Eugénie Bastié, le nouveau clone de Marion Maréchal Le Pen des libéraux cons, pressentie pour remplacer Léa Salamé dans l'Emission "On n'est pas couché" de Laurent Ruquier sur France 2, a surtout été formée à Washington, dans les think tanks libertariens, via l'Institut de Formation Politique.
Ces réseaux sont liés à l'Opus Dei.
Ils se sont donné pour mission d'investir tous les champs, économiques, médiatiques, scolaires, politiques, culturels.
Le but est de répandre l'idéologie des pères fondateurs des USA, la maçonnerie libérale pure des Fils de la Liberté à l'origine.
Pour eux, le système actuel qu'ils appellent "néolibéral" est un dévoiement du vrai libéralisme qui n'aurait pas encore été réalisé.
Sur un air connu, le libéralisme ne fonctionne pas, il faut plus de libéralisme.
Ils mettent la liberté individuelle au centre.Ils sont extrêmement communautaristes, leur idéal est la cellule sectaire, on vit entre soi entre ceux qui pensent la même chose.
Ils sont pour réduire l'Etat à sa portion congrue, même s'ils sont animés de querelles libérales sur le sujet, à savoir s'il faut le réduire beaucoup ou jusqu'à totalement.
Quand Eugénie Bastié se dit anti-libérale, c'est qu'elle ne traduit pas le terme en Français, elle est anti- "liberal" dans son acception anglo américaine.
Bastié, Lévy et Polony sont évidemment du même cercle.
Polony est liée à tous les réseaux des lobbies libertariens de Washington, comme Elisabeth Levy.
On a vu Polony et Zemmour tourner dans tous leurs relais et notamment se porter cautions du lobby SOS Education, émanation des Contribuables Associés, dont les financements sont croisés avec l'Institut de Formation Politique, où tous évoluent également et qui forment ses petits cadres, dont Bastié, à Washington, dans les lobbies libéraux les plus puissants et influents au monde.
Bastié était en février 2016 à une de ces formations à Washington avec l'IFP puis dans la foulée, en France dans les locaux de l'IFP pour promouvoir son livre auprès des gamins-clients et futurs VRP de ces groupes de pression américains.
Quant à l'écologie de Bastié, il s'agit de celle de la secte de la famille Derville (Opus Dei), écologie et bondieuseries servant de cache-sexe, comme la couverture médiatico-culturelle, pour répandre l'idéologie des pères fondateurs des USA, celle des non moins sectaires Fils de la Liberté à l'origine de la Boston Tea Party.
Ce sont les mêmes qui sont derrière Causeur, Boulevard Voltaire-Robert Ménard, Valeurs Actuelles et Alexis Brézet, qui a embauché ce nouvel petit agent de Washington au Figaro, où elle n'est ni la première, ni la dernière télégraphiste des grands groupes d'influence états-uniens.
Au passage, on comprend comment on devient journaliste dans ces réseaux, un peu comme on devient député au Front National ...
Si France 2 n'est pas non plus la dernière chaîne à faire circuler les agents de l'école Autrichienne (Austrian School of Economics), rivaux de la non moins libérale Ecole de Chicago dont les luttes intestines ont été importées dans tout le reste du monde, Zemmour et Polony ayant été de la même école anti-France que la petite Bastié, il semblerait normal que le service public sache, ainsi que les citoyens, quels sont les réseaux et idéologies derrière ceux qu'ils prennent peut-être pour des débatteurs libres quand ils sont surtout les débiteurs de propagande idéologique qu'il faut savoir identifier.
Bastié, Bastiat, Basta !
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