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  • Il ne faut pas être à moitié à droite

    Pour tenir la corde à l'extrême-droite, il faut adopter le total look, et il faut bien avouer que Nadine Morano a une bonne tête de vainqueur.

     
    Selon le tableau de bord Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, l’eurodéputée Nadine Morano gagne des points à droite et au FN, alors que Nicolas Sarkozy…
    LEJDD.FR|PAR ALIX HARDY

     

     
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  • L'or des Le Pen

    Harpagon se sent seul avec ses lingots, il se sent mourir si sa cassette ne s'alimente plus assez.

     
    Jean-Marie Le Pen réclame 2 millions d'euros de dommages et intérêt au FN.
    LELAB.EUROPE1.FR

     

     
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  • Il faut bouter Marion Maréchal le Pen hors de France

    Quand la Le Peneuneu répète l'idéologie libérale des lobbies libertariens américains.

    Rappelons que depuis tout temps, la France se caractérise par un Etat garant de l'unité nationale et de la prospérité économique, et que pour que la France ne se fasse pas dominer par des intérêts particuliers, elle doit se donner les moyens de les contrôler, son souci est l'intérêt général, elle doit protection à ses citoyens.

     

    C'est le problème du parlement des enfants, et encore est-elle une enfant attardée car n'importe qui ayant à vivre de son travail et/ou ayant une famille à charge, comprend rapidement ce qu'il doit à l'Etat.

     

    Il faudrait que la dépeutée prenne conscience des âneries plus grosse qu'elle en précisant la pensée qu'elle radote.


    Outre l'économie,quid de l'école publique ?


    Quid de la santé publique, de notre sécurité sociale et de notre système de retraite ?


    Qu'en est-il des allocations familiales et des aides sociales venant pallier les bas salaires et l'organisation du chômage ?


    Des transports, de l'énergie en général ?

     

    Nous avons hérité d'une civilisation romaine où l'administration était déjà une clef de voûte, la France, c'est dès le départ l'impôt et l'administration.

     

    Se faire le porte-parole du libéralisme et du grand patronat implique d'assumer ses responsabilités.

     

    L'Etat minimal, il y a d'autres pays pour cela ...

    Que les caniches rentrent à la maison et donc que MMLP Dégage !

     


    La France ne veut pas de grand remplacement américain !

     
    Marion Maréchal-Le Pen, candidate FN aux régionales en décembre en Paca, s'en est pris mardi sur RMC à "l'Etat-nounou qui s'occupe de sujets...
    LEPARISIEN.FR

     

     
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  • Marine Le Pen continuera-t-elle longtemps à cautionner les racialistes qu'elle et les siens fréquentent ?

    Après les propos d'Henry de Lesquen, membre fondateur du Club de l'Horloge avec le conseiller de Marine Le Pen Jean-Yves Le Gallou, qui pue l'extrême-droite par tous les pores de sa "race blanche", couplant son extrême-droitisme folklorique racialiste avec son intégrisme libéral, Marine le Pen va-t-elle encore accepter ses liens avec Radio Courtoisie, Club de l'Horloge et déclinaisons, ou continuera-t-elle son jeu trouble en maintenant un pied dans ce camp extrémiste opposé à la France en tout point, et un autre en ce qui apparaît alors comme de la foutaise en se prétendant des tenants de la France ?

     

     

     
     

  • Game of right

    Les Lyonnais et leur sale penchant à droite (ils vous garantissent être plus à droite que la droite, du Maréchal Le Pen si la petite n'était elle-même de l'extrême-droite dans le texte), jamais démenti, la Nintendo rend con mais chez eux, ça date ...

     

     

     
    Le jeu vidéo est souvent pointé du doigt par les politiques de tout bord. Ce qui n'empêche pas certains d'y trouver une inspiration un peu trop visible pour leurs…
    GAMEBLOG.FR

     

     
  • Vede retro satanas !

    Lorsque je serai au pouvoir ( émoticône smile ), une de mes premières actions symboliques sera d'exhumer le corps de Frédéric Bastiat (à moins qu'il n'ait eu le bon goût de se faire enterrer aux Etats-Unis, et j'espère, parce qu'en réalité, on ne touche pas aux morts, mais c'est une image), afin de le rendre à sa mère patrie, quelque part près de Boston.

     
     

    • Commentaires
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      • Oriane Borja
         
        Oriane Borja Ouais, y'en a qui demanderait des audits (suivez mon regard), moi, j'ai un côté Mitterrand, il me faut des symboles.
         
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        • Oriane Borja
           
          Oriane Borja Il est enterré à Rome, ça va alors, on le laisse à l'Opus déi, directement chez Satan.
           
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  • Souverainisme versus souveraineté (suite)

    La décentralisation des uns et des autres n’est pas exactement de même essence.

    Les partisans de l’UE et leur « landerisation » n’ont pas exactement les mêmes postulats de base que les souverainistes.

    Les partisans de l’UE ont créé les prémices d’un Etat européen, centralisateur pour certaines grandes règles, économiques notamment, vers toujours plus de libéralisme, avec les régions comme cellules de base.

    Les souverainistes sont eux partisans d’un Etat minimaliste, ne garantissant que la liberté nécessaire au libéralisme et la décentralisation est pour eux un moyen de réduire la puissance de l’Etat, que l’Etat se situe au niveau de la nation, ou bien au niveau européen.

    Pour les souverainistes, la décentralisation n’est pas exactement un territoire, elle est le plus petit lieu où peut s’exercer le pouvoir.

    C’est leur principe de subsidiarité, dont ils disent que l’UE l’a inversé.
    Pour eux, le pouvoir doit se situer au plus proche de l’individu, sauf si on ne peut pas faire autrement.

    Ils se calquent sur l’Eglise, et sont liés à l’Opus Déi dont le côté religion n’est qu’un cache-sexe de son extrême-droitisme.

    Mais il faut comprendre que, des deux nuances idéologiques, le souverainisme est celle qui tend vers le plus de libéralisme et pousse à tous les niveaux en ce sens.

    Aucune de ces idéologie n’est la France et n’a de lien avec la souveraineté française, sinon que les souverainistes essaient de noyer leur idéologie derrière la confusion que peut entraîner les deux termes.

    La souveraineté française est au service d’une grande idée d’unité nationale qu’ils ne défendent pas du tout, mais alors pas du tout.

  • Souverainisme versus souveraineté, encore des efforts monsieur Hollande

    Lors de sa joute verbale au sein du Parlement européen, François Hollande s'est opposé à Marine Le Pen et notamment sur les concepts de souverainisme et de souveraineté, affirmant ce que j'étais une des rares jusqu'à présent à énoncer, à savoir que l'un n'avait rien à voir avec l'autre.

    François Hollande a à la fois raison et tort.

     

    Raison sur le fait que le souverainisme ne soit pas la souveraineté.

    Le souverainisme est une idéologie, d'origine anglo saxonne à la base, et qui en Europe, a pris naissance avec la Paneurope.

    Le Mouvement paneuropéen a commencé à germer après guerre et notamment dans les correspondances Condenhove Kalergi-De Gaulle.

    De ce mouvement seront issus les Mouvement Pour la France et autre RPF.

    C'est un mouvement étroitement lié à l'idéologie libérale (dans son acception française, le "liberal" anglo saxon étant classé à gauche par les partisans libéraux du souverainisme).

    C'est ainsi que le thatchérien Nigel Farage et le mouvement Libertas du multimilliardaire Jimmy Goldsmith, se sont retrouvés ou se retrouvent dans ce courant.

    Le Front National ne serait a priori pas "souverainiste" a proprement parlé, Marine Le Pen ne sait pas exactement à quoi cela correspond, mais ses partisans libéraux, et notamment ceux liés au Club de l'Horloge (Marine Le Pen est conseillée par Jean-Yves Le Gallou par exemple), ou l'Institut de Formation Politique -qui se revendique ouvertement de maison-mère libertarienne/libérale cons américaine- qui alimente Marine Le Pen (mais pas seulement) en cadres, ou encore l'Ecole de Guerre Economique (également liée aux Américains, notamment via John Laughand, agent de Ron Paul en Europe et Russie), se retrouvent dans le souverainisme.

     

    La souveraineté est autre chose.

     

    La souveraineté française se définit clairement par les attributs de souveraineté de l'Etat depuis les siècles qui ont fondé la France.

    Ce sont ces attributs de souveraineté (droit de battre monnaie, droit de faire et d’exécuter les lois, droit de rendre justice, droit de police, droit de défense extérieure) qui garantissent ou garantissaient (puisque la France a perdu peu à peu ses attributs de souveraineté) qui permett(ai)ent à la France les moyens d'assurer son grand principe fondateur d'Unité nationale.

    Ce principe d'Unité qui permet à chaque Français, quelles que soient son histoire et notamment ses origines, d'être considéré comme tous les autres, quel que soit son lieu sur notre territoire.

    Cette souveraineté française donnait à la France son indépendance, le droit pour les Français de décider de leur devenir.

    La démocratie avait permis de transférer ce pouvoir jadis détenu dans les mains d'un Roi, dans les mains du peuple, cette population dont la France faisait des Français.

     

    Mais François Hollande ne se réclame apparemment pas de cette souveraineté française.

    Il parle d'une "souveraineté européenne".

    Faisant référence à un rêve d'indépendance de l'Europe, peut-être vis-à-vis des Américains, comme tel était le projet d'un de Gaulle également.

    Le fait est que le souverainisme appelle aussi cette Europe, dite des nations, à cette indépendance.

     

    On voit mal comment une Europe libérale serait différente de l'idéologie anglo saxonne libérale, mais ne compliquons pas l'affaire.
    Etant donné que peu semblent déjà maîtriser les termes du débat ...

     

    Ce que veulent les souverainistes, c'est d'une Europe plus libérale, moins "étatiste", moins réglementée, ils appellent ainsi l'UE : "l'union soviétique européenne".

     

    Lorsque vous faites appel à la notion de souveraineté, votre nation s'accorde et respecte, également, toutes les autres entités équivalentes dans le monde.

    La France est un Etat-Nation (qui détient donc les attributs de souveraineté) est en en cela, très différente d'autres cadres politiques.

     

    Un hypothétique principe de "souveraineté européenne" serait-il ainsi sous-tendu par le principe d'unité français, ou par le principe individualiste anglo-saxon ?

    Notre unité implique un pouvoir centralisé, quand le paradigme anglo-saxon s'alimente de décentralisation.

     

    Le souverainisme est une idéologie qui revendique par ailleurs cette décentralisation, et l'Etat est une plaie à combattre, même s'ils jouent sur le concept d' "Etat fort", car ils veulent un Etat minimal qui défende fortement la liberté individuelle.

    La domination anglo américaine ayant entraîné la France dans ce processus qui nous est étranger car la France a justement toujours lutté contre les pouvoirs et petits intérêts féodaux que cela engendraient, et qui mettaient en péril notre raison d'être, celui de l'intérêt général contre les intérêts particuliers.

     

    Le modèle allemand, ou britannique naturellement, s'assimilent au modèle fédéral américain en revanche.

    En sachant que ce genre d'organisation politique est très poreux aux lobbies, quand l'Etat y est un rempart.

     

    Que l'on ne me demande pas comment un J-P Chevènement se situe dans cette idéologie, je ne suis pas responsable des incohérences des uns et des autres.

    Mais depuis longtemps les souverainismes sont solubles entre eux et parlementent de façon transversale, sans trop s'avancer sur des questions qu'on ne leur pose jamais, sur leur réelle vision économique, sociale, leurs frontières en quelque sorte, et même celle de leur "indépendance", notamment vis-à-vis de l'idéologie libérale.

     

    Quid des valeurs de François Hollande ?
    De ses rapports à la souveraineté française ?

    Tout cela mériterait un grand débat, qui n'a jamais eu lieu.

     

     

     

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    Fil d’actualité

     
     

    Coudenhove-Kalergi est l'inspirateur du Conseil de l'Europe qui est créé en 1949. De nationalité française depuis 1939, il poursuit avec le Général de Gaulle une correspondance entreprise durant la guerre, ce qui aboutit en 1960 à la création du Comité français pour l'Union paneuropéenne (CFUP). On trouvera à sa création Georges Pompidou comme trésorier et Alain Peyrefitte comme Secrétaire général.

    Rénové au début des années 1990, le CFUP, qui avait été présidé, après Louis Terrenoire, par Raymond Triboulet, Michel Habib-Deloncle et Michel Cointat, prend l'appellation de PanEurope France. et est présidé par Yvon Bourges (1993-2000), Hervé Gaymard (2000-2002) et Alain Terrenoire (2003-2013).En 2013, PanEurope France devient l'Union paneuropéenne de France (UPF). Après une courte présidence du député européen Arnaud Danjean (2013), Alexis Bautzmann est nommé président en mai 2013. Le sénateur Jean Bizet, président de la Commission des affaires européennes au Sénat, lui succède en mai 2015.

    Participant activement aux travaux de l'Union paneuropéenne internationale dont le président, après la disparition de Richard Coudenhove-Kalergi en 1972, fut Otto de Habsbourg et depuis fin 2004, Alain Terrenoire, et qui compte aujourd'hui, de l'Atlantique à la Baltique, près de trente organisations nationales, l'Union Paneuropéenne de France (UPF) poursuit son action pour l'élargissement de l'Union européenne, donc pour une réforme des institutions, et défend l'idée d'une Europe politique.

    https://fr.m.wikipedia.org/…/Union_paneurop%C3%A9enne_inter…

     
     

  • Sarkozy's Academy, l'enfant prodigue épisode II

    Louis Sarkozy, peut-on expliquer ce que personne ne dit ?

    A quatorze ans, il intègre une école militaire américaine.

    Ce qu'il faut comprendre : il est sous-doué pour les études et veut-être chefaillon, aux USA, c'est possible.

    Tu rentres cadet, tu es formé par des gamins de ton âge, comme dans les lycées expérimentaux soixante-huitards pour gamins ingérables, qui ne supportent plus les professeurs autant qu'ils sont eux-mêmes des repoussoirs pour les pédagogues les plus enthousiastes .

    Leurs parents eux-mêmes ne savant plus quoi en faire, hop, on le refourgue dans l'armée.

    Chez les bourgeois, on dit : "Ils ne sont pas scolaires", pour essayer de redorer la blason de gamins peu enclin aux études, faute de capacités.

    Et pour tenter de faire croire que leur niveau est tel, que l'école ne suffit pas, ils sont ailleurs, pas comme le tout-venant, forcément.

    Communication de branleurs fils à papa oblige, extase autour de son parcours de petit con de bourgeois, il passe de cadet à capitaine dès dix-huit ans, de padawan à jedi, la force est avec lui ...

    Et là t'as capitaine Flam qui décide de faire d'autres "études" pour être bien sûr de vouloir bien intégrer l'armée américaine de ses rêves, mais aux USA, on peut trouver des plans branleurs qui en jettent encore plus pour pas cher (heu, façon de parler) et sans avoir à se bouger de cul dans la boue avec les retardés mentaux que l'armée essaie de recaser tant bien que mal.

    Le gars va donc faire une école improbable de philosophie, l'American Vertigo, on va bien tôt l'appeler Maître Yoda, après la force, la sagesse avec lui il a.

    Il aurait pas abuser du polynectar le rejeton ?

    Il nous a fait fait passer sa "carrière à deux balles" pour polytechnique, il va nous passer l'agrégation de philosophie en méthode Assimil' mention BHL à présent.

  • Ni Hollande ni Le Pen ne savent ce qu'est le souverainisme

    Hollande ne sait pas ce qu'est le souverainisme.

    Certes, ce n'est pas la souveraineté (ce que ne sait pas Marine Le Pen).

    Mais lui parle de souveraineté européenne.

    Or justement, le souverainisme a avoir avec la souveraineté européenne.

    Dans l'idée des souverainistes, très liés à l'Opus Déi et au principe de subsidiarité de l'Eglise, ce principe doit également s'appliquer à l'Europe.

    Il s'agit d'un principe libéral.

    "La subsidiarité peut se définir comme la hiérarchisation des pouvoirs au sein d'une société en fonction des compétences propres à chacun des éléments constitutifs de cette dernière.

    Le principe de subsidiarité énonce le souhait que les compétences des groupements d’ordre supérieur doivent se limiter aux tâches que les groupements d’ordre inférieur ne peuvent faire par eux-mêmes.

    Les décisions devraient donc être prises à l'échelon le plus adapté (si possible au niveau de l'individu), de façon à permettre la résolution la plus rapide et la plus efficace des problèmes.

    Le contraire du principe de subsidiarité est la centralisation, qu'elle soit le fait d'une autorité centrale coercitive, ou que les groupements d’ordre inférieur (individus, communes, cantons, régions...) cèdent leur droit à l'entité supérieure, en échange de subventions : on n'accepte pas aisément une atteinte à sa propre souveraineté - à moins de recevoir de l'argent en compensation !

    La subsidiarité rejoint l'idée fédérale et s'oppose au modèle jacobin centralisateur de l'État-nation."