Marion Maréchal Le Pen Villiers, deux béni-oui-oui opusiens qui mettent juste leurs pendules à l'heure du Club de l'Horloge.
"Chacun est seul responsable de tous" - Page 40
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Bénis par l'Opus Dei et unis par le libéralisme
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Villiers-Maréchal Le Pen, l'extrême-droite réconciliée
La théocratie libérale en marche, les Fils de la Liberté ont déposé leur petite graine via une courge afin d'enfanter leur monstre sur notre mère patrie.
La visite surprise de Marion Maréchal-Le Pen à Philippe de Villiers
INFO OBS. La députée FN du Vaucluse a débarqué dans une conférence du fondateur du Puy du Fou. Une rencontre publique qui semble sceller…
TEMPSREEL.NOUVELOBS.COM|PAR MAEL THIERRY
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Eugénie Bastié, l'Oeuvre des lobbies libertariens
Eugénie Bastié a surtout été formée à Washington, dans les think tanks libertariens, via l'Institut de Formation Politique.
Ces réseaux sont liés à l'Opus Dei.
Ils se sont donné pour mission d'investir tous les champs, économiques, médiatiques, scolaires, politiques, culturels.
Le but est de répandre l'idéologie des pères fondateurs des USA, la maçonnerie libérale pure.
Pour eux, le système actuel qu'ils appellent "néolibéral" est un dévoiement du vrai libéralisme qui n'aurait pas encore été réalisé.
Sur un air connu, le libéralisme ne fonctionne pas, il faut plus de libéralisme.
Ils mettent la liberté individuelle au centre.
Ils sont extrêmement communautaristes, leur idéal est la cellule sectaire, on vit entre soi entre ceux qui pensent la même chose.
Ils sont pour réduire l'Etat à sa portion congrue, même s'ils sont animés de querelles libérales sur le sujet, à savoir s'il faut le réduire beaucoup ou jusqu'à totalement. -
Bastié Bastiat Dégage !
Que les agents formés à Washington pour répandre des idées étrangères à la France Dégagent !
Ca pue à cent lieues l'Institut de Formation Politique.
Tempête de neige à washington #thedayafter - scoopnest.com
Toute l'info en direct, les dernières photos et vidéos sur Eugénie Bastié en temps réel
SCOOPNEST.COM
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Le Valet, le Truand, et le Milliardaire
A l'heure de l'ouverture du Festival de Cannes, le cinéma du pauvre se trouve dans la rue, en tout cas, dans les allées des Hauts de Seine, on dit qu'il n'y aurait qu'à se baisser pour ramasser des scenarii à la pelle et par paquets.
Le valet des Le Pen est donc, si on tient à se faire des fims, plus riche que son pauvre maître, mais pour le même prix, ce multimillionnaire, porte les valises, ouvre le parapluie, cire les pompes, lèche les bottes, et tient la jaquette de JMLP.
Et maintenant que Sganarelle et Tartuffe ont réaménagé avec Lorrain de Saint Afrique, le trouple de comiques se déchaîne en propos homophobes contre celui qui serait l'âme damnée de la fille, du Père Goriot ayant pactisé avec Crésus.
On ne sait qui d'eux craint le diable, qui croit que deux et deux lingots font quatre ou qui s'en laissent compter, mais cette histoire vaut de l'or, ou tout du moins, elle ne s'invente pas.
« Panama papers » : sur la piste du trésor de Jean-Marie Le Pen
Le parquet national financier soupçonne l’ex-président du Front national de s’être servi de son homme de confiance, Gérald Gérin, ayant-droit de la société offshore…
LEMONDE.FR
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Islamophobie et homophobie, les deux mamelles cachées de Marine Le Pen
Marine Le Pen ne souhaite pas franchement rompre avec son aile extrémiste, elle espère que les Français retiennent d'elle le côté qui leur convient.
Pour ceux qui veulent voir en elle un Front modéré, elle donne dans l'anti extrême-droite, et pour les tradi", elle envoie des signes qui ne trompent pas.
La vérité est que l'islamophobie se dispute la place avec l'homophobie au sein du parti -il suffit de fréquenter quelques secondes les réseaux sociaux pour s'en convaincre, c'est un déchaînement-, à moins que l'homosexualité soit suffisamment cachée par un libéralisme économique échevelé.
Prendre tout le monde pour des imbéciles, c'est finalement un créneau à la Le Pen, qu'elle espère gagnant.
Mais à l'heure des Panama Papers, des affaires honteuses de l'Eglise révélées, des voix qui finalement se dressent pour dénoncer de toute part, elle pense vraiment pouvoir jouer cette carte ?
INFO RTL - Marine Le Pen renonce à exclure Bruno Gollnisch du Bureau politique du Front national
INFO RTL - Bruno Gollnisch s'était rendu à l'hommage de Jean-Marie Le Pen à Jeanne d'Arc, le 1er mai dernier.
RTL.FR
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Bastié Bastiat Basta !
Evidemment, il ne sera mentionné nulle part que c'est un produit de l'Oeuvre.
L'Opus Dei balance des pions partout, la place chez Ruquiez est évidemment convoitée.
N'en déplaise au Point, la demoiselle est libérale pure jus, libertarienne cons, pour une société où sa secte ne se mélange pas aux autres et où le libéralisme économique ravage tout.
Encore une jumelle de MMLP, Rael n'avait pas tort, ils savent les cloner.
Eugénie Bastié : "Jamais les filles n'ont autant été traitées de putes et de salopes... »
Nouvelle figure du conservatisme tendance catholique, la journaliste s'en prend, dans un livre polémique, aux contradictions du "néoféminisme". Entretien.
LEPOINT.FR|PAR THOMAS MAHLER
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Les royalistes sont à nos Rois ce que Marion Maréchal Le Pen est au mouvement national, une vaste farce
Lors du colloque de l'Action Française de dimanche, il semblerait que l'un des orateurs ait fait une tribune sur l'établissement de Parlements locaux afin d'asseoir la décentralisation dont l'AF se veut fer de lance.
Le hasard faisant bien les choses, j'avais justement écrit récemment un papier sur le sujet des parlements afin de démontrer le caractère anti-France des propositions de l'AF, qui n'a en réalité, qu'une filiation, étrangère, libérale, anglo saxonne.
Nul doute que la petite Marion Maréchal Le Pen, venue adouber l'anti-parlementarisme et l'anti-républicanisme de ses coreligionnaires d'extrême-droite de son onction intellectuelle, n'y aurait rien trouvé à redire, nous connaissons l'idéologie opuso villéro AFo horlogeo libérale et leur concept de subsidiarité.
Passer de Maurras à Maréchal Le Pen, fallait oser.
On ne saurait en effet dire qui, des coupeurs de têtes du peuple, à la pensée blonde, est le plus ridicule.
Certes, la peu attirée de la Chose Publique n'a fait que répéter un discours attendu (la jeune tient à garder cinquante ans de retard sur l'horaire actuel, la ringardise étant un état d'esprit), et s'est donc foutu de la vieille garde à l'insu de son plein gré, mais les attardés de la France ont tenu à l'accueillir comme une reine, ils reconnaissent ce qu'ils peuvent.
De leur principe de subsidiarité, il faut comprendre que leur objectif est le dépeçage de notre pouvoir central ancestral qui a fait la France.
Rien de nouveau, le combat de nos rois contre ces velléités usurpatrices du pouvoir royal et de détricotage de la France a toujours existé au sein d'une aristocratie ayant soif d'asseoir ses intérêts particuliers, contre nos rois défendant l'idée d'unité, dont notre Etat est garant, et qui est notre grand principe fondateur, la clef de voûte de la cathédrale France.Et nos Rois ont toujours su faire front, c'est ainsi que la France se pérennisa.
On ne répétera donc jamais assez l’histoire de ces parlements dont nos rois ont voulu qu'ils soient les garants de l'autorité royale, ce qui fut assuré dans une admirable transmission, de façon ferme et définitive par notre république.
Une république bien plus dans la lignée royaliste que les frondeurs de la noblesse provinciale qui, attirés par le monde anglo saxon et le pouvoir qu'ils auraient pu tirer de cet anti-modèle, ont bien tenté, heureusement en vain, de copier le système de l'ennemi héréditaire.
Comme dirait l'autre, Jeanne, au secours !
Origine
"Au début du Moyen Âge, la cour du roi, Curia Regis entourait le roi pour toutes les affaires du royaume.
Mais le développement du pouvoir royal entraîna la séparation de la Curia Regis en trois organes distincts : le Conseil du roi pour les affaires politiques, la Chambre des comptes pour les questions financières, et le Parlement pour la justice.
C'est l'origine du parlement de Paris au xiiie siècle. Le parlement de Paris a compétence sur tout le royaume jusqu'au xve siècle. Les clercs en sont exclus en 1319. L'ordonnance du 11 mars 1344 l'organise définitivement.
À partir de 1422, de nouveaux parlements sont créés : à Toulouse, à Bordeaux puis dans les grands fiefs rattachés au domaine royal. En tout, quatorze parlements ont été mis en place du xiiie au xviiie siècle.
Les parlements, et notamment le parlement de Paris, ont toujours été un appui de la royauté face à la papauté pour la défense de l’église gallicane.
Durant les guerres de religion, ils s’opposent ainsi à l’introduction de la réforme tridentine en France, qui renforcerait les pouvoirs du pape, puis éclatent entre ligueurs et royalistes : ainsi, les membres du parlement de Paris fidèles au roi forment de 1589 à 1594 le parlement de Tours.
Frondes parlementaires
Les droits d’enregistrement (qui consiste à publier les actes royaux : édits, ordonnances, déclarations, lettres patentes) et de remontrance (qui consiste à faire des remarques en cas d'irrégularité ou d'incompatibilité avec des lois ou coutumes existantes dans leur ressort), donnèrent aux parlements l'idée qu'ils avaient un pouvoir de contrôle, voire de censure, des décisions royales.
C’est notamment le cas pendant la première période de la Fronde, la Fronde parlementaire, (1648-1649).
Le Parlement de Paris réclame le droit de contrôler les finances du royaume.
Ce faisant, après la Révolution anglaise, les parlements revendiquent les compétences du Parlement de l’Angleterre dont une des deux chambres, la Chambre des communes, est composée d’élus, alors que les parlements français sont à l’époque composés de magistrats dont les charges sont des offices royaux inamovibles et souvent héréditaires.
En 1673, Louis XIV interdit aux parlements de faire quelque remarque que ce soit avant l’enregistrement des édits. Ceci musela les parlements pendant tout son règne.
Les parlements relèvent la tête après la mort de Louis XIV en 1715, en négociant leur droit de remontrance avec le régent Philippe d’Orléans, à qui ils attribuent, en cassant le testament de Louis XIV, les pouvoirs que ce dernier, oncle du régent, avait très fortement limité.
À partir de 1750, les parlements bloquent les réformes du pouvoir royal, notamment le principe d'égalité devant l'impôt.
Le 3 mars 1766, Louis XV, frustré de n'avoir pas pu faire la série de réformes qui devaient permettre au royaume de se remettre, va au devant du parlement et tient un lit de justice.
Cette séance s'appelle la séance de la Flagellation du nom de la fête du 3 mars.
Louis XV y fait donner un discours appuyant le principe d'absolutisme royal, et le fait que le droit de remontrance des parlements n'est qu'un pouvoir de justice délégué, que le roi reste la seule source de pouvoir du royaume.
Louis XV est désormais décidé à limiter les parlements.
En 1771, le chancelier Maupeou, nommé en 1768, enlève aux parlements de Paris et de provinces leurs attributions politiques et les divise en six Conseils supérieurs, les cantonnant à rendre la justice.
Mais en 1774, Louis XVI, conseillé par Maurepas (« Sans parlement, point de monarchie ») et inquiet de sa popularité, fait rappeler les anciens Parlements, ce dont se charge son nouveau chancelier Lamoignon.
Louis XVI reculera désormais chaque fois devant leur opposition.
Ils jouent un rôle important dans l’agitation pré-révolutionnaire des années 1780.
Ils sont soutenus par une partie du peuple dont ils prétendent être les protecteurs contre le « despotisme » royal.
En empêchant toute réforme de celui-ci, ils préparent la Révolution, dont ils sont les premières victimes : dès 1790, les parlements sont remplacés par des juges élus et appointés par l’État."Lien permanent Catégories : culture, libéralisme mondialisme -
Vers la fin du paradis du salaud
Pédophilie, agressions et harcèlements sexuels, évasion fiscale ou toute autre escroquerie, double langage, salopards en tout genre, le monde change heureusement et n'accepte plus, les populations sont en avance sur les cadres politiques qui n'ont pas compris que l'ère de l'honnêteté a sonné et qu'elle n'a toujours pas de représentants.Lien permanent Catégories : Brèves -
Notre République n'est pas une valeur négociable
""Ca ne sert pas à grand chose d'être élue au Parlement français" a-t-elle également lâché sous un tonnerre d'applaudissements."
Quelle honte d'avoir donné les deux postes de député à deux personnes qui ne le méritaient en rien (car ne nous leurrons pas, Collard est de la même facture que Maréchal Le Pen), et comme confiture à des gorets.
Marion Maréchal Le Pen ne fait rien de ses vingt ans sauf à décliner des idéologies des années 30.
Elle n'a pas compris que notre République était un héritage français, elle prend par défaut un patrimoine qui nous a été légué et dont nous sommes les héritiers.
Nous devons tout à notre République issue d'un long processus civilisationnel vers la démocratie, et notre devoir de gardiens est de la préserver comme la prunelle de nos yeux, de la défendre comme notre bien le plus précieux, d'en comprendre et transmettre les mécanismes et institutions.
Les vieilles dingueries anti parlementaristes, anti Etat, anti république de l'extrême-droite ne sont pas nationales, laissons Marion Maréchal le Pen à l'extrême-droite, elle le mérite bien, mais au nom de la France, que l'on se serve d'elle, et de Florian Philippot pour séparer le bon grain de l'ivraie.
Il est aujourd'hui assez simple de reconnaître l'extrême-droite à son adoration pour celle dans laquelle elle se reconnaît;
a contrario, on la retrouve dans le dénigrement qu'elle fait d'un Florian Philippot, défenseur de l'Etat, de la République et donc in fine de la France.
On ne fait pas un rassemblement de deux courants opposés qui s’annihilent l'un et l'autre.
La politique, c'est faire des choix cohérents, autrement, c'est de la cuisine politicienne de bas étage, qui ne mène à rien d'autre que ceux par qui la France a été desservie depuis les dernières décennies.Lien permanent Catégories : culture