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culture - Page 32

  • On achève bien la civilisation

  • Caroline Fourest et ses coreligionnaires de l'Extrême-droite et de l'extrême-gauche

    Mettre le liberté individuelle au centre n'est pas anodin.
    En politique, cela a un sens certain, d'autant plus que c'est l'avant-garde idéologique américaine actuelle.

    Il n'aura pas échappé que Le fils du libertarien Ron Paul est un des candidats les plus en vue aux primaires américaines.

    Jusqu'à présent, cette idéologie avançait de façon transversale, principalement portée par des individualités marquées.

    Aujourd'hui, on constate que les Tea Parties s'accrochent officiellement à la droite, aux USA comme en France.
    Le pas religieux ayant pris le pas sur la défense des libertés telle qu'elle était logiquement revendiquée par Ron Paul, qui autorisait par exemple aux homosexuels une totale liberté, mais cette liberté étant totale, elle n'aurait su tolérer l'emprise de l'Etat dessus et donc le fait qu'il interdise ou autorise le mariage.
    L'Etat ne devant pas intervenir non plus dans les relations internes (les religieux n'ont pas à demander protection de l'Etat, la société s'organise seule, les religions, comme tout autre particularisme, en communauté) et internationales (l'Etat n'a pas à intervenir, ni en Israel ni ailleurs, il y a des mercenaires pour cela)

    Caroline Fourest est une libertarienne pure.

    Elle a d'ailleurs rejoint à la fois les Femen, qui sont une négation de l'Etat (justice et police privées, antidémocratiques), et les réseaux de David Horowitz anti-islam.

    La paradoxe veut qu'elle soit rejetée par l'extrême-droite et l'extrême-gauche qui sont tout du moins utilisés par les libertariens qui se servent de leur côté anarchiste pour renverser et raser la table.

    Fourest, extrême-droite et extrême-gauche ont en commun ce terreau puissant, anglo américain, des libertés individuelles, qui les séparent très nettement de la conception française de société, d'unité et de souveraineté.

    Les avancées libérales (la liberté individuelle est la base du libéralisme) se font en utilisant ces biais.

    Après l'altercation entre l'essayiste et Aymeric Caron dans "On n'est pas couché", Laurent Ruquier a annoncé qu'il ne l'inviterait "plus jamais" dans l'une de ses émissions. Portrait de cette polémiste redoutable et très controversée.
    FRANCETVINFO.FR
     
  • Je descends de deux papes juifs, ça a au moins le mérite d'être original

    La noblesse n'est pas génétique, je crois plus au caractère noble qu'aux quartiers, en revanche, on hérite de gènes, et d'une culture, qui ont du sens.
    Il se trouve que je descends de rois, de papes, et de princes, d'un saint, je descends aussi de paysans comme tout le monde, et il y a beaucoup de médecins dans ma famille, de tout cela je ne peux rien.


    Les Borjas étaient des Atarès, "les couronnés" en hébreu, de Borja y Atarès, ils n'ont conservé que le nom de Borja/Borgia.

    La connaissance de cette filiation s'est toujours transmise dans ma famille, d'autre part, plusieurs membres de cette lignée ont formellement établi la généalogie.

    Il paraît que ma branche a été une des plus simples à remonter parce qu'elle était d'Algérie alors que les registres espagnols ont pour partie disparu à cause des événements de 39.

     

    J'ai dans mes ancêtres, et pas si lointains -quelques siècles ne font jamais que peu de générations-, des rois, des papes et des princes, et un saint, entre autre.

     

    "Une nouvelle association Une nouvelle association, sortant du classique, qui rien que par son intitulé, attire l'attention des personnes : il s'agit de l'"Association Christobal Borja", a vu le jour au village. Que signifie cette appellation et pourquoi ? Cela fait quatre années qu'Erik Borja, employé du conseil général, travaillant à Narbonne, a commencé son travail de recherche sur la généalogie et les origines de sa famille. Il passe pratiquement tous ses loisirs sur ce vaste sujet ce qui lui a permis de recenser 820 personnes pour lesquelles une véritable filiation est prouvée. Il est remonté jusqu'à l'année 1788, malgré des difficultés, en particulier pour la partie espagnole, compte tenu des événements de 1939. A ce jour, il est prouvé que cette famille a pour ancêtre, Chritobal Borja, né à Altea, petit port de pêche, situé à proximité de Zaragoza [le journaliste a dû se tromper, Altea est proche de Gandia, où se trouve le palais ducal, c'est la ville de Borja qui se trouve près de Zaragoza ], descendante d'un comte, Pedro de Atares et du chevalier Esteban Borja prouvant ainsi les origines nobles de cette famille. Emigrant en Italie où leur nom a été "italianisé" en Borgia avec les Papes Alexandre 6 (1492 à 1503) et Calixte 3 (1455 à 1458), donnant à la famille les illustres César et Lucrèce Borja, bien connus de tous. On peut encore voir dans les fiefs espagnols de cette famille les vestiges de leurs passés en particulier le palais Ducal de Gandia ou l'église de Jativa. Une "branche" a émigré à Altea, pour ensuite partir vers l'Algérie, où elle s'installe dans la région d'Oran dans la ville de Saint-Denis du Sig, avant en 1962, pour à l'Indépendance de ce pays, revenir en Europe et tout particulièrement en France. Le but de cette association est de continuer de rechercher les membres de cette famille, toutes branches confondues, d'organiser des "cousinades" des voyages au pays des ancêtres et compléter l'arbre généalogique de la famille. Une première réunion s'est tenue cette année rassemblant plus de 150 personnes et les recherches actuelles menées avec un village français du Tarn, jumelé avec Borja, ont fait avancer rapidement certaines pistes de recherche.

     

    Pour tous renseignements et informations vous pouvez téléphoner au 04 34 27 90 16"



    Lien permanent Catégories : culture
  • Jean-Marie Le Pen n'est pas un homme honnête, ça se confirme

    Ni un honnête-homme.

    JMLP fustige le colbertisme et l'interventionnisme de

    l'Etat, il condamne le Roi-Soleil.


    Jean-Marie, ôte-toi de notre soleil, la France est notre

    soleil !

  • Il y a Renseignement et Renseignement, renseignez-vous.

    Nos services de renseignement doivent pouvoir écouter et surveiller nos dirigeants, savoir où ils prennent et planquent leur pognon, à qui ils font allégeance.

    A ce propos, il serait intéressant de connaître de la position exacte d'un Florian Philippot vis à vis du libéral cons La Gallou, alors qu'il semble, comme Marine Le Pen, entretenir des liens avérés, ténus et dangereux avec le Club de l'Horloge, ce qui va à l'encontre évidemment du discours officiel sur la place de l'Etat en France quand l'animateur de Polemia est un caniche de la version la plus anglo américaine du sujet et de tous les autres. 

     

    Le renseignement sait que Bob a bossé pour la CIA puis pour les services de renseignement privés issus de la CIA qui pensaient que l'Etat s'occupait trop de leurs affaires.
    C'est déjà ça.

     

    Ménard est là pour imposer l'idéologie américaine selon les théories du Club de l'Horloge, laisser faire Ménard, c'est tuer Jeanne une fois de plus.

    Je suis pour un renseignement renforcé, tant que ça renforce l'Etat à une époque où le seul danger est de le perdre, c'est tout bon.

    Si les services secrets se font attaquer comme les groupes libéraux maffieux attaquent l'école, la justice, etc., cela donnera les mercenaires des services de renseignement privé comme aux USA, et alors là, aucun contrôle, la loi renseignement actuelle, c'est l'écoute de grand papa à côté.

    C'est d'ailleurs pour cela que tous les lobbies libéraux d'extrême-droite critiquent tant cette loi, même si l'effervescence anti bougnoule ne les dessert pas pour autant.

    Il voudrait cela, le contrôle (privé) mais sans contrôle (de l'Etat), le libre contrôle de la libre expression dans le meilleur des mondes libres.

  • Du fascisme en général et de celui des Femen en particulier

    Elles ont les mêmes exactes méthodes d'activiste que les lobbies libertariens de Washington.

    Or en France, parce que nous sommes en démocratie, si l'on a des choses à défendre et à exprimer au nom de tous, cela passe par les urnes, autrement, on ne représente que soi-même, et imposer son point de vue de force, par la violence, c'est du fascisme.

    Elles sont identiques à ceux du Printemps Français et autres Hollande Dégage et Identitaires, avec les mêmes financements privés.

    Le problème des Femen est qu'elles ignorent ce qu'est la démocratie, ce qui n'est guère étonnant venant de filles de pays de l'Est financées par des fonds américains.

    Elles ne comprennent donc pas que nous avons une police et une justice publiques en France, que les deux relèvent des attributs de l'Etat et donc de la souveraineté du peuple.

    Et qu'ainsi, leurs interventions en milice d'une justice privée, ne sont que fascisme, elles ont déjà une longueur d'avance en matière d'extrême-droite.

     

     

  • Le maire de Nantes veut créer sa monnaie libertarienne

    Certains sont ignorants, mais d'autres savent parfaitement ce qu'ils font avec cette monnaie de substitution.

    La monnaie a du sens et une histoire.

    Dès lors que l'on veut s'affranchir de l'Etat-Nation, on s'octroie le droit de battre monnaie en dehors de son cadre, qui est celui de la France.

    C'est ainsi qu'Anne de Bretagne, qui avait pertinemment compris quelle souveraineté y était attachée, a réclamé du Roi de France cette prérogative lors de son deuxième mariage.
    Par ce simple fait, elle avait apporté plusieurs siècles d'indépendance à la Bretagne.

    Heureusement pour les Bretons, la France a repris le dessus, sans cela, la Bretagne serait retournée un jour ou l'autre son domination plus forte et les Anglais -et leur droit beaucoup moins unitaire, plus individualiste, moins protecteur que le nôtre- auraient pu être cette domination.

    L'EU nous a déjà pris ce droit qui confère à un pays, la clef de voûte de sa souveraineté réelle. Sans droit de battre monnaie, ce sont les détenteurs de ce pan de souveraineté qui décident.

    Ils peuvent ne pas être élus, et leur puissance infra nationale ou supra nationale (impériale), a toutes les chances de basculer dans des mains qui spolient le peuple de son droit de décider pour lui-même.

    Le bitcoin est une monnaie libertarienne (droite de la droite de la droite), c'est le moyen de faire passer une monnaie des mains du public (c'est-à-dire des nôtres à tous), à celles du privé, et de ne servir alors que des intérêts privés contre l'intérêt général, et donc au seul profit d'un petit nombre qui possède le capital le plus gros.

    Et c'est ainsi que la bêtise de la gauche finit par servir le pouvoir de l'extrême-droite.

     

    A Nantes, cette monnaie dématérialisée doit faciliter les échanges inter-entreprises. Sa valeur est égale à celle de l’euro.
    ENTREPRISE-NANTES.FR

     

  • Rama Yade, le plumage libéral derrière le ramage républicain

    Rama Yade raille les socialistes qui, appliquant les directives de l'OCDE et l'idéologie pédagogiste américaine préfèrent le stand up d'un Debbouze au latin.

    Une Rama Yade qui accélérerait bien elle, le processus de libéralisation de l'école, qui commence par cette rupture allant de notre ancienne formation de l'Honnête Homme, vers l'utilitarisme marchand, avec l'externalisation progressive des "projets" pédagogiques vers le privé.

    Elle ne devrait pas la ramener, car à bien des égards, Debbouze est plus Français qu'elle qui défend une idéologie libérale très anglo américaine.

    Idéologie qui au demeurant, se sied parfaitement d'un communautarisme qui brosse les gens comme Debbouze dans un sens qui nous est étranger.

    Rama Yade étant une dangereuse extrémiste qui appelle à plus de libéralisme par la violence comme l'a bien révélé son entretien avec le collabo libertarien Jean Robin.

    Le clivage politique ne réside que là, entre les tenants d'une idéologie au service des puissants contre la majorité, dont Rama Yade est un pion, et les tenants d'une société protectrice avec un Etat garant d'un gouvernement au service de l'intérêt général contre les intérêts particuliers.

    De latin et de Rome, on retient Tite-Live, la res publica, l'organisation de la Cité en société, pas l'anarchie américaine et sa liberté du renard dans le poulailler.

  • Frédric Lordon ou le retour du Jedi et de l'équilibre dans la force ?

    Une double pleine page dans le Monde Diplomatique pour un Lordon à la hauteur.

    "«Comme une conséquence logique de la stratégie de l’évitement, la fiscalité s’impose alors comme l’unique levier résiduel lorsqu’on a abandonné d’agir sur tout le reste. Disons les choses un peu rudement : démissionner de transformer les structures, c’est se condamner à passer la serpillière. Et la fiscalité n’a jamais été autre chose : la serpillière sociale-démocrate – faute de toucher aux causes, tâchons au moins d’atténuer les effets...»"

    "On peut répéter avec constance, et sur mille page, que les inégalités croissent quand r (le taux de profit) est supérieur à g (le taux de croissance), on n'a rien expliquer tant qu'on n'a pas donné les déterminants du taux de profit et du taux de croissance propres à chaque période.
    Or chacun a les siens, qui dépendent de l'agencement particulier de ses structures.
    Lequel est le produit de luttes politiques, et, disons le mot, de luttes des classes.

    C'est parce que 1936 a préparé le terrain, parce que les élites libérales des années 1920-1930 ont été liquidées, parce que le patronat s'est couvert de honte dans la collaboration, parce que le Parti communiste français est à 25 % et parce que l'URSS tient le capitalisme en respect que le lendemain de la seconde guerre mondiale voit un impressionnant mouvement de synchronisation institutionnelle au terme duquel le rapport- de forces- capital/travail bascule en faveur (relative) du second terme : contrôle serré des capitaux, réduction à croupion de la bourse, concurrence internationale hautement régulée, politique économique orientée vers la croissance à 5 % et le capital ramené (de force) à un peu plus de décence."

     

    D'un côté, l'idée qu'il faut mieux répartir les richesses grâce à un impôt mondial, de l'autre, celle qu'il faut aller plus loin et renverser le rapport de domination qui fonde...
    LIBERATION.FR
     
  • Il est des politiques qui meurtrient les corps comme les âmes

    Les conservatoires de musique vont-ils devenir les victimes d'une politique de la ville qui comme l'EN pour l'école, voudrait en baisser le niveau pour les rendre accessibles à tous ?

    Ils accueillent tout le monde - et pas assez de monde sûrement, faute de moyens-, sauf que c'est l'effort qu'ils demandent qui est accessible, pas une simple place, voilà tout le blâme !

    Quand sous le prétexte d'une politique de gauche, on en aurait effectivement baissé l'exigence, on aura vu entre temps fleurir des boîtes privées, trop contentes de l'aumône, qui auront fleuri en prétextant d'avoir gardé le niveau -ce qui sera en réalité illusoire puisque la logique de profit amènera bientôt là aussi, à s'arranger pour avoir plus de clients, la rentabilité exige davantage la quantité que la qualité quand celle-ci n'est tout simplement pas vendable puisque ce serait le client qui en serait redevable.

    Et encore faudra-t-il changer alors aussi de nom, de "conservatoire", il conviendra de dire "observatoire", "laboratoire", "déambulatoire", "l’illusoire", avant le "crématoire" sans doute, avec grand autodafé de partitions jugées trop élitistes.

    Le conservatoire traditionnel mène à la création car seule la maîtrise permet l'invention.
    Les labos des nouvelles politiques n'engendreront que la répétition, plus ou moins mauvaise.

    Après les humanités, fallait-il encore abattre avec le conservatoire, tout le répertoire !

    Il ne leur suffit plus de créer la misère matérielle, il leur fallait aussi l'indigence intellectuelle et celle qui touche l'âme.