Marion Maréchal n'est ni la République ni la France, c'est tout à fait exact, elle n'est que le vulgaire petit instrument de lobbies et le jouet hargneux de l'extrême-droite.
C'est un enfant mal élevé de la république, un raté de république, une privilégiée sociale et une carencée affective du fait d'un grain de sable qui est venu se greffer dans une famille qui ne doit son pouvoir qu'à l'argent.
Une femme hors-contrat républicain, ce qui n'est pas pour déplaire à ses soutiens.
"Chacun est seul responsable de tous" - Page 136
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Marion Maréchal Le Pen est l'enfant d'un dérapage de la république
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Collard connection, un danger pour la sécurité sociale, pour l'Etat et donc pour la France
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Les intérêts financiers se sont bien bougés le cul
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L'amende à l'amende
Les amendes finlandaises étant calculées au prorata des revenus, un homme d'affaires s'est vu amender de 54 000 euros pour avoir roulé à 103 km/h au lieu de 80.
Je pense que cela n'est rien par rapport à un smicard qui reçoit une amende de 135 euros pour rouler à 95 km/h au lieu de 90, soit plus d'un dixième de son salaire qui lui permet à peine de nourrir sa famille.
On entend déjà Françoise Hardy prendre sa défense, celle du riche naturellement, le pauvre, lui, qu'il crève au quotidien et en silence, c'est son des-tin.Pour ne pas entretenir de confusion, je préfère dire que je ne m'associe en rien aux lobbies automobilistes qui peuvent graviter autour des Le Pen et toujours via les lobbies libéraux, et qui sont à mon sens à l'origine du laxisme du Front en matière de sécurité routière.
Je n'ai rien contre les mesures de sécurité et de contrôle, il y a des règles édictées selon notre grand principe d'intérêt général, il faut les respecter.
Et si ces règles comportent quelques défauts, il suffit d'en apporter la preuve politiquement et sans aller seulement dans un seul même sens et intérêt, ce qui est le propre des lobbies, qui en font profession et pièces sonnantes et trébuchantes.Lien permanent Catégories : Brèves -
La remarquable employabilité des gens du Front, un petit côté esclavage du sur-homme
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Les cahiers de l'OCDE, assurance maladie et tiers-payant, et le futur crédit formation tout au long de la vie
La généralisation du tiers-payant entre dans la logique des textes de l'OCDE.
L'OCDE a mis que pied depuis les années 70, le projet de LifeLong Learning.
Il prévoit la prise en charge des individus de la naissance à la mort.
Une assurance crédit-formation nous sera allouée dès la petite enfance pour payer les frais de crèche, puis de scolarité, puis de travail ou de chômage (sur une base de minima sociaux), assurances santé et retraites comprises.
Les périodes travaillées (on ne parle plus de métier ou de travail) alterneront avec les périodes non travaillées qui serviront à la formation ou à des vacances selon notre choix et nos moyens.
Ce sont les périodes travaillées qui assureront le remboursement de cette assurance "vie", et assureront le supplément si elles sont conséquentes, autrement, ce seront les minima.De plus en plus de mesures, effectivement appliquées, en cours d'application (je pense au crédit-compte- formation de Ségolène Royal), ou dans les tuyaux des think tanks (les dernières idées de congés sabbatiques du PS ou de travail des seniors de Rama Yade, de revenu minimum mondial des libertariens, etc.), doivent nous mener aux objectifs que l'OCDE, sous le contrôle des multinationales, nous fixe.
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L'école des neuneux, cas d'école
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" Machiavel contre le machiavélisme "
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Machiavel, ce maître incompris
Machiavel fut un grand patriote, républicain et grand admirateur de Tite-Live.
Dans son Prince, il rend hommage aux Borjas qui outre le fait d'avoir été de grands mécènes des arts et des lettres, furent de fins militaires et hommes d'Etat dont le talent ne fut jamais mis qu'au service du peuple contre les puissants.
L'activité de patronage des Borjas fut très importante et s'élève à des artistes de renom tels que Michel-Ange, Titien et Bosch.
C'est grâce à cette protection que l'on doit leurs œuvres les plus connues.
Le mécénat le plus important des Borjas fut celui du peintre, inventeur et scientifique Leonard de Vinci, qui a conçu de nombreuses machines de guerre pour l'armée du pape.
Le Traité politique de Machiavel inspiré de la politique de César Borja, est victime d’une mauvaise réputation injustifiée.
Dans les recettes politiques qu’il préconise pour son tyran (au sens du bon tyran), il s’agit de s’en prendre aux puissants pour protéger son peuple.
Le Prince traite de souveraineté, comment on l’acquiert, comment on la perd, comment on la garde.
Machiavel n’est pas un idéologue, il se base sur la réalité.
Il traite de l’armée, après avoir critiqué les troupes mercenaires : « Ils n’ont rien d’autre amour … qu’un peu de gages, ce qui n’est pas suffisant à faire qu’ils veuillent mourir pour toi. ». Cela ne vous dit-il rien ?
Il montre la nécessité pour les Etats d’avoir des « armées nationales ».
Pour Machiavel, le Politique est bien au-dessus de l’économique et du financier. Voici ses préceptes concernant le portrait du Prince :
« Mieux vaut être tenu pour parcimonieux et ne pas gaspiller les richesses de l’état que de passer pour généreux et accabler ses sujets d’impôts. »
« Mieux vaut être cruel quand il le faut qu’inutilement miséricordieux / mieux vaut être craint et respecté qu’aimé et insuffisamment respecté. »
« Il est nécessaire pour le prince d’être à la fois renard et lion ».
Le Prince a l'obligation d'être ferme et l'interdiction d'être naif.
La nécessité est de maintenir l’Etat fort contre les invasions « barbares ».
Pour Machiavel, l'intérêt du Prince et celui du peuple se confondent, le Prince a tout intérêt à avoir un comportement exemplaire.
Le Prince de Machiavel demeure une des plus puissantes expressions de l’esprit national.
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La grande peur des bien-pensants
Emmanuel Valls a peur, les Français ont peur, tout le monde a peur.
Moi, j'ai peur que Valls et autres Macron ne précipitent mon pays dans le mur de la finance et par contre-coup dans les bras de manchot de Marine Le Pen, le mouvement national n'étant pas du tout prêt à recueillir l'espoir; il le fracasserait en effet dans des fourvoiements proches de ceux que l'on connaît actuellement.