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Education - Page 11

  • Le Capital selon les Enfoirés et Françoise Hardy

    Qu'est-ce qu'être riche ?
    A les entendre c'est avoir pris son destin en main, s'être bougé le cul.

    Et être riche de quoi ?
    .
    Moi, je suis juste honnête, chef de famille nombreuse -toute ma richesse-, je travaillais plus qu'honnêtement avant qu'un de mes enfants ne soit diagnostiqué handicapé.


    On est pauvres.


    Je suis Bac scientifique plus six, je n'ai jamais démérité.

    Je n'ai rien contre ceux qui gagnent plus que moi, mon père, ma sœur sont médecins, ils gagnent bien leur vie, c'est normal.

    Ils payent plus d'impôts que moi et vivent infiniment mieux, ça ne les lèse pas au quotidien, ils partent en vacance en famille très souvent, je n'en ai jamais pris, ils sont propriétaires, je vis en HLM.

    Mais je m'en fous.

    Ce qui est insupportable, c'est cette mentalité de certains riches de se croire supérieur.

    Il m'est arrivé de travailler pour des gens très aisés que je trouvais d'une misère intellectuelle et culturelle infinies.

    Quoi, Françoise Hardy vit dans son appart du XVIème, elle a une résidence en Corse, les moyens d'avoir eu des fêtes orgiaques et des amis à l'avenant.

    Que veut-elle de plus ?

    Dans la fin de vie, on finit tous poussière et avant cela, peut-être même comme elle, malade, et encore paraît-il que nous ne sommes pas tous égaux devant la mort et la maladie.


    Un chômeur ou un ouvrier ont plus de chance de payer moins d'impôts aussi parce qu'ils partent plus tôt, le poids de la vie peut aussi être inversement proportionnel à ses revenus, sa part de gâteau dans la vie moins conséquente encore que son assiette fiscale.

    Alors Françoise Hardy n'a plus trop d'amis, mais c'est sans doute pour d'autres raisons, l'amitié chez ces gens-là sont comme les amitiés de Bettencourt, ils sont de passage avec une valise et ne repartent et reviennent que si elle est pleine.

    Françoise, je vous file un bon plan, en toute amitié, concourez à un Prix ou une Bourse de Contribuables Associés, vous êtes déjà, c'est assuré, leur nouvelle muse, vous pourrez vous payer deux fois plus de domestiques lors de votre prochaine année fiscale sur terre.

    Et vous m'énervez, j'adorais votre Amitié, votre Amie la Rose, votre Message Personnel, je vous en veux de nous laisser avant de partir, non plus l'immortalité, mais ce goût amer qu'ont les laides choses, pour l'éternité.

     

     

    Les archives de la Radio Télévision Suisse (RTS): Invitée sur le Plateau de la TSR, dans l'émission Carrefour en 1965, la chanteuse yéyé Françoise Hardy inte...
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  • Le libertarien, l'ennemi héréditaire

    Votre postulat de départ est erroné.

    Notre société est bâtie sur le principe fondamental d'unité.
    Nous avons décidé, volontairement, d'être en lien, liés et interdépendants.

    Cela date de nos rois, de Clovis le premier, qui, face aux guerres tribales fratricides, décidait en accord avec les peuples sans doute fatigués d'une vie de sauvage, de se choisir un destin commun.

    Les droits régaliens sont bientôt posés, il s'agit des attributs de souveraineté de l'Etat, qui nous restèrent intacts jusqu'aux premières attaques libérales dans les années 1970.

    L'Etat qui est garant de notre unité et de notre souveraineté depuis toujours, avec la verticalité et ce centralisme propre à la France, cette structure étatique et donc, ces institutions dans le cadre national -de notre Etat-nation- qui nous gouvernent tous.

    C'est un choix de société qui a fait ses preuves par le temps, son modèle est donc, si l'on peux dire, scientifiquement prouvé puisqu'il a donné des résultats positifs, notre civilisation, incontestablement rayonnante, en est le fruit.

    Nous savons qu'en échange de notre travail, l'Etat nous donne protection au sens large :
    indépendance monétaire (jusque dans les années 1970), souveraineté législative (là encore, avant que l'on nous en spolie),justice, police,défense, prospérité,
    l'Etat est ou était notre plus fidèle chevalier servant, nous sommes ses sujets de droit, ainsi est la France.

    C'est le temps, l'empirisme organisateur qui fait rectifier les défauts en corrigeant sa jurisprudence et ses lois afin de garder toujours notre esprit fondateur, qui nous a fait parfaire sans cesse notre système et notre civilisation.
    jusqu'à ce qu'elle devienne un bijou.

    Le modèle anglo américain des pères fondateurs des USA, nous n'en sommes pas, nous n'en voulons pas.
    Ils sont tout notre opposé.

    Votre paradigme n'est pas le nôtre, non seulement il nous fait horreur mais encore nous détruirait-il tout simplement en tant que ce que nous sommes, Français, il s'agit de notre essence, de notre âme.

    Les services publics que vous honnissez, c'est l'intérêt général contre les petits intérêts particuliers, ce contre quoi Clovis a érigé son royaume déjà.
    La Grèce puis Rome nous y invitaient déjà, ce sont nos racines, les civilisations antiques qui nous ont tant apporté, avaient déjà l'idée d'adoucir nos moeurs et d'organiser notre société pour faire justement, société.

    Faire communauté nationale nous a permis un haut niveau social et d'acquis sociaux.
    Notre école, notre santé, notre justice, notre administration en général, sont nos trésors que nous devons de préserver comme notre patrimoine le plus précieux.

    Les dérèglements viennent de notre dépeçage à la découpe via les attaques de votre idéologie libérale.

    L'économique au-dessus du politique, c'est votre état à vous,

    Dans notre civilisation évoluée, c'est le politique qui doit dominer.
    Les affaires de la Cité au-dessus des affaires commerciales, il en va de notre intérêt à tous.
    Rien ne doit être au-dessus de l'Etat, car l'Etat, en France, c'est l'Etat-Nation, c'est nous, natio, c'est tant le cadre que le peuple.

    Nos institutions ne sont pas notre ruine, elles sont nos dernières protections.

    Aucun homme, aucune richesse ne vaudra l'apport de ce que des millions d'hommes ont apporté avant eux au sein d'une cohésion et cohérence nationale.

    Vos écoles, santé, justice, monnaies privées, sont des leurres et le retour à la barbarie, la loi de tous contre tous, selon la loi du marché où le fort impose tout aux plus faibles.

    Table rase, bond en avant pour trois pas en arrière, vous nous rappez paradoxalement certaines histoires vécues, mais sans doute, et comme tout paradoxe qui se respecte, ça n'en est pas un.

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  • La proposition de Rama Yade sur le travail des vieux déjà entérinée

    On a beaucoup parlé de la proposition de Rama Yade d'obliger les personnes âgées à travailler.


    Mais la politicienne ne s'est pas engagée sur ce terrain par hasard, elle sait que tout est déjà dans les tuyaux de l'OCDE depuis longtemps, et que les politiques ne sont là que pour "ajuster" l'offre à la demande du patronat.

    On peut même retrouver dans les textes de l'OCDE, l'idée qui avait semblé farfelue, de la jeunesse socialiste qui parlait d'obliger chacun à prendre une année sabbatique (réf. ci-dessous).

     

    Le Lifelong Learning est une politique mondiale qui est en germe depuis les années 70, et Jacques Delors en a été le grand organisateur avec ce qu'on a appelé le Processus de Lisbonne.

    Tout est déjà écrit et se met lentement en place au niveau mondial et chez nous via l'Union Européenne et ses indispensables relais territoriaux régionaux, cellules de base de la mise en oeuvre du système de Lifelong Learnig, comme j'en faisais déjà état lors de ma candidature aux élections régionales de 2010.

    A l'époque, nombreux furent ce qui, ignorant tout de ces sujets, se moquèrent de mes alertes sur la supériorité des politiques mondiales sur les politiques éducatives nationales, le fait que ces politiques soient téléguidées par l'adéquation des apprentissages à la demande du marché
    et non plus orientées vers la formation à la culture générale, à l'analyse, à l'esprit critique, base même de toute formation à mon sens.

    Ci-dessous, les différentes mesures qui devront être mises en place pour accueillir le travail des seniors dans une perspective de travail tout au long de la vie, jusqu'à la mort, effective ou cérébrale, puisque, si Rama Yade parlait d'utiliser la force de travail des personnes âgées jusqu'à impossibilité, on ne sait pas exactement sur quelle résistance corporelle est placé le curseur, après tout, une personne âgée invalide peut sans doute encore faire de la télévente et utiliser son "besoin" de contact intergénérationnel, pour refourguer un produit non indispensable à un de ses semblables pour le compte d'une société qui a besoin de sa productivité pour engraisser ses profits, étant entendu que le manque de vivacité sera "compensé", non pas par un faible salaire correspondant aux faibles capacités de la main d'oeuvre parkinsonienne, mais par une indemnité symbolique, voire une reconnaissance symbolique, après tout, on lui prouve par là-même qu'on ne l'abandonne pas à son triste sort de "vieille bibliothèque brûlée" comme dirait Rama Yade :

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  • ABCD du foutage de gueule ou b a ba des méthodes libertariennes

    Alors que Farida Belghoul vient d'être mise en examen pour avoir colporté des mensonges au sujet d'enseignants qui auraient obligé des enfants de maternelles à se toucher les parties génitales (oui, on est toujours dans la vulgaire grossière outrance très axée sur le sexe dans ce genre de lobbies fanatiques, d'autant qu'ils recrutent dans les fanges religieuses), examinons les réseaux auxquels elle appartient de plus près.

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  • L'ignorance, le nouveau mal du siècle

    Mais en général, il faut au moins ces placebos plus ceux des laboratoires Boiron qui envahissent de leurs petites pilules magiques en poudre de perlimpinpin très prisées chez les ignorants, tout comme les marabouts des contrées où la magie tient lieu de science, pour guérir ces animaux vraiment malades de la tête.

    Il serait sans doute temps largement, de revenir sur l'Economie de la connaissance pour revenir à la transmission des savoirs, ce qui n'est pas vraiment voire vraiment pas la même chose.

    Une revue médicale s'est penchée sur les médicaments pour lutter contre le rhume. Son constat est sans appel : ils ne servent à rien C'est de saison. Nez qui coule,...
    SUDOUEST.FR

     

  • La Suède est-elle en train de créer une génération de petits cons?

    «Parce qu’ils ont été élevés de cette manière, les enfants suédois tombent de haut à l’âge adulte. Leurs attentes sont trop élevées et ils découvrent que la vie est dure. Cela se manifeste par des troubles de l’anxiété et des tendances à comportements autodestructeurs qui ont augmenté de manière spectaculaire en Suède.»

    Ni claque, ni fessée, ni punition, ni «non» ni «chut»

    Pour le psychiatre suédois, l’origine de ce putsch organisé par les enfants se trouve dans la loi anti-châtiments corporels que la Suède a été la première à adopter. Sans défendre le droit à mettre des fessées, Eberhard estime que de cette interdiction est née un certain nombre de dérives comme l’interdiction tacite de gronder, punir, ou contredire un enfant.

    L’artisan de ces «dérives» serait Jesper Juul, un thérapeute danois, adulé en Scandinavie. Il est lui-même largement inspiré du psychologue américain Carl Rogers, le pape de l’écoute active.

    Juul a popularisé le principe de l’égalité et de la réciprocité entre adultes et enfants. La famille ne doit pas être une autocratie où seuls les parents auraient un pouvoir de décision, mais une démocratie où les enfants, même tout petits auraient voix au chapitre.

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  • Que le Conseil de l'Europe s'occupe de son cul

     

     

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  • Du bon usage de la fessée

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  • Baffes perdues

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  • Quand l'humanisme est un anti humanisme ou l'ordre de l'inversion du langage

    Les libertariens et la liberté de vente d'organes

     

    Avec la responsabilité individuelle pour unique guide, tout est contrat, vous avez le droit de vendre votre corps, qui est votre bien, par contrat.

    Chez les libéraux purs, les libertariens, les ventes d'organes et de ventres porteurs sont totalement possibles, il n'y a aucune morale, seulement accords entre individus.

    La seule loi vaillante est celle qui établit et assure l'ordre (le chaos) libéral.

    http://www.wikiberal.org/wiki/Vente_d%27organes

     
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      Nicolas Bretagne les pauvres sont "libres" de vendre leurs organes, voire leurs enfants, aux riches, on appelle ça "l'humanisme de gauche",
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      Oriane Borja Oui, cet humanisme de gauche est libertarien, et donc d'extrême-droite.
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      Oriane Borja C'est le même mécanisme qui autorise Angelina Joly et autres Madonna ou Johnny Hallyday à aller s'acheter des enfants dans les pays pauvres, toujours au nom de l'humanisme, ils les volent à leur terre et au peu de famille qui leur reste, souvent prête à s'en débarrasser, les pauvres hères de Maupassant sont universels.