Eugénie Bastié a surtout été formée à Washington, dans les think tanks libertariens, via l'Institut de Formation Politique.
Ces réseaux sont liés à l'Opus Dei.
Ils se sont donné pour mission d'investir tous les champs, économiques, médiatiques, scolaires, politiques, culturels.
Le but est de répandre l'idéologie des pères fondateurs des USA, la maçonnerie libérale pure.
Pour eux, le système actuel qu'ils appellent "néolibéral" est un dévoiement du vrai libéralisme qui n'aurait pas encore été réalisé.
Sur un air connu, le libéralisme ne fonctionne pas, il faut plus de libéralisme.
Ils mettent la liberté individuelle au centre.
Ils sont extrêmement communautaristes, leur idéal est la cellule sectaire, on vit entre soi entre ceux qui pensent la même chose.
Ils sont pour réduire l'Etat à sa portion congrue, même s'ils sont animés de querelles libérales sur le sujet, à savoir s'il faut le réduire beaucoup ou jusqu'à totalement.
"Chacun est seul responsable de tous" - Page 40
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Eugénie Bastié, l'Oeuvre des lobbies libertariens
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Bastié Bastiat Dégage !
Que les agents formés à Washington pour répandre des idées étrangères à la France Dégagent !
Ca pue à cent lieues l'Institut de Formation Politique.
Tempête de neige à washington #thedayafter - scoopnest.com
Toute l'info en direct, les dernières photos et vidéos sur Eugénie Bastié en temps réel
SCOOPNEST.COM
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Le Valet, le Truand, et le Milliardaire
A l'heure de l'ouverture du Festival de Cannes, le cinéma du pauvre se trouve dans la rue, en tout cas, dans les allées des Hauts de Seine, on dit qu'il n'y aurait qu'à se baisser pour ramasser des scenarii à la pelle et par paquets.
Le valet des Le Pen est donc, si on tient à se faire des fims, plus riche que son pauvre maître, mais pour le même prix, ce multimillionnaire, porte les valises, ouvre le parapluie, cire les pompes, lèche les bottes, et tient la jaquette de JMLP.
Et maintenant que Sganarelle et Tartuffe ont réaménagé avec Lorrain de Saint Afrique, le trouple de comiques se déchaîne en propos homophobes contre celui qui serait l'âme damnée de la fille, du Père Goriot ayant pactisé avec Crésus.
On ne sait qui d'eux craint le diable, qui croit que deux et deux lingots font quatre ou qui s'en laissent compter, mais cette histoire vaut de l'or, ou tout du moins, elle ne s'invente pas.
« Panama papers » : sur la piste du trésor de Jean-Marie Le Pen
Le parquet national financier soupçonne l’ex-président du Front national de s’être servi de son homme de confiance, Gérald Gérin, ayant-droit de la société offshore…
LEMONDE.FR
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Islamophobie et homophobie, les deux mamelles cachées de Marine Le Pen
Marine Le Pen ne souhaite pas franchement rompre avec son aile extrémiste, elle espère que les Français retiennent d'elle le côté qui leur convient.
Pour ceux qui veulent voir en elle un Front modéré, elle donne dans l'anti extrême-droite, et pour les tradi", elle envoie des signes qui ne trompent pas.
La vérité est que l'islamophobie se dispute la place avec l'homophobie au sein du parti -il suffit de fréquenter quelques secondes les réseaux sociaux pour s'en convaincre, c'est un déchaînement-, à moins que l'homosexualité soit suffisamment cachée par un libéralisme économique échevelé.
Prendre tout le monde pour des imbéciles, c'est finalement un créneau à la Le Pen, qu'elle espère gagnant.
Mais à l'heure des Panama Papers, des affaires honteuses de l'Eglise révélées, des voix qui finalement se dressent pour dénoncer de toute part, elle pense vraiment pouvoir jouer cette carte ?
INFO RTL - Marine Le Pen renonce à exclure Bruno Gollnisch du Bureau politique du Front national
INFO RTL - Bruno Gollnisch s'était rendu à l'hommage de Jean-Marie Le Pen à Jeanne d'Arc, le 1er mai dernier.
RTL.FR
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Bastié Bastiat Basta !
Evidemment, il ne sera mentionné nulle part que c'est un produit de l'Oeuvre.
L'Opus Dei balance des pions partout, la place chez Ruquiez est évidemment convoitée.
N'en déplaise au Point, la demoiselle est libérale pure jus, libertarienne cons, pour une société où sa secte ne se mélange pas aux autres et où le libéralisme économique ravage tout.
Encore une jumelle de MMLP, Rael n'avait pas tort, ils savent les cloner.
Eugénie Bastié : "Jamais les filles n'ont autant été traitées de putes et de salopes... »
Nouvelle figure du conservatisme tendance catholique, la journaliste s'en prend, dans un livre polémique, aux contradictions du "néoféminisme". Entretien.
LEPOINT.FR|PAR THOMAS MAHLER
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Les royalistes sont à nos Rois ce que Marion Maréchal Le Pen est au mouvement national, une vaste farce
Lors du colloque de l'Action Française de dimanche, il semblerait que l'un des orateurs ait fait une tribune sur l'établissement de Parlements locaux afin d'asseoir la décentralisation dont l'AF se veut fer de lance.
Le hasard faisant bien les choses, j'avais justement écrit récemment un papier sur le sujet des parlements afin de démontrer le caractère anti-France des propositions de l'AF, qui n'a en réalité, qu'une filiation, étrangère, libérale, anglo saxonne.
Nul doute que la petite Marion Maréchal Le Pen, venue adouber l'anti-parlementarisme et l'anti-républicanisme de ses coreligionnaires d'extrême-droite de son onction intellectuelle, n'y aurait rien trouvé à redire, nous connaissons l'idéologie opuso villéro AFo horlogeo libérale et leur concept de subsidiarité.
Passer de Maurras à Maréchal Le Pen, fallait oser.
On ne saurait en effet dire qui, des coupeurs de têtes du peuple, à la pensée blonde, est le plus ridicule.
Certes, la peu attirée de la Chose Publique n'a fait que répéter un discours attendu (la jeune tient à garder cinquante ans de retard sur l'horaire actuel, la ringardise étant un état d'esprit), et s'est donc foutu de la vieille garde à l'insu de son plein gré, mais les attardés de la France ont tenu à l'accueillir comme une reine, ils reconnaissent ce qu'ils peuvent.
De leur principe de subsidiarité, il faut comprendre que leur objectif est le dépeçage de notre pouvoir central ancestral qui a fait la France.
Rien de nouveau, le combat de nos rois contre ces velléités usurpatrices du pouvoir royal et de détricotage de la France a toujours existé au sein d'une aristocratie ayant soif d'asseoir ses intérêts particuliers, contre nos rois défendant l'idée d'unité, dont notre Etat est garant, et qui est notre grand principe fondateur, la clef de voûte de la cathédrale France.Et nos Rois ont toujours su faire front, c'est ainsi que la France se pérennisa.
On ne répétera donc jamais assez l’histoire de ces parlements dont nos rois ont voulu qu'ils soient les garants de l'autorité royale, ce qui fut assuré dans une admirable transmission, de façon ferme et définitive par notre république.
Une république bien plus dans la lignée royaliste que les frondeurs de la noblesse provinciale qui, attirés par le monde anglo saxon et le pouvoir qu'ils auraient pu tirer de cet anti-modèle, ont bien tenté, heureusement en vain, de copier le système de l'ennemi héréditaire.
Comme dirait l'autre, Jeanne, au secours !
Origine
"Au début du Moyen Âge, la cour du roi, Curia Regis entourait le roi pour toutes les affaires du royaume.
Mais le développement du pouvoir royal entraîna la séparation de la Curia Regis en trois organes distincts : le Conseil du roi pour les affaires politiques, la Chambre des comptes pour les questions financières, et le Parlement pour la justice.
C'est l'origine du parlement de Paris au xiiie siècle. Le parlement de Paris a compétence sur tout le royaume jusqu'au xve siècle. Les clercs en sont exclus en 1319. L'ordonnance du 11 mars 1344 l'organise définitivement.
À partir de 1422, de nouveaux parlements sont créés : à Toulouse, à Bordeaux puis dans les grands fiefs rattachés au domaine royal. En tout, quatorze parlements ont été mis en place du xiiie au xviiie siècle.
Les parlements, et notamment le parlement de Paris, ont toujours été un appui de la royauté face à la papauté pour la défense de l’église gallicane.
Durant les guerres de religion, ils s’opposent ainsi à l’introduction de la réforme tridentine en France, qui renforcerait les pouvoirs du pape, puis éclatent entre ligueurs et royalistes : ainsi, les membres du parlement de Paris fidèles au roi forment de 1589 à 1594 le parlement de Tours.
Frondes parlementaires
Les droits d’enregistrement (qui consiste à publier les actes royaux : édits, ordonnances, déclarations, lettres patentes) et de remontrance (qui consiste à faire des remarques en cas d'irrégularité ou d'incompatibilité avec des lois ou coutumes existantes dans leur ressort), donnèrent aux parlements l'idée qu'ils avaient un pouvoir de contrôle, voire de censure, des décisions royales.
C’est notamment le cas pendant la première période de la Fronde, la Fronde parlementaire, (1648-1649).
Le Parlement de Paris réclame le droit de contrôler les finances du royaume.
Ce faisant, après la Révolution anglaise, les parlements revendiquent les compétences du Parlement de l’Angleterre dont une des deux chambres, la Chambre des communes, est composée d’élus, alors que les parlements français sont à l’époque composés de magistrats dont les charges sont des offices royaux inamovibles et souvent héréditaires.
En 1673, Louis XIV interdit aux parlements de faire quelque remarque que ce soit avant l’enregistrement des édits. Ceci musela les parlements pendant tout son règne.
Les parlements relèvent la tête après la mort de Louis XIV en 1715, en négociant leur droit de remontrance avec le régent Philippe d’Orléans, à qui ils attribuent, en cassant le testament de Louis XIV, les pouvoirs que ce dernier, oncle du régent, avait très fortement limité.
À partir de 1750, les parlements bloquent les réformes du pouvoir royal, notamment le principe d'égalité devant l'impôt.
Le 3 mars 1766, Louis XV, frustré de n'avoir pas pu faire la série de réformes qui devaient permettre au royaume de se remettre, va au devant du parlement et tient un lit de justice.
Cette séance s'appelle la séance de la Flagellation du nom de la fête du 3 mars.
Louis XV y fait donner un discours appuyant le principe d'absolutisme royal, et le fait que le droit de remontrance des parlements n'est qu'un pouvoir de justice délégué, que le roi reste la seule source de pouvoir du royaume.
Louis XV est désormais décidé à limiter les parlements.
En 1771, le chancelier Maupeou, nommé en 1768, enlève aux parlements de Paris et de provinces leurs attributions politiques et les divise en six Conseils supérieurs, les cantonnant à rendre la justice.
Mais en 1774, Louis XVI, conseillé par Maurepas (« Sans parlement, point de monarchie ») et inquiet de sa popularité, fait rappeler les anciens Parlements, ce dont se charge son nouveau chancelier Lamoignon.
Louis XVI reculera désormais chaque fois devant leur opposition.
Ils jouent un rôle important dans l’agitation pré-révolutionnaire des années 1780.
Ils sont soutenus par une partie du peuple dont ils prétendent être les protecteurs contre le « despotisme » royal.
En empêchant toute réforme de celui-ci, ils préparent la Révolution, dont ils sont les premières victimes : dès 1790, les parlements sont remplacés par des juges élus et appointés par l’État."Lien permanent Catégories : culture, libéralisme mondialisme -
Vers la fin du paradis du salaud
Pédophilie, agressions et harcèlements sexuels, évasion fiscale ou toute autre escroquerie, double langage, salopards en tout genre, le monde change heureusement et n'accepte plus, les populations sont en avance sur les cadres politiques qui n'ont pas compris que l'ère de l'honnêteté a sonné et qu'elle n'a toujours pas de représentants.Lien permanent Catégories : Brèves -
Notre République n'est pas une valeur négociable
""Ca ne sert pas à grand chose d'être élue au Parlement français" a-t-elle également lâché sous un tonnerre d'applaudissements."
Quelle honte d'avoir donné les deux postes de député à deux personnes qui ne le méritaient en rien (car ne nous leurrons pas, Collard est de la même facture que Maréchal Le Pen), et comme confiture à des gorets.
Marion Maréchal Le Pen ne fait rien de ses vingt ans sauf à décliner des idéologies des années 30.
Elle n'a pas compris que notre République était un héritage français, elle prend par défaut un patrimoine qui nous a été légué et dont nous sommes les héritiers.
Nous devons tout à notre République issue d'un long processus civilisationnel vers la démocratie, et notre devoir de gardiens est de la préserver comme la prunelle de nos yeux, de la défendre comme notre bien le plus précieux, d'en comprendre et transmettre les mécanismes et institutions.
Les vieilles dingueries anti parlementaristes, anti Etat, anti république de l'extrême-droite ne sont pas nationales, laissons Marion Maréchal le Pen à l'extrême-droite, elle le mérite bien, mais au nom de la France, que l'on se serve d'elle, et de Florian Philippot pour séparer le bon grain de l'ivraie.
Il est aujourd'hui assez simple de reconnaître l'extrême-droite à son adoration pour celle dans laquelle elle se reconnaît;
a contrario, on la retrouve dans le dénigrement qu'elle fait d'un Florian Philippot, défenseur de l'Etat, de la République et donc in fine de la France.
On ne fait pas un rassemblement de deux courants opposés qui s’annihilent l'un et l'autre.
La politique, c'est faire des choix cohérents, autrement, c'est de la cuisine politicienne de bas étage, qui ne mène à rien d'autre que ceux par qui la France a été desservie depuis les dernières décennies.Lien permanent Catégories : culture -
L'extrême-droite pour les Nuls
Marine fait tout en douce, ses actions montrent qu'on ne peut pas lui faire confiance.
Elle a renoué avec toutes les factions d'extrême-droite, actions qu'elle a rebaptisées "dédiabolisation", c'est Dorian Gray, elle pactise avec le diable sous le masque d'une beauté vertueuse, mais ce sont bien les bas fonds qu'elle fréquente.
Des lobbies de l'Institut de Formation Politique dont l'objet est de répandre la politique américaine la plus extrême-droitiste, jusqu'aux ligues racistes du Nord et du Sud, en passant par les décentralisateurs de l'Action Française-à-l'anglo-saxonne, tout y passe.
Marine soigne sa droite via sa niaise, une nièce qui racole sur les terres extrémistes avec ses gros sabots, mais les sillons sont tracés droits, la petite fait bien le boulot.
Les pieds dans le purin de l'AF ne fera pas tache dans son parcours, cela n'a étonné que les commentateurs politiques qui ne semblent toujours pas avoir compris quel jouet Marion Maréchal Le Pen est entre les mains des lobbies les plus influents du système.
L'Action Française, des arriérés qui défendent le libéralisme à l'insu de leur plein gré
Ce que ne comprennent pas les royalistes de l'AF c'est que leur postulat de base est faux, à savoir qu'ils rejettent la démocratie au motif que la population ne saurait pas voter, et d'argumenter sur le manque de connaissances pour comprendre ce qui leur serait inaccessible.
Nos rois avaient pourtant instauré l'école et la transmission pour tous.
Notre république est le fruit de notre royauté, une société prête car préparée à la démocratie, la souveraineté exercée par le roi pour le peuple, pouvait passer des mains du roi à celles du peuple.
Du reste, le père ou la mère de famille devient un fin connaisseur du réel pour vivre en plein dedans et se prendre directement dans la figure les conséquences de l'organisation de la société, il sait reconnaître son intérêt qui est l'intérêt de tous les pères de famille.
Or l'AF dans son conservatisme conservant de fait les privilèges des puissances dominantes, ne fait d'entretenir le système libéral.
Ses velléités décentralisatrices sont le lit du libéralisme qui ne craint qu'une chose : la puissance de l'Etat et sa main-mise sur les intérêts particuliers.
L'unité nationale ne peut exister qu'avec un droit national, une loi commune, les pouvoirs locaux n'étant que les creusets des maffias locales et donc des puissances d'argent.
La bourgeoisie, le patronat et l'AF se reconnaissent entre eux comme alliés, tenant d'une classe supérieure qui se défend bien, patronnant les pauvres pauvres comme l'Eglise à les siens, craignant que l'Etat ne vienne chasser sur leurs terres, le social étant leur chasse gardée.
Si les pauvres recouvraient fierté et indépendance grâce à la solidarité nationale organisée par l'Etat, la caste supérieure n'aurait plus moyen de conserver ses privilèges sur la charité qu'elle prétend exercer sur ses prochains.
Cette caste est dépendante de la population qu'elle asservit par sa main protectrice, sans doute pas invisible, mais l'enveloppe du libéralisme lui va comme un gant.
La terre des pères fondateurs des Etats-Unis ou l'âme des patriotes à côté de la plaque
On trouvera difficilement plus atteint de libéralisme aigu que la « droite royaliste et traditionaliste », les deux termes étant totalement usurpés puisqu’il s’agit souvent d’une aristocratie issue de l’ancienne noblesse qui combattait les pouvoirs du Roi pour asseoir le leur, quant au traditionalisme, on fait là aussi difficilement plus anti catholique que ces gens-là dont le prochain n’est qu’un de leur caste, la France éternelle est pour eux celle qui défendrait leurs privilèges et caste.
D'ailleurs, Les chouanneries furent en réalité l'utilisation de l'ignorance des paysans par la noblesse et le clergé locaux à des fins de conservation de privilèges, de refus d'intégration nationale et de velléités décentralisatrices anti esprit français.
C'est un de nos principes fondateurs, l'Etat intervient dans l'économie depuis toujours, c'est un des éléments constitutifs de la France.
Avant, l'Etat et le Roi se confondaient, aujourd'hui, c'est l'Etat et le peuple.
C'est le seul moyen de brider les intérêts particuliers et de faire valoir l'intérêt général dont l'Etat est garant.
Et c'est tous ce que les prétendus royalistes mettent en cause, mais comme ils n'ont jamais rien compris de la France, ils ne s'en rendent même pas compte et vont défendre une position anti nationale dans pratiquement tous les domaines.
Les Jacqueries, à l'origine des Chouanneries, sont parties de ces volontés de remettre en cause le pouvoir royal.
Ils étaient contre l'impôt royal qui était naturellement destiné aux prérogatives de l'Etat unitaire.
Ce sont des Tea Parties dans l'âme.
Il faut bien comprendre pourquoi les libéraux trad actuels font corps avec les lobbies libertariens de Washington aujourd'hui, ils ont une vision opposée à celle de la France, ce sont des Anglo Américains dans l'âme, soit nos pires ennemis en tant que Nation libre française.
La Fayette est un de leur porte drapeau, La Fayette l’Américain qui n’a rien trouvé de mieux que de vouloir importer l’idéologie issue des Mayflowers en France, la patrie de ces gens-là est un no man’s land.
On les entend déjà, "La Fayette, ce franc-mac, jamais !", il n'empêche que cela reste une référence dans les réseaux, tout comme Tocqueville, les lobbies libertariens auxquels l'AF est rattaché n'en font pas mystère.
Et puis Aymeric Chauprade, et Mathieu Decosse Maréchal le Pen, leur franc-maçonnerie ne les dérange pas vraiment ...
Et puis quoi, dénommer sa fille Olympe, d'accord, c'est un truc pour les dieux, mais on se demande si c'est franchement catholique.
Il en est qui lutte contre le libéralisme, mais vraiment tout contre, Alain de Benoist mène aussi ce jeu trouble.
Alain de Benoist à Sciences Po, la main visible du libéralisme directement dans la gueule des étudiants
A l'heure des violences estudiantines et policières, les étudiants semblent assez goûter au sadomasochisme, ça tombe bien, on va leur en donner.
Tout est drôle dans la venue d'Alain de Benoist à Sciences Po.
D'une part, il n'y a pas de polémique, mais à l'heure de l'extrême-droitisation décomplexée, ce n'est guère étonnant.
Mais c'est surtout le foutage de gueule, ADB va répéter son couplet favori sur l'anti libéralisme, lui qui lutte contre, mais alors vraiment tout contre.
Bon, ce n'est pas à Sciences Po qu'il sera contredit, on ne trouvera ni un prof ni un élève capable d'une analyse politique de base en la matière.
Le libéralisme n'est pas leur problème, ils ne savent pas ce que c'est sinon qu'il est de bon ton.
Associé depuis le départ à la liberté, cet esclavagisme de salon doit à son postulat d'être inattaquable.
On s'en prendra éventuellement à ses conséquences, dont le capitalisme, jamais à son essence.
Sauf ADB, sauf qu'ADB se vautre dedans depuis toujours, son environnement est entièrement libéral et dans sa version la plus hard.
Qui lui poserait la question, à savoir qu'il est porté, financé, encadré (Boulevard Voltaire, Le Gallou, Blot, Laughland, etc.) par les lobbies les plus influents de Washington en matière libérale (Heritage Foundation, Cato Institute, American Enteprise Institute, etc.) ?
Personne puisque la question n'est jamais étudiée nulle part, elle n'existe donc pas.
Un problème n'existe pas si personne ne sait le mettre en équation, il n'y aura donc pas débat faute de combattants, faute d'armes, faute d'idée sur le sujet.
Pourtant, c'est bien aux bras de l'Opus Dei et de ses coreligionnaires du Club de l'Horloge et des libertariens des think tanks américains les plus puissants et dont l'unique objet est de répandre le libéralisme -étant entendu que le libéralisme actuel n'est pour eux qu'une médiocre contribution de leur idéologie qui n'a jamais encore été poussée à son paroxysme-, que l'Alain se balade benoîtement.
La dernière saloperie en date est celle, non nouvelle, mais sans cesse renouvelée de l'agent de Jihad Watch, Michel Thooris
Non seulement, Marine pratique le communautarisme couramment, mais encore ne se contente-elle pas de couper les gens en rondelles de salami, de cette viande dont elle découpe notre unité nationale et nos principes fondateurs, encore faut-il qu'elle prenne les pires morceaux.
Elle n'entend pas que considérer les juifs comme bande à part de notre communauté nationale, elle souhaite ardemment récupérer les sales juifs.
Comme Marion Maréchal drague les prétendus chrétiens des fanges, qui cachent (mal) leur religion libérale, leur racialisme et leur anti républicanisme, derrière un nuage de bondieuseries, Marine compte sur son apôtre en service commandé Thooris pour amener à elle, les petits enfants de l'extrémisme se revendiquant du judaïsme.
Même racialisme, même libéralisme, même communautarisme, que les ouailles de la Maréchal, la démarche est cohérente.
A défaut d'être respectable et avouable ...
Le libéralisme, un repli étriqué des esprits bornés
Le communautarisme est un libéralisme.
Dans un pays comme la France, il n’aurait pas lieu d’être, nos institutions ne reconnaissent pas cette cellule et sont faites justement pour faire disparaître ce genre de replis.
Ce sont les avancées du libéralisme qui empêche l’unité nationale, à tout point de vue.
L’uberisation ne fonctionne que dans un pays où on laisse les lois du marché devenir supérieures à celles de l’Etat, c’est-à-dire où on déserte la civilisation, le vrai sens du politique qui est d’exercer un contrôle sur les affaires de la société.
Le prétexte de la mondialisation a bon dos, la loi de la jungle ailleurs n’implique pas que nous devions nous aligner sur le moins-disant protecteur.
La civilisation, c’est la protection ; la protection, c’est la politique ; la politique, c’est l’Etat, l’Etat, c’est nous.
Mettre les échecs sur le dos d’un prétendu « assistanat » est une vaste escroquerie distillée par les lobbies libéraux, qui sont les ennemis des nations (une nation étant constituée des citoyens de la Cité, la Cité étant la société obéissant à des lois communes dans l’intérêt général).
Les règles de l’économie doivent être celles « de la maison » (oikos nomos), le système anglo saxon, libéral, étant un contre-modèle, il faut imposer notre modèle social, plus juste, par exemple, et surtout pas par la force ni par la ruse comme le fait justement le système ennemi.
L’organisation d’une Cité qui tient debout, c’est-à-dire en ne laissant personne sur le bord du chemin, est celle de l’organisation des protections économiques, sanitaires, sociales, de la transmission.
A l’heure des Panama Papers, nous savons que les problèmes économiques des pays viennent des gros tricheurs et de personne d’autre, l’Etat doit se renforcer là encore, pour mettre les moyens à son service, c’est-à-dire au service de tous.
Les cotisations sociales et fiscales sont notre contribution au fait de vivre dans un pays digne des plus grandes civilisations, et là encore, il faut se méfier des conneries libérales répandues, un pauvre contribue proportionnellement bien plus à la richesse de la Cité, la TVA étant l’impôt qui rapporte le plus et de loin.
A ce propos, les IFRAPiens ont encore frappé
La tête-à-claque porte-parole de l'IFRAP est effrayée par les aides sociales réservées à la jeunesse qu'elle préfère aux abois pour servir de proie à ses commanditaires.
Cela les "désincit(erait)" à travailler, selon elle.
Elle qui n'a jamais naturellement cherché de travail de sa vie, n'est pas à une ineptie réac près.
La jeunesse ne demande que ça, du travail, c'est seulement que le libéralisme total prôné par la secte dans laquelle la demoiselle est embullée, mène irrépressiblement aux minima d'emplois et à leur précarité, salaires de misère que la jeunesse a raison de refuser, un minimum de dignité oblige.
Il faudrait que ce genre de bourgeoises filles à papa arrête de faire semblant de penser pour ceux qui vivent dans le réel, ça fait parasite à éliminer ...
Et pourtant, les vers sont dans le fruits, les trois têtes de listes de l'extrême-droite candidates putatives à la présidentielle sont sur les rangs.
Emmanuelle Macron, Rama Yade, il ne manque plus que Marion Maréchal Le Pen et l'extrême-droite a placé tous ses pions. -
L'Action Française, les rois de la farce
Non seulement les Royalistes n'ont rien compris à la royauté française et se trouvent donc dans l'incapacité intellectuelle d'intégrer qu'ils sont dans l'anachronisme (mais qu'attendre de libéraux cons ? Oui, ils ignorent aussi qu'ils sont libéraux, mais ils ne savent pas plus ces concepts que les autres), mais encore leur faut-il prouver leur décadence atavique, l'immanence de leur idéologie.
Passer de Maurras à Maréchal Le Pen, fallait oser.
On ne saurait en effet dire qui, des coupeurs de têtes du peuple, à la pensée blonde, est le plus ridicule.
Certes, la peu attirée de la Chose Publique n'a fait que répéter un discours attendu (la jeune tient à garder cinquante ans de retard sur l'horaire actuel, la ringardise étant un état d'esprit), et s'est donc foutu de la vieille garde à l'insu de son plein gré, mais les attardés de la France ont tenu à l'accueillir comme une reine, ils reconnaissent ce qu'ils peuvent.
Misère de la bêtise.Lien permanent Catégories : Brèves