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Présidentielles - Page 22

  • Hollande l'Américain II



      

    Les priorités données par François Hollande lors de l'allocution qui a suivi l'annonce de sa victoire, sont celles que Laurianne Deniaud présentait récemment en validant le rapport de l’Observatoire de la Jeunesse Solidaire.

    Cette responsable des jeunesses socialistes est issue des réseaux de l’Education Populaire.

    Il est vraisemblable qu’elle occupera une place importante dans le futur gouvernement car elle est une pièce maîtresse du dispositif que François Hollande présente comme prioritaire.

    Logiquement, c'est Martine Aubry qui devrait être nommée Premier Ministre, c'est elle la véritable idéologue derrière Hollande et ses réseaux deloriens sont les réseaux mondialistes le plus puissants des socialistes, à côté les francs-maçons de JM Ayrault font pitié.
    En tout cas, elle devrait avoir un poste clef, d'autant qu'elle s'est désistée et il y a forcément un accord à cela comme il y avait accord entre elle et Dsk, Ayrault aura un poste honorifique.
     
    Laurianne Deniaud n' étant que la potiche de Martine Aubry.

    Les réseaux de l’Education populaire travaillent avec ceux de l’Afev (l'Association Fondation des Etudiants pour la ville). 

    http://www.nationspresse.info/?p=133586

    L’Afev ressemble en tout point aux organisations pilotées par la Cia.

    Présentée par Wikipedia comme la création de trois joyeux étudiants, l’Afev est à l’origine de nombreux rapports « spontanés » de la jeunesse demandant les évolutions qui vont dans le sens de ce que demandent les grands groupes industrialo financiers.

    Rapidement, l’Afev s’est saisie du sujet de la suppression des notes et de la mise en place du Livret de compétences demandé et élaboré par l’European Round table et l'Ocde au niveau de l'Union Européenne.

    Les Jeunesses Solidaires, dont émane le rapport présenté par Laurianne Deniaud, sont hiérarchiquement subordonnées à l’Afev.

    Pour anecdote, Yannick Noah semble plus que lié au PS, il est en affaire avec lui via l’Afev qui fonctionne parallèlement avec Fête le Mur, l’association du sportif enchanteur qui anime déjà une vingtaine de zones urbaines sensibles grâce au tennis.

    C’ est le Groupe Bnp Paribas qui annonce des bugdets de plusieurs millions d’euros qu’il alloue à l’Afev et à l’association de Yannick Noah, et a participé à la naissance de la Fondation du Sport, qui développe notamment des partenariats entre le secteur public, le secteur privé et le monde associatif en faveur de l’insertion par le sport.

     
    En échange, le Groupe bancaire octroie des micro-crédits aux pouplations « sensibles ».
     Quand on sait que le micro-crédit est l’activité bancaire la plus lucrative … ce ne sont pas les pauvres qui manquent.

    Mais bien sûr chacun est libre de penser que la Banque est une activité hautement humaniste.

    Je rappelle au passage que Pierre Moscovici pour le Parti Socialiste, n'est pas pour rien vice-président (co vice-président avec Alain Lamassoure pour l'Ump) du Cercle de l'Industrie, allié à l'Institut de l'Entreprise (petite soeur de l'American Enterprise Institute) qui regroupent tout ce que le Cac 40 compte comme groupes industrialo financiers.

     

    Au niveau universitaire, les réseaux de l'Afev sont puissants, ils ont pour media : Universités et Territoires (Magazine et site Internet), et travaillent comme son nom l'indique, avec les Collectivités territoriales.

    Et notamment au très suspect projet de Partenariat public-privé.

    Parmi les tout premiers intervenants de cette organisation, figuraient Stéphane Hessel et Edgar Morin dont on sait les liens avec la Cia qui a toujours utilisé des intellectuels pour asseoir son projet de domination économique.

    Leurs connexions avec les faux-nez mondialistes que sont la Chaîne de l’espoir -dans le domaine médical-, la Rose ou la Flamme Marie-Claire, Toutes à l’école -réseaux d‘aides à l‘éducation des petites filles en France et dans le monde avec utilisation de «  stars  »  comme Estelle Hallyday, Claire Chazal, etc.-, sont faciles à établir et fonctionnent selon les méthodes classiques des réseaux des services américains.

    Avec la force, l’éducation est le meilleur moyen d’asseoir l’idéologie libérale, on connaît l’implication de la Milton & Rose Friedman Foundation par exemple; on sait aussi comment l’idéologie mondialiste utilise les ONG pour s’implanter durablement, j'ai souvent cité la Creative Associate, pendant éducatif des Blackwaters en matière d'armée privée.


    Ne nous y trompons pas, le Ps aurait présenté une chèvre qu'il aurait remporté la mise, d'ailleurs Hollande se demande encore lui-même ce qu'il fait là.

    Les candidats mondialistes sont des pions "one shot", on ne leur demande que de faire le "job" et étant donné celui-ci, il est évident que ce n'est que pour un tour, l'étiquette, c'est du maquillage pour la galerie.


    Bref, on pensait avoir François II, n'oublions pas Mitterrand quand il affirmait être le dernier président de la France, souvenons-nous de ses paroles avant de partir, il disait que les Français ne le savaient pas, mais ils étaient en guerre, contre les Etats-Unis, et que ce serait une guerre à mort.
    La mort est moderne, par euthanasie, on ne sent rien, le docteur Hollande nous surveille, après Sarkozy l'Américain, voici donc l'Américain, épisode II.

     

  • Aidons-nous et Dieu donnera la victoire !

    Nicolas-Sarkozy-signe-de-croix-Vatican.jpg Marine Le Pen nous l'a dit, en cette fête-anniversaire de Jeanne d’Arc, nous sommes libres de voter en conscience au second tour de l’élection présidentielle.

    Je me sens donc la haute responsabilité de sacrifier mon vote en mettant le bulletin Hollande dans l'urne, il en faut bien qui contrebalancent l'hérésie des autres, je rappelle que le pire reste le piège de l’ Union des Droites, projet mondialiste pour liquider les nationaux.


    Et ma foi, pour les chouineurs, faire élire Hollande grâce à nos voix et ensuite créer un mystérieux Comité Théodule qui exigera la démission de celui qui doit son élection aux voix du Front National.

    Nul besoin ainsi de faire repentance, on ne voterait pas pour lui, on lui ferait la peau -lui qui entend aussi nous brosser ces temps-ci dans le sens du poil-, nous serons ainsi responsables …mais pas coupables.


    Cela n’étonna pas vraiment, Bruno Gollnisch a expliqué dans un entretien accordé au quotidien Le Progrès qu’ « à titre personnel, (il) penche plutôt pour un vote Sarkozy que pour un vote Hollande » le 6 mai.


    De même, nous figurons tous - de façon totalement usurpée - dans les fichiers de Minute, nous avons donc ainsi pu recevoir concomitamment l’appel à voter Sarkozy tant d’un Larebière que d’un triolet de prêtres conseillant leurs zouaves dans ce qu’il faut bien appeler la minute des abbés, pour le « bien commun » il va sans dire, il existe tout de même des voix plus pénétrables que d’autres.
    Ceux-là mériteraient d’éprouver la surprise assez désagréable qu’on leur dise un jour du combat pour le rétablissement du catholicisme et de la royauté : « C'est pour demain ! ».

    En attendant je me charge de leur décocher un bon coup de pied de mule, après tout je descends bien directement d'un pape, on a le droit de s'inspirer du plus bel exemple de rancune ecclésiastique.



    Même son de cloche entendu par la laicarde Christine Tasin qui riposte au communautarisme mondialiste en appelant au vote … mondialo communautaire.

    Quand les lobbyistes du genre Catholiques en campagne, du même tonneau, font dans le subtil : « Nous n’avons pas reçu de réponse du candidat Hollande » …

    Chez les autres lobbies de l'extrême-droite liés ainsi à l'Heritage Foundation (CIA, sachant que d'autres réseaux de la CIA appellent évidemment à voter Hollande; je pense à l'Afev, Jeunesses Solidaires, Universités et territoires), font lourdement comprendre que Hollande est incompatible même si les intérêts de la boutique peuvent faire pour certains qu'ils appellent à voter blanc.
     Les zouaves de Frigides Bardot invités à voter enfin pour leur candidat naturel.
    Même chacals aux Mnr, Carl Lang, Rivarol mitigé mais qui compte le père de Guillaume Peltier qui appelle au vote Sarkozy, bref avec Larebière , les réseaux Buisson. Manque que Synthèse Nationale, dommage, c'est paraît-il parce Sarkozy est trop juif pour eux.

    Restaient encore les deux crypto mondialistes Collard et PMC, c'est fait (j'ai complété mon texte avec l'actualité).

    Mais le véritable mouvement national ne compte heureusement pas que cette fange d'extrême-droite dont il faudrait bien un jour se débarrasser vraiment pour être enfin à la hauteur de notre peuple, enfin à la hauteur de la France.

    Nous sommes un certain nombre à appeler à voter Hollande -dont nous savons pertinemment qui il est, faut-il le rappeler, et sûrement mieux que beaucoup de gens qui ignorent tout en réalité du mondialisme-, d'une part parce que nous savons qu'il remportera l'élection quoi qu'il arrive, d'autre part pour contrer cette extrême-droite, et encore, pour le temps que nous pensons gagner.


    En aucun cas de toute façon, il ne faut croire à l'implosion de l'Ump et ne la souhaiter même surtout pas.

    L'Ump est déjà une alliance hétéroclite issue d'une implosion, elle était déjà cela par essence, ce groupement d'intérêts électoral. De plus, l'alternance mondialiste était prévue, Copé est aux anges, il se positionne déjà pour 2017 où il jouera sur le fait que Sarkozy -l'Ump- avait "endigué la crise".
     
     Il ne faut souhaiter aucun transfert de la part de potentiels éléments de l'Ump qui "se reconnaîtraient davantage dans nos valeurs que dans celles de Sarkozy", ne pas vouloir de ces éternels gamellards, aveugles, velléitaires, ignorants, imposteurs, roublards, hâbleurs, commerciaux, j'en passe et des pires.

    Ils ne nous apporteraient que leur sale mentalité de lobbyiste et on voit aujourd'hui le retour de bâton :
    on a vu Collard le soir du premier tour sur le plateau de France 2, devant 20 millions de téléspectateurs, dire que nous étions "la droite moderne" (double fois envie de vomir). 
    Mais il semble que Collard ne soit plus nommé porte-parole pour les prochaines échéances ..., et il a récidivé sur le plateau d'I-Télé avec sa droate. Cela nous flingue à présent bien plus que le "détail".

    D'autant que même s'il est vrai que nous avons besoin d'ancrage, ne nous leurrons pas, si les candidats en question courent et s'entretuent pour l'étiquettes Ump, c'est bien que chacun sait qu'on peut présenter un chèvre sous une étiquette, et qu'en l'absence, l'ancré en question ne se retrouverait que dans la nasse. Et puis la rangaine d'Union des droites des souverainistes nous bassine, d'autant que nous savons pertinemment le piège derrière.

    Cela brouillera encore notre message auprès des électeurs qui en ont assez de tous les bidouillages.
     

     
    Ces attardés d’une guerre font qu’à présent, tout nationaliste (celui qui ne fait que mettre la Nation au centre de tout, notre Nation étant tant notre peuple que le cadre institutionnel national, inextricablement liée à notre terre, notre Patrie) qui entend les termes de "fausse droite", de « droite molle » ou de "droite nationale" dans la bouche de quelqu'un, sait qu’il a affaire à un vrai con, ou un con dur, au mieux, un idiot international, au pire.

    Il est certain qu'à la tarte à la crème : "Rassemblons-nous" -se croire obligé de s'allier à des boulets qui ont toujours prouvé tant leurs seules versatilité qu'inutilité-, j'eus préféré "Ressemblons-nous".

     

    Pour parodier les cathos crypto mondialistes, choisissons donc le candidat du moindre mal :


    quand Sarkozy accélèrera toujours plus la fuite en avant libérale, Hollande sera toujours freiné par la cour qu'il arrose (encore qu’en matière de Défense, il faut noter que l’appel à l’accélération de la libéralisation émane de la gauche qui, rappelons-le, a ouvert au marché bien plus de secteurs sous Jospin que sous tout autre), mais on note tout de même dans le domaine qui à mon sens reste le plus important, puisqu’il s’agit de celui de la transmission, davantage de résistance près des enseignants ralliés à Hollande tandis que les mêmes, tenants de Sarkozy, courent toujours plus rapidement que les premiers vers le non retour en sacrifiant l'Ecole française en lui coupant la tête quand Hollande l'ampute des jambes et des bras mais se heurte encore chez ses partisans à quelques pudeurs libérales, même s’ils ont clairement servi et serviront toujours d‘idiot utile à la mise en place des directives de l’Ocde et de l’Omc. On note par exemple des résistances de gauche au Livret de compétences alors même que, paradoxalement (mais tout paradoxe qui se respecte n'en est pas un), ce sont les réseaux de l'Afev (de gauche) qui sont à l'origine de sa mise en place en France, respectant ainsi les desiderata des grands groupes industrialo financiers.

    Et puis quelle galéjade que le puritanisme des chaisières quand le sarkozyste Richard Descoing introduit les Gender Studies façon suppo …


     Idem en matière judiciaire où l’on voit que les juges et législations rouges sont en train de faire le lit de la justice libérale, laissant libre champ au super lobby atlantiste, mondialiste (pléonasme) : l' Institut pour la Justice/Rassemblement pour la Justice 2012, monte ne puissance et se permet même de convoquer les politiques qui rappliquent le doigt sur la couture.



    Alors comme ce n'est pas dit, je le dis :

    Sarkozy, c'est Hollande, en pire !

    Les deux ne sont que des valets mondialistes (L’Umps vice-préside le Cercle de l‘Industrie en les personnes de Pierre Moscovici et d’Alain Lamassoure, allié à l'Institut de l'Entreprise, ces organisations regroupent tous ceux que l'oligarchie industrialo financière compte comme donneurs d'ordre. Il suffirait seulement de savoir que ce sont tant Terra Nova et la Fondation Jaurès, que Fondapol, l'Institut Montaigne et l'Institut Turgot, dont les "experts" sont interchangeables, qui nourrissent les politiques,  et qui ne sont aussi qu'à la bottes des mêmes puissances industrialo fiancières), mais Sarkozy n'a aucune tenue quand Hollande se sentira retenu, avec Sarkozy on va dans le mur à Vitesse grand V quand Hollande devra prendre son trantran. Sans compter qu'au pire, nous récupérerions un peu de proportionnelle ...

    Gagnons toujours un peu de temps, le temps, c'est de la France !

     

  • Bobo or not bobo ?

    Oriane 2012 Profil FB webcam.jpgAu sujet du changement de nom Front National.

     Front National a du sens, au-delà des deux termes mêmes qui sont on ne peut plus adéquats, ils ont le sens que l’histoire du Front lui a donné, celui du mouvement qui a repris les mots de Nation et de Patrie du caniveau où des ordures les jetaient.

    Chez nous, nous ne faisons a priori pas du passé table rase.

    Rappelons même les autres termes que beaucoup ignorent : FNUF pour Front National pour l’Unité Française, c’est décidément un bouquet magnifique, tout y était déjà, absolument tout.

    Nous ne sommes pas nominalistes, nous ne croyons qu’à la réalité que recouvrent les choses et non au pouvoir des mots qui ne reflèteraient pas cette réalité, que changerions-nous donc ?

    Changer serait sans doute donner quelques gages au camp ennemi, j’entends l’ennemi de la Nation -et donc du peuple français- et de la Patrie -et donc de la France.
    Et j’oubliais, quelques gages aux bobos, celui qui a peur d’être un homme libre, celui qui s’arrête au superficiel et n’apprécie que le vernis.

    Celui qui nous demande ce changement pour enfin pouvoir dire qu’il a voté Fn, parce qu’on a volé le scooter de Junior, parce qu’on a bousculé Charlotte pour lui piquer son portable …
    Mais n’attendons rien du bobo de gauche comme du bobo de droite, qui attendraient prétendument un ravalement de façade pour sauver la maison, allons, ils se moquent de l’essentiel, ils veulent seulement habiller leur dernière lubie à la mode pour l’assortir à leurs idées ultra personnalisées-comme-tout-le-monde-bobo.

    « Allo Marine bobo, comment tu m’as fait, j’suis pas beau » disent les paroles, on est comme on est né et on est le plus beau aux yeux de ceux qui nous aiment, c’est ainsi.

    Et que ferions-nous pitié à reprendre … quoi ? Mouvement pour la France, Rassemblement pour la France, Mouvement National, Rassemblement Populaire Républicain, Union Pour la démocartie Française, Union pour un Mouvement Populaire, Alliance pour la Liberté (pour ceux qui savent ce que c’est …) ?
    Pouah, n’en jetons plus et méfions nous du copyright, on ne saurait plus à quels desseins se vouer.

    Bref, changer de nom, c’est un attrape-bobo, pire, une méthode de voyou …

    Autrement dans le monde réel, tout le monde s’en contrefiche, les gens viendront à nous pour d’autres raisons et nous fuirons pour les mêmes.

    Une anecdote signifiante, en tractant dans les zones rurales de chez rural -là où nous faisons nos meilleurs scores, les gens nous disaient : » Ah oui c’est Marie Le Pen », c’est-à-dire qu’ils ne connaissent même pas notre nom dont ils se moquent.

    Ils connaissent Jean-Marie le Pen et maintenant, « Marie » le Pen, et nous reconnaissent comme ceux qui veulent défendre le peuple duquel ils sont et la France qu’ils aiment et dont ils savent ce qu’elle leur a donné, ils ne se déterminent pas sur « Front National », mais sans doute trouveraient-ils incongru un changement, quand on a du bon sens, on n’aime pas qu’on se foute de notre gueule.

    Ils sont en train de crever et nous discuterions du sexe des anges ?


    http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2008/09/28/bobo-s-land.html

  • Ni droite Ni gauche Français

     

    Ni droite Ni gauche FrançaisNi à droite ni à gauche, voilà où se trouve tant notre électorat que l'avenir de la France, et nulle part ailleurs !

     Tant que nous ne comprenons pas qu’il faut cesser avec le clivage droite/gauche, nous aurons, comme les bobos que nous dénonçons, toujours une guerre de retard.
    Notre électorat a intégré bien avant nous et bien mieux que nous, cela (Cf. article en fin de message).

    Rien ne sert - en plus de l'incohérence et de l'immoralité- de racoler chez les bobos de droite comme chez les bobos de gauche, qui, s'ils peuvent être ponctuellement tentés de nous rejoindre (parce qu'on a piqué le scooter de Junior, parce que Charlotte s'est fait bousculer et piquer son portable ...), chercheraient seulement et alors, à faire pression et faire valoir leur sale mentalité d'extrême-droite : d'être supérieur qui se contrefout des autres, le bobo de gauche par rapport à celui de droite, désirant seulement refourguer trois sous d'aumône de Rsa pour se donner une conscience, quand le bobo de droite qui n'a rien compris à la vie et au système, croit que c'est pour le bien du "parasite" qu'il ne faut pas l'aider.

    Notre électorat se trouvant sociologiquement depuis longtemps et le processus va crescendo, à la périphérie des villes (sauf les bobos sus-cités dont on ne tirera jamais rien que de ponctuel, emmerdes comprises). Faute d’héritage et/ou de bonnes situations, les loyers devenant toujours plus chers et les logements sociaux évidemment réservés aux toujours plus nécessiteux venus de l’immigration.

    Cet électorat est un socle inaliénable car en plus d’être rejeté, il est oublié, se prenant la casse des services publics en pleine figure, à nous d’être à la hauteur de la deuxième grosse moitié de ces dégoûtés de tout, à raison, la première petite moitié nous ayant déjà rejoints.
    Mais ce n’est sûrement pas en se qualifiant de « nouvelle droite » ou d e « nouvelle opposition à la gauche » que l’on y parviendra.
    Il faut continuer dans le sens de la dénonciation du système, analyser et dénoncer son fonctionnement en nommant ses réseaux mondialistes, et expliquer même qu’il est la véritable extrême-droite (les idées de droites poussées à leur paroxysme).

    C’est débile de dire que la droite se gauchifie car c’est faux.
    Ce sont les idées de droites qui dominent, la gauche ne servant que de prétexte et d’idiot-utile.
    Les idées libertariennes sont le libéralisme poussé au bout de sa logique, c’est la droite de la droite de la droite :
    - libéralisme des mœurs
    - libéralisme économique et donc social
    - libéralisme institutionnel où jusqu’aux droits régaliens doivent passer dans les mains du privé (Cf. Ron Paul qui pense qu’il en va de même en politique intérieure qu’extérieure et que le privé y fera toujours mieux que le public et qui est donc pour laisser les armées privées gérer les conflits internationaux. Tous les imbéciles ayant mal compris son prétendu « non-interventionnisme »).


    « Ces derniers mois, deux sociologues, Philippe Guibert et François Miquet-Marty, un géographe, Christophe Guilluy, et un ancien professeur de sémiologie, Alain Mergier, avaient tiré la sonnette d'alarme. Le Monde s'en était fait l'écho le 7 décembre 2011. Ils disaient tous que la société française se fissure, qu'une partie a le sentiment de vivre un véritable abandon démocratique, parce que ses peurs et sa colère ne sont pas relayées.

    Géographiquement, cette France périphérique se situe dans le monde rural et périurbain ainsi que dans les très nombreuses villes moyennes touchées par la désindustrialisation et les plans sociaux à répétition. Elle se caractérise, comme l'explique Christophe Guilluy, par "une part plus importante d'ouvriers et d'employés, un taux de chômage et d'emploi partiel supérieur à la moyenne nationale et un revenu moyen inférieur au revenu médian".

    Electoralement, elle pèse lourd : près de 40 %, qui affirment ne se reconnaître ni dans la droite ni dans la gauche. Selon ces chercheurs, il y avait, pour ces "invisibles", deux possibilités : soit l'abstention massive, soit le vote FN. Car les auteurs avaient tous noté le pouvoir d'attraction de Marine Le Pen dans cet électorat, tous avaient constaté que le vote FN n'était plus seulement un vote de sanction ou d'avertissement, mais de plus en plus un vote d'adhésion, fondé sur la combinaison de deux éléments, la question sociale et la question identitaire. »

    http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/04/23/score-de-marine-le-pen-le-message-de-la-france-des-invisibles_1689734_1471069.html

  • Rupert Murdoch sait qu'il peut s'asseoir sur l'Umps

    Rupert Murdoch.jpgLe Wall Street Journal édition paneuropéenne, nous annonce que le duel Umps à la présidentielle sera davantage un duel de style qu'un duel d'idées, Rupert Murdoch en bon financier qui détient réellement le pouvoir, est certes au-dessus des partis, bien dessus comme dirait Guitry.

     

    Néocons aux Usa tout en étant fan d'Obama, financier de Hillary Clinton et plus vert qu'Al Gore, travailliste un coup sur deux en Angleterre, eurosceptique au besoin, admirateur de la Chine communiste, roi du sexe et béni par le pape, membre du Council on Foreign Relations qui sait donc que tant l’Ump que le Ps sont à sa botte, le genre qui gagne à tous les coups.

    N’oublions pas ses paroles : « Nous sommes au milieu d’une phase de l’histoire dans laquelle les nations seront redéfinies et leur avenir fondamentalement modifié ».

    Un de ceux qui organisent le Nouvel ordre éducatif mondial au sein du NOM, pour notre bien cela va sans dire, il a d’ailleurs d’ores et déjà acheté rien moins que 90 % des logiciels éducatifs.

     http://www.youtube.com/watch?v=RGcPzyioi14&feature=player_embedded

      

  • Nouvel ordre éducatif mondial, un monopole du marché (Partie I)

    Sommaire

    I - Eléments de pénétration des discours mondialistes à l’école via les dites sciences de l’éducation, garanties de l’uniformatisation du système

    A- Les éléments de fond définis par l’Ocde

    B - Les éléments de forme (encadrement, structure)

    1) Les cycles des apprentissages

    2) La régionalisation

    3) Ecole des quatre jours

    4) Rythmes scolaires avec introduction du sport l’après-midi

    5) Livret de compétences expérimentales, vecteur d'une complémentarité nouvelle entre l'établissement scolaire et ses partenaires, notamment les associations de jeunesse et d'éducation populaire, les partenaires économiques

    6) Le fichier et le flicage des élèves

    7) La spécialisation

    8) Réforme LMD

    II - Marchandisation du savoir et des offres de formation

    A - Externalisation, sous-traitance

    1) Sciences, l’exemple de La Main à la pâte

    2) Voyages et sorties pédagogiques

    3) Les kits lecture

    B - Restauration scolaire et sponsoring

    C - Exploitation commerciale du temps de cerveau disponible

    D - Les palliatifs

    1) Marché du soutien scolaire

    2) Marché des logiciels ludo éducatifs

    3 ) Les réseaux d’influence, antirépublicains

    4) Les écoles hors-contrat, dérive libérale et problématique du Chèque éducation

    E - Internet, cartables net

    F - E-Learning et présentiel, la révolution éducative en marche

    1) Territorialisation de l’enseignement

    2) Concurrence des écoles virtuelles à la carte et monopole du modèle mondial des apprentissages

  • Nouvel ordre éducatif mondial, un monopole du marché (Partie II)

    I- Eléments de pénétration des discours mondialistes à l’école via les dites sciences de l’éducation, garanties de l’uniformisation du système

    A- Les éléments de fond définis par l’Ocde

     

    C'est l'OCDE qui nous somme de nous aligner sur son modèle éducatif uniformisé mondial. Dès 1997, l’OCDE met en chantier un programme de définition et de sélection des compétences dites « clés » (DeSeCo), dans le but explicite de « fournir un cadre conceptuel pour orienter le développement à long terme des évaluations et l’extension à des nouveaux domaines de compétences ».

    Ces orientations, confirmées par les conseils européens de Stockholm (2001) et Barcelone (2002), ont débouché en novembre 2005 sur une proposition de recommandation du Parlement européen et du Conseil, présentée par la Commission, concernant « les compétences clés pour l'éducation et la formation tout au long de la vie ». Cette proposition a été adoptée le 26 septembre 2006. Le document adopté précise que « selon les études internationales, on entend par compétence une combinaison de connaissances, d'aptitudes et d'attitudes appropriées à une situation donnée. Les compétences clés sont «celles qui fondent l'épanouissement personnel, l'inclusion sociale, la citoyenneté active et l'emploi ».

    Elles sont définies dans le Cadre européen des Compétences clés pour l’éducation et l’apprentissage tout au long de la vie , et sont au nombre de huit :

    - Communication dans la langue maternelle

    - Communication dans une langue étrangère

    - Culture mathématique et compétences de base en sciences et technologies

    - Culture numérique

    - Apprendre à apprendre

    - Compétences interpersonnelles, interculturelles et compétences sociales et civiques

    - Esprit d’entreprise

    - Sensibilité culturelle

     

    Concernant la communication dans une langue étrangère :

    Il est surtout question de l’anglais et de l’arabe.

    En premier lieu, l’arabe, comme l’hébreu, comme le grec, sont des langues très alphabétiques, leur apprentissage, pourvu qu’il ne s’inspire pas de la méthode Assimil, est extrêmement structurant et favorise la gymnastique intellectuelle.

    Secundo, la culture ne devrait faire peur à personne.

    Tertio, il faut comprendre le but :

    Au collège déjà depuis deux-trois ans, le français est en passe de devenir l’option quand l’anglais devient principal, il suffit de voir le barème des notes au Brevet des collèges (seul un certain niveau non atteint en anglais et en informatique est éliminatoire), et de voir comment, dès que possible, on essaie d’introduire l’anglais en transversalité dans les autres matières.

    Ce n’est vraiment que la nullité des élèves qui met un frein à ces velléités.

    La logique du nouvel ordre éducatif mondial (Dénomination officielle de la déclinaison en matière éducative du NOM, et dont fait partie le LifeLong Learning, LLL), est toute commerciale, les pays arabes sont un marché, et comme le chinois, sans que personne ne s’en émeuve, est devenue langue quasi obligatoire dans les grandes écoles, et même deuxième deuxième langue depuis quelques années, c’est le marché qui dicte la politique éducative.

    On n’instruit plus depuis longtemps, on éduque les masses à commercer.

    Le volet communautariste, s’il entre en considération, n’est que secondaire, et quoi qu’il arrive, fait partie intégrante de la politique mondialiste, c’est bien cette base qu’il faut cibler et faire vaciller, tout le reste suivra.

    L’apprentissage d’une langue, s’il est bien mené, structure le cerveau car il active les neurones entre eux en créant les chemins synaptiques que la répétition ancre.

    En revanche, il est vrai que cela façonne une identité, une façon de penser (cf. les travaux du Professeur Stanislas Dehaene), l’apprentissage d’une langue étrangère, ne doit pas se faire avant la nôtre.

    Elle ne devrait être introduite, au choix, qu’à partir de la sixième (d’autant qu‘il existe des troubles d’ordre schizophrénique parfois constatés chez des enfants dont les parents voulaient qu’ils soient bilingues).

    Encore faudrait-il bien sûr, que nous retrouvions un apprentissage rigoureux, les méthodes globales actuelles, car partant des phrases aux mots complexes, inactivent toute une partie du cerveau gauche qui permet l’analyse.

    Il faut recouvrer les méthodes françaises qui ont été abandonnées au profit des pseudo sciences de l’éducation imposées par l’0cde et la cohorte de néopédagogues qui lui a servi d’idiots-utiles.

     

     

    B - Les éléments de forme (encadrement, structure)

    La mise en place des pseudo sciences de l’éducation, repose sur un cadre strict, un modèle d’organisation qui permet l’uniformisation au niveau mondial.

    1) Les cycles des apprentissages

    C’est une forme d’organisation verticale de l’enseignement introduite par la Loi d’orientation de 1989 sur le modèle sans échelons états-unien :

    le cycle 1 de deux ans à la MS, le cycle 2, pour les GS, CP, CE1 et le cycle 3, pour les CE2, CM1, CM2. Le ministère fixe les cycles 2 et 3 dans une durée obligatoire entre quatre et six ans.

    On a abandonné la structure traditionnelle par années au profit d’une organisation nouvelle, dite par cycles d’apprentissage.

    L’école sans années ne consiste pas qu’à répartir les élèves dans le temps, c’est un modèle qui véhicule une philosophie. De plus en plus les enseignants sont amenés à fonctionner dans des classes regroupant plusieurs âges sous des prétextes d’organisation alors que cela n’est qu’un pas dans la nouvelle organisation idéologique. Elle nie les effets bénéfiques du redoublement tout en concordant avec les attentes comptables pour lesquelles il a un coût. Cela entre aussi dans l’idée de ne pas froisser l’enfant, l’estime de soi, la motivation à apprendre que l’idéologie fixe comme préalable et non comme conséquence.

    L’organisation sans échelons est beaucoup plus souple, l’élève peut progresser à son rythme, il n’a pas de connaissances précises à acquérir. (« différenciation pédagogique » proposée par Meirieu en 1990, les américains parlent d’empowerment des élèves).

    La pédagogie de coopération socioconstructiviste devient la norme. L’enseignant y joue le rôle de guide dans l’apprentissage.

    Sur le plan didactique, le cycle favorise l’intégration des matières, la mise sur pied d’activités plus larges et plus variées et la prise en considération des profils de compétences et d’apprentissage des élèves.

    On fonctionne selon les principes élaborés notamment par certains auteurs américains (Goodlad et Anderson 1987) :

    - Regroupement des élèves indépendamment de leur âge

    - mise sur pied de sous-groupes pour l’enseignement de certaines disciplines et le team-teaching

    - regroupement des élèves en fonction de la diversité de leurs habiletés

    - regroupement ponctuel selon les niveaux en français et mathématiques

    - regroupement des élèves de classes différentes de façon à favoriser la coopération et le tutorat

    - regroupement d’élèves autour d’un champ d’intérêt commun

    -regroupement d’élèves en fonction de leur degré d’autonomie (coopération favorisée)

    Tous les parents d’élèves qui suivent leurs enfants reconnaîtront leurs petits. On tente de casser les individus pour les intégrer tout jeune à l’esprit d’entreprise.

    L’élève n’est plus jugé selon son potentiel mais déjà dans sa capacité à gérer et à se gérer dans un groupe. On le lui laisse seulement pas ou à peine, acquérir un potentiel personnel ou le développer.

    Quitte à prendre le risque de dégoûter les meilleurs éléments. Pour avoir tester concrètement l’expérience, la pression numéraire du groupe, les plus forts en gueule vont imposer leur choix quand le plus intelligent va s’incliner pour éviter les affrontements qui lui seraient d’ailleurs reprochés.

    Là encore on met la charrue avant les bœufs, en identifiants le « groupe » à une entreprise.

     

    Le travail d’équipe chez les enseignants est aussi considéré comme nécessaire pour une implantation réussie et un fonctionnement efficace des cycles. La collaboration des parents (aide matérielle, encadrement, organisation) et de la communauté est également encouragée. En somme, l’organisation sans échelons préconise une approche globale de l’élève et considère que l’école a besoin d’une forte synergie entre les enseignants, d’une part, et entre ces derniers et la communauté, les collectivités locales, les associations, etc., d’autre part.

    2) La régionalisation

    Le rapport Thélot (base de la loi d’orientation de 2005) qui avait été une mascarade pour camoufler l’entérinement d’une directive européenne.

    Dans le chapitre intitulé « Inscrire l’école de la nation dans l’horizon européen », le rapport explique que : « L’Ecole devra nécessairement…dans les 15 ans à venir…(s’) inscrire dans la construction européenne, prendre en compte les réalités économiques et technologiques à venir » et mettre en place « des conditions favorisant l’intégration des citoyens français dans l’espace politique européen et facilitant la mobilité professionnelle dans l’espace économique européen » .

    Il préconisait une responsabilisation des établissements scolaires au niveau local et non plus national qui « devra s’accompagner de la suppression de toutes les commissions et organes de consultation existants (commission permanente, comité d’éducation à la santé et à la citoyenneté, commission d’hygiène et sécurité,…) dans lequel « cette nouvelle instance de concertation doit permettre (aux) parents représentants de contribuer à la définition de la politique d’éducation concertée de chaque établissement » .

    De plus, « les communes, l’établissement scolaire et les associations impliquées dans l’organisation d’activités éducatives et d’actions préventives de la difficulté scolaire ont vocation à inscrire leur action dans le cadre contractuel d’un projet local d’éducation. »

    Les établissements scolaires seront donc soumis à une évaluation régionale et décentralisée d’une part, et à des interventions extérieures dans la politique éducative de l’établissement d’autre part. Chaque région pourra donc fonctionner différemment des autres en matière d’éducation : c’est la fin de l’Education Nationale.

    L’adéquation de la formation à l’emploi local est préconisée afin d’obtenir « une définition beaucoup plus souple de l’offre régionale et locale de formation, ce qui est de la responsabilité de la région, en concertation avec le recteur » .

    La commission Thélot est très claire : « la notion de réussite pour tous ne doit pas prêter à malentendu. Elle ne veut certainement pas dire que l’Ecole doit se proposer de faire que tous les élèves atteignent les qualifications scolaires les plus élevées. Ce serait à la fois une illusion pour les individus et une absurdité sociale puisque les qualifications scolaires ne seraient plus associées, même vaguement, à la structure des emplois. » .

    Il ne s’agit donc plus de former l’esprit critique de l’individu, sa capacité à réfléchir et à s’adapter au monde contemporain mais de le former aux exigences des entreprises locales.

    L’Ecole doit donc s’ouvrir sur les entreprises qui l’entourent et être capable de former ses élèves à y trouver un emploi. « Le principe de flexibilité doit prévaloir davantage dans la définition de l’offre de formation….et la mise en œuvre d’une politique beaucoup plus volontariste en matière d’adaptation à l’emploi et de reconversion professionnelle pour les professeurs…Les élèves qui ne trouveraient pas une place conforme à leur projet de formation près de chez eux se verraient informés des possibilités plus éloignées ; ils auront été préparés à cette éventualité dans le cadre de la construction de leur projet. »

     

    3) Ecole des quatre jours

    En 2010, Luc Chatel s’est rendu au Danemark afin d’ découvrir le modèle exemplaire en matière de rythmes scolaires.

    Or il savait pertinemment que ce sont des rythmes anglo-saxons sur lesquels le nouvel ordre éducatif mondial entend nous aligner.

    Il était accompagné dans ce voyage, des deux coprésidents du Comité de pilotage de la conférence sur les rythmes scolaires, Christian Forestier, administrateur général du Conservatoire national des arts et métiers et Odile Quintin, ancienne directrice générale de l’éducation et de la culture à la Commission européenne.

    Les représentants des fédérations de parents d’élèves étaient également du voyage, et Eric Charbonnier, expert de l’OCDE sur l’éducation, partie prenante.

    Or ce sont les mêmes personnes que l’on retrouve dans les fora mondiaux sur l’éducation tout-au-long-de-la-vie ou LLL pour LifeLong Learning, initié par Jacques Delors qui en toujours le saint patron.

    C‘est ainsi que l’on nous importe, sous des prétextes fallacieux, un renforcement de la perfusion mondialiste. Les meilleurs rythmes étant ceux qui ont été évalués comme tels par les rapports de l’Ocde qui les élaborent.

    L’école des quatre jours, a ainsi été mise en place, en s’appuyant sur de prétendus débats et des revendications des réseaux de gauche qui les ont toujours revendiqués, bien qu’ils aient critiqué leur mise en place par la droite qui a profité de l’aubaine pour consolider ses réductions budgétaires en matière scolaire, tout en répondant aux directives de l’UE, courroie de transmission de la politique d’uniformisation mondialiste.

     

    En dehors des considérations économiques (vacances, fin de semaine avec les RTT), et si l’on ne prend en compte que l’intérêt de l’enfant en matière de formation, le meilleur rythme serait de revenir à la semaine : lundi-mardi-jeudi-vendredi-samedi matin.

    En effet, les élèves reviennent plus fatigués par de longs week-end, il faut attendre le mardi pour que certains reprennent le rythme de travail.

    L’horloge biologique est perturbée chez les jeunes enfants par deux jours consécutifs sans école, et l’apprentissage est moins efficace surtout lors de l’acquisition de la lecture et pour les enfants qui n’ont pas les parents derrière eux, les écarts se creusent, pour certains, c’est la télévision qui remplace l’école du samedi matin.

    On habitue de plus l’enfant à trois jours de non effort sur sept, or c’est aussi une notion qui nécessite un apprentissage.

     

     

     

    4) Rythmes scolaires avec introduction du sport l’après-midi

    Où l’on voit encore que les débats proposés servent à justifier l’uniformisation du modèle anglo-saxon dominant.

    Aux Etats-Unis, le sport occupe une place considérable en milieu scolaire.

    Si la pratique d’un sport participe d’une bonne hygiène de vie, sa pratique intensive et scolaire relève d’une autre logique.

    Toute école se doit d’avoir son vivier de sportifs et les universités se les arrachent à prix d’or. Peu importe d’ailleurs les dommages collatéraux que cela engendre quand la course à la performance à tout prix, entraîne les sportifs dans la voie du dopage forcené.

    Le seul critère de cette course est le marché qu’elle génère. L’enjeu financier est considérable à tel point que le sevrage doit se faire dès le berceau via l’école.

    Les écoles ayant les meilleurs sportifs sont les plus à même de lever des fonds via le sponsoring. Le service public de l’éducation étant destiné à se réduire à l’état et à l’Etat minimal, il devient nécessaire de trouver les sources de financement.

  • Nouvel ordre éducatif mondial, un monopole du marché (Partie III)

    5) Livret de compétences expérimentales, vecteur d'une complémentarité nouvelle entre l'établissement scolaire et ses partenaires, notamment les associations de jeunesse et d'éducation populaire, les partenaires économiques

     

     

    L'expérimentation d'un livret de compétences est une des mesures essentielles du plan « Agir pour la jeunesse » annoncé par le président de la République le 29 septembre 2009. Le livret de compétences expérimental doit être le vecteur d'une orientation positive et permettre à chaque jeune de mieux identifier ses aspirations et son potentiel et de les valoriser dans la construction de son parcours de formation et de ses choix d'orientation.

    Prévue par l'article 11 de la loi relative à l'orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie du 24 novembre 2009, l'expérimentation débute à la rentrée scolaire 2010 dans 166 établissements scolaires dont 140 relevant du ministère de l'Éducation nationale et 26 relevant du ministère chargé de l'Agriculture. L'expérimentation fera l'objet d'une évaluation et donnera lieu à un rapport au Parlement en septembre 2012.

    Initiée en 2008 par l’Afev (Association de la fondation étudiante pour la ville créée en 1991), la Journée du Refus de l’Echec Scolaire est portée par un vaste réseau d’organisations représentant les enseignants, les familles et parents d’élèves, des acteurs de l’éducation populaire, des médias. L’initiative est placée sous le haut parrainage de l’Unicef ( Fonds des Nations Unies pour l’enfance) qui se base lui-même sur les rapports de l’Ocde (Organisation de Coopération et de Développement économiques).

    C’est de ces Journées du refus de l’échec scolaire qu’est ressortie l’idée de suppression des notes en milieu scolaire au profit d‘une évaluation par compétences. On ne s’étonnera pas qu’on applique là à la lettre, les directives de l’Ocde qui est chargée d’évaluer les politiques éducatives à l’aune de ses propres prescriptions.

    Si Luc Chatel a concédé qu’ «on n’en (était) pas là», il a fait valoir que la loi Fillon sur l'école de 2005 avait prévu, à côté de l'actuel système de notation par les enseignants, «une évaluation par connaissances et compétences » acquises ou non par l'élève de 6 à 16 ans, tout au long de sa scolarité obligatoire.

    Si plusieurs personnalités ont signé l’appel de l’Afev : Daniel Pennac, Marcel Rufo, Michel Rocard, Axel Kahn, Boris Cyrulnik et autres Richard Descoings, c’est que tous dénoncent les conséquences «désastreuses» de ce système de classement sur les élèves.

    Au cœur du problème, il serait question de la confiance en soi qui serait indispensable à la réussite scolaire : fissuration de l’estime de soi, absence de valorisation, détérioration des relations familiales et, à terme, souffrance scolaire.

    Pour nos néopédagogues, il s’agirait donc de mettre la charrue avant les bœufs en fixant comme but, ce qui n’est qu’une conséquence; comme c’est en forgeant qu’on devient forgeron, c’est en travaillant que l’on prend de l’assurance dans son travail, sauf à se rendre sûr et fier de son incapacité, ce qui revient à confondre arrogance et confiance en soi.

    La volonté de suppression de tout classement avait déjà fait son œuvre dans le primaire sous la dictature des néopédagogues des IUFM.

    C'est l'OCDE qui nous somme de nous aligner sur son modèle éducatif uniformisé mondial. Dès 1997, l’OCDE met en chantier un programme de définition et de sélection des compétences dites « clés » (DeSeCo), dans le but explicite de « fournir un cadre conceptuel pour orienter le développement à long terme des évaluations et l’extension à des nouveaux domaines de compétences ».

    Ces orientations, confirmées par les conseils européens de Stockholm (2001) et Barcelone (2002), ont débouché en novembre 2005 sur une proposition de recommandation du Parlement européen et du Conseil, présentée par la Commission, concernant « les compétences clés pour l'éducation et la formation tout au long de la vie ». Cette proposition a été adoptée le 26 septembre 2006. Le document adopté précise que « selon les études internationales, on entend par compétence une combinaison de connaissances, d'aptitudes et d'attitudes appropriées à une situation donnée. Les compétences clés sont «celles qui fondent l'épanouissement personnel, l'inclusion sociale, la citoyenneté active et l'emploi ».

    Elles sont définies dans le Cadre européen des Compétences clés pour l’éducation et l’apprentissage tout au long de la vie , et sont au nombre de huit :

    Communication dans la langue maternelle ; Communication dans une langue étrangère ; Culture mathématique et compétences de base en sciences et technologies ; Culture numérique ; Apprendre à apprendre ; Compétences interpersonnelles, interculturelles et compétences sociales et civiques ; Esprit d’entreprise ; Sensibilité culturelle.

    Jamais il ne sera question de savoirs maîtrisés, il s’agit simplement d’une aptitude à entrer dans un monde du travail adapté à l’économie flexible.

    La flexibilité étant la clef de la rentabilité, il s’agira d’être flexible dans l’objet de son emploi, dans sa géographie, dans sa rémunération, le tout ponctué de formations s’inscrivant dans l’éducation «tout au long de la vie» qui signifie que sa vie durant, il faudra s’adapter à l’économie mondiale fluctuant au gré des besoins du marché.

    Notre conception de la vie, enracinée, sécurisée, à visage humain, vole en éclat au profit de l’homme nomade et corvéable à merci.

    Les néopédagogistes jouant à plein les idiots-utiles du système libéral.

    Le bilan de compétences est en effet à la fois inspiré par les pseudo sciences de l’éducation baignées par les Dolto et autres méthodes Montessori, et par le rapport PISA de l’OCDE dont l’objectif est l’adéquation au marché.

    Il était ainsi déjà adopté par les écoles primaires car faisant partie intégrante de l'idéologie des IUFM, mais pas à partir du collège, les enseignants y étant plus spécialisés que les "professeurs des écoles ", subissaient moins le joug de la dictature des IUFM. C'est fini, ils vont peu à peu se mettre au diapason des "projets pédagogiques", travail en équipe et autres, compétences transversales.

     

    6) Le fichier et le flicage des élèves

     

    Si les néopédagogues servent d’idiots utiles aux mondialistes, tous partagent le génie d’avoir découvert une même invention : celle du mouvement perpétuel.

    Ils ne sont jamais en manque d’une pseudo-solution qui ne fait qu’aggraver le système : le remède aux maux consistant à leur trouver une solution qui ne fera qu’entretenir le problème par une fuite en avant.

    Le directeur de marketing de l’EN, Luc Chatel a déclaré en août 2010 au sujet de la discipline comportementale à l’école :

    « Toute violence verbale à l’égard des personnels entraînera une procédure disciplinaire, et toute violence physique donnera lieu à un conseil de discipline. L’idée est qu’il ne faut jamais laisser se perdre la riposte de l’institution ».

    On avalisait donc que les violences verbales à l’égard des personnels éducatifs n’étaient jusqu’alors, pas systématiquement sanctionnées, et que les violences physiques n’entraînaient pas non plus ipso facto un conseil de discipline.

    Mais, il ajoutait aussitôt :

    « Mais, d’un autre côté, il faut que l’exclusion -de la classe ou de l’établissement- retrouve son caractère exceptionnel. Et nous supprimons les exclusions temporaires de l’établissement de plus de huit jours, qui participent au décrochage scolaire »

    Ainsi donc pas d’exclusion intempestive, réunions et débats vie scolaire sont illusoires, mais suffisent au nouveau système.

    Derrière, se cache en réalité le souci mondialiste de ficher les personnes et de toujours savoir où elles sont.

    L’exclusion, c’était la porte, on rendait le petit ange à ses chers parents, qui le plus souvent le rendait à sa chère autonomie, et on laissait le sauvageon dans la nature.

    Aujourd’hui, même les autorités policières affirment que cela permet de savoir où se trouvent physiquement les personnes, c’est plus simple à gérer, en attendant parfois la case prison.

     

    Le livret de compétences sert également de données informatisées minutieuses sur la vie des élèves et demain des hommes dans le cadre de l’éducation tout au long de la vie.

    La traçabilité de la viande humaine en quelque sorte.

     

    7) Spécialisation

    8) Réforme LMD

  • Nouvel ordre éducatif mondial, un monopole du marché (Partie IV)

    II - Marchandisation du savoir et des offres de formation

    Théorie de l’ajustement de l’Ocde

    Cahier de Politique Economique n°13 publié par l'OCDE en 1996, intitulé " La Faisabilité politique de l'ajustement ", rédigé par Christian Morrisson, Chef de division à l'OCDE, Consultant auprès de la Banque Mondiale, qui recommande une politique « d‘ajustement« , concernant l'éducation, ils préconisent les propositions suivantes :

    " Il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. (…) Les familles réagiront violemment à un refus d'inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l'enseignement et l'école peut progressivement et ponctuellement obtenir une contribution des familles, ou supprimer telle activité. Cela se fait au coup par coup, dans une école mais non dans l'établissement voisin, de telle sorte que l'on évite un mécontentement général de la population. "

     

    A - Externalisation, sous-traitance

    1) Sciences, l’exemple de La Main à la pâte

    George Charpak s’est intéressé au modèle expérimental américain de son ami Léon Lederman et dont il récoltait une manne non négligeable.

    Il a ainsi importé tel quel le «Hands on» sorti du ghetto de Chicago, considérant comme un tour de force le fait que dans les huit jours, le ministre de l’Education nationale de l’époque lui ait envoyé son directeur de cabinet, son chef de cabinet, ainsi qu'un certain nombre d'inspecteurs généraux, afin d’appliquer en France, ce bouillon de culture.

    Le « modèle » collait parfaitement aux directives de l’OCDE dont les experts ont planifié l’évolution mondiale de l’éducation dans l’objectif d‘une contractualisation progressive et indolore de l‘école.

    La technique du système Lederman consiste à signer un contrat avec une école si 70 % des instituteurs y sont favorables. Lorsqu'un contrat est conclu, un centre de pilotage peut intervenir pour prendre l'école en main, former les instituteurs et fournir des remplaçants le temps de la formation. Un moniteur peut ensuite être mis à la disposition de l'école. Tous les deux mois, on livre aux instituteurs un manuel et le matériel. Le manuel constitue une sorte de colonne vertébrale pour l'instituteur qui n'a reçu que 200 heures de formation ; il le dispense de tout effort d'organisation lorsqu'il veut réaliser une expérience. Aujourd’hui, cette externalisation de l’école est généralisée et s’exporte en Allemagne, en Chine, etc. sous le parrainage de l’UNESCO.

    On demande aux parents d’élèves une participation financière pour chaque projet pédagogique, en fonction du niveau social du secteur.

    C’est une des applications de l’école à la carte selon la technique dite de l’ajustement de l’OCDE .

    Outre les coups tirés dans les structures institutionnelles de notre école, c’est bien au nom des nouvelles pédagogies qu’on a mis à bas l’ensemble de l’édifice.

    Or, elles vont à l'encontre des lois biologiques qui régissent notre cerveau. Platon lui-même avait montré l'absurdité avec le petit esclave du «Ménon», de la maïeutique socratique selon laquelle on serait acteur de son instruction et tirerait tout de son propre fond. On oublie ce faisant que Socrate n’interroge que des adultes déjà instruits.

    La généralisation de ces méthodes a consisté à mettre la charrue avant les bœufs, à proposer, dans un aveugle souci de sens, le sens du savoir avant le savoir et à sa place.

    C'est le Nobel de médecine Roger Sperry (Prix en 1981) qui a démontré que l'instruction, celle-là même que Charpak a reçue de la France et qui lui a permis l'accès à la science, est la seule qui permette la structuration la plus correcte du cerveau.

    L’instruction s’oppose à l’éducation dans le sens où la première est la construction méthodique du savoir partant du plus petit élément en allant vers le toujours plus complexe avec force répétition d’exercices d’application afin de l’ancrer définitivement, quand la seconde répond à une approche globale partant du but à atteindre en essayant de comprendre le mécanisme, tel un chercheur.

    Or l’enfant n’est pas un chercheur, il lui manque seulement tout le bagage qui permet à celui-ci d’affronter la science.

    Roger Sperry a montré que l’hémisphère gauche de notre cerveau, qui traite l’information en partant du plus simple pour aller vers le plus compliqué, travaille de manière analytique, en revanche, l’hémisphère droit utilise pour traiter toutes les informations dont il a la charge, des techniques analogiques.

    Les enfants qui ont fait l’objet des travaux de Sperry étaient des enfants ordinaires, dotés de capacités intellectuelles ordinaires, mais présentaient des symptômes tels que le refus de lire, puis ultérieurement de tout travail scolaire ainsi qu’un grand nombre de troubles du comportement découlant du sentiment d’incapacité de surmonter l’obstacle lors des premiers contacts avec l’écriture.

    Né du cerveau de l’homme, le langage écrit, qu’il soit scientifique ou pas, s’utilise grâce à des structures anatomiques qui mirent des milliers d’années à devenir efficaces, il faut savoir respecter ce que le temps a construit si lentement.

    Les méthodes d’enseignement traditionnelles, activent les deux hémisphères du cerveau, les nouvelles méthodes, globales, activent de manière générale, essentiellement la partie droite, répétitive, et délaissent la partie gauche du cerveau, logique, qui permet l’analyse, la réflexion. Ces travaux ont été confirmés par IRM, ces mêmes IRM dont les travaux de Charpak et d‘autres scientifiques, sont ironiquement à l‘origine.

    En faisant de notre façon de transmettre les savoirs, table rase, Charpak et son idéologie mondialiste des pseudo "sciences de l'éducation" dont il s’était fait un des fers de lance, ont condamné les générations futures à ne plus savoir raisonner, et ce, au nom même de l'accès au raisonnement.

    La Main à la pâte n'est pas autre chose que la mise en recherche de l'enfant, l'apprendre à apprendre, si Charpak avait eu une démarche un tant soit peu scientifique, il aurait attendu la validation de ses théories, or précisément, elles n'ont pas fait leurs preuves, ce qui était évident au regard des travaux antérieurs et sans appel sur les lois biologiques qui régissent notre cerveau.

    Charpak et consorts ont condamné les enfants à de la répétition bête et improductive, et ce, sous les applaudissements de tous les néo«pédagogues» bien-pensant mais mal-raisonnant.

     

    Il est à noter que l’embrigadement aux « méthodes rénovées des sciences » est favorisé par la remise de prix dont nombreux durant la formation des maîtres pour ceux qui utilisent le mieux cet enseignement .

    Leur financement est assuré par les redevances de la marque et les cessions de droits d'auteur et d'honoraires par les membres de l'équipe de La main à la pâte. Par ailleurs, de nombreux éditeurs et sociétés s'associent aux récompenses remises par l'Académie des sciences en offrant aux lauréats des livres, magazines, cédéroms et matériels pédagogiques.

     

    2) Voyages et sorties pédagogiques

    Ils sont souvent vendus clefs en main.

    Le prestataire de service effectue le travail de formation des élèves aux lieu et place de l’enseignant ou avec son concours, moyennant participation financière des parents d’élèves, des particuliers via des opérations de vente d‘objets fabriqués par les élèves ou achetés à des coopératives, des Amicales Laïques (elles-mêmes financées par des subventions et par des animations vendues aux parents d‘élèves), des collectivités territoriales et donc du contribuable.

    - Exemple type de voyage éducatif :

    Le transport

    Autocar Grand Tourisme avec capacité variée (moyen de transport le plus souple, le plus fiable à mettre en place et le plus économique), en respect avec la réglementation en vigueur.

    Train ou avion (hors taxes aéroport) en fonction de la destination et du programme.

    Transports sur place pour les visites prévues au programme.

    L’hébergement

    Centres de vacances sélectionnés par la ligue de l’Enseignement et agréés Jeunesse et Sport et Education nationale, Auberge de jeunesse et/ou Hôtel de jeunes.

    La pension complète

    Trois repas par jour. Le déjeuner du premier jour est à emporter par les participants.

    L’encadrement

    Coordinateur pédagogique, responsable du centre (selon séjour en France). Le programme pédagogique est élaboré et convenu avec le coordinateur sur la base des activités énumérées au programme.

    Encadrement des activités sportives par des moniteurs brevetés d’Etat (ski, selon programme).

    Animateurs diplômés du BAFA ou du BAFD, qui vous accompagne dans l’encadrement de la vie quotidienne du groupe et lors des visites (selon la destination). La FOCEL dispose d’un service de formation aux métiers d’animation, certifié ISO 9001 et agréé L’ARFA.

    Des animateurs spécialisés dans différents domaines (Moyen Age, peinture, découverte nature…) peuvent intervenir dans votre établissement pour préparer un séjour ou revenir sur les acquis d’un séjour.

    Activités et visites

    Droits d’entrée sur les sites prévus au programme

    Guides prévus au programme

    Mise à disposition de forfaits remontées mécaniques

    Prêt du matériel sportif

    Mise à disposition du matériel pédagogique

    - Exemple de Classes découvertes organisées par la Ligue de l’Enseignement (c’est la gauche qui capte le marché éducatif) proposées aux écoles, collèges, lycées :

    - Classe sciences et techniques (Le monde des volcans, Futuroscope, Domptons les énergies, A la conquête de l’espace, La tête dans les étoiles, Apprenti informaticien, Géologie dans les Alpes du sud)

    - Classe nature (Eco-citoyen de demain, L’homme et l’océan, Découverte de la ferme, Raid nature)

    - Classe sportive (Contre vents et marées, Le sport dans tous ses états, Cocktail sportif à Serre Chevalier)

    - Etc., etc., http://www.classes-de-decouvertes.com/sejours-focel/atelier-artistique/musique-loire-atlantique.asp sur la classe « musique du monde » pour la modique somme de 340 euros par enfant.

    - Classe presse en partenariat avec la PQR

    Revue de presse faite par les élèves et régulièrement présentée à la classe.

    3) Les kits lecture

    « Défi lecture » ,« Incorruptibles » , « Rallye lecture », etc. sont des animations payantes (les classes participants achètent toute la série de livres à l’association organisatrice)

    Les enfants sont obligés de lire des livres médiocres, partisans des nouvelles idéologies et nouvelle orthographe.

    Pour être proche de l’enfant, sont mis en scène des personnages médiocres qui ont une vie médiocre où les adultes ont la caractéristique d’être des ratés, des marginaux, des homosexuels, etc., les enfants, d’avoir un esprit critique très formaté, l’enseignant, un aigri coincé, l’emploi de gros mots « pédagogiques », on y écrit « enfant » couramment : « on a été au marché ».

    Rencontre avec les auteurs.

    Les élèves doivent attribués des prix à ses livres issus de réseaux ayant leurs entrées dans l’EN. Le marché est conséquent.

     

     

  • Nouvel ordre éducatif mondial, un monopole du marché (Partie V)

    B - Restauration scolaire et sponsoring

     

    Les cantines scolaires sont régies par une Charte et la circulaire interministérielle du 25 juin 2001.

    N’ayant pas la force contraignante d’une loi, elles interdisent a priori le sponsoring, sauf en ce qui concerne l’apposition de la marque propre de la société qui sous-traite les repas.

    Le leader Sodexo, travaille tant dans la restauration des entreprises qu’avec les collectivités, il organise des espaces sur le modèle des campus à l’américaine et des animations « pédagogiques » .

    Ce genre de sous-traitances privées engendré par une législation sur l’hygiène de plus en plus drastique, a augmenté les coûts et donc les prix qui ne cessent de croître, d’autant plus avec l’introduction du bio, sans compter les envolés à venir des denrées alimentaires.

    Ces entreprises privées dont le but est de faire des bénéfices, composent des menus souvent peu équilibrés et qui arrivent sous vide avant d’être réchauffés.

    Mauvaises matières grasses, mauvaises alliances de produits, beaucoup de sauces et d’enrobage, perte de vitamines des plats préparés à l’avance, etc.

    Les enfants ne mangent pas ou peu d’autant que les collations du matin pour les petits, restent la norme malgré les démarches pour les supprimer (cela permet aux enseignants d’avoir un moment « calme » et dit « pédagogique »).

    Il est évident que la dérive concernant la présence de marques publicitaires et tout à fait envisageable dans la mesure où les budgets des collectivités comme celui de l’Etat, se réduisent, que les coûts augmentent et qu’il faut bien trouver l’argent quelque part avant que les prix de la cantine ne deviennent complètement prohibitifs, ce qui est déjà le cas pour les familles modestes .

    Les prix sont extrêmement variables selon le lieu géographique, les variations du simple au quadruple existent par exemple pour les revenus les plus bas quand elles sont plus dégressives pour les plus hauts revenus (exemple : repas de 0,80 à 3 euros à La Trinité (06), contre 3,70 à 7,10 à Thouaré-sur-Loire (44)).

    On note un sorte de sponsoring larvé avec l’offensive des produits Max Havelaar dans les cantines.

    Il est mentionné dans les menus les produits issus du commerce équitable avec le logo de cette marque dont le lien est d’ailleurs facilement établi puisque les mairies affichent et revendiquent fièrement cette démarche idéologique.

    Problème des marques type « Saveur de l’année » (Monadia) qui travaillent avec les restaurations scolaires.

    Problème des zones test des entreprises privées qui fonctionnent en partenariat avec les entreprises de restauration, elles testent les nouveaux produits sur les enfants avant de les mettre sur le marché (forme, saveurs), et dans l‘espoir que les enfants demandent les mêmes à la maison.

    En échange, les entreprises de restauration sont rémunérées par ces marques.

     

     

    C - Exploitation commerciale du temps de cerveau disponible

    Plus précisément, il serait question de rentabiliser commercialement la mise en friche du cerveau de l’enfant, ou plus exactement son manque d’esprit critique, sa seule capacité de porosité à tout ce qu’on lui donnera à avaler.

    L’utilisation des écrans (télévision, ordinateurs, consoles) ne serait pas si nocives pour un cerveau bien structuré.

    Elle est dangereuse dans les trois premières années où l’enfant a principalement besoin d’un échange par le soin, le regard attentif, la communication les yeux dans les yeux, de sens qui se répondent, de bras qui le rassurent.

    La structuration première du cerveau se fait in utero et les toutes premières années sont primordiales.

    Ensuite, l’écran peut être utilisé de manière parcimonieuse et contrôlée.

    Le temps de cerveau disponible se réduisant naturellement chez un enfant instruit correctement.

    Et si évidemment la publicité a envahi cette part de marché, elle n’aurait aucun impact chez un enfant dont les parents assumeraient leurs responsabilités éducatives.

    On a tendance à se décharger sur d’autres de nos propres carences. C’est au final, le parent qui autorise, le parent qui décide, lui qui installe le cas échéant, un contrôle parental s’il se rend bien compte de son absence d’autorité.

    Le responsable de la dégénérescence éducative est moins au final le media, que le parent, lui-même soumis à l’idéologie de l’enfant roi et la politique familiale qui incite à se débarrasser de ses enfants plutôt que de s’en occuper (modes de garde contre salaire parental).

    Dès la maternelle, les nouvelles méthodes engendrées par les pseudo « sciences de l’éducation » qui entendent mettre l’enfant au centre des savoirs, ne structurent pas le cerveau correctement.

    Les méthodes globales (toutes les méthodes ne partant pas du plus petit élément pour aller vers le toujours plus complexe avec force exercices d’application, sont des méthodes globales) utilisées par la suite, ne sont pas celles qui obéissent aux lois neurologiques de notre cerveau. (Travaux de Roger Sperry, du Docteur Wettstein Badour, du Professeur Stanislas Dehaene)

    La pensée est prémâché et avalée d’un bloc, c’est le plus souvent le dernier qui a parlé qui a raison.

    La publicité occupe le vide laissé à la fois par le manque d’éducation parentale puis par le manque d’instruction.

    L’éducation parentale effective favorisant l’entrée dans l’instruction qui seule, structure et permet l’accès à l’analyse, l’esprit critique.

    Si l’on peut réglementer la publicité des chaînes publiques, il semble inenvisageable de légiférer de façon exhaustive en matière de publicité commerciale ciblant les enfants en ce qui concerne les medias privés et/ou étrangers, l’Etat outrepasserait ses prérogatives telles que nous les envisageons.

     

     

    D - Les palliatifs

    Si l’Omc et l’Ocde ont tablé sur l’échec de notre Education Nationale pour accélérer la fuite en avant et installer leur nouvel ordre éducatif mondial, les entreprises privées sont et demain davantage encore, les bénéficiaires de l’anéantissement de notre ancienne école de la transmission des savoirs.

    1) Marché du soutien scolaire

    Il n’a cessé de croître au fur et à mesure que l’inquiétude des parents allait grandissante, tant face à l’échec patent de l’école, que celui de leurs enfants, et que le marché de l’emploi se rétrécissait comme peau de chagrin.

    En la matière, on trouve de tout à mettre dans son panier.

    Nombreuses petites entreprises s’y sont cassées le nez tant les salaires bas des employés nécessite une gestion au plus près qui ne tient pas la concurrence face aux grandes qui peuvent se permettre de centraliser les coûts, publicitaires notamment.

    Le résultat est au petit bonheur, la formation des maîtres, le plus souvent des étudiants, étant davantage évaluée sur le tas et si les familles y ayant recours sont en mesure de les évaluer.

    Le secteur reste précaire et aléatoire, les cours sont demandés à la petite semaine, et les budgets des familles tendant à se réduire.

    Les aides fiscales de l’Etat sont importantes même si là encore, elles baissent, et les enseignants reconnaissent à raison que l’état a là une bien étrange façon de financer le marché privé quand parallèlement il restreint les budgets attribués au service public.

    L’utilisation du budget éducatif restant à redéfinir en réinstaurant une école de l’instruction quand aujourd’hui le système de l’éducation globale qui prend le pas, s‘avère tant improductif intellectuellement qu’il le deviendra à terme, économiquement.

    2) Marché des logiciels ludo éducatifs

    Dans ce domaine également, les grands groupes de jouets ont investi un secteur très rentable, permettant encore aux parents de se décharger de leur souci éducatif.

    Le marché s’étend toujours davantage et a su s’adapter au nouvel ordre éducatif mondial.

    A l’affût des derniers programmes qui changent sans cesse, faisant valoir toutes les différentes éditions pour mieux promouvoir leur produits.

    La demande glissant peu à peu de l’édition traditionnelle aux logiciels informatiques, les bénéfices ne cessent de croître grâce aux faibles coûts de revient des supports.

    On sait que l’usage des matériels ludo éducatifs n’est en aucune manière en rapport avec la quantité d’achat de ces produits qui sont vite délaissés par les enfants.

    L’essentiel est basé sur le marketing, en partenariat avec les marques à la mode qui accordent des licences, la qualité du travail éducatif virtuel n’est d’ailleurs que la dernière des préoccupations, tant le marché se gagne davantage sur le packaging, la publicité, le marketing et les réseaux commerciaux.

    On note que le niveau réel des enfants n’a cessé de régresser au fur et à mesure que les familles s’équipaient de matériels pédagogiques des plus sophistiqués .

    Les écoles ont parfois recours a des supports éducatifs vendus dans le commerce.

     

    3 ) Les réseaux d’influence, antirépublicains

    On connaît assez les réseaux de gauche de l’Education populaire et de la Ligue de l’enseignement qui développent une myriade de réseaux tant sur notre territoire qu’au niveau international.

    On sait aujourd’hui le partenariat qu’ils exercent avec l’Ocde et le Longlife Learning, au service du marché éducatif et du modèle marchand mondialiste.

    On sait moins ce qui se passe du côté de la droite, si tant est que l’on soit capable de différencier la gauche de la droite dans ce domaine comme dans tous les autres, là encore, il ne s’agit que d’une différence de degré et non de nature.

    Luc Chatel est né aux États-Unis et fut notamment spécialiste en marketing auprès du groupe L’Oréal et secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie, détails non sans signification pour devenir ministre de l'Éducation nationale française.

    National étant un bien grand mot quand on sait que nos politiques en la matière n’ont cessé de saborder sa filiation héréditaire de transmission des savoirs pour s’aligner sur le Nouvel ordre éducatif mondial décidé dans les lointains organismes que sont l’Ocde, l’Omc, Fmi, et autres Banque mondiale.

    Les qualifications du ministre le prédestinait à parachever l’œuvre de Xavier Darcos, qui, comme François Bayrou, autre de ses prédécesseurs, fut membre de l’association libérale « Créateur d’école » dont "(la) mission (fut) l'identification des verrous et les moyens de les faire sauter, (...)(préconisant) de ne pas tomber dans le piège de la réforme globale, mais identifier avec précision les actions nécessaires, tout en les rendant possible... ".

    Elles exercent toute une forme de politique anglo saxonne antirépublicaine, c ’est la politique des «lobbies». Là où il a un marché, il y a un ou même des, groupes de pressions, concurrence oblige.

    La nomination de Luc Chatel à l’Education n’est pas une coïncidence.

    On se moquera de savoir qui de ces ministres, de leur philosophe libéral Philippe Némo, ou membres du Club de l’Horloge, fait partie des nombreuses associations, courants ou partis politiques qui appliquent les dogmes libéraux, certains ont pu changer de nom, mais on peut citer : Alternative libérale, Avenir de la culture, Sauvegarde retraites, Droit de naître, le GEFI, l’Institut pour la Justice, Contribuables associés, Institut pour la recherche sur les administrations publiques, l'association parlementaire pour la liberté de l'enseignement conduite par Jacques Barrot, Réseau liberté, Conscience politique, Catholiques pour la liberté économique, Sos-éducation, Fondation pour l'école, et petite dernière sur le marché, Lire Ecrire et son scoladon…

     

    Peu importe leurs liens croisés ou tordus, il est de rigueur de n’émettre aucune filiation entre ses officines qui se veulent indépendantes , l’important étant surtout qu’elles appliquent toutes les mêmes « directives » libérales .

    Pour nos partisans du tout économique, l’école est un marché comme un autre, et il est aberrant qu’il survive en France un service public en la matière comme dans d’autres.

    Le cas de SOS-éducation est intéressant, la concurrence menant logiquement au monopole, c’est elle qui tient la corde.

    A sa création, elle avait envoyer une pétition destinée à défendre la politique familiale française, en anglais, s’excusant en préambule de n’avoir pu traduire du fait de l’urgence !

    Les similitudes entre la politique éducative qu’elle préconise et celle menée aux Etats-Unis avec l’idée d’un réseau d’établissements indépendants sur la base d’une chartre minimale imposée par l’Etat, sont flagrantes.

    Ils souhaitent la mise en place d’écoles distinctes pour les enfants de « ceux qui ne lisent pas les mêmes journaux, ne votent pas pour les mêmes partis, n’ont pas les mêmes genres et styles de vie, etc. » Vision ultralibérale de l’éducation, on ne s’étonnera donc pas qu’elle proposa une conférence avec Yvon Gattaz, ancien président du MEDEF, à la questure de l’Assemblée Nationale, où elle a donc ses entrées.

    Cette association rend un diagnostic correct du niveau catastrophique actuel des élèves. Mais la réponse qu’elle préconise est aussi effrayante que le mal, et elle se positionne d’ores et déjà sur une part du «marché éducatif».

    Comme il l’est préconisé au niveau de l’OCDE ou de l’OMC, nos dirigeants devraient profiter de cet échec pour faire disparaître le service public de l’éducation nationale, celui qui, a priori devrait consister en une école républicaine forte, capable de transmettre à tous les élèves, quelles que soient leurs origines, sociale, confessionnelle, culturelle, un patrimoine commun de connaissances, une instruction qui serait un véritable ciment de la Nation et qui permettrait la promotion sociale de chacun.

    SOS Education se targue d’exercer une certaine pression sur les gouvernements ( mais bien sûr, les lobbies n’existent pas en France), ainsi se vante-elle d’avoir abouti aux prises de position de Gilles de Robien sur les méthodes de lecture, avec toutefois le succès que l’on sait dans la pratique.

    Les groupes de pression font partie du système mondialiste, ils génèrent un marché, mais on ne les laisse penser qu’ils exercent un pouvoir que dès lors qu’ils sont mainstreams (dans le courant dominant).

    4) Les écoles hors-contrat, dérive libérale et problématique du chèque éducation

    Il était également mainstream de s’aligner sur le processus anglo-saxon des écoles hors-contrat.

    Si nous reconnaissons le libre choix de l’école entre écoles publiques et écoles privées, nous ne souhaitons qu’une instruction nationale, creuset de la nation.

    Les écoles hors-contrat sont des écoles à la carte d’inspiration ultralibérale qui ont davantage une logique de rentabilité et de sélection par l’argent.

    Leur idéologie libérale ne les empêchant pas de faire pression sur les gouvernements pour obtenir des aides fiscales, mais encore revendiquent-elles le Chèque éducation.

    Le principe de l’école libérale est une catastrophe pour la cohésion nationale, elle a ouvert le champ à l’instauration d’une multitude d’écoles communautaristes, catholiques bien sûr, puisque la volonté affichée de la Fondation pour l’école par exemple, est d’investir les écoles privées sous contrat où elle voit un réseau captif, mais encore des écoles coraniques, kurdes, etc.

    Le tout sans aucun contrôle.

    La Fondation pour l’école n’a par exemple qu’une volonté de satisfaire une cliente, mais non de revenir aux méthodes traditionnelles d’instruction.

    Ainsi a -t-elle mis en place, avant même de proposer à ses membres la façon de créer son école, un réseau de formation payant où il est proposé la méthode Montessori qui est une école appliquant les principes des nouvelles pédagogies jusqu’à leur paroxysme. L’enfant décidant par lui-même s’il aborde telle ou telle matière.

    Les écoles hors-contrat s’inscrivent parfaitement dans le marché éducatif et les conceptions de l’Ocde puisqu’elles sont par essence attirées par les méthodes qui génèrent des flux financiers. Or les nouvelles pédagogies nécessitent sans cesse de nouvelles formations, d’une part parce qu’elles entretiennent un goût du nouveau pour le nouveau, mais encore parce qu’elles s’adaptent aussi à la demande de flexibilité demandée par les instances économiques et financières, c’est là encore leur intérêt économique.

    Le concept de Chèque éducation est un concept mondialiste. Il paraît inopportun pour nous de continuer à l’utiliser.

    Ce système a été initialement développé en 1990, dans la ville de Milwaukee (États-Unis) sous le nom de « school vouchers » et a depuis été mis en place au Chili (le Chili a servi de laboratoire mondialiste en matière d‘éducation, l‘ensemble du système scolaire a été privatiser ne laissant plus qu‘un reliquat public poubelle), en Suède (un des fers de lance des nouvelles pédagogies en Europe), aux Pays-Bas, à Hong-Kong (l’Asie, et tout spécialement la Corée du Sud est le meilleur élément du Nouvel ordre éducatif mondial) et dans plusieurs autres États des États-Unis. Il a par ailleurs été expérimenté, puis abandonné, au Royaume-Uni. Plus récemment, il a fait l'objet d'un large débat dans plusieurs cantons suisses, sans avoir été retenu.