser la com' plus que l'acte militant lui-même.

    Si tu milites en conscience sans relais, ça ne sert à rien, sauf à ta conscience bien sûr, mais sache que ta conscience ne vaut rien.

     

     

     

     

     

     

     

    D'autre part, i

    l existe une sorte de secte au sein du Front qui est organisée pour rafler les premières places, elle vote en meute et élimine ou relègue en fond de cour, de fait, les plus méritants qui ne doivent ce qu'ils sont à personne.

    Cette secte est celle qui considère le Front comme sien et à son service.

    Il s'agit des faux cathos vrais libéraux, ultra minoritaires mais très influents et organisés.

    Ce Congrès va d'ailleurs ressembler à ceux des pires époques, avant que Marine n'organise une contre-attaque car cette fois, elle ne prend pas partie en donnant une liste, sachant que même quand elle en donnait une, les adhérents en général ne voyaient pas l'intérêt de jouer serré en ne donnant aucune voix au camp adverse qui lui, est très stalinien (si j'ose dire :)  ).

    L'idéal serait que les Secrétaires départementaux cherchent et révèlent les talents, mais ils ont souvent la trouille qu'ils leur prennent leur place, quand ils ne s’efforcent pas de les évincer carrément.
    Il devrait y avoir une reconnaissance des préfets du Front qui recrutent le plus de perles humaines (honnêteté, compétence, bonne volonté), en vérifiant évidemment que celles-ci soient détachées de tout lobby, à l'opposé de ce qui se pratique sévèrement à présent.

    Reste que cela assure une bonne couverture médiatique, cela donne de la présence, ça soude les troupes, crée de l'animation, assure une compétition interne biaisée mais attendue, et donne quelques indications sur les tactiques et courants sous-marins pour qui sait les lire.

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  • Marion Maréchal Le Pen, le perroquet des lobbies de droite dure

    Les libertariens se servent de Marion Maréchal Le Pen pour tenter d'abattre le peu de protections étatiques et sociales qui existent.
    Rappelons que pour eux, le problème de l'UE, est que c'est une sorte d'Etat, quand il voudrait une Europe libérale pure et dure.

    Au niveau du Parlement Européen, Marine Le Pen s'est entourée elle-même des pires lobbies libéraux que l'on puisse trouver en place publique (si j'ose dire ...) :

     

    La députée frontiste affirme que le rapport de la Cour des comptes met en cause une directive européenne de 2014 sur les travailleurs détachés. Elle a lu trop vite.
    LIBERATION.FR