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culture - Page 29

  • L'Europe politique, la fuite en avant vers le pire

    La Paneurope de de Gaulle, ce sont aussi, forcément, des doublons de souveraineté et le vecteur de pénétration des lobbies.

    La domination des Américains, et notamment via l'Union Européenne, c'est déjà obsolète, les Américains ont trouvé mieux et le Département d'Etat et le Pentagone se font aujourd'hui dépasser par leur droite.

    C'est la logique américaine aujourd'hui qui s'impose, et la logique par définition, pousse à son paroxysme.

    Le danger passe aujourd'hui par-delà les Etats, par les groupes privés qui par libéralisme se sont bouffés les uns les autres jusqu'à former des monopoles privés dont les capacités financières sont supérieures à celles de la plupart des Etats et qui peuvent aujourd'hui rivaliser avec les grandes forces publiques en voie d'extinction.

    Et t'as les cons de gaullistes qui contribuent à la mort des Etats en continuant de s'adosser à des politiques d'avant guerre parce qu'ils en ont dix de retard, et qui ce faisant, nous enfoncent vers le pire encore à venir.

    L'Europe des Nations est une structure politique, elle a donc automatiquement des prérogatives.

    On voit bien qu'elle exclut de fait les nations non européennes et qu'elle lie au-delà à une institution supranationale.

    C'est une idéologie européenne, autrement elle ne servirait d'ailleurs à rien.

    Et s'il vous plaît, que l'on m'évite le coup du contrepoids aux USA.

    La seule chose qui fasse peur à la domination idéologique américaine, c'est la structure étatique telle qu'établie par la France lorsqu'elle l'était encore entièrement, sûrement pas un groupe politique qui soutiendrait la même idéologie libérale qu'un Farage par exemple ou que tous les partenaires que s'est choisie Marine Le Pen dont on ne sait qui gagnerait le concours du plus tenant des principes fondateurs des USA tant ils sont plus libéraux les uns que les autres.

    Aucun pays n'a, de fait, les mêmes intérêts économiques, stratégiques, géopolitiques parce que leurs constructions respectives sont différentes, reposent sur des principes parfois diamétralement opposés, et sont le résultat d'histoires humaines différentes en fonction de paramètres nombreux et que nous ne partageons pas toujours non plus.

     

    L'Europe des Nations ne serait pas une construction politique ?

    Une structure économique alors ?

    Seuls les ignorants ne savent pas que l'économique, c'est du politique, et que dans un monde bien fait, c'est le politique qui doit le dominer pour ne pas être à la merci de la finance.

    Or pour construire une société, pour faire société, il faut une politique, la société européenne serait une société reposant sur quels principes ?

    Ceux d'unité à la française, ceux du régionalisme teuton, ceux du communautarisme anglo saxon ?
    Qui raflerait la mise ?
    Quelle langue imposerait sa domination ?

    Quel serait donc ce monstre informe, sans sens aucun, sans humanité aucune, sans raison d'être ?

    Est-ce que je me sens proche d'un Anglais ou d'un Allemand ? Suis-je de la même civilisation en tant que Française ?
    Bien sûr que non, nos civilisations se sont bâties en opposition.

    Et si l'Europe, c'est ça, en tant que Méditerranéenne, j'embarque ma France dans une alliance au Sud, je préfère bouffer des gâteaux au miel et de la menthe en salade au soleil avec les Arabes plutôt que d'avaler de la jelly au bacon au petit déj' avant d'aller sous un ciel triste et bas remercier Dieu de m'avoir béni en m'ayant fait gagner beaucoup de fric sur le dos des autres cette semaine !  

    Autant parler l'Espéranto, avec sa grammaire et son vocabulaire misérables, et on imagine sa pensée à l'avenant.

     

    L'Europe en réalité, dans n'importe quel sens, ce n'est même pas sérieux.

     

    Je propose de recouvrer les attributs de l'Etat, je l'explique tous les jours en long large et travers.

    Il faut se réinscrire dans le continuum français, dans notre histoire, dans nos principes fondateurs dont on affine sans cesse la lettre en en gardant l'esprit.

    Dans ce cadre, il n'y a nulle place pour aucune Europe, ni économique, ni politique.

    L'Europe est à la fois un cadre trop grand et trop petit à l'égard de la souveraineté et donc de l'indépendance d'un Etat.

    Un Etat n'a d'accord qu'avec d'autres Etats, seul moyen d'ailleurs de respecter les autres d'égal à égal.

    C'est ainsi que la France considérera les pays du Maghreb ou d'Afrique comme s'il s'agissait de Allemagne, qu'il ne nous viendrait pas à l'idée d'entuber, d'autant plus que le rapport de force est clairement inverse.

    Nous ne nous interdirions pas d'accord a priori avec la Russie ni avec personne, et nous refuserions des accords ou les restreindrions de même, à notre gré, en fonction de principes propres.

    Nous nous respecterions ainsi à la fois nous-mêmes mais aussi les uns les autres.

     

    Les Etats sont les seuls remparts aux lobbies de toute sorte et des pires espèces.

    Il semble que seuls nos ennemis (les ennemis des peuples) aient compris combien l'Etat était la menace à abattre, ce qu'ils font avec la plus grande application.


     

    Bref, à bas l'Europe des nations, conneries gaulliste de la première heure !
    Et de notre dernière ...

  • Les USA, fille aînée de la perversion libérale

    Aux USA, les logiques lobbyistes peuvent conduire à des micro théocraties.

    C'est exactement ce à quoi travaillent les lobbies libertariens rattachés à l'Opus Déi en France.

    Samuel Potier que Marine Le Pen a investi candidat aux dernières cantonales, a déjà mis sur pied la boîte affairiste d'assurances qui prodiguent les bons soins de ses pères idéologues, avec force publicité dans les réseaux libéraux :

     

    http://lesalonbeige.blogs.com/…/une-mutuelle-pro-vie-qui-ne…

     

     

    "La Conférence des évêques catholiques des États-Unis n'est pas seulement une organisation religieuse; elle est aussi une force politique majeure aux États-Unis Au cours des dernières années, le groupe a consacré une énorme quantité de temps et d'argent pour la lutte contre l'Affordable Care Act et contre les lois de non-discrimination dans tout le pays.
    Nous soutenons fermement le droit de chacun de croire et de pratiquer la foi de leur choix - mais quand une église commence à consacrer des milliards à la modification des lois et à la politique extérieure à l'église, cela devient une autre histoire. Brigitte Amiri, un avocat de cadres supérieurs de l'American Civil Liberties Union, expose quelques-unes des façons troublantes dont ces politiques affectent les femmes, qu'elles soient croyantes ou non.
    -
    Par Brigitte Amiri
    J'aurai souhaité que cet article paraisse dans un journal satirique. Mais ce n'est pas le cas. L'attaque des évêques catholiques contre les femmes est tellement scandaleuse, qu'il est difficile de croire que ce n'est pas de la fiction. Voici cinq choses réelles les évêques ont dit au sujet des femmes. Préparez vous.
    1. Si un hôpital catholique doit choisir entre la mort d'une femme en danger ou un avortement pour lui sauver la vie, il doit opter pour la mort de la femme.
    Oui, c'est vrai vrai - la Conférence américaine des évêques catholiques préférerait laisser une femme mourir plutôt que de permettre aux hôpitaux catholiques d'opérer un avortement d'urgence. Les évêques ont éclairci leur position à ce sujet quand un hôpital catholique à Phoenix a défié les règles des évêques et a sauvé la vie d'une femme en l'avortant. Les évêques ont excommunié une religieuse qui était membre du comité qui a approuvé l'avortement et l' hôpital a été défait de son statut catholique .
    Donc, si vous êtes enceinte et avez besoin de soins d'urgence, réfléchissez à deux fois avant d'aller dans un hôpital catholique . Cela pourrait vous coûter la vie.
    2. Si les médecins dans un hôpital catholique mettent la santé ou la vie d'une femme en danger, leurs croyances religieuses les absolvent.
    Les administrateurs d'hôpitaux catholiques ont fait valoir qu'ils ne devraient pas être tenus pour responsables, quand l'un des hôpitaux sous leur contrôle a refusé de fournir des informations et de soins médicaux à une femme au milieu d'une fausse couche. 
    Tamesha Moyens était enceinte 18 semaines lorsqu'elle a perdu les eaux, et elle se précipita vers le seul hôpital de la région pour être soignée.
    Malheureusement pour elle, il s'agissait d'un hôpital catholique, et suivant les règles des évêques, l'hôpital n'a pas informée la patiente que la grossesse était devenue dangereuse et que le plus sûr pour elle était un avortement. L'hôpital l'a renvoyée chez elle - pas une fois, mais deux fois - alors qu'elle souffrait de douleurs atroces et développait une infection.Ce n'est que lorsqu'elle a commencé sa fausse au couche au cours de sa troisième visite que l'hôpital a commencé la prestation de soins. Tamesha a attaqué en justice pour cette mise en danger. Les administrateurs de l'hôpital ont fait valoir qu'en raison de leurs croyances religieuses, son cas devrait être rejeté. Le juge l'a accepté, mais ni Tamesha ni l'ACLU est près d'abandonner les charges. Nous avons déposé un appel et nous allons continuer à nous battre pour empêcher d'autres femmes de se voir refuser un traitement médical approprié quand elles vont à l'hôpital.
    3. Il n'existe pas d'avortement pour sauver des vies.
    Les familles des 650 femmes qui meurent chaque année de complications liées à la grossesse ne seraient pas d'accord avec les évêques sur ce point là... de même que les grandes organisations médicales . Mais, les évêques ont néanmoins utilisé cette argumentation contre une proposition de loi qui obligerait les entrepreneurs fédéraux à fournir à leurs employées une couverture d'assurance-maladie pour les avortements vitaux. Les évêques ont répondu l'univers des avortements nécessaires pour sauver la vie d'une femme "comprend un ensemble vide."
    Cette remarque ne manquera pas de surprendre le mari de Savita Halappanavar mari, qui porte toujours le deuil de la perte de sa femme. Savita est morte après s'être précipitée à l'hôpital en Irlande pour une fausse couche à 17 semaines. L'hôpital a refusé de prodiguer un avortement pour sauver sa vie en arguant que l'Irlande est un pays catholique.
    4. La contraception met la santé des femmes en danger.
    Non contents d'encourager toute sorte d'exemption qui permettrait aux employeurs de ne pas couvrir l'assurance santé des employés pour le contrôle des naissances, les évêques continuent de faire pression sur l'administration Obama pour annuler complètement l'exigence de la Loi sur les soins abordables pour que les plans d'assurance santé couvrent la contraception. Ils soutiennent en fait que les contraceptifs sont «associés à un risque accru d'un certain nombre de résultats négatifs sur la santé» et que la règle est «En guerre» avec le but de l'ACA d'assurer une couverture pour la médecine préventive.
    Voilà un argument ridicule compte tenu des risques pour la santé bien documentés associés à une grossesse non désirée , y compris le fait que la grossesse peut aggraver un état de santé préexistant. Et certaines femmes prennent la contraception principalement à des fins de santé , tels que la réduction des saignements de fibromes.
    5. Désolés si vous avez été violée, mais on ne vous aidera pas.
    Les évêques reçoivent 10 millions de dollars par an du gouvernement fédéral pour fournir des soins aux enfants migrants non accompagnés qui fuient les mauvais traitements et la torture dans leur pays d'origine. 
    La loi fédérale exige que les évêques donnent à ces jeunes l'accès à des soins médicaux, y compris la contraception d'urgence et l'avortement . Mais les évêques refusent de le faire, même si l'adolescente a été violée sous leur responsabilité. La liberté religieuse est un droit fondamental, mais ce droit ne comprend pas l'aide financière du gouvernement pour imposer vos croyances sur les autres dans notre société et pour les malmener, ce qui est exactement ce que les évêques font."

    The U.S. Conference of Catholic Bishops is not just a religious organization; it's also a major political force in the U.S. In the past several years, the group has...
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  • L'idéologie libérale satanique à l'ombre du clocher

    Vainqueurs-maillot jaune (offert par l'Oeuvre soi-même) du tour de France, trio de tête du mur du con, Collard et Morano sont très déçus de ne pas avoir été retenus en pôle position.
    Courage Nadine et Gilbert, la prochaine fois, c'est la bonne !

     

     

     

     

    Nicolas Sarkozy signe un appel avec Zemmour, de Villiers et Finkielkraut pour défendre les églises.
    LELAB.EUROPE1.FR
     
     
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      Oriane Borja Et regardez qui annonce la sainte nouvelle, la petite Caroline Roux mariée récemment par le prêtre star de l'Opus Déi et que l'on retrouve dans tous les medias, dont Canal + que l'on peut donc impunément taxer d'être infiltrée par l'extrême-droite comme tout le monde.

      Beigbeder est là aussi tout naturellement, avec Millon et Villiers, et Boutin sans doute, les vieux tenors à, et de, l'Oeuvre ne sont jamais bien loin.

      Pendant que leurs guignols ont été envoyés dans les rues pour "soulever" l'armée et rejoindre leur mouvement "populaire" pour un "Coup d'Etat" sauce lobbies ratés, les pantins en habits rouges s'occupent des lames de fond pour tenter toujours d'exciter, diviser, faire levier pour déstabiliser l'Etat.

      Zemmour, Finky, Sarko, même niveau d'intello que Nadine et Collard.
      Personnellement, je n'ai jamais été dupe, mais ça remet bien les pendules à l'heure, et les cuvettes à niveau.

      http://lelab.europe1.fr/dans-valeurs-actuelles-nicolas...
       
  • Mimie Mathy se la joue petit

    Les ultra extra privilégiés jouent à se faire peur à moindres risques.

    Pourrait-on un jour leur faire comprendre que nos politiciens nous font quitter la France tous les jours un peu plus sur notre propre sol en la dépouillant de tout ce qui la constitue.

    Les politiques actuelles de dépossession de l'Etat de ses attributs oblige la France a quitté parmi son peuple, les plus démunis.

    Pas les nantis déconnectés qui se sentent investis d'une mission d'aider les plus pauvres une semaine par an quand ils soutiennent à l'année et à longueur d'années les politiques déshumanisées les plus assassines, laissant transférer les prérogatives qui permettaient notre lien, notre prospérité, notre unité, entre des mains financières qui peuvent produire les feuilletons et les disques de nos artistes bas de gammes chanteurs du dimanche qui n'ont aucune idée ni reconnaissance de ce que la France leur a donné et combien nous avons besoin de ses principes protecteurs, nous et le monde en exemple.

    Marine Le Pen, dans le jeu de dupes politiciens, n'est pas la moins manipulables.

    Et puis que reproche-t-on exactement à Marine ?

    Le fait qu'elle pourrait précipiter notre pays plus rapidement vers le chaos libéral qu'un Macron ?

    C'est pas faux mais ça se discute, Macron sait ce qu'il fait, Marine est plus incohérente et moins prévisible.

    Mimie Mathy n'est pas plus haute que les autres, elle croit se grandir, mais par certaines de ses attitudes, elle rejoint la grande cohorte des gens de petite taille.

     

     

    Après Yannick Noah, Akhenaton, Nagui et Anthony Delon, c'est au tour de la comédienne préférée des Français de se déclarer prête à quitter la France si la...
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  • Si toi aussi tu crois comprendre le Front National

    La tâche est rude pour les chercheurs de comprendre le Front, parce que ceux qui cherchent cherchent un sens qui n'existe pas vraiment.

     

    Notre slogan : "Le social c'est le Front National" a été initié par le FNJ sous contrôle direct de JMLP.


    A l'époque Karl Lang se réclamait ardemment de ce slogan.

     

    Or, les trois têtes avaient une idée différente.

     

    Au FNJ, la ligne était sociale, Samuel Maréchal, Philippe Rouger, avaient cette ligne, ils étaient ce que d'aucuns appelèrent plus tard les "gaucho lepénistes".

     

    Philippe Rouger venait d'un milieu de gauche, socialiste, son grand-père était ouvrier et a fini par écrire comme journaliste dans la gazette de la SNCF, sa mère était enseignante.


    Ils sont passés par Troisième Voie quand ils étaient étudiants (bon Samuel n'était pas vraiment étudiant, il n'a pas fait d'étude) pour le côté social.
    Philippe par conviction, Samuel, on ne sait guère pourquoi, s'il venait d'un milieu populaire, sa famille se veut plutôt bourgeoise (sur le modèle du bourgeois gentilhomme ...), Samuel en a gardé le goût pour le bling-bling-m'as-tu-vu.

     

    JMLP a dû comme d'habitude, trouver que cela correspondait à une posture électorale intéressante (JMLP n'a jamais eu de conviction doctrinale forte, ceux qui croiront le contraire en seront pour leurs frais).
    Un coup à droite, un coup plus à droite, il n'a jamais su où il était, il était là où le lieu lui semblait opportun pour jouer les opportunistes inopportuns.

     

    Karl Lang à l'écouter à l'époque, aurait été sur cette ligne sociale.
    On comprend mal dans la mesure où il s'est toujours porté à la traîne des libéraux de la clique de Contribuables Associés/ Radio Courtoisants et compagnie, la véritable extrême-droite, anti-sociale au possible.

     

    Les libéraux associés, Lang, Golllnish, Bild, Stirbois, reprochaient même à Marine, sa ligne sociale, impulsée par le FNJ, alors honnêtement, pour décoder le schmilblick, faut s'accrocher.

     

    Ce que reproche JMLP à Marine, c'est lui qui lui a mis dans les pattes, c'est JMLP qui s'amourache d'un Alain Dumait et qui s'offre des vapeurs extrémistes aux côtés d'un Henri de Lesquen.


    Or plus à droite et anti sociaux que ces tenants de l'idéologie libertarienne des pères fondateurs des USA, on ne va pas trouver, associés à tout ce qui se trouve à droite de l'extrême-droite américaine.

     

    Bref, si Marine s'est vu refourguer de nombreux idéologues de cette mouvance -c'est indéniable-, JMLP se fout carrément de la gueule du monde.


    Pour changer ...

     

     

    Le Pen estime qu'en 2012, sa fille a voulu "rompre avec la dimension sociale et nationale" du FN.
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  • Le choc des mots le poids des morts

    Ceux qui parlent de guerre ou de choc de civilisation -dont on connaît l'origine d'extrême-droite- sont les barbares qui la souhaitent ou la génèrent.

     

    La civilisation est l'inverse de la barbarie, la civilisation, c'est la société, l'organisation de la cité, la vie de citoyen, la façon de rendre un peuple non barbare, il s'agit d'adoucir les moeurs pour vivre ensemble, de se sociabiliser.

     

    Chaque civilisation peut suivre une pente vers le chaos et le retour en barbarie, dès lors que l'on laisse les groupes maffieux, défendant des intérêts particuliers contre l'intérêt général, prendre le pouvoir, la civilisation est en danger.

     

    Mais il n'existe pas de "civilisation barbare", c'est un oxymore, les barbares s'entretuent d'ailleurs entre eux comme tout vulgaires maffieux.

     

    Il peut y avoir en revanche, des pays dits civilisées qui poussent les leviers des groupes maffieux afin d'asseoir leur domination, ce sont des démarches de barbares sous masque de civilisation.

     

    Des méthodes sournoises de travail poussant les hommes à bout font plus de morts que le terrorisme.

     

    Si les imprésarios investis dans la communication de Daech ont une volonté certaine de choquer l'Occident par une mise en scène travaillée de la violence - les batailles de propagande sont des guerres en soi-, il est des méthodes plus insidieuses mais tout aussi odieuses. 

     

    Le banquier qui spécule sur les matières premières, dont alimentaires provoquant des famines dans les pays qui ne peuvent plus s'acheter ces denrées, n'ont certes pas de traces de sang directement sur les mains, n'ont-ils pas pourtant une responsabilité écrasante dans les pertes de vie humaine ?

     

    Nous savons bien qu'à force de morts, un mort n'en vaut pas un autre, disons que l'on ne voit pas dans certains pays, parmi les hommes, ceux qui meurent de notre ressort, partir de sa belle mort n'est pas une notion à géographie variable, les belles morts sont plutôt le lot des pays riches. En faisant du chiffre, la mort cache bien son jeu.

  • Extrême-droite, quésaco ?

    L’idée de droite est celle de tendre vers la liberté individuelle, celle d’extrême-droite, de pousser la liberté individuelle à son paroxysme.

    L’idée de gauche rejoint souvent cette idée, en matière sociétale, la gauche est très à l’extrême-droite.

    J’oppose les idées de gauche et de droite, et leurs versions extrêmes, à celle de la France.

    L’idée de la France est celle de l’unité dont l’Etat est le garant et qui, pour cela, utilise des outils qui sont ses attributs de souveraineté.

    L’extrême-droite poussant donc la liberté individuelle jusqu’au bout, est celle qui autorise toute dérégulation économique.

    Vous n’êtes pas sans ignorer que aujourd’hui, gauche comme droite, et notamment via l’UE, suivent ce chemin, qui laisse les plus faibles sur le bord de cette même voie.

    La France a pour idée de rendre l’Etat garant de la prospérité, et ainsi, contrôlant, encadrant l’économie.

    Le droit de la nationalité qui est une prérogative de l’Etat n’a rien à voir avec les politiques demandées par le patronat qui est intéressé par l’arrivée d’une main-d’oeuvre moins revendicatrice et aidant à « réguler » le chômage dans le sens calculé par le système libéral.

    Je rappelle les calculs du NAIRU qui fixe les taux de chômage optimaux pour une meilleure efficience économique.

    La meilleure efficience étant celle qui procure les meilleurs rendements aux groupes dominants financièrement.

    Ce sont ces mêmes groupes qui depuis quelques années, et suivant le modèle américain, provisionnent les mouvements politiques en arguments via leurs think tanks stipendiés par les grands groupes industrialo financiers.

    Juges et parties, ce sont eux qui nous orientent vers toujours plus de libéralisation, flexibilité, baisse des charges, précarisation du marché du travail.

    C’est cela l’oeuvre de l’extrême-droite.

    Maintenant, les groupes les plus extrémistes en la matière, libertariens, poussent toujours plus en avant, tout ce qui reste d’Etat est une contrainte contre l’économie privée qui, selon eux, régulerait au mieux les choses pour atteindre l’ordre libéral.
    Ils ne cachent pas que dans ce système, les faibles et les faiblesses s’éliminent naturellement, c’est l’idée suprématiste.
    Dans leur système, nul ou moindre Etat, selon les nuances idéologiques.

    Ils mettent donc en oeuvre des moyens et actions permettant l’apogée libérale.

    Déstabilisation de l’Etat en s’en prenant à ses failles (je démontre chaque jour comment et où ils agissent, mais ce serait bien long ici).

    Ils souhaitent que des petites communautés remplacent la communauté nationale liée par l’intérêt général et à l’impôt.

    Micro communautés liées elles, par des intérêts privés communs.
    Et ces cellules vivraient les unes à côté des autres sans se mélanger, avec leurs propres règles contractuelles.

    Il n’y aurait pas de règles publiques, seulement des contrats individuels, avec des polices privées, des justices privées, des armées privées, des écoles et hôpitaux privés naturellement.
    Ils pensent que les intérêts privés organisent au mieux la société (comme du temps d’avant toute forme de société et des guerres tribales).

    Les libertariens poussent et servent d’aiguillons à l’idée d’extrême-droite.

    Ils poussent le reste des mouvements politiques, avec le succès que nous connaissons hélas chaque jour.

    Chaque jour est une avancée de l’idée libérale, d’extrême-droite.

     

     

     

    Il faut revenir à l’origine des termes.

     

    Ceux de droite et de gauche ont été données dans les premières assemblées nationales.

    Tous les députés étaient issus de la bourgeoisie, c’étaient tous des libéraux, pas encore des libertariens, le courant libéral pur venait du monde anglo-saxons, nos bourgeois en empruntaient l’idée en la mettant à la sauce française.


    Les institutions de la France étant à la base, anti-libérales, ils ne pouvaient pas aller bien loin.

    La gauche était de ceux qui souhaitait accompagner le libéralisme, quand la droite était seulement plus attachée à l’ordre moral.

     

    On retrouve aujourd’hui cette nuance.

     

    Mais le fait pour la droite de défendre ces valeurs ne sont pas du tout anti-libérales.

    Le libéralisme pur s’accorde parfaitement de communautés où chacun pense la même chose dans sa petite cellule.

     

    Ce sont eux à la limite qui portent l’incohérence, ils soutiennent une philosophie individualiste forcené en matière économique, mais n’accorderaient pas cette liberté qui leur est si chère, en matière de moeurs.

     

    D’autant que j’affirme que les prétextes religieux servent au courant libertarien de levier libéral dans le monde entier.

     

    La religion ou le levier ethnique sont toujours d’excellent moyens dans ce bas monde pour lever des tensions, toujours bénéfique au chaos, à la déstabilisation, voire la destruction, de l’Etat, qui seules permettent l’instauration de l’ordre libéral.

  • De notre royauté à notre république, notre Etat à notre service

    Je ne lie pas du tout la royauté -la nôtre, il y a autant de royautés que de républiques ou d’État- à l'extrême-droite.

    Notre royauté a eu contraire été construite sur des principes qui, de façon anachronique bien entendu, ne s'apparente pas du tout à l'idée d'extrême-droite :

       - la France s'est bâtie sur l'idée d'unité, de mettre fin aux guerres tribales, et afin de réintroduire de la douceur dans les moeurs, idée qui était déjà là du temps de la Grèce antique et de Rome

       - la France est un Etat-Nation, unique au monde, qui a pérennisé cette idée d'unité par des structures essentielles qui sont celle de son Etat, garant de notre unité, de notre prospérité (interventionnisme économique) et de notre souveraineté qui nous confère notre indépendance

       - l'Etat a comme outils ses attributs.
    Les attributs de l'Etat sont :

                                          - le droit de battre monnaie (nerf de la guerre et de toute décision)
                                          - le droit de faire et d'exécuter les lois
                                          - le droit de rendre justice (importance de la justice PUBLIQUE en France)
                                          - le droit de police (toujours publique, anti-milice privée)
                                          - le droit de défense extérieure dont diplomatie


    Or que notre république a repris à l'identique toute ces prérogatives qui font de nous la France.

    La souveraineté était jadis entre les mains du Roi, qui se confondait avec l'Etat, notre souveraineté étant passé des mains du rois qui l'exerçait pour son peuple, au peuple directement, c'était désormais le peuple qui se confondait avec l'Etat.
     
    Notre république est la plus belle oeuvre de notre royauté, c'était son aboutissement.

    L'Etat aujourd'hui, c'est nous, c'est notre intérêt général,contre tous les intérêts particuliers, soit la même idée que Clovis avait eu de mettre fin  aux guerres tribales.
     
    En France, les seuls ennemis intérieurs étaient dans la noblesse dont certains éléments désiraient déposséder le roi de son pouvoir, nos rois ont toujours combattu de telles velléités.
     

    Je crois que l’extrême-droite est à la France et au peuple, ce que certains membres de la noblesse était jadis à notre royauté, une plaie.

    Toujours prêts à abattre l’intérêt général pour faire valoir leurs intérêts particuliers, le retour aux tribalisme avec leurs petits chefs maffieuso prétentieux.


    Le passage par la royauté a été nécessaire a notre construction, je rends grâce à nos rois d'avoir su réunir les éléments qui feront de nous la plus aboutie des civilisations, et notamment par le temps long de notre Etat-Nation.

    Cela a permis la transmission, l'école, et ce faisant, la démocratie.

    Notre peuple mûr pour prendre le pouvoir des mains du roi qui n'était en place que pour garantir, dans la mesure du possible, le bénéfice du peuple.

    Tout le monde peut tendre vers l'idée de civilisation, tout le monde peut aussi s'en éloigner.


    Or notre Etat est menacé depuis le sortir de la guerre par des puissances privées, par l'idéologie libérale qui leur permet de prendre le pouvoir sur l'Etat -et donc contre le peuple-, et dont le bras armé sont les Etats-Unis.

    Mon travail consiste a en dénoncer et démonter les mécanismes.
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  • L'extrême-droite et ses coups de pute

    Pas besoin d'une enquête pour savoir qui a violé le Vagin de la reine, il n'y a qu'à s'orienter vers les grands défenseurs de la propriété privée.

    Les mêmes qui souillent Versailles chaque jour que Dieu fait en s'en prenant à l'Etat.

     

    Selon leurs lois sur la propriété, l'artiste aurait les droits de les descendre, mais bon, ils le font d'eux-mêmes en prouvant que l'oeuvre avait pour sens de dire merde aux pudibonds et aux Tartuffes qui croient tellement aux valeurs qu'ils prétendent défendre, qu'ils préfèrent s'attaquer frontalement à la concurrence.

    Pour un être normal, des concepts comme ceux-là sont, au mieux drôles, au pire, juste laids et grotesques, mais pour ceux qui n'ont pas réussi à dépasser ce stade :

    - l'artiste
    - les bobos en mal d'excitations qui se pâment devant des pseudo provocations obsolètes, dépassées
    - les vierges effarouchées

    , elles sont des représentations de la pensée magique de Satan.

    L'artiste et ses détracteurs sont du même niveau, et en s'y frottant, ils en sont ses thuriféraires.

  • La politique échappe-t-elle à une exigence de vérité ...

    Sarko, Valls, Marine Le Pen, ils ont tous adopté le pragmatisme à la Chauprade (une vieille méthode de droite), c'est-à-dire que la règle, c'est de prendre les gens pour des cons tous azimuts.
    Ce qu'il faut, c'est tenir tous les discours, chacun recevant celui qu'il veut entendre.
    Démago à mort comme dirait leur directeur de communication.

     

     

    Après avoir organisé l’islam de France, puis misé sur l’Union des organisations islamiques pour gagner le vote musulman, le candidat a adressé, mardi, une mise en garde très politique à ses dirigeants.
    LIBERATION.FR

     

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