Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

"Chacun est seul responsable de tous" - Page 96

  • Le Mouvement pour la Démocratie Directe, exemple concret

    Je n'ai rien contre lui et partage l'idée que l'argent public doit être un sujet public, mais.
    Mais je connais bien les réseaux qui l'ont coopté via son association pour la démocratie directe.

    Il se fait berner, utiliser, par des lobbies qui ont d'autres projets en tête.

    La Démocratie directe est non seulement une idéologie anglo américaine qui mène directement au gouvernement des lobbies et n'a pas été retenue par notre république pour cette raison.

    Il s'agit d'un débat juridique complexe entre notre vision unitaire de la société et l'idéologie communautariste libérale anglo saxonne.

    Mais encore le mouvement pour la démocratie directe est-il un mouvement impérialiste mondial tenu par les libertariens.

    C'est un de leurs leviers de déstabilisation des Etats, ils en ont de nombreux autres (la religion, la justice, l'éducation, etc.).

    En France, Etienne Chouard est un de leur pion.

    Ils ne procèdent que par manipulation, en utilisant des bonnes volontés et on le voit, des hommes souvent remarquables, mais ignorants des idées politiques, de l'histoire du droit, des différentes civilisations et la façon dont elles ont façonné leurs sociétés respectives, des lobbies, des réseaux, des idéologies.

    Les réseaux du Mouvement pour la Démocratie Directe sont utilisés par l'extrême-droite.

    Il s'agit plus spécifiquement des réseaux libertariens américains, qui ont tissé leur toile en France depuis une vingtaine d'années.

    Ils passent notamment par le Club de l'Horloge et les Contribuables Associés.

    Le « petit prof de maths » a eu raison d’un des secrets les mieux gardés de la République : la réserve parlementaire Ce jour-là, Hervé Lebreton, 43 ans, était à...
    SUDOUEST.FR
     
     
       
  • Vu du Front d' un point de vue implacable

    Lorsque j'ai commencé à fréquenter le Front, l'anti-thatchérisme était bien présent, et "Le Vieux" comme nous l'appelions, avait cessé d'y faire référence et nous en parlions entre nous comme une page trouble qu'il était de bon ton de tourner.

    Ce n'est qu'avec le temps que j'ai découvert les lobbies (et les visages) qui tournaient autour du Front et comment tout cela s'agençait.

    Durant cette période où je suis arrivée, ces lobbies étaient dans l'idée de lâcher Le Pen, il y avait Villiers sur lequel miser, cela y a contribué.
    Et même s'il restait une fange de leurs soutiens au sein du Front, ceux que j'explique avoir combattus.

    Avec Marine et le regain politique que cela suscitait, ils sont revenus à la charge, et plus forts encore.

    A l'époque, il n'y avait pas encore l'IFRAP, ni l'Institut Pour la Justice, ni l'Institut de formation Politique, ni les Bourses Tocqueville, les lobbies libéraux se sont organisés, ont formé des cadres, qu'ils ont refilé à Marine (comme à d'autres).

    Marine était en manque de compétences et de troupes, elle a tout accepté les bras ouverts, ces cadres sont souvent diplômés, propres sur eux, opérationnels.

    C'était une aubaine pour Marine, qui n'a pas du tout voulu voir le piège politique.

    Elle se balade avec une troupes d'économistes qui se déclarent tous libertariens, et ça ne dérange personne, parce que personne n'y comprend rien, ni les journalistes (ou à peine, je les ai un peu secoués, voir beaucoup, ce qui a dû les énerver un peu, mais les a un peu obligés à réagir), et encore moins les militants (qui n'ont souvent aucune conscience de ces mouvements), ni les électeurs (qui sont souvent dans l'urgence sociale).

    Quant à l'immigration, ce n'était pas vraiment un sujet pour moi, ce n'est pas ce qui a motivé mon adhésion.

    Je vivais depuis toute petite dans un monde plein d'immigrés, mon père était (est toujours) médecin de banlieue à Nice, les immigrés, ouvriers, travailleurs et pauvres, constituaient l'essentiel de sa patientèle.

    Mon père nous racontait combien il y en avait d'admirables, combien il y en avait de voyous, ceux qui travaillaient beaucoup, qui tuaient leur dos au travail ou leurs poumons, ceux qui lui tendaient des pièges dans les tours de l'Ariane, le séquestraient pour piquer des ordonnances pour de la drogue, vandalisaient et pillaient sa voiture.
    Mais il y avait les mêmes chez les non-immigrés, des drogués sont venus plusieurs fois à son cabinet le menacer.

    Son cabinet est dans une barre HLM, on a d’ailleurs habité dans l'appartement situé en face sur le pallier pendant longtemps.

    Mon père était un vrai médecin, il s'occupe admirablement de ses patients, même s'ils peuvent lui en faire voir de toutes les couleurs, il a souvent pesté.
    J'ai connu mon père finançant les obsèques d'immigrés africains, je me souviens d'un jeune joueur de basket notamment, qui était très grand, il avait fallu un grand cercueil.

    Avant la CMU ou l'AME, mon père ne faisait pas payer les gens qui n'avait pas d'argent, il était médecin avant tout.

    A l'école et en fac, j'ai toujours été dans des groupes d'amis où il y avait des copains d'origine étrangère, ça n'avait aucune importance, ce qui avait de l'importance, c'était leur valeur personnelle.

    Quand je suis arrivée au Front, je discutais de tout cela avec d'autres cadres, je posais très clairement que je n'étais pas raciste, ni antisémite (j'étais élevée dans la religion juive).

    J'étais juriste de plus, les politiques migratoires, le droit de la nationalité sont des choses qui s'étudient en faculté, ce sont de vrais sujets.

    Le problème des politiques en la matière sont d'ordre idéologiques.
    Le patronat a eu besoin de mains d'oeuvre pas chère et peu revendicatrice.

    Même si des pays comme la France attire naturellement l'immigration, il fallait tenir compte de la mise en retrait forcée de l'idée de nation, d'assimilation, d'unité, au profit d'idéologies intégrationnistes, communautaristes anglo saxonnes.
    De l'utilisation des immigrés pour infléchir le droit du travail.

    Pour ne rien dire des politiques impérialistes, du vol des ressources des pays d'où ils provenaient, des mouvements fomentés pour asseoir une domination, les déplacements de population, le déracinement que tout cela engendrait.

    Toutes ces questions méritaient d'être débattues, et jamais le sujet politique n'a été de s'en prendre aux hommes, nous étions tous dans la même galère, eux pire encore.
    Il s'agissait de s'en prendre aux politiques et aux hommes politiques, ainsi qu'aux puissances impérialistes, d'Etat ou privées.

    Aujourd'hui, les lobbies libéraux auxquels Marine s'est rattachée, se servent notamment du levier religieux, communautaire, pour avancer.

    J'ai nommé très précisément les réseaux de David Horowitz et de Jihad Watch, j'ai envoyé à Louis (Aliot), les preuves que Michel Thooris, son protégé, ou que Geert Wilders, étaient de leurs agents.

    Louis n'a jamais rien voulu dire, il m'a seulement dit de lui envoyer ce que j'avais, que ça l'intéressait, et puis rien.

    Louis et Marine ont gardé ce côté ambigu d'un JMLP dont on leur a appris que cela permettait beaucoup de choses.

    Ils pensent de toutes leurs intrigues sont des stratégies de haute volée, et il est au final impossible de savoir ce qu'ils en pensent vraiment, et où ils se situent dans leur degré de compromission.

    Le fait est que, malgré tous les pédalages dans la semoule de marine ou d'autres, l'anti islam est prégnant, elle a beau affirmer d'un côté qu'elle fait une différence, l'amalgame est au contraire complet et les alliances avec ceux qui crachent très explicitement sur l'islam et les étrangers, patentes.

    Lien permanent Catégories : culture
  • Trois Le Pen, deux lignes, un échec

    Marion Maréchal Le Pen ne pratique en rien "l'ouverture" en cooptant un cadre sarkozyste et un cadre Identitaire de premier plan qui n'ont évidemment aucun renoncé à ce qu'ils furent et étaient encore hier, ce ne sont pas des "ex" de droite et d'extrême-droite, ils sont en plein dedans.

    C'est même d'ailleurs tout l'intérêt que MMLP y voit.

    La dernière Le Pen est la plus libérale cons de toute la famille, elle a la ligne droitarde que même Le Pen n'a jamais eue avec autant de fidélité.

     

    Même si JMLP réécrit sa propre histoire à longueur d'année, il a beau dire, la ligne dite Philippot, nous l'avions eue au Front avant la lettre.

    Nous étions méchamment appelés les "gaucho lepénistes" par les libéraux de la mouvance alors que Philippot était encore dans les jupes de sa mère.

    Et si Marine a percé avec ce courant qui n'avait rien de droite, c'est que JMLP l'a adoubé lui-même.

    Marine a accueilli Florian Philippot dans ce contexte, parce que nous étions déjà ainsi.

    On peut toujours lire mes textes sur NPI où mes propos sur l'Etat et contre la mouvance libérale cons aujourd'hui représentée par Marion Maréchal, ne laissent aucun doute.

    Les gollnischiens ne s'étaient d'ailleurs pas trompés en me prenant pour cible en me présentant déjà comme la "gauchiste" de Marine à abattre.

    Et avant cette période, les Mégret, Lang et Stirbois, représentaient déjà cette tendance incarnée aujourd'hui par MMLP, c'est elle la plus ringarde de la dynastie.

    Le Pen les a écartés parce que le désaccord sur le fond était là et pas pour défendre le Front familial à l'époque, cela est venu après, n'en déplaise même à JMLP qui ne moufte pas sur le désaccord au fond comme s'il ne voulait jamais parler des réseaux du Club de l'Horloge ou de Contribuables Associés.

    Il faut dire que les journalistes ne font pas leur travail en ne lui mettant jamais le nez dedans, on assiste à un xième Complément d'Enquête toujours identique, leur journalisme ronronne par fainéantise, incompétence, incapacité, comment savoir ?

    En revanche, JMLP nie le "Front familial" avec Marine, ce que je crois également, il a cautionné Marine parce qu'il savait les autres sur une autre ligne.

    Il voulait préserver les cathos libéraux cons et tous les autres courants, mais pas leur laisser la main.

    Il pensait et voulait que Marine continue à préserver chèvres et choux parce qu'il se moquait des conséquences et de leur effet repoussoir parce qu'il ne voulait pas le pouvoir, et qu'il leur reconnaissait une force lobbyiste qui pouvait aider son entreprise.

    Marine a rejeté violemment les branches les plus sulfureuses au folklore d'extrême-droite trop apparent, mais pas les plus dangereuses.

    Ce sont d'ailleurs les lobbies les plus dangereux, non pas "juifs" (comme le prétendent les nazbrocs), mais libéraux avec une composante sioniste car pro communautariste de manière générale et selon une logique toute libéralo anglo américaine, qui l'ont incitée à se débarrasser des fanges antisémites, pétino réviso mentalo gagas.

    Et même si je suis certaine que Marine ne surfait rien sur le coup de se séparer de ces plaies à tous égards.

    J'ajoute que les liens existent toujours, l'extrême-droite est un petit monde, de La Manif Pour Tous à Civitas en passant par le Printemps Français, Opus Déi bien compris, on peut toujours être ramener à Rivarol et à l'Oeuvre Française.

    Marion Maréchal Le Pen est marionnétisée depuis le départ pour relancer la vieille idée d'extrême-droite, du Club de l'Horloge, de Mégret jadis, de Ménard aujourd'hui, d'Union des droites.

    Il ne s'agit en rien d'une "ouverture", il s'agit au contraire d'une idéologie infiniment sectaire de la fange libertarienne de reprendre la droite en main, contre une droite qu'elle trouve trop molle, pas assez libérale, avec ce côté puritain sur les moeurs qu'on lui connaît et qui s'analyse, je l'ai déjà fait dans d'autres papiers.

    L'ouverture, j'ai toujours été la première à la prôner au sein du Front, c'est d'ailleurs moi qui ai incité Guillaume Aral, qui était un camarade de classe en qui j'ai confiance, à se lancer à Nice et qui l'ai recommandé auprès de Louis et Marine il y a trois-quatre ans en préparation des élections municipales.

    Guillaume aime profondément Nice et a des compétences et une morale dont je suis sûre, mais il ne comprend pas les enjeux politiques qui l'entourent.

    Cette rengaine à droite que MMLP trimbale est une histoire déjà écrite, elle a fait l'objet d'affrontements tout le long de l'histoire des tentatives de captation du mouvement national par l'extrême-droite.

    L' épisode Millon en fut un exemple, les réseaux derrière, toujours les mêmes.

    Sauf que la confusion est grande parce qu'aucun des Le Pen n'est au fond plus clair l'un que l'autre sur le sujet.

    Marine et JMLP ont fait en douce ce que MMLP a pour la première fois fait en force, ils sont tous les trois responsables.

     

    Il ne faudrait pas oublier une chose, l'électorat frontiste, même en PACA, n'est pas celui de la mémère à chats aigries qui en veut aux hommes en particulier et à la terre entière en général.

    Il n'est pas plus celui de bourgeois qui estiment qu'en tout pauvre réside un parasite à éliminer.

    Ni même celui qui veut foutre tous les bougnoules à la mer.

    Ceux-là ont des candidats plus traditionnels à droite qu'au Front, et aux moindres sirènes, rejoignent le bercail, ce qui explique les scores médiocres du Front chez nous à Nice.

    Cet électorat, je m'y suis frottée assez souvent pour le connaître un peu.

    Dans le Sud comme partout en France, c'est l'avenir économique et donc social qui aspire vers le Front.

    MMLP a tout faux, elle est dans une vision diamétralement opposée.

    Elle veut juste siphonner la droite et faire comme elle, soit une ambition de merde qui finira logiquement dans le caniveau.

    Lien permanent Catégories : culture
  • Le grand modèle américain

    Tiens, il nous rappelle une jeune première de la dernière averse çui-là ...

     

    Populiste, anti-immigration, pourfendeur des pauvres : le personnage s’attire la sympathie de certains électeurs mais aussi les foudres de son propre camp.
    OUEST-FRANCE.FR

     

    Lien permanent Catégories : Brèves
  • C'est Marion Maréchal Le Pen qui va rembourser ?

    On eut préféré qu'ils brûlassent des voitures ...

     

     

     

     

     

     

     

    Les agriculteurs ne brûlent pas les voitures, avec eux, c'est carrément la politique de la terre brûlée.

     

     

     

    Les agriculteurs qui tenaient le siège de la RN12, au niveau de l'échangeur de Saint-Eloi/Mescoden (Landerneau/Ploudaniel), depuis ce mercredi,...
    LETELEGRAMME.FR
     
    Lien permanent Catégories : Brèves
  • Le paysan qui rit et le paysan qui pleure sous le soleil d'extrême-droite

    MMLP répète en boucle les éléments de langage que Philippot sort à l'identique :

    "A bas la dérégulation", mais ce faisant, se met complètement en porte-à-faux avec sa doctrine droitarde et le fait qu'elle dénigre l'Etat qui selon elle, assassinerait la France.

     

    La dérégulation, c'est le fait d'absence d'Etat puisqu'en France, l'Etat a toujours était garant de la prospérité économique avant les grandes manœuvres d'après-guerre qui ont commencé à le dépecer de ses attributs de souveraineté qui seuls permettent de réguler.

     

    L'économie, ce sont les règles de la maison (oikos nomos), à l'origine.


    Avec l'idéologie récente au regard de notre histoire, de la macroéconomie, ce sont les lois du marché, soit celles de la jungle où les gros prédateurs bouffent les petites proies.

     

    Quant à la racaille agricole que MMLP ne saurait voir  -la racaille ne pouvant être dans sa France blanche-blanche-blanche que celle des banlieues black-beur-beurk qui brûle les voitures (bon, ok, pour MMLP, un non-blanc jet setter qui à au moins l'air de faire du pognon, c'est un winner, soit presqu'un blanc)-, on se souvient de ce que ses amis les Benêts Rouges des gros Bonnets du patronat, ont fait comme millions de dégâts avec les infrastructures de nos routes en Bretagne, ou encore comment ils s'arrogent des droits de milices privées complètement barrées dès lors qu'un non-barrage ou quelque chose ne leur convient pas.

     

    Même pour Florian Philippot, la banlieue qui crève du chômage ou de logique maffieuse organisés par l'absence d'Etat, ne sait voir dans les quelques échauffourées qu'il peut y avoir (quand les voitures ne sont pas cramées par l'extrême-droite pour faire valoir une insécurité qu'elle appelle de ses voeux ...), la colère sociale.

     

    On pouvait parfaitement s'attendre à ce genre de pique pro race blanche, bourgeoise et propre sur elle, de la part d'une MMLP à l'identité estampillée mille générations non confondues, là encore, de la part de Philippot, républicain intermittent d'un anti républicanisme à plein temps de la petite Le Pen en jugeote courte, cela fait un peu désordre ...

     

    Les agriculteurs quant à eux, ont souvent aussi des réflexes d'extrême-droite, qu'ils se situent en bas, ou en haut de l'échelle avec leur idéologie à la droite de la droite économique de fusion, concentration, absorption, pour toujours faire le maximum de profits, logique libérale oblige.

     

    Logique inverse de celle d'un Etat protecteur, garant de notre unité, qui a fait la France.

     

    Même mimétisme au niveau des petits agriculteurs qui se sont sentis souvent investis des mêmes intérêts que les grands, grenouilles se faisant manipuler pour tenter de faire les gros bœufs sans doute, on a vu souvent les petits paysans, comme les petits artisans, défendre les intérêts d'un patronat dont ils se croyaient partie.

     

    Ils prenaient eux aussi, comme une Marion maréchal Le Pen, l'Etat pour une horreur, un monstre qui les aurait mangés tout crus.

     

    Or c'est la bêtise qui tue.

     

     

    La députée FN Marion Maréchal Le Pen «comprend» les actions des éleveurs en colère, «cette France qui travaille» et «ne brûle pas les voitures», et qui paie la...
    LIBERATION.FR

     

  • Connaissez-vous le gouvernement fantôme qui tape à votre porte (pour vous la foutre directement dans la tronche) ?

    L’Etat profond aux USA, est ce qui reste d’Etat.

    Je ne trouve rien de bon dans l’Etat américain, qui est impérialiste, mais ceux qui luttent aux USA contre ce qu’ils appellent cet Etat profond, sont les pires que je dénonce aussi en Europe.

    Il s’agit des libertariens que l’on retrouve aux Tea Parties.

    Pour eux, la FED, alors même que c’est une banque privée, est encore trop reliée à l’Etat, le Département d’Etat est trop étatique, la CIA, la NSA etc.

    On retrouve au sein du Tea Party, des anciens de l’OSS/CIA, qui mènent une guerre contre l’Etat américain parce qu’ils le jugent pas assez conforme à l’esprit des Pères fondateurs des USA de la Boston Tea Party.

    Pour eux, l’Etat est à abattre, ils ne veulent plus d’impôts et donc plus de société, ils veulent vivre librement en micro communautés ayant les mêmes intérêts.

    Ils se disent non interventionnistes parce qu’ils ne veulent plus d’Etat non plus sur le plan international, ils veulent en toute chose, que cela soit remis dans des mains privées, des armées privées.

    Leur prétendu « non-interventionnisme » est un leurre, ils ont des réseaux partout dans le monde, et bien entendu en Europe et en France, pour répandre leur idéologie d’annihilation de toute forme d’Etat.

    Ils récupèrent toutes les velléités « révolutionnaires », déstabilisatrices de l’Etat afin de mener vers le chaos qui selon eux, amènera « le meilleur ordre libéral ».

    La loi du plus fort, le libéralisme pur, qui éliminera toutes faiblesses, qui sont des parasites dans leur ordre naturel.

    Chauprade, le conseiller de Marine Le Pen en matière géopolitique malheureusement, a importé en France le concept d’Etat profond, est de leurs réseaux, qui gravitent autour des Contribuables Associés et de l’IFRAP, liés à l’Opus Déi, ils pénètrent toutes les sphères :
    économiques, médiatiques, éducatives, politiques.

    Ils mènent leur offensive libertarienne jusqu’en Russie via les réseaux de l’Opus Déi et un personnage clef : John Laughland, agent de Ron Paul après avoir été celui de Thatcher.

    Lié à l’Ecole de Guerre Economique, ils travaillent avec les oligarques russes de Poutine qui détiennent les manettes des ressources de la Russie, qu’ils exploitent main dans la main avec Exxon Mobil.

    Libertariens/Exxon Mobil/Opus Déi est le triumvirat le plus dangereux pour l’Europe actuellement, la Troïka à côté, c’est du pipi de chat.

  • Casse-toi tu pues et marche à l'ombre ?

    La république des séparés, le vivre ensemble des gens qui ne se rencontrent jamais, la fraternité des communautés divisées, l'unité des Français en pièces détachées.

     

     

     

     

     

     

     

    L'article date d'il y a deux-trois ans.

    Cela concerne toutes les velléités communautaristes, j'ignore si ces entorses aux principes républicains sont toujours en cours, mais cela montre que le communautarisme musulman s'est calqué sur des précédents.

     

     

     

    Peut-on réserver des équipements publics à l’usage exclusif d’une minorité confessionnelle ? La ville d’Aix-les-Bains (Savoie) se trouve aujourd’hui ...
    LEDAUPHINE.COM
     
     
  • L'Europe politique, la fuite en avant vers le pire

    La Paneurope de de Gaulle, ce sont aussi, forcément, des doublons de souveraineté et le vecteur de pénétration des lobbies.

    La domination des Américains, et notamment via l'Union Européenne, c'est déjà obsolète, les Américains ont trouvé mieux et le Département d'Etat et le Pentagone se font aujourd'hui dépasser par leur droite.

    C'est la logique américaine aujourd'hui qui s'impose, et la logique par définition, pousse à son paroxysme.

    Le danger passe aujourd'hui par-delà les Etats, par les groupes privés qui par libéralisme se sont bouffés les uns les autres jusqu'à former des monopoles privés dont les capacités financières sont supérieures à celles de la plupart des Etats et qui peuvent aujourd'hui rivaliser avec les grandes forces publiques en voie d'extinction.

    Et t'as les cons de gaullistes qui contribuent à la mort des Etats en continuant de s'adosser à des politiques d'avant guerre parce qu'ils en ont dix de retard, et qui ce faisant, nous enfoncent vers le pire encore à venir.

    L'Europe des Nations est une structure politique, elle a donc automatiquement des prérogatives.

    On voit bien qu'elle exclut de fait les nations non européennes et qu'elle lie au-delà à une institution supranationale.

    C'est une idéologie européenne, autrement elle ne servirait d'ailleurs à rien.

    Et s'il vous plaît, que l'on m'évite le coup du contrepoids aux USA.

    La seule chose qui fasse peur à la domination idéologique américaine, c'est la structure étatique telle qu'établie par la France lorsqu'elle l'était encore entièrement, sûrement pas un groupe politique qui soutiendrait la même idéologie libérale qu'un Farage par exemple ou que tous les partenaires que s'est choisie Marine Le Pen dont on ne sait qui gagnerait le concours du plus tenant des principes fondateurs des USA tant ils sont plus libéraux les uns que les autres.

    Aucun pays n'a, de fait, les mêmes intérêts économiques, stratégiques, géopolitiques parce que leurs constructions respectives sont différentes, reposent sur des principes parfois diamétralement opposés, et sont le résultat d'histoires humaines différentes en fonction de paramètres nombreux et que nous ne partageons pas toujours non plus.

     

    L'Europe des Nations ne serait pas une construction politique ?

    Une structure économique alors ?

    Seuls les ignorants ne savent pas que l'économique, c'est du politique, et que dans un monde bien fait, c'est le politique qui doit le dominer pour ne pas être à la merci de la finance.

    Or pour construire une société, pour faire société, il faut une politique, la société européenne serait une société reposant sur quels principes ?

    Ceux d'unité à la française, ceux du régionalisme teuton, ceux du communautarisme anglo saxon ?
    Qui raflerait la mise ?
    Quelle langue imposerait sa domination ?

    Quel serait donc ce monstre informe, sans sens aucun, sans humanité aucune, sans raison d'être ?

    Est-ce que je me sens proche d'un Anglais ou d'un Allemand ? Suis-je de la même civilisation en tant que Française ?
    Bien sûr que non, nos civilisations se sont bâties en opposition.

    Et si l'Europe, c'est ça, en tant que Méditerranéenne, j'embarque ma France dans une alliance au Sud, je préfère bouffer des gâteaux au miel et de la menthe en salade au soleil avec les Arabes plutôt que d'avaler de la jelly au bacon au petit déj' avant d'aller sous un ciel triste et bas remercier Dieu de m'avoir béni en m'ayant fait gagner beaucoup de fric sur le dos des autres cette semaine !  

    Autant parler l'Espéranto, avec sa grammaire et son vocabulaire misérables, et on imagine sa pensée à l'avenant.

     

    L'Europe en réalité, dans n'importe quel sens, ce n'est même pas sérieux.

     

    Je propose de recouvrer les attributs de l'Etat, je l'explique tous les jours en long large et travers.

    Il faut se réinscrire dans le continuum français, dans notre histoire, dans nos principes fondateurs dont on affine sans cesse la lettre en en gardant l'esprit.

    Dans ce cadre, il n'y a nulle place pour aucune Europe, ni économique, ni politique.

    L'Europe est à la fois un cadre trop grand et trop petit à l'égard de la souveraineté et donc de l'indépendance d'un Etat.

    Un Etat n'a d'accord qu'avec d'autres Etats, seul moyen d'ailleurs de respecter les autres d'égal à égal.

    C'est ainsi que la France considérera les pays du Maghreb ou d'Afrique comme s'il s'agissait de Allemagne, qu'il ne nous viendrait pas à l'idée d'entuber, d'autant plus que le rapport de force est clairement inverse.

    Nous ne nous interdirions pas d'accord a priori avec la Russie ni avec personne, et nous refuserions des accords ou les restreindrions de même, à notre gré, en fonction de principes propres.

    Nous nous respecterions ainsi à la fois nous-mêmes mais aussi les uns les autres.

     

    Les Etats sont les seuls remparts aux lobbies de toute sorte et des pires espèces.

    Il semble que seuls nos ennemis (les ennemis des peuples) aient compris combien l'Etat était la menace à abattre, ce qu'ils font avec la plus grande application.


     

    Bref, à bas l'Europe des nations, conneries gaulliste de la première heure !
    Et de notre dernière ...

  • Repère au point ...

    Commentaires

    • BB peut exaspérer mais ses prises de position iconoclastes méritent un peu plus de respect même en étant critique. Votre vomi verbal envers Philippot est parfaitement dégueulasse. Vos commentaires très au dessous de la ceinture sont écoeurants et traduisent une fois de plus les aigreurs d'une looseuse hystérique déçue d'avoir laissé échapper sa part de gâteau.

      Répondre à ce commentaire

    • Je n'en veux à Philippot que pour sa naïveté politique, je suis tenante de sa ligne politique dont j'aimerais qu'elle soit nettoyée de tout ce qui serait incohérent justement.

      Le soutien à une lobbyiste en mal de reconnaissance est très malvenu pour un républicain.

      Bardot essaie d'exister et accepte de parrainer le premier qui la brosse dans le sens du poil, en 2007, c'était Sarkozy, et auparavant, elle servait de Bardot servait de bouche-trou à VGE et à Chirac ...

      Répondre à ce commentaire

    • Et s'il vous plaît, cessez de m'accuser de tous les noms dès lors que j'émets une critique et que je fais une analyse politique.

      Quand je critique Ron Paul, je ne suis pas jalouse de lui, de sa beauté ou je n'en veux pas à son hétéro sexualité.
      Quand je critique les soutiens ouvriers des Bonnets Rouges, je ne le fais pas en losseuse ou en aigrie jalouse de leur réussite.
      Quand je démissionne du Comité central du Front ou que je refuse les propositions d'appartenir au think tank de Louis Aliot ou de former les cadres du Front comme me l'a proposé Pascal Erre, je ne suis pas déçue de n'avoir pas de gâteau, je n'aime pas les gâteaux.

      Quand je me suis interdit d'écrire dans NPI ou NPMag et même d'y commenter alors que je possédais tous les codes d'accès de l'intérieur, je n'avais pas plus les attitudes que vous me reprochez totalement gratuitement.

      Ne soyez pas ridicule.

      Je me sens parfaitement bien dans ma peau, je ne suis ni malade, je ne prends aucune drogue ni médicaments, je ne fume pas, je ne bois pas, j'ai des enfants magnifiques qui réussissent merveilleusement, je ne me sens pas vieillir et j'ai hâte que mes enfants aient des enfants, et je suis une incorrigible optimiste à la nature profonde extrêmement joviale.
      Je ne voudrais rien d'autre au monde que la vie que j'ai.

      Cherchez ailleurs les raisons de ma colère.

      Répondre à ce commentaire

    Lien permanent Catégories : Brèves