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culture - Page 37

  • Machiavel, ce maître incompris

     

    Machiavel fut un grand patriote, républicain et grand admirateur de Tite-Live.

    Dans son Prince, il rend hommage aux Borjas qui outre le fait d'avoir été de grands mécènes des arts et des lettres, furent de fins militaires et hommes d'Etat dont le talent ne fut jamais mis qu'au service du peuple contre les puissants.

    L'activité de patronage des Borjas fut très importante et s'élève à des artistes de renom tels que Michel-Ange, Titien et Bosch.

    C'est grâce à cette protection que l'on doit leurs œuvres les plus connues.

    Le mécénat le plus important des Borjas fut celui du peintre, inventeur et scientifique Leonard de Vinci, qui a conçu de nombreuses machines de guerre pour l'armée du pape.

    Le Traité politique de Machiavel inspiré de la politique de César Borja, est victime d’une mauvaise réputation injustifiée.

    Dans les recettes politiques qu’il préconise pour son tyran (au sens du bon tyran), il s’agit de s’en prendre aux puissants pour protéger son peuple.

    Le Prince traite de souveraineté, comment on l’acquiert, comment on la perd, comment on la garde.

    Machiavel n’est pas un idéologue, il se base sur la réalité.

    Il traite de l’armée, après avoir critiqué les troupes mercenaires : « Ils n’ont rien d’autre amour … qu’un peu de gages, ce qui n’est pas suffisant à faire qu’ils veuillent mourir pour toi. ». Cela ne vous dit-il rien ?

    Il montre la nécessité pour les Etats d’avoir des « armées nationales ».

    Pour Machiavel, le Politique est bien au-dessus de l’économique et du financier. Voici ses préceptes concernant le portrait du Prince :

    « Mieux vaut être tenu pour parcimonieux et ne pas gaspiller les richesses de l’état que de passer pour généreux et accabler ses sujets d’impôts. »

    « Mieux vaut être cruel quand il le faut qu’inutilement miséricordieux / mieux vaut être craint et respecté qu’aimé et insuffisamment respecté. »

    « Il est nécessaire pour le prince d’être à la fois renard et lion ».

    Le Prince a l'obligation d'être ferme et l'interdiction d'être naif.

    La nécessité est de maintenir l’Etat fort contre les invasions « barbares ».

    Pour Machiavel, l'intérêt du Prince et celui du peuple se confondent, le Prince a tout intérêt à avoir un comportement exemplaire.

    Le Prince de Machiavel demeure une des plus puissantes expressions de l’esprit national.

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  • A Madame ou Mademoiselle, je préférerai toujours être un Homme libre

     

     

    madame,mademoiselle,hommeUne circulaire de Matignon en date du mardi 21 février 2012, prévoit que le terme de "Mademoiselle" doit être remplacé par "Madame" dans les formulaire administratifs.

    C'en est fini des «mademoiselle». Place au règne des «madame». Les «nom de jeune fille» et autre «nom d'épouse» subiront également le même sort: ces trois termes devraient disparaître des formulaires.

    Si les féministes maîtrisaient tant soit peu la langue comme le devrait tout honnête homme, elles comprendraient que Madame, c’est ma dame, que l’adjectif possessif impliquait autrefois un rapport féodal d’appartenance, et que dame vient du latin domina, signifiant maîtresse de maison, venant lui-même de domus, maison. Imaginez l’horreur …

    Quant à Demoiselle, en ancienne langue, le mot renvoie à une « jeune fille de rang social élevé ». Le substantif masculin qui lui correspond est damoisel. Par opposition à dame, damoiselle désigne un être jeune et non marié. D’autres nuances distinguent damoiselle et pucelle : alors que le mot damoiselle met l’accent sur la haute condition sociale, pucelle insiste sur les traits de jeunesse et de virginité.
    En moyen français, l’idée de haute condition sociale l’emporte sur celle de jeunesse et de célibat. Par extension, ce terme peut alors désigner une « femme de petite noblesse » ou une « femme noble mariée à un bourgeois ».

    Bref une féministe, c’est une bourgeoise qui rêve de devenir femme au foyer. Ah, ces lapsus révélateurs !

    Il est important de dénoncer l'absurdité, très signifiante, de la chose, l'urgence du temps est de revenir au sens, de remettre le langage sur pied.

    Il faut avoir compris Orwell pour comprendre comment et pourquoi on nous enlève des cases.

    La plus importante question du moment est le MES  (Mécanisme Européen de Stabilité) que nos dirigeants nous plantent dans le dos comme le poignard de Brutus -César, c’était normalement en démocratie, nous, le peuple- mais sans doute fallait-il au demeurant que l’on nous enlevât une case avant de pouvoir nous spolier et nous annihiler si facilement.

    Et en matière d'identification, il faut par là voir la prochaine étape, non pas un numéro de sécurité sociale dont on sent déjà combien il est obsolète, mais davantage un numéro de crédit, ou de micro-crédit pour les indigents, marqueur d'ores et déjà nettement plus contrôlé et traçable que le précédent.

    Pour ma part, sortant du cadre administratif, je me contente de champs moins approximatifs, j'estime qu'il y a quatre sortes d'Hommes :

    - les salopards
    - ceux qui savent et qui ni ne disent ni ne font rien, proches des salopards
    - ceux qui ne savent pas
    - ceux qui luttent contre les salopards et qui essaient d'informer ceux qui ne savent pas

    Et d'ajouter, choisis ton camp camarade !

     

    Vous, vous êtes et nous, nous sommes Des hommes pareils Plus ou moins nus sous le soleil Mêmes cœurs entre les mêmes épaules Qu'est-ce qu'on vous apprend à l...
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    • Vous, vous êtes et nous, nous sommes Des hommes pareils Plus ou moins nus sous le soleil Mêmes cœurs...
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  • Les femmes afghanes ne sont pas plus connes que les autres

    Le problème, c'est qu'on a expliqué aux petites filles afghanes par exemple, que pour qu'elles aillent à l'écoles, il fallait d'abord qu'on butte leurs pères, leurs frères, et leurs futurs maris, et qu'on leur pique leur blé au passage, enfin leur pavot.
    Parce que la drogue, c'est mal, sauf si c'est contrôlé par les Américains.

    Les leçons et l'histoire, c'est dans les livres, mais pas que.

     
    A l'occasion de la Journée de la #femme dimanche, l'UNICEF rappelle que l'éducation des filles est un combat et l’un des principaux défis du 21ème siècle.
Nous nous battons chaque jour pour que chaque petite fille et chaque adolescente puissent aller et rester à l’école, puis au collège puis au lycée. C’est pour nous la pierre angulaire du progrès social et économique.
    us nous battons chaque jour pour que chaque petite fille et chaque adolescente puissent aller et rester à l’école, puis au collège puis au lycée. C’est pour nous la pierre angulaire du progrès social et économique.
  • Les auteurs de l'Idiot International de Jean-Edern Hallier, un nid de libertariens

    Leur monde est quand même très très petit, on retrouve toujours les mêmes.

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  • Le Capital selon les Enfoirés et Françoise Hardy

    Qu'est-ce qu'être riche ?
    A les entendre c'est avoir pris son destin en main, s'être bougé le cul.

    Et être riche de quoi ?
    .
    Moi, je suis juste honnête, chef de famille nombreuse -toute ma richesse-, je travaillais plus qu'honnêtement avant qu'un de mes enfants ne soit diagnostiqué handicapé.


    On est pauvres.


    Je suis Bac scientifique plus six, je n'ai jamais démérité.

    Je n'ai rien contre ceux qui gagnent plus que moi, mon père, ma sœur sont médecins, ils gagnent bien leur vie, c'est normal.

    Ils payent plus d'impôts que moi et vivent infiniment mieux, ça ne les lèse pas au quotidien, ils partent en vacance en famille très souvent, je n'en ai jamais pris, ils sont propriétaires, je vis en HLM.

    Mais je m'en fous.

    Ce qui est insupportable, c'est cette mentalité de certains riches de se croire supérieur.

    Il m'est arrivé de travailler pour des gens très aisés que je trouvais d'une misère intellectuelle et culturelle infinies.

    Quoi, Françoise Hardy vit dans son appart du XVIème, elle a une résidence en Corse, les moyens d'avoir eu des fêtes orgiaques et des amis à l'avenant.

    Que veut-elle de plus ?

    Dans la fin de vie, on finit tous poussière et avant cela, peut-être même comme elle, malade, et encore paraît-il que nous ne sommes pas tous égaux devant la mort et la maladie.


    Un chômeur ou un ouvrier ont plus de chance de payer moins d'impôts aussi parce qu'ils partent plus tôt, le poids de la vie peut aussi être inversement proportionnel à ses revenus, sa part de gâteau dans la vie moins conséquente encore que son assiette fiscale.

    Alors Françoise Hardy n'a plus trop d'amis, mais c'est sans doute pour d'autres raisons, l'amitié chez ces gens-là sont comme les amitiés de Bettencourt, ils sont de passage avec une valise et ne repartent et reviennent que si elle est pleine.

    Françoise, je vous file un bon plan, en toute amitié, concourez à un Prix ou une Bourse de Contribuables Associés, vous êtes déjà, c'est assuré, leur nouvelle muse, vous pourrez vous payer deux fois plus de domestiques lors de votre prochaine année fiscale sur terre.

    Et vous m'énervez, j'adorais votre Amitié, votre Amie la Rose, votre Message Personnel, je vous en veux de nous laisser avant de partir, non plus l'immortalité, mais ce goût amer qu'ont les laides choses, pour l'éternité.

     

     

    Les archives de la Radio Télévision Suisse (RTS): Invitée sur le Plateau de la TSR, dans l'émission Carrefour en 1965, la chanteuse yéyé Françoise Hardy inte...
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  • Françoise Hardy est morte


    Elle ne le sait peut-être pas encore, mais la chanteuse admirable de l'Amitié n'est plus.

    Elle n'est plus aux yeux des autres que l'ombre d'une privilégiée mal léchée.

    "Si on a une résidence secondaire, on est obligé de payer un jardinier", les riches payent trop d'impôts.

    Y'a toujours plus con qu'un vieux con de bourgeois, c'est sa vielle conne de bourgeoise.

    Aigrie, malade, mal baisée, sa vie à ne rien foutre lui est insupportable, elle s'emmerde, n'a aucunement le souci des autres, seulement le sien, à se regarder le nombril, alors elle s'en prend à ceux qui veulent le malheur des riches et le bien des pauvres, du moins le pense-t-elle.

     


    On ne va pas lui demander non plus d'avoir une analyse fine sur le monde de la finance et la gauche française.

  • Services publics, libre débat

     

    Il y a un grand danger pour les responsables politiques à s’avancer sur le terrain économique...
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      Oriane Borja Votre postulat de départ est erroné.

      Notre société est bâtie sur le principe fondamental d'unité.

      Nous avons décidé, volontairement, d'être en lien, liés et interdépendants.

      Cela date de nos rois, de Clovis le premier, qui, face aux guerres tribales fratricides, décidait en accord avec les peuples sans doute fatigués d'une vie de sauvage, de se choisir un destin commun.

      Les droits régaliens sont bientôt posés, il s'agit des attributs de souveraineté de l'Etat, qui nous restèrent intacts jusqu'aux premières attaques libérales dans les années 1970.

      L'Etat qui est garant de notre unité et de notre souveraineté depuis toujours, avec la verticalité et ce centralisme propre à la France, cette structure étatique et donc, ces institutions dans le cadre national -de notre Etat-nation- qui nous gouvernent tous.

      C'est un choix de société qui a fait ses preuves par le temps, son modèle est donc, si l'on peux dire, scientifiquement prouvé puisqu'il a donné des résultats positifs, notre civilisation, incontestablement rayonnante, en est le fruit.

      Nous savons qu'en échange de notre travail, l'Etat nous donne protection au sens large :
      indépendance monétaire (jusque dans les années 1970), souveraineté législative (là encore, avant que l'on nous en spolie),justice, police,défense, prospérité,
      l'Etat est ou était notre plus fidèle chevalier servant, nous sommes ses sujets de droit, ainsi est la France.

      C'est le temps, l'empirisme organisateur qui fait rectifier les défauts en corrigeant sa jurisprudence et ses lois afin de garder toujours notre esprit fondateur, qui nous a fait parfaire sans cesse notre système et notre civilisation.
      jusqu'à ce qu'elle devienne un bijou.

      Le modèle anglo américain des pères fondateurs des USA, nous n'en sommes pas, nous n'en voulons pas.
      Ils sont tout notre opposé.

      Votre paradigme n'est pas le nôtre, non seulement il nous fait horreur mais encore nous détruirait-il tout simplement en tant que ce que nous sommes, Français, il s'agit de notre essence, de notre âme.

      Les services publics que vous honnissez, c'est l'intérêt général contre les petits intérêts particuliers, ce contre quoi Clovis a érigé son royaume déjà.
      La Grèce puis Rome nous y invitaient déjà, ce sont nos racines, les civilisations antiques qui nous ont tant apporté, avaient déjà l'idée d'adoucir nos moeurs et d'organiser notre société pour faire justement, société.

      Faire communauté nationale nous a permis un haut niveau social et d'acquis sociaux.
      Notre école, notre santé, notre justice, notre administration en général, sont nos trésors que nous devons de préserver comme notre patrimoine le plus précieux.

      Les dérèglements viennent de notre dépeçage à la découpe via les attaques de votre idéologie libérale.

      L'économique au-dessus du politique, c'est votre état à vous,

      Dans notre civilisation évoluée, c'est le politique qui doit dominer.
      Les affaires de la Cité au-dessus des affaires commerciales, il en va de notre intérêt à tous.
      Rien ne doit être au-dessus de l'Etat, car l'Etat, en France, c'est l'Etat-Nation, c'est nous, natio, c'est tant le cadre que le peuple.

      Nos institutions ne sont pas notre ruine, elles sont nos dernières protections.

      Aucun homme, aucune richesse ne vaudra l'apport de ce que des millions d'hommes ont apporté avant eux au sein d'une cohésion et cohérence nationale.

      Vos écoles, santé, justice, monnaies privées, sont des leurres et le retour à la barbarie, la loi de tous contre tous, selon la loi du marché où le fort impose tout aux plus faibles.

      Table rase, bond en avant pour trois pas en arrière, vous nous rappez paradoxalement certaines histoires vécues, mais sans doute, et comme tout paradoxe qui se respecte, ça n'en est pas un.
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      Jean-Louis Caccomo Vous ne savez pas lire : ouvrez donc les yeux, je ne critique pas les services publics (dont je fais partie) mais leur dysfonctionnement qui perturbe toute notre économie. Quand à l'intérêt général, il reste à définir.
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      Oriane Borja Vous critiquez leur gratuité, c'est bien cela.
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      Jean-Louis Caccomo Mais madame rien n'est gratuit, je critique le mensonge qui nous empêche les meilleurs choix.
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      Oriane Borja Quant au RMI/RSA/CMU, ce sont des palliatifs libéraux venus colmater le reste du système.
      D'autres appellent de leurs vœux le prétendu "capitalisme morale".
      Deux façons de panser des horreurs quand l'Etat ne contrôle plus rien ou plus assez.
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      Nathalie Réglisse non, les "services" dits publics ne sont pas gratuits. Vous payez ou d'autres payent des impôts, des cotisations etc....
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      Jean-Louis Caccomo Mais c'est l'Etat qui a mis la France dans cet état depuis 40 d'imcompétence politique et de corruption, la France est loin d'être un modèle de libéralisme.
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      Oriane Borja Les services publics sont notre trésor à tous.
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      Jean-Louis Caccomo Alors vous en êtes esclave et vous le voyez même plus...
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      Oriane Borja L'Etat a des attributs inchangés depuis mille cinq cent ans, c'est son démantèlement depuis quarante ans qui nous mène à la ruine actuelle.
      Ne confondez pas Etat et gouvernement.
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      Nathalie Réglisse vous payez votre billet de train, n'est-ce pas ? Pas au juste prix, je vous le garantis, sinon il aurait fallu en augmenter fortment le prix. Et pourtant , cette entreprise a une mission de service public. Cette entreprise n'est pas votre trésor national, sauf peut être du point de vue social et historique, voire culturel.
      2 h · J’aime · 1
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      Oriane Borja Etre interdépendant n'est pas être esclave, l'amour n'est pas un esclavage, ou alors c'est autre chose.
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      Jean-Louis Caccomo Mais le gouvernement à la responsabilité de gérer l'Etat : et il nous laisse un Etat en faillite madame
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      Jean-Louis Caccomo Aimer son tyran : c'est le syndrôme de Stockholm.
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      Oriane Borja La gratuité des transports ne me dérangerait pas, les transports en tous les cas, doivent redevenir un domaine national.
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      Oriane Borja L'Etan c'est nous, aimons-nous nous-mêmes.
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      Jean-Louis Caccomo avec des grèves, des trains en panne... des tarifs d'avion inacessibles.
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      Nathalie Réglisse D'acord avec vous Oriane, mais acceptez d'en mettre le prix dans ce cas. Ce ne sera pas gratuit.
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      Nathalie Réglisse Hoo, vous Jean-Louis, je ne relèverai pas la pique. Vous parlez sans connaître !
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      Jean-Louis Caccomo En théorie, vous avez raison, l'Etat c nous, mais dans une démocratie défaillante, l'Etat est aux mains d'une caste.
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      Jean-Louis Caccomo Je voyage Nathalie...
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      Nathalie Réglisse Prenez votre voiture tiens, les péages privés sur autoroute avec ses bouchons, c'est mieux et l'essence est gratis.
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      Marc Amblard Excellent texte. Frappé au coin du bon sens. On se saurait mieux dire. Bravo.
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      Jean-Louis Caccomo Mais justement, je dis que rien n'est gratuit !
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      Oriane Borja Quand nous aurons récupéré notre souveraineté monétaire, nous arrêterons de payer en intérêts seulement, le montant de notre dette.
      Notre argent retrouvé, et notre souveraineté en général -et notamment le fait pour l'Eta d'assurer notre prospérité-, tout redeviendra normal.
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      Jean-Louis Caccomo Nous avons perdu notre souveraineté parce que nous ne savons pas gérer notre budget. rien à voir avec la monnaie.
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      Laurence Lemaire Deroi Moi non plus je n'ai rien signé
      Photo de Laurence Lemaire Deroi.
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      Oriane Borja Personne ne doit être au-dessus de l'Etat, c'est votre économisme qui a tendu ces pièges.
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      Nathalie Réglisse Mais non, parce que des idéologues nous ont piégés malgré nous dans le foutoir de l'Europe des banques !
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      Jean-Louis Caccomo L'économie ne m'appartient pas et lisez bien, je parle philosophie, politique, morale et droit. Comme d'habitude, vous diabolisez sans vous donner la peine de lire.
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      Oriane Borja je parle aussi de toutes ces choses.
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      Jean-Louis Caccomo Et Un pouvoir sans contre-pouvoir, ça vous fait pas peur vous ?
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      Nathalie Réglisse on peut avoir un avis sans diaboliser
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      Oriane Borja Quand le pouvoir et le contre-pouvoir sont le peuple, ça ne me fait pas peur.
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      Nathalie Réglisse Justement si, c'est pourquoi les partenaires sociaux mériteraient de se développer un peu plus
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      Jean-Louis Caccomo Moi si ! Le peuple a mis Hitler au pouvoir !
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      Oriane Borja Les sociétés américaines ou russes ou chinoises, me font bien plus peur.
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      Jean-Louis Caccomo pourtant elles prospèrent !
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      Jean-Louis Caccomo rester donc dans le Titanic...
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      Nathalie Réglisse hééééé, la réductio ad hitlérium stérilise la conversation... que dire de plus ?
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      Oriane Borja L’Allemagne n'est pas la France, l'Etat n'a absolument pas les mêmes fondements de part et d'autre du Rhin.
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      Jean-Louis Caccomo Mais c'est la vérité, le plus grand nombre peut produire le pire.
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      Nathalie Réglisse c'est pas précisément Hitler le grand danger de notre époque
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      Oriane Borja Comme le meilleur.
      j'ai foi dans les contre-pouvoirs qu'a ciselé notre etat par son histoire longue.
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      Jean-Louis Caccomo Quand la France s'effondrera, vous verrez...
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      Oriane Borja Hilter a été le sauveur de la société capitaliste au lendemain du jeudi noir.
      Ford et General Motors ne savaient plus à qui vendre leurs moteurs.
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      Oriane Borja La France ne s'effondre que de n'être plus la France, la France sans son Etat, n'est simplement plus la France.
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      Jean-Louis Caccomo National-Socialisme : c le culte de l'Etat au-dessus de tout madame. Les entreprises n'avaient pas le choix et les juifs étaient poursuivis parce qu'ils étaient dans la finance internationale.
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      Jean-Louis Caccomo Je réclame l'instauration de l'Etat de droit dans l'esprit des Lumières qui a fait rayonné et grandir la France, pas l'Etat-Nounou.
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      Oriane Borja Les sociétés russes, américaines et chinoises ne prospèren tpas, elles créent des clivages exorbitants entre une caste de riches et une caste de pauvres.
      Elles ne sont pas un modèle.
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      Jean-Louis Caccomo qui fait de nous des moutons et des assistés.
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      Jean-Louis Caccomo Une caste ???? vous ne connaissez donc pas la mobilité existante dans ces pays et impossible chez nous.
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      Oriane Borja La France n'a pas attendu les Lumières, un peu trop éclairées par le modèle anglo saxon.
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      Jean-Louis Caccomo Bon j'abdique, vous êtes trop formatée... dommage mais comment faire entendre la musique à un sourd ?
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      Oriane Borja Le self made man américain reste un imbécile, aucune culture générale qui est celle de l'apport de tous nos pères avant nous, il n'a aucune conscience.
      Il ne réussit qu'en écrasant les autres.
      Cette mobilité vers le néant, je n'en veux pas.
      1 h · J’aime · 1
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      Jean-Louis Caccomo Vous ne l'aurez pas....
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      Oriane Borja De nous deux, l'idéologues, c'est vous.
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      Nathalie Réglisse Qu'entendez vous par "mobilité" ? Du point de vue humain, c'est inadmissible ces déportations de populations qui sont obligés de partir et quitter leur milieu naturel pour servir l'intérêt d'usiniers pour simplement manger.
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      Jean-Louis Caccomo Bien-sûr ! sauf que je suis un chercheur mais quand on veut tuer le chien on l'accuse de la rage.
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      Oriane Borja Votre formatage n'a d'ailleurs eu aucune prise sur moi parce que j'étais faite d'un autre bois, celui de la France.
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      Philippe Laurent Ah, Jean Louis, vous avez touché le gros lot ! Une célébrité de Facebook !
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      Oriane Borja Vous me flattez ...
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      Philippe Laurent Il ne manque plus que Sylvain Durif et on a toute la collection !
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      Jean-Louis Caccomo J'admire vos certitudes et pensées toute faites mais aucune chance d'apprendre donc de survivre.
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      Oriane Borja Toute ma vie de réflexion, toutes les idées, les plus tordues, visitées dans tous les sens, il ne s'agit pas d'idées toute faites.
      Mes combats et expériences politiques sont longs et approfondis.
      Ne soyez pas dans l'anathème, je me base sur des arguments que je crois solides et en tous les cas, éprouvés.
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      Jean-Louis Caccomo Ok je respecte !
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      Jean-Louis Caccomo Mais j'ai aussi vie d'écrits d'articles, de livres et de recherche, je ne m'avance pas comme ça (et de terrain).
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      Oriane Borja Le libéralisme est le fruit d'une idéologie, la France, celui d'une volonté de paix, c'est bien différent.
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      Jean-Louis Caccomo Svp lisez mieux vous aussi avant à votre tour de tomber dans l'anathème et acceptez que l'économie a des fondements scientifiques qui dénoncent et s'opposent justement à l'idéologie.
      1 h · J’aime · 2
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      Oriane Borja Oikos Nomos, l'économie est par définition, circonscrite aux règles de la maison.
      L'économie hors-sol, ça n'existe pas.
      Je crois aux règles de l'économie encadrée par l'Etat, par la volonté supérieure des hommes sur les choses.
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      Jean-Louis Caccomo vous donnez la définition de l'antiquité madame, depuis il y a eu 4000 ans accumulées de théorie
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      Jean-Louis Caccomo vous vous faites soigner avec la médecine médiévale ?
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      Oriane Borja Avec l'esprit d’Hippocrate en tous les cas, celui de la raison.
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      Oriane Borja Les choses ont un sens vous savez, l'essence ne change pas avec le temps.
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      Jean-Louis Caccomo Sciences économiques : théorie des choix rationnels
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      Jean-Louis Caccomo vous me prenez pour un collégien ?
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      Oriane Borja L'économie hors-sol n'a fait ses preuves nulle part, ce n'est donc pas une science.
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      Jean-Louis Caccomo Or l'Etat échappe à toute rationalité car il est géré par des irresponsables, et vous leur faites confiance donc vous êtes aussi irresponsable. Bonjour la Raison.
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      Jean-Louis Caccomo allez-dire cela à tous les prix Nobel d'économie...
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      Oriane Borja La responsabilité est celle de tous.
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      Jean-Louis Caccomo la responsabilité collective est un concept qui n'a pas de réalité, seul les individus rationnels (donc libres et non enchaîné ou dupés) sont en mesure de faire des choix responsables.
      1 h · J’aime · 2
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      Oriane Borja Les Prix Nobel récompensent certes des recherches effectives, mais aussi ont une raison politique.
      Je m'intéresse aux recherches des Prix Nobel, mais je sais aussi lire pourquoi ils ont été récompensés.
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      Jean-Louis Caccomo Ah on y arrive : le complot !
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      Oriane Borja La responsabilité collective se base sur l'intelligence collective, celle qui fait que l'on accepte ou pas certaines choses.
      Sur le temps longs, elle a prouvé son existence.
      Autrmeent, l'humanité ne serait déjà plus.
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      Oriane Borja Il ne s'agit pas de complot, il s'agit de politique.
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      Oriane Borja Les instances internationales sont des organisations politiques.
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      Jean-Louis Caccomo Je vous l'accorde volontiers
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      Oriane Borja Et il en vas de même de certaines de nos institutions, la légion d'honneur par exemple, est passée d'une récompense nationale à une récompense politique.
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      Bruno du Maquis Je ne sais pas si je dois vous admirer ou vous plaindre, cher Jean-Louis, de perdre votre temps à donner la réplique à ce troll servile, dont le propos peut se résumer en ces mots : hors des fermes d'élevage, la vie des animaux est impossible...

      Mais bon, c'est votre mur et votre temps.

       

      Sinon, excellent billet au fait. 
      Merci.
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      Jean-Louis Caccomo  oui je ne suis pas rationnel...
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      Oriane Borja J'aime bien Jack London, mais la vie sauvage, c'est bien pour les animaux sauvages, l'homme est un animal social.

      Cependant, j'ai aussi lu et adoré Animal Farm, je sais que la société est bien plus difficile à organiser que la nature qui a ses propres règles aussi belles que terrifiantes puisqu'elles sont aussi celles de la chaîne alimentaire où l'on doit sans cesse se défendre de ses prédateurs tout autant que l'on passe son temps à chercher ses propres proies.

      L'homme préfère se choisir d'autres perspectives, c'est sans doute l'humanité qui veut ça.

      Très chère humanité.
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      Jean-Louis Caccomo Mais les économistes dans leur grande majorité ont le souci premier du bonheur et de la prospérité pour le plus grand nombre de l'humanité et sont bien malheureux de voir la civilisation se suicider au nom des grands idéaux (intérêt général...).
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      Jean-Louis Caccomo Tous les grands dictateurs parlent toujours au nom du bonheur de l'humanité, c bien là le drâme et le piège tendu au peuple.
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      Bruno du Maquis Moi j'ai vécu 13 ans à l'ombre du mur de Berlin. 
      Je n'ai pas lu à propos du collectivisme et de l'étatisme, je les ai vus à l'œuvre, sous mes yeux. 


      Alors votre logorrhée servile, votre mentalité de larbin qui se pâme de ses chaîne, je méprise. 
      Je vomis même. 

      Bon vent.
      1 h · J’aime · 1
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      Oriane Borja Alors que l'ordre libéral naturel pourrait tout aussi bien faire le job, je sens que l'élevage ne batterie vous attire, attention au côté obscur.
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      Oriane Borja Je parle de France, vous me parler d'URSS, la Stasi a fait pas mal de dégâts sur vous, je comprends ...
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      Jean-Louis Caccomo En France précisément, ça se passe en France.
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      Bruno du Maquis Pauvre conne. 
      Je ne nourris pas les trolls. 
      Allez au diable.
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      Oriane Borja Où SOS Education vient chialer son chèque éducation des poches du contribuables.
      L'humain, c'est aussi celui de Maupassant,.
      Humain trop humain.
  • Le libertarien, l'ennemi héréditaire

    Votre postulat de départ est erroné.

    Notre société est bâtie sur le principe fondamental d'unité.
    Nous avons décidé, volontairement, d'être en lien, liés et interdépendants.

    Cela date de nos rois, de Clovis le premier, qui, face aux guerres tribales fratricides, décidait en accord avec les peuples sans doute fatigués d'une vie de sauvage, de se choisir un destin commun.

    Les droits régaliens sont bientôt posés, il s'agit des attributs de souveraineté de l'Etat, qui nous restèrent intacts jusqu'aux premières attaques libérales dans les années 1970.

    L'Etat qui est garant de notre unité et de notre souveraineté depuis toujours, avec la verticalité et ce centralisme propre à la France, cette structure étatique et donc, ces institutions dans le cadre national -de notre Etat-nation- qui nous gouvernent tous.

    C'est un choix de société qui a fait ses preuves par le temps, son modèle est donc, si l'on peux dire, scientifiquement prouvé puisqu'il a donné des résultats positifs, notre civilisation, incontestablement rayonnante, en est le fruit.

    Nous savons qu'en échange de notre travail, l'Etat nous donne protection au sens large :
    indépendance monétaire (jusque dans les années 1970), souveraineté législative (là encore, avant que l'on nous en spolie),justice, police,défense, prospérité,
    l'Etat est ou était notre plus fidèle chevalier servant, nous sommes ses sujets de droit, ainsi est la France.

    C'est le temps, l'empirisme organisateur qui fait rectifier les défauts en corrigeant sa jurisprudence et ses lois afin de garder toujours notre esprit fondateur, qui nous a fait parfaire sans cesse notre système et notre civilisation.
    jusqu'à ce qu'elle devienne un bijou.

    Le modèle anglo américain des pères fondateurs des USA, nous n'en sommes pas, nous n'en voulons pas.
    Ils sont tout notre opposé.

    Votre paradigme n'est pas le nôtre, non seulement il nous fait horreur mais encore nous détruirait-il tout simplement en tant que ce que nous sommes, Français, il s'agit de notre essence, de notre âme.

    Les services publics que vous honnissez, c'est l'intérêt général contre les petits intérêts particuliers, ce contre quoi Clovis a érigé son royaume déjà.
    La Grèce puis Rome nous y invitaient déjà, ce sont nos racines, les civilisations antiques qui nous ont tant apporté, avaient déjà l'idée d'adoucir nos moeurs et d'organiser notre société pour faire justement, société.

    Faire communauté nationale nous a permis un haut niveau social et d'acquis sociaux.
    Notre école, notre santé, notre justice, notre administration en général, sont nos trésors que nous devons de préserver comme notre patrimoine le plus précieux.

    Les dérèglements viennent de notre dépeçage à la découpe via les attaques de votre idéologie libérale.

    L'économique au-dessus du politique, c'est votre état à vous,

    Dans notre civilisation évoluée, c'est le politique qui doit dominer.
    Les affaires de la Cité au-dessus des affaires commerciales, il en va de notre intérêt à tous.
    Rien ne doit être au-dessus de l'Etat, car l'Etat, en France, c'est l'Etat-Nation, c'est nous, natio, c'est tant le cadre que le peuple.

    Nos institutions ne sont pas notre ruine, elles sont nos dernières protections.

    Aucun homme, aucune richesse ne vaudra l'apport de ce que des millions d'hommes ont apporté avant eux au sein d'une cohésion et cohérence nationale.

    Vos écoles, santé, justice, monnaies privées, sont des leurres et le retour à la barbarie, la loi de tous contre tous, selon la loi du marché où le fort impose tout aux plus faibles.

    Table rase, bond en avant pour trois pas en arrière, vous nous rappez paradoxalement certaines histoires vécues, mais sans doute, et comme tout paradoxe qui se respecte, ça n'en est pas un.

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  • Les liaisons dangereuses de monsieur Collard ou comment il pourrait profiter de l'aveuglement et la crédulité de Marine Le Pen pour mettre en danger notre modèle social français

     

    Le Député Rassemblement Bleu Marine a présenté le 3 mars dernier une proposition de loi tendant à limiter certaines pratiques du Régime Social des Indépendants à l’encontre des travailleurs indépendants.

    On l'a vu venir gros comme une maison.

     

    Certes, le régime de sécurité sociale des indépendants connaît quelques ratés.

     

    Mais il faut bien prendre garde, car les méthodes récurrentes des réseaux amis de Gilbert Collard profitent systématiquement des failles de l'Etat pour l'attaquer, et dans le but de le détruire.

    Utilisant la technique du voleur chinois souvent expliquée par JMLP soi-même.

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  • La proposition de Rama Yade sur le travail des vieux déjà entérinée

    On a beaucoup parlé de la proposition de Rama Yade d'obliger les personnes âgées à travailler.


    Mais la politicienne ne s'est pas engagée sur ce terrain par hasard, elle sait que tout est déjà dans les tuyaux de l'OCDE depuis longtemps, et que les politiques ne sont là que pour "ajuster" l'offre à la demande du patronat.

    On peut même retrouver dans les textes de l'OCDE, l'idée qui avait semblé farfelue, de la jeunesse socialiste qui parlait d'obliger chacun à prendre une année sabbatique (réf. ci-dessous).

     

    Le Lifelong Learning est une politique mondiale qui est en germe depuis les années 70, et Jacques Delors en a été le grand organisateur avec ce qu'on a appelé le Processus de Lisbonne.

    Tout est déjà écrit et se met lentement en place au niveau mondial et chez nous via l'Union Européenne et ses indispensables relais territoriaux régionaux, cellules de base de la mise en oeuvre du système de Lifelong Learnig, comme j'en faisais déjà état lors de ma candidature aux élections régionales de 2010.

    A l'époque, nombreux furent ce qui, ignorant tout de ces sujets, se moquèrent de mes alertes sur la supériorité des politiques mondiales sur les politiques éducatives nationales, le fait que ces politiques soient téléguidées par l'adéquation des apprentissages à la demande du marché
    et non plus orientées vers la formation à la culture générale, à l'analyse, à l'esprit critique, base même de toute formation à mon sens.

    Ci-dessous, les différentes mesures qui devront être mises en place pour accueillir le travail des seniors dans une perspective de travail tout au long de la vie, jusqu'à la mort, effective ou cérébrale, puisque, si Rama Yade parlait d'utiliser la force de travail des personnes âgées jusqu'à impossibilité, on ne sait pas exactement sur quelle résistance corporelle est placé le curseur, après tout, une personne âgée invalide peut sans doute encore faire de la télévente et utiliser son "besoin" de contact intergénérationnel, pour refourguer un produit non indispensable à un de ses semblables pour le compte d'une société qui a besoin de sa productivité pour engraisser ses profits, étant entendu que le manque de vivacité sera "compensé", non pas par un faible salaire correspondant aux faibles capacités de la main d'oeuvre parkinsonienne, mais par une indemnité symbolique, voire une reconnaissance symbolique, après tout, on lui prouve par là-même qu'on ne l'abandonne pas à son triste sort de "vieille bibliothèque brûlée" comme dirait Rama Yade :

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