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culture - Page 38

  • ABCD du foutage de gueule ou b a ba des méthodes libertariennes

    Alors que Farida Belghoul vient d'être mise en examen pour avoir colporté des mensonges au sujet d'enseignants qui auraient obligé des enfants de maternelles à se toucher les parties génitales (oui, on est toujours dans la vulgaire grossière outrance très axée sur le sexe dans ce genre de lobbies fanatiques, d'autant qu'ils recrutent dans les fanges religieuses), examinons les réseaux auxquels elle appartient de plus près.

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  • Le président, cet être-chose irRESponsable

    Les présidents de groupes ou de partis politiques ont cette même façon de communiquer -c'est-à-dire de se foutre de votre gueule- très symptomatique.

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  • L'ignorance, le nouveau mal du siècle

    Mais en général, il faut au moins ces placebos plus ceux des laboratoires Boiron qui envahissent de leurs petites pilules magiques en poudre de perlimpinpin très prisées chez les ignorants, tout comme les marabouts des contrées où la magie tient lieu de science, pour guérir ces animaux vraiment malades de la tête.

    Il serait sans doute temps largement, de revenir sur l'Economie de la connaissance pour revenir à la transmission des savoirs, ce qui n'est pas vraiment voire vraiment pas la même chose.

    Une revue médicale s'est penchée sur les médicaments pour lutter contre le rhume. Son constat est sans appel : ils ne servent à rien C'est de saison. Nez qui coule,...
    SUDOUEST.FR

     

  • Avant que le coq chante, la droite vous aura trahis trois fois

    Venant de la droite forte à l'Oeuvre, il faut bien comprendre que la référence est surtout à celle d'un gallinacé que l'on peut plumer et qui sait malgré tout chanter fièrement les pieds dans la merde en regardant vers le ciel.
    Pour la droite ou la gauche, nous serons tous et toujours des sang de bourbe sous le joug des puissances libérales auxquelles ils font allégeance sur notre dos à tous, que nous soyions Français ou pas.

    Ce que demande Geoffroy Didier à ceux qui veulent devenir Français.
    LELAB.EUROPE1.FR
     
  • Liberté d'expression, piège à cons, l'exemple par la bite à Madonna et à Charb

    Donnez-leur la liberté, voilà ce qu'ils en font, de la provoc de cro magnon panpan cucul ...
    Et pendant ce temps les conservateurs foutent à poil les gens qui travaillent, violant la force de travail des enfants dans les pays où Madonna les achète pas chers, et touchant non pas des chattes mais des salaires de misère dans celui où Charb mendie leur soutien.
    On avance ...

    Hier soir le Grand Journal de Canal Plus a débuté comme chaque jour avec la boîte à...
    JEANMARCMORANDINI.COM
     
    • ire...
  • Excellent Joann Sfar au sujet du clip libertarien des enfoirés

     

    Bien vu Joann Sfar !

    SFAR - Les Enfoirés, d'ordinaire pour le moins consensuels, font cette fois du bruit. Leur dernier clip, "Toute la vie" (voir ci-dessus) a en effet suscité la polémique pour avoir caricaturé le fossé entre...
    HUFFINGTONPOST.FR
     
     Dans la société actuelle, ceux qui réussissent ne sont pas forcément des gens méritants et inversement, ce n'est pas parce que tu travailles et que tu fais les choses bien que tu réussis.

    La prime est plutôt au culot, au réseau, à l'escroc.
    Les jeunes ne sont pas responsables de leur éternelle utilisation comme main-d'oeuvre en stages à répétition sous-payés, ils ne sont pas responsables des délocalisations là où l'esclave est moins cher, et donc du chômage, et des salaires précaires et de misère.

    Les Enfoirés sont de plus quelques privilégiés qui n'ont pas eu à affronter la vie, qu'a fait Elsa dans sa vie à part être la fille ou la nièce d'une personne du show biz ?
    Quant aux faire-valoir issus des banlieues, ils ont été justement des recrues idéologiques pour montrer à leurs semblables qu'on pouvait réussir alors qu'ils ne sont que les gagnants du premier rang de la loterie.

    Le professeur de violon de ma fille par exemple, a travaillé toute sa vie, conservatoire, prix, il a mené des études universitaires de musicologie et a certainement plus de talent et de mérite qu'un enfoiré, il gagne péniblement sa vie.
    Mais même pas jaloux pour autant d'ailleurs et sûrement même heureux, mais ça ne rend pas les fins de mois plus faciles.

    Cette chanson rend les gens responsables de paramètres qu'ils ne peuvent pas maîtriser et pose comme postulat que tu es seul coupable de ta misère.
    Et réciproquement que tous les mérites te reviennent si tu réussis bien.

    Nous sommes dans une société où l'écart riche-pauvre prouve que cela ne fonctionne pas correctement et sûrement pas comme ils disent, aucun homme ne vaut cent fois un autre.

     

    Il faut  juste établir les parts de responsabilité là où elles sont.


    La société tend aujourd'hui vers l'utilitarisme, seul le vendeur de tapis a une valeur, le véritable talent n'intéresse personne, cela se résume dans la formule sarkozyste :

    "A quoi sert de lire la Princesse de Clèves".

    J'ai un grand respect pour les artistes, et même pour certains qui sont des Enfoirés, JJGoldman eu premier chef.
    Mais ils deviennent souvent de vieux cons de bourgeois.

    A noter que j'ai la plus grande admiration pour Joann Sfar depuis toute petite.
    Je l'ai vu crayonner ses premiers dessins partout, une facilité et une sensibilité déconcertante.
    C'était et c'est un homme avec un cœur d'enfant ou un enfant dans un corps d'homme, une grande sagesse et maturité, sans doute dues à la perte de sa mère et à l'instruction de son père, les dons d'un enfant à la fois meurtri par la vie tout petit mais plein de vie et de curiosité intellectuelle, avec une sorte d'éternelle quête enfantine.
    Lui ne sera jamais un des vieux cons si bien sentis par Brel et dont le syndrome guette les enfoirés.

    Goldman, sache que : "Not to big to fail" !

  • Quand l'humanisme est un anti humanisme ou l'ordre de l'inversion du langage

    Les libertariens et la liberté de vente d'organes

     

    Avec la responsabilité individuelle pour unique guide, tout est contrat, vous avez le droit de vendre votre corps, qui est votre bien, par contrat.

    Chez les libéraux purs, les libertariens, les ventes d'organes et de ventres porteurs sont totalement possibles, il n'y a aucune morale, seulement accords entre individus.

    La seule loi vaillante est celle qui établit et assure l'ordre (le chaos) libéral.

    http://www.wikiberal.org/wiki/Vente_d%27organes

     
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      Nicolas Bretagne les pauvres sont "libres" de vendre leurs organes, voire leurs enfants, aux riches, on appelle ça "l'humanisme de gauche",
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      Oriane Borja Oui, cet humanisme de gauche est libertarien, et donc d'extrême-droite.
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      Oriane Borja C'est le même mécanisme qui autorise Angelina Joly et autres Madonna ou Johnny Hallyday à aller s'acheter des enfants dans les pays pauvres, toujours au nom de l'humanisme, ils les volent à leur terre et au peu de famille qui leur reste, souvent prête à s'en débarrasser, les pauvres hères de Maupassant sont universels.
  • Le libertarianisme, une idéologie transversale

    Je mets les étiquettes sur les gens en fonction de mes propres critères, certains peuvent se dire de gauche, cela ne m'empêche nullement de voir leur extrême-droitisme.
    De nombreux mélenchonnistes sont libertariens par exemple, je les classe illico à l'extrême-droite.

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  • Education, la recette miracle de Najat Vallaud Belkacem

    Il semblerait que les socialistes se lancent à nouveau dans la course à l'imagination au pouvoir.

     

    Entre l'idée de mettre chaque citoyen en congé sabbatique en guise de service civique sans doute, et celui de mettre en place une télévision pour les enfants pour leur parler d'actualité, cela fuse.

     

    Et de la fusion à la décomposition, il n'y a qu'un pas.

     

     

    Ce que ces idéologues ne comprennent pas, c'est que l'imagination, ce n'est pas cela.

    La créativité, ce n'est pas cela.

     

    On ne bâtit que sur du solide.

     

    Inventer le néant, c'est très moderne, mais si chacun prenait une année de vacance, cela signifierait pour la plupart d'entre nous, se mettre au RSA illico.

    Evidemment Emmanuel Macron pourrait, et laisser son capital travailler à sa place (et donc in fine, les autres, car au bout du bout du bout, il faut bien, pour engraisser beaucoup les uns, le voler à quelques autres voire à tous).

    Enfin, je me demande s'il pourrait, car il leur en faut toujours plus, l'argent, le pouvoir, toujours plus d'argent, toujours plus de pouvoir.

     

    De la fusion à la concentration, il n'y a qu'un pas.

     

    A moins que les socialistes n'inventent la république à deux vitesses, ça n'a pas de sens non plus, mais c'est très tendance libérale.

     

    Un Petit Quotidien JT pour les enfants, écrantilisés, voilà donc la dernière trouvaille de Najat Vallaud Belkacem.

     

    Face à l'horreur du monstre qu'ils ont créé, il leur faut évidemment réagir.

     

    Ciel, nos enfants peuvent être ou devenir des monstres, qu'ont-ils donc fait au Bon Dieu pour mériter cela !

     

    Remarquez, pas bête la guêpe, ils ne savent pas lire, refourguons-leur la télé, ils écouteront peut-être ?

     

    Certes, si nous reprenons les conclusions de la Ligue de l'Enseignement, les nazis étaient des gens instruits, l'instruction n'est donc pas la solution.

     

    Les nazis n'étaient pourtant pas instruits, ils étaient éduqués, et c'est bien cela que nos bonnes âmes n'intègrent pas, et qu'ils réitèrent sans cesse sous de nouvelles formes parce qu'ils ne comprennent pas comment l'on élève (tire vers le haut) un enfant.

     

    A titre personnel, je peux parler car je peux être juger sur mes fruits, j'ai quatre enfants dont je peux montrer les bulletins où chacun de leurs nombreux enseignants et assimilés, ne tarissent pas d'éloges tant sur leurs capacités que sur leur comportement.

     

    J'ai étendu cette sphère aux autres enfants dont j'ai eu à m'occuper avec des résultats équivalents.

     

    Il n'y a pas de mystère, il y a des recettes, ou tout du moins de bons ingrédients et de vieilles marmites.

     

    D'abord celle de comprendre que respecter l'enfant, c'est savoir lui dire "Non", l'aimer, c'est le canaliser.

    Mais sûrement pas en lui faisant la morale.

    La morale, il en aura si vous en avez, si vous êtes un bon modèle, il vous prendra comme tel.

     

    Et si vous n'en avez pas, ou si elle ne dissimile que du vernis, il ne faudra pas venir vous plaindre.

     

    La première des éducations étant d'ailleurs le soin, qui est de l'amour, on peut d'ores et déjà mesurer les carences, car le soin n'est pas le petit soin, prendre soin de son enfant, c'est simplement être là, le regarder grandir, lui montrer sa réprobation ou son émerveillement au quotidien.

    Lâcher du leste dans les premières années cruciales, c'est déjà abandonner, l'abandonner.

     

    S'il n'a pas la force de se raccrocher à une autre bouée, une tierce personne assez admirable pour aimer intelligemment un enfant, ça sera dur.

     

    C'est dans un cadre affectif rassurant que l'enfant pourra commencer à apprendre, ce qu'il a déjà appris dans le confort du soin, est déjà une bonne base.

    De là viennent l'envie, la curiosité, l'ouverture vers l'autre.

     

    Mais voilà, toutes ces étapes ont été loupées, de faire ?

     

    Les socialistes ont une idée.

    Continuez.

    Toujours cette évolution vers le mouvement perpétuel.

    On croit bouger les choses, les changer, on ne fait que conforter l'échec, vers le prochain.

     

    Le cerveau du petit se met en branle dès l'infiniment petit dans le ventre de la mère.

    Les trois premières années sont primordiales, puis jusqu'à ses dix ans environ.

    Les dix années suivantes serviront à avancer sur ces fondements, ou inversement à s'écrouler à des degrés divers.

    Le reste de la vie se servira du système neuronal ainsi construit pour s'assurer en ronronnant.

    Si vous avez habituez votre cerveau à beaucoup de sollicitude, il vous demandera naturellement d'être solliciter.

     

    Ainsi chacun n'avalera pas un programme télé de la même manière selon la façon dont il a été nourri, un cerveau bien nourri sera d'ailleurs plus exigeant.

    Non seulement, il  comprendra mieux ce qu'on lui donne à voir, mais encore sera-t-il capable de discerner le bon grain de l'ivraie.

     

    Et un cerveau d'élève, ça demande un certain savoir-faire, une très grande rigueur, une redoutable progressivité et un effort adapté mais constant.

     

    C'est cette étape que l'école rate souvent.

    J'en avais détaillé la façon dans d'autres papiers.

     

    Alors une télévision pour implanter dans le cerveau du petit un logiciel-programme pré-établi, bon courage.

    Si le disque dur ne peut pas le recevoir, peine perdue.

     

    Mais je suis certaine que les créateurs de vide trouveront toujours une autre voie vers le mur, le bon sens n'est pas forcément la direction qu'ils connaissent.

     

    De la fusion à la soupe foutue, il n'y a qu'un pas.

  • Qu'est-ce qu'un avocat connard ?

    Un avocat qui a des pratiques repoussantes, c'est par exemple en général, celui qui, voyant une affaire sordide, se précipite pour envoyer un tiers solliciter l'entourage de la victime pour lui suggérer de faire appel à lui, les retombées médiatiques faisant une publicité hors normes et servent à faire tourner la boutique.

    La déontologie interdit formellement sous peine de radiation de débaucher ses clients, l'avocat sournois contourne la règle professionnelle en faisant croire à la victime qu'elle a fait appel à ses services de sa propre volonté.

     

    Les compétences professionnelles étant en plus inversement proportionnelles au culot du mancheux.

    Toute aussi délétère est la pratique du sacrifice et du viol des victimes pour les pousser dans les bras de journalistes en échange de relations médiatiques.

    Et, col blanc cerise sur la robe, l'avocat en question ne va cesser de pladolarmoyer en invoquant la grande morale, les grandes valeurs, et la grande saloperie de l'autre camp ...