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  • Finalement, on va peut-être attendre que le vieux crève pour changer de nom

    Là encore Maupassant a su voir tout cela dans son petit peuple normand, comme Pagnol dans son petit peuple de Provence.
    Nous sommes humains, nous sommes tordus.

    "- Je t'aime Manon, je t'aime d'amour ! 
    Je veux te marier, je suis tout seul, j'ai personne à nourrir, le grand-père il est mort, la grand-mère elle est morte, mon père s'est pendu quand j'étais petit, ma mère est parti de la grippe, y'à plus que le papé. Il est riche, il est vieux, IL VA CREVER ! 
    Il va tout me laisser, et tout sera pour toi, parce que je t'aime, je t'aime ! "

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • Chauprade, l'extrême-atlantiste

    Qu'est-ce que l'atlantisme ?

    Au XXème siècle, la définition en était celle du courant politique conceptualisé au début de la guerre froide qui prône une alliance militaire centrée sur les États adjacents à l'océan Atlantique Nord et, par extension, entre l'Europe et l'Amérique du Nord (spécialement les États-Unis et le Canada). Cette alliance s'accompagne d'une coopération dans les domaines politiques, économiques et culturels.

    Ce courant politique donne pour objectifs à cette alliance d'assurer la sécurité des pays membres et de protéger les valeurs qui les unissent : « la démocratie, les libertés individuelles, et l'État de droit (rule of law) ».

    L'OTAN est une des expressions de l'atlantisme.

    Au XXIème siècle, cette définition s'affine.

     L'atlantisme est souvent dénoncé, principalement dans certains pays d'Europe, comme une défense du libéralisme économique et un soutien à la politique étrangère des États-Unis.

    Et c'est là que le conseiller de Marine Le Pen intervient.

    Il joue sur la définition.

    Car, ce n'est pas assez connu et dénoncé, mais Aymeric Chauprade fait partie des lobbies libéraux de Washington les plus furieux.

    Le mouvement national français devrait non seulement s'en apercevoir mais encore, le renvoyer dans ses cordes à grands coups de coup de pied au cul.

    Certes, nous le répétons, "liberal" n'a pas aux USA la même définition que nous en avons.

    Quand je parle de libéralisme extrême, je parle des libertariens, pour qui le terme de libéral est une insulte puisqu'assimilé au "liberal" américain qui est moins anti étatiste qu'eux, ce qui en fait un indécrottable gauchiste à la limite du communiste, un quasi communiste.


    Aymeric Chauprade est affilié à Washington par ceux qui aux USA, se réclament des pères fondateurs des Etats-Unis, issus des très maçonniques Sons of Liberty et de la Boston Tea Party, qui mettent la liberté au-dessus de tout, si bien que l'Etat (qui doit être "fort" pour cela) se doit de garantir cette liberté, et seulement cela (Vous aurez ensuite divers sous courants querelleurs autour de la façon dont l'Etat doit se réduire à peau de chagrin en dehors de sa prérogative essentielle de faire respecter l'ordre libéral).


    De l'Institut Thomas More aux formations qu'ils dispensent au sein de l'Institut de Formation Politique/IFRAP dont il refourgue les stagiaires à Marine Le Pen, en passant par le Front National, le parcours de Chauprade est cohérent.

    Toutes ses coteries avec Radio Courtoisie, Contribuables Associés, Polemia et autres Horlogers de l'Institut Pour La Démocratie et la Coopération, ne font que conforter cette solide cohérence.

    Ces organismes se sont donné pour tâche de se répandre et de répandre leur idéologie au sein, non seulement des mouvements politiques (tous), mais aussi et encore directement dans les écoles, les universités, les milieux économiques et médiatiques.
    Ce à quoi ils réussissent parfaitement.

    Les politiques actuelles en sont la preuve, même si évidemment pour eux, le but du libéralisme intégral est loin d'être atteint, trop de résistances en France (du fait de nos institutions), leur Institut Pour La Justice (pendant justice des libertariens) s'acharne pourtant, avec tous ses relais d'Obertone à Zemmour en passant par Fdesouche, à faire sauter ce dernier pan de souveraineté français.
    L'école aussi est bastion non encore entièrement pris, et là encore Zemmour donne de son corps, les écoles hors-contrats de ses amies Anne Coffinier/Agnès Molinier (à côté de laquelle Sophie de Menthon ferait pâle figure ..., On se comprend n'est-ce pas) sont à la charge contre l'école républicaine.
    Et ne parlons pas de cet horrible modèle social français pour assistés, comme aime à le rappeler la petite Marion Maréchal Le Pen (qui n'a elle, jamais eu à travailler de sa petite vie mais qui trouve les Français fainéants, faut pas chercher plus loin l'aura qu'elle revêt auprès de la clique réaco libérale).

    Alors oui, je vous entends déjà :" Mais n'importe quoi, Chauprade est contre le Pentagone, le Département d'Etat, la FED.

    Oui, je l'ai déjà expliqué.
    Il l'est, comme le sont tous les libertariens.
    Ron Paul fustige toutes ces organisations étatiques car il les voudrait justement détachées de l'Etat.
    Le privé fait partout mieux que le public, n'oublions pas leur paradigme.
    Les mercenaires font mieux que les armés d'Etat qui coûtent cher aux contribuables (on a bien compris le leitmotiv).


    Alors qu'est-ce que l'atlantisme ?

    Se faire caniche des Américains, qu'est-ce que ça signifie ?

    Cela signifie que l'on adopte leur vision du monde (qui rappelons-le, s'est bâtie en opposition avec notre modèle français).

    Et en cela, Chauprade est plus royaliste que le roi, il se veut plus Américains que les Américains, un Américain pure souche, un vrai fils de la liberté, qui travaille à une France américaine en pilotage automatique.

    Chauprade, Zemmour, ne sont guère éloignés d'un Macron, toute la différence est dans la subtile nuance qu'ils font entre leurs degrés respectifs de servitude au modèle américain en fonction de l'école américaine dont ils se sentent le plus proche, entre Ecole de Chicago et Austrian School; ne manquant pas de mettre en scène à grand renfort de trémolos et de couvertures médiatiques, les subtilités de leurs querelles libérales.

    Le tout sur le dos de la France, de notre Etat-Nation garant-interventionniste de notre unité et de notre prospérité, de la transmission de l'héritage national, et qui s'incarne à travers des pans de souveraineté battus en brèche tant par les uns que par les autres.


  • Les amis de Zemmour sont ceux d'une France américaine

    Les amis de Zemmour

    Ce mercredi 15 juin 2011 a eu lieu la cérémonie de remise des prix de la 2e édition du Grand Prix de langue et de culture françaises, organisé par la Fondation pour l’école. Elle s’est déroulée dans...
    OPUSINFIDE.COM
  • Comment je m'appelle, qui suis-je, d'où viens-je, où vais-je ? Marine Le Pen se cherche un nom

    Disney s'est inspiré de Marine Le Pen pour trouver l'idée de faire passer Luc du côté obscur de la force.

    Bon, pour passer de la république à l'empire, je suppose que le prochain nom sera du genre Debout-(Là-d'dans)-La France-Bleu-Marine (ça fait bien gogaullopaneuropéen ça), mais si elle tombe encore dans le fond de la piscine, ça deviendra la France Bleu étoilé Chauprade, la France Rose Philippot, la France Brun Zemmour ?

    Entre droit à connaître ses origines et droit à l'oubli, le Front en perd son nom, Dark-blue Marine, ça vous dit ?

  • Après Malalalalalala, la voix de son père et des Américains, le Nobel d'économie qui veut nous aider à trouver la voie libérale

    Pour le prix Nobel d’économie Jean Tirole, la France a une structure de l’État trop lourde, son modèle social coûte trop cher. Il veut donc bien aider tout gouvernement à dégraisser tout ça.

    Celui-là aussi le vaut bien ...

  • Zemmour, le côté obscur de sa force

    Qui a déclaré vouloir des écoles distinctes pour les enfants de « ceux qui ne lisent pas les mêmes journaux, ne votent pas pour les mêmes partis, n’ont pas les mêmes genres et styles de vie, etc. » ?

    La copine d'Eric Zemmour, Anne Coffinier, de SOS Education, qui s'est donné pour mission de détruire l'école à la française pour instaurer le modèle américain le plus abject.


    Anne Coffinier n'étant que la branche éducation de tous les lobbies libertariens issus de l'idéologies des Fils de la Liberté fondateurs des Etats-Unis sous le paradigme de la Boston Tea Party.

    Zemmour qui se donne dans les bras de son amie extrême-extrémiste, gracieusement, "Je ne me suis pas fait payer" m'a-t-il écrit quand je lui mettais le nez dedans.
    Sous prétexte que ces lobbies ultra sauveraient l'école, rétorque-t-il encore.

    Sauvez l'école en donnant le coup de grâce à l'école républicaine, voilà la logique ?

    Zemmour, un si attentionné observateur de la chose politique qui se précipite en nous entraînant dans ce piège, est-ce bien raisonnable ?

    Et surtout, surtout, est-ce bien l'idée que nous nous faisons de la France ?

     

    En parlant de salopards, un trou du cul peut en révéler un autre :

    http://www.in-nocence.org/public_forum/read.php...
    En constatant le désastre de l’Éducation nationale, Anne...
    IN-NOCENCE.ORG
     
    En constatant le désastre de l’Éducation nationale, Anne Coffinier, ancienne élève de l'E.N.A. et de l'École Normale Supérieure, s'est lancée dans le conseil à la création d'écoles indépendantes en créant la Fondation pour l'École

    Cette semaine, elle inaugure la première édition d'un concours national de la langue et de la culture françaises destiné aux élèves de CM2 et de 4è. 

    L'un des membres du jury du Grand Prix 2010 a pour nom Éric Zemmour. 

    Canal Académie vient de mettre en ligne un entretien avec Anne Coffinier : ICI

     

  • La jeunesse est un état d'esprit

    Le FNJ n'est pas fait pour s'occuper des jeunes, il est fait pour apporter un regard jeune sur la politique en général -si possible en ne singeant pas les plus vieux à la Marion Maréchal qui était vieille avant d'avoir été jeune.

  • Malala ou l'effet Malabar

    On se fout du monde, son père est à la tête d'écoles de filles, il est membre de l'ONU (où l'on sait que les vainqueurs de la dernière guerre sont plus égaux que les autres), il se sert d'elle depuis toute petite, elle n'est que la voix-perroquet de directives qui entendent casser les sociétés traditionnelles certes rétrogrades par la non-place qu'elles accordent aux femmes, mais Malala n'est que la voix de l'Occident -déguisé d'un voile sur la tête de cet enfant pour mieux avancer caché - Occident qui s'ingère dans les affaires de pays pour y substituer son modèle libéral et où la femme n'aura bientôt plus le droit d'élever ses enfants faute de devoir travailler, et où non seulement toutes les petites filles mais aussi tous les petits garçons sont voués à devenir des numéros sans âme.

     Et cela, on sait que l'on peut toujours le gueuler dans le désert ...
    Prix Nobel de la paix.

    Prix Nobel de la paix.

    Le père de Malala et l'enfant porte-voix

    Ziauddin Yousafzai - Stars at the Glamour Honors the Women of the Year

     

    Ziauddin Yousafzai - Christiane Amanpour Interviews Malala Yousafzai

    Ziauddin Yousafzai - Christiane Amanpour Interviews Malala Yousafzai

  • Attali, ton monde n'est pas le nôtre

    Attali participe du dénigrement du politique, il veut lui donner la dernière estocade et ce faisant, porte le libertarianisme à venir bien haut.
    Ce qui favorise ses activités et les activités des banquiers en général.

    Une armée de petits autoentrepreneurs qui s’étripent à gagner trois cacahuètes sans aucun filet, sans Etat, sans protection, jusqu'à ce que mort s'en suive, et si possible rapidement après avoir dépensé son énergie vitale à rembourser son micro crédit, une fois usé, il est un poids mort.

    Au besoin, une solution d'euthanasie l'aidera quand il aura découvert que seul, il n'est évidemment qu'une merde.

    La politique, c'est la société, or, selon Attali, chaque individu devrait recréer sa société -dans tous les sens du terme- à sa petite échelle, chacun vivant individuellement au milieu des autres sans autre sens commun que celui de son petit intérêt, sans quête commune que sa seule petite satisfaction.

    Cette société n'a pas de sens, elle existe hors-sol, elle nie que l'on puisse transmettre et que pour transmettre, il faut un cadre, des protections, des structures communes bâtis autour de l'idée de société.

    Cité qui n'existe que si des hommes s'occupent des affaires de la cité, et donc, mettent le politique au centre.

    Autrement et sans cela, ce sont les puissants qui décident, c'est l'argent donc, qui règne.

    Processus largement entamé par cette oligarchie dont Attali est un maillon.

    Attali n'est pas devenu soi tout seul, il est devenu quelqu'un par héritage, et s'est efforcé ensuite à faire en sorte que les autres ne bénéficient plus de cet héritage républicain et que seul le pouvoir de l'argent fasse la différence et le mette sur un piédestal.

  • Zemmour, très peu pour moi

    Ce n'est pas moi en tout cas qui grossirai le troupeau des lecteurs (qui ont la foi répugnante des nouveaux convertis) de Zemmour, l'extrême-droite -et surtout la sienne qui est plus sérieuse, et que je vomis encore plus que la folklorique-, très peu pour une vraie partisane de la France.