libéralisme mondialisme - Page 70
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Boutin, Bourges, et autres libertariens, des liens de fond et de forme
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Quels salopards êtes-vous ?
Au fait, vous avez toujours un doute à propos de la cooptation de Soral par les libertariens ou les épisodes Bourges et Farida Belghoul ne vous ont pas encore suffit ?
Ils cooptent tous les illuminés has been, Bob Ménard le premier, et tentent une OPA sur le Front via Marine comme ils l'avaient fait sur JMLP, ça prend dès que c'est intellectuellement poreux, comprendre, facilement pénétrable et/ou corruptible.Lien permanent Catégories : Brèves, libéralisme mondialisme, Libertariens (Libéralisme) -
Connais ton ennemi
Lorsque j'ai commencé à parler des libertariens il y a quelques années, on s'est moqué, aujourd'hui, il y a des fiches Wikipedia.
Si ça continue, même les journalistes vont être au courant.
A noter que le fondateur de Wikipedia est libertarien.
Laissons agir le pouvoir autodestructeur de leur idéologie.
http://fr.wikipedia.org/wiki/LibertarianismeLibertarianisme
Le libertarianisme est une philosophie politique prônant, au sein d'un système de propriété et de marché universel, la liberté individuelle1 en tant que droit naturel. La liberté est conçue par le libertarianisme comme une valeur fondamentale des rapports sociaux, des échanges économiques et du système politique.
Les libertariens se fondent sur le principe de non-agression2 qui affirme que nul ne peut prendre l'initiative de la force physique contre un individu, sa personne, sa liberté ou sa propriété. De fait, ses partisans, les libertariens, sont favorables à une réduction, voire une disparition de l'État (Antiétatisme) en tant que système fondé sur la coercition, au profit d'une coopération libre et volontaire entre les individus.
Sommaire
[masquer]Origine du terme
Le mot « libertarien » est l'adaptation en français de l'anglais « libertarian », lui-même traduction anglaise du français « libertaire ». Ce néologisme a été inventé afin de distinguer les libertariens des libéraux des États-Unis (lesquels sont estimés à gauche de l'échiquier politique des États-Unis, voir libéralisme contemporain aux États-Unis), le libertarianisme se faisant le promoteur d'un marché sans entrave (voirlibre marché) au nom de la liberté individuelle.
Le Parti libertarien, se revendiquant de ce courant de pensée, est né en 1971 aux États-Unis, avec la publication du livre de Robert Nozick, Anarchie, État et utopie, qui critiquait la Théorie de la justice deJohn Rawls et notamment son « principe de différence » (difference principle (en)) 3.
De Liberal à Libertarian
Au début du xxe siècle, le parti libéral britannique, au pouvoir, pratiquait des politiques de plus en plus étatistes. L'évolution se poursuit dans les années 1920, au cours desquelles l'économiste Keynesredéfinit un nouveau libéralisme. Dans les années 1950, suite à la répression politique opérée par le maccarthysme, les socialistes américains, dans la tradition de la social-démocratie, se sont massivement réclamés liberals, reprenant la tradition keynésienne4.
Le mot liberal, aux États-Unis en étant venu à désigner les progressistes favorables à l'intervention de l'État dans l'économie, des libéraux américains (au sens original du terme) ont repris à leur compte le mot libertarian, qui aux États-Unis n'avait pas la même connotation que libertaire en France (originellement, ce terme a été forgé par opposition au terme " libéral " par Joseph Déjacque5). Le mot libertarians'est depuis implanté en Grande-Bretagne (où il avait des connotations d'anarchisme socialiste), fort de toute la littérature libertarian déjà existante.
De Libertarian à Libertarien
Dans les années 1970, Henri Lepage, en traduisant le terme libertarian, et en l'absence de littérature libertarian francophone, n'a pas voulu risquer l'amalgame avec les libertaires, et a donc préféré utiliser « libertarien »6. Les libertarian francophones du Québec ont repris le terme « libertarien », phonétiquement proche de l'américain libertarian.
Certains libéraux/libertariens considèrent l'usage du terme comme un anglicisme et une erreur, puisqu'en France, le terme " libéral " ne prête pas à confusion (même s'il a pris un sens plus large) puisque ceux qui s'en réclament défendent bien le libre-échange et ceux qui s'y opposent le font sur cette base. Ils relèvent notamment la tradition de libéraux comme Frédéric Bastiat dont ils se réclament. Ils préfèrent donc se dire tout simplement libéraux.
Autres traductions
Bien qu'elle soit la plus utilisée, la traduction de « libertarian » par « libertarien » n'est reconnue ni par tous les libertaires, ni par tous les libertariens (quelques-uns revendiquant le mot « libertaire »)[pas clair].
Le mot « libertarien » donne également lieu au néologisme « libertarianisme », mais ce mot quelque peu compliqué est peu utilisé, les « libertariens » préférant eux-mêmes parler de libéralisme pour nommer leur philosophie (ce en quoi certains libéraux non libertariens sont en désaccord). Certains utilisent aussi le terme « libertarisme » (mais ce dernier est également utilisé par les libertaires).
Le libéralisme des libertariens
Doctrine
Dans le domaine politique, les idées libertariennes ont été exprimées dès le xixe siècle avec les œuvres de Wilhelm von Humboldt (Essai sur les limites de l'action de l'État), Herbert Spencer, Lysander Spooner et Gustave de Molinari7.
Dans le domaine économique, elles ont été exprimées dès le xviiie siècle par les Physiocrates, notamment Vincent de Gournay et Turgot, et développées entre autres par Condillac (Le commerce et le gouvernement considérés relativement l'un l'autre) et Jean-Baptiste Say dans son Traité d’Économie Politique.
Au xxe siècle, elles ont été reprises et développées par l'école autrichienne d’économie, dont les auteurs principaux sont Ludwig von Mises, Friedrich Hayek, etMurray Rothbard.
Le libéralisme libertarien semble échapper à la dichotomie politique classique gauche/droite de par ses thèses qui le situent à la fois à gauche au plan des libertés individuelles (dépénalisation des drogues, liberté d'expression, liberté d'immigration, liberté sexuelle, refus de la conscription...) et à droite au plan des libertés économiques (respect de la propriété privée, liberté d'entreprendre, libre-échange, réduction drastique de la fiscalité, rejet des politiques étatiques de redistribution...).
Certains libertariens – notamment les anarcho-capitalistes – refusent tout État. D'autres veulent, en vertu des théories minarchistes formulées entre autres par l'économiste écossais Adam Smith, le restreindre à un État minimal – à savoir Police, Justice et armée – permettant de garantir le droit à la propriété.
Le libertarianisme pose la liberté individuelle comme valeur suprême et fin en soi8 plus encore qu'il n'est l'anti-Keynes.
David Nolan, fondateur du parti libertarien américain, a créé un diagramme pour démontrer sa doctrine, diagramme largement critiqué par les non-libertariens[réf. nécessaire] parce qu'il ne montre, selon eux, que les thèmes que défendent les libertariens (libéralisme économique et libertés individuelles au sens libéral), sans prendre en compte les idées défendues par les autres courants politiques.
Critiques
Le libertarianisme est l'objet de nombreuses critiques, tant par les conservateurs que par les socialistes et les anarchistes anticapitalistes.
Une des critiques fréquentes accuse le libertarianisme d'être une liberté faussée en particulier par l'argent. Pour Philippe Van Parijs, l'argumentation libertarienne poussée à ses limites conduit à adopter une position "réal-libertarienne", interventionniste (voir aussi Gerald Cohen, du courant du marxisme analytique et qui défend une position libertarienne de gauche), qui remplace la liberté formelle des auteurs libertariens classiques par le principe d'une liberté réelle maximale pour tous, ce qui le conduit à défendre le concept d'une allocation universelle et à autoriser les interférences de l'État dans des cas exceptionnels (par exemple lorsque des actes rationnellement motivés au niveau individuel conduisent à des irrationnalités collectives, limitant la liberté réelle de chacun : l'État pourrait ainsi interdire, par exemple, aux agriculteurs d'utiliser des engrais dont le rejet dans la mer, par la création d'algues, restreindrait la liberté des pêcheurs) 9.
Les libertariens rejettent cette critique en s'appuyant sur les importantes contributions des fonds privés de charité qui financent l'éducation et la santé des démunis partout dans le monde, avec comme exemples courants le Carnegie Fund ou la Fondation Bill-et-Melinda-Gates (Bill & Melinda Gates Foundation). Les libertariens estiment que la charité privée est réduite d'autant plus qu'augmente laredistribution publique, et réciproquement10. Par ailleurs, Mark Rosenfelder11 accuse le libertarianisme d'être une utopie irréalisable, comme le communisme mais avec des positions contraires.
Pour Noam Chomsky, « la version américaine du "libertarisme" est une aberration – personne ne la prend vraiment au sérieux. Tout le monde sait qu'une société qui fonctionnerait selon les principes libertariens américains s'autodétruirait en quelques secondes. La seule raison pour laquelle certains font mine de la prendre au sérieux, c'est qu'ils peuvent s'en servir comme d'une arme. [...] C'est une aberration exclusivement américaine qui n'a rien de très sérieux »12. Omettant que la paternité de ces idées est attribuée, par Murray Rothbard au belge Gustave de Molinari qui ne fit que pousser le raisonnement sur l'État régalien de son maître à penser, le député libéral Frédéric Bastiat, jusqu'à sa limite logique et cohérente concluant sur une concurrence entre micro-communautés, que les américains reprirent sous la forme de minarchisme et d'anarcho-capitalisme, ramenant ainsi toute critique de ses travaux à une critique des fondements du libéralisme qui sont les piliers du libertarianisme épurés des incohérences logiques.[Ce passage est incompréhensible.]
Tendances
Il existe au sein de la mouvance libertarienne plusieurs tendances, s'opposant parfois entre pro-propriétés et anti-propriétés :
- le minarchisme (qui s'apparente au libéralisme classique), qui considère que les pouvoirs de l'État devraient être strictement limités à la défense des libertés individuelles
- l'anarcho-capitalisme, qui considère que les pouvoirs de l'État devraient être supprimés
- le paléo-libertarianisme, anarcho-capitaliste économiquement mais socialement conservateur, proche du libertarianisme conservateur, aussi appelé libertarianisme de droite.
- le georgisme et le geolibertarianisme, qui veulent un impôt foncier unique basé sur l'utilisation de la terre
- le libertarisme de gauche, qui associe liberté individuelle et gestion égalitaire des ressources naturelles13
- le panarchisme, permettant l'ensemble des systèmes politiques, peut être considéré [Par qui ?] comme proche du libertarianisme [réf. nécessaire]
- le socialisme libertarien, proche du communisme libertaire [réf. nécessaire]
- le mutuellisme, parfois apparenté [Par qui ?] au libertarianisme [réf. nécessaire]
- le libertarianisme chrétien, opposé sur certain point au christianisme libertarien
- le crypto-anarchisme, attaché à la cryptologie, est parfois [Par qui ?] apparenté au libertarianisme [réf. nécessaire]
- l'agorisme, une forme d'anarcho-capitalisme qui prône la contre-économie pacifique [réf. nécessaire]
- le futurisme, techno-libertarianisme, ou transhumanisme libertarien, qui prône le développement de la science et de la technologie pour augmenter les capacités et la liberté des individus [réf. nécessaire]
- Il existe aussi une tendance féministe libertarienne représentée par Suzanne La Follette [réf. nécessaire]
Cependant, tous s'accordent sur le principe fondamental de souveraineté individuelle qu'elles partagent également avec le courant de l'anarchisme individualiste.
Organisations libertariennes
Partis et associations politiques
En France, il existe depuis 1991 une association du nom d'ADEL (Association des Étudiants Libéraux, puis Association des Libertariens) qui représente la tendance anarcho-capitaliste14. Les associations politiques Liberté Chérie et Alternative libérale, ainsi que le parti politique Parti Libéral Démocrate diffusent des analyses libertariennes ou proches du libertarianisme (minarchiste). Ils se distinguent dulibéralisme économique traditionnel par leur promotion d'un " libéralisme grand angle " ou " libéralisme authentique ". Ils restent néanmoins des libéraux classiques au sens où ils considèrent l'État comme un mal nécessaire : disant « Autant d'Etat que nécessaire, aussi peu que possible », le parti ne prétend pas supprimer l'État mais le réformer. Certaines propositions d'intervention dans le domaine de l'éducation (le chèque éducation) font des partisans d'alternative libérale des libéraux classiques dans l'ensemble, les libertariens constituant une minorité. L'association SOS Éducation fait aussi partie de cette mouvance et a donné lieu à des critiques sévères y compris de la part de personnalités de droite jacobine.
Le 1er février 2013 a été constitué le premier mouvement politique français à vocation électorale se réclamant officiellement des thèses libertariennes : le Mouvement des Libertariens15. Il participe à sa première élection lors de l'élection législative partielle du 16 juin 2013 dans la 3ème circonscription du Lot et Garonne 16[réf. insuffisante].
Par ailleurs, le libertarianisme a une existence politique dans des pays comme les États-Unis (Parti libertarien), le Canada (Parti libertarien du Canada), la Nouvelle-Zélande (Libertarianz et ACT New Zealand), le Royaume Uni (Libertarian Party of the UK), la Pologne (UPR), le Costa Rica (Movimiento Libertario) et les Pays-Bas (Parti libertarien des Pays-Bas), le parti libéral classique en Suède, ainsi qu'un début d'existence en Australie (Parti libertarien d'Australie). En Allemagne le Parti de la raison (Partei der Vernunft) s'est créé en 200917. Enfin, le 11 novembre 2012 a été fondé le Parti Libertarien de Belgique (Plib).
Fondations et instituts
Créé à l'initiative de Patri Friedman, petit fils de l'économiste américain Milton Friedman, le Seasteading Institute (en) ambitionne de créer des ïles artificielles dans les eaux internationales pour y vivre selon les principes libertariens. L'institut est notamment financé par Peter Thiel, fondateur de PayPal18.
Mise en pratique
Il y a eu au cours de l'histoire plusieurs projets de mise en pratique des principes libertariens pour organiser une cité ou une nation. Il y a par exemple eu un projet dénommé « La République de Minerve » de fondation d'une micro-nation anti-interventionniste dans les îles Tonga19.
L'animateur de radio américain Glenn Beck a créé le projet « Independance » visant à réaliser une ville autonome fonctionnant selon les principes libertariens19. Au même moment, le projet « The Citadel » vise à construite une citadelle libertarienne dont les montagnes de l'Idaho19.
Promoteurs du libertarianisme
Libertariens célèbres
- Eric Steven Raymond, hacker américain, théoricien du mouvement Open Source.
- Michael Badnarik, homme politique, candidat à la présidence des États-Unis en 2004, ingénieur en génie logiciel
- Richard Branson, homme d'affaires connu pour sa société Virgin
- Kurt Russell, acteur, scénariste et producteur
- Trey Parker, réalisateur américain, connu pour la série South Park
- Aaron Russo, ancien producteur américains de films
- Vernon L. Smith, récipiendaire du prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel en 2002
- Robert Nozick, ancien professeur de l'Université Harvard
- Penn & Teller, duo d'illusionnistes humoristes américains
- Christian Brunet, parolier-auteur compositeur et ancien distributeur indépendant (entre 1986 et 1995) du disque français
- Ayn Rand, philosophe et romancière américaine, même si elle rejetait le terme libertarien
- David Friedman, professeur à l'Université de Chicago et fils du célèbre économiste Milton Friedman
- Murray Newton Rothbard, (2 mars 1926 - 7 janvier 1995) philosophe et économiste américain
- Clint Eastwood, acteur et réalisateur20.
- John Malkovich, acteur
- James Hetfield, cofondateur, guitariste rythmique et chanteur du groupe de Thrash Metal américain Metallica
- Ron Paul et Rand Paul hommes politiques, l'un représentant du Texas, l'autre sénateur du Kentucky.
- Peter Thiel, homme d'affaires américain, fondateur de Paypal.
- Matthew Bellamy, leader du groupe de musique Muse.
- Chester Brown, auteur et dessinateur canadien.
- Jeff Bezos, fondateur et PDG d'Amazon.
- Neil Peart, batteur du groupe rock canadien Rush.
- Doug Stanhope, humoriste américain.
- Les Frères Koch, magnats du pétrole finançant de nombreux think thank libertariens21.
- Éric Duhaime, chroniqueur et polémiste québécois.
- Joanne Marcotte, chroniqueuse et polémiste québécoise.
Sympathisants célèbres
- Jimmy Wales, fondateur de Wikipédia, qui refuse l'étiquette de libertarien mais se revendique objectiviste (selon la conception d'Ayn Rand) et estime que la catégorie libertarienne est celle qui lui correspond le mieux22.
- Rupert Murdoch, homme d'affaires à la tête d'un empire médiatique23.
Bibliographie
- Sébastien Caré, Les libertariens aux États-Unis : Sociologie d'un mouvement asocial, Presses universitaires de Rennes, 201024
Notes et références
- Dictionnaire Webster, "libertarianism" [archive]
- Murray Rothbard, Le Manifeste libertarien, 1973, For a new liberty: the libertarian manifesto [archive]
- Philippe Van Parijs, Qu'est-ce qu'une société juste? Introduction à la pratique de la philosophie politique, Le Seuil, 1991, pp. 114-127 « L'ambivalence du libertarianisme »
- Sébastien Caré, La pensée libertarienne : Genèse, fondements et horizons d’une utopie libérale, PUF, 24 juin 2009, 1e éd., 360 p. (ISBN 978-2-13-057359-3, présentation en ligne [archive])
- Valentin Pelosse, « Joseph Déjacque et la création du néologisme « libertaire » », Économies et sociétés (Cahiers de l'institut de science économique appliquée), vol. 6, no 12, 1972 (lire en ligne [archive])
- Henri Lepage, Demain le capitalisme, 1978
- Alain Laurent dans La philosophie libérale les range ainsi parmi les libertariens, classification reprise par Yvan Blot dans Herbert Spencer, un révolutionnaire contre l'étatisme. Voir également Gérard Dréan, Qu'est ce que le libéralisme, Sociétal, 1er semestre 2008, p.22
- Selon Desai Meghnad, The Cambridge Companion to Hayek, ed. Edward Feser, Cambridge University Press, 2006
- Philippe Van Parijs, Qu'est-ce qu'une société juste ? Introduction à la pratique de la philosophie politique, Le Seuil, 1991, pp. 211-239 (en particulier pp.211-216, "L'allocation universelle la plus élevée possible")
- Étude sociologique d'Edwin G. West et J. Stephen Ferris de l'Université de Carleton [archive]
- Le problème du libertarianisme [archive]
- Noam Chomsky, Comprendre le pouvoir : Tome II, Aden, 2006, p. 174-175.
- Comment être libertarien sans être inégalitaire [archive] Michael Otsuka Raisons politiques no 23 2006/3
- http://libertariens.chez.com [archive]
- http://leslibertariens.fr [archive] site Internet du mouvement
- http://www.sudouest.fr/2013/05/06/villeneuve-sur-lot-les-libertariens-dans-la-campagne-1045754-3603.php [archive] Sud Ouest 5 mai 2013
- Feuille de faits [archive] (de), Partei der Vernunft, 24 octobre 2011.
- Gabriel Siméon, « Projet d’îles-cités dans les eaux internationales : utopie sociale ou libéralisme exacerbé ? », Les Inrockuptibles, 24 juin 2012 (lire en ligne [archive])
- Carole Boinet, « Communautés libertariennes : une utopie américaine ? », Les Inrockuptibles, 22 janvier 2013 (lire en ligne [archive])
- sources recensées sur theadvocate.org [archive]
- [1]
- entretien du 25 septembre 2005 [archive]
- K. Rupert Murdoch - SourceWatch [archive]
- Les libertariens aux Etats-Unis. Sociologie d'un mouvement asocial [archive], Alternatives économiques, octobre 2010
Voir aussi
Articles connexes
- Anarcho-capitalisme
- Antiétatisme
- Minarchisme
- Agorisme
- Monnaie privée
- Ultralibéralisme
- Gadsden flag
- Objectivisme (Ayn Rand)
Liens externes
- (fr) Site du Mouvement des Libertariens
- L'Institute of Economic Affairs, think tank pour le marché libre à Londres, le relais libertarien le plus ancien et disposant de la plus grande visibilité en Europe
- Adam Smith Institute, Londres
- Institut Turgot, Paris, qui revendique explicitement sa filiation avec l'IEA
- Institut Molinari, Bruxelles
- The CATO Institute, institut économique basé à Washington
- Le Québécois Libre, journal d'opinion d'orientation libertarienne
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Libertarian Academy
Les candidats de Washington se positionnent comme attendu pour rabattre les peuples dans le giron mondialiste épisode II, version hard & gore.
Vous n'avez donc encore rien vu. -
CIA Pour Tous
Les lobbies libertariens ( droite de la droite) américains -financés par des multinationales et notamment par les multinationales qui doivent leur pouvoir aux matières premières captées par les forces armées américaines et fondées par les dirigeants de l'OSS/CIA qui chapeautent ces lobbies dont le but est d'instaurer et/ou de consolider le système libéral, assise de leur hégémonie-
sont derrière ces mouvements.
Ce sont eux qui ont préconisé à Boutin et à Bourges de coopter dans les communautés religieuses et les banlieues.
Il suffit de baisser pour ramasser l'information, les Américains n'ont pas de pudeur, ils annoncent tous leurs projets, les financements sont indiqués dans les fiches Wikipedia, des personnes comme les multimilliardaires Mellon Scaife des banques et Entreprises du même nom, les Horowitz ne cachent pas qu'ils financent l'extrême-droite, la façon dont ils les promeuvent leur visibilité, les méthodes de lobbying, les multinationales qui les soutiennent et dans quels buts.
http://www.frcblog.com/2012/10/our-french-connection/Lien permanent Catégories : libéralisme mondialisme, Libertariens (Libéralisme) -
La paix prise entre le corbeau américain et le goéland russe
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Les libertariens pour les nuls
France Info qui fait un reportage sur le "miracle" vendéen et notamment les Herbiers qui connaîtrait un faible taux de chômage sans mentionner les réseaux et lobbies catholiques et protestants, et leurs liens avec les multinationales, ainsi que les liens entre PME-PMI avec ces multinationales.
Comment peuvent-ils prétendre faire du journalisme et de l'analyse en omettant les éléments essentiels ...Encore sur France Info, ils parlent de la harpie libertario musulmanne soralienne qui appelle à boycotter l'école, ancienne de Sos Racisme qui doit se faire balader par toutes les idéologies, sans mentionner ni même sans doute connaître des lobbies libertariens.
Ils sont incapables de faire le rapprochement avec Béatrice Bourges et sa clique et Washington.
Ils sont juste, nuls.Il y a une dizaine d'années, je me souviens que la présidente du groupe anti-secte à l'Assemblée nationale, proche des réseaux libéraux catholiques, avait fait cette objection magnifique.
Parlant d'une organisation que l'on soupçonnait fortement d'être une secte, elle avait répondu :"Ce n'est pas possible, ma fille en fait partie."Lien permanent Catégories : Brèves, libéralisme mondialisme, Libertariens (Libéralisme) -
Ca dépasse toujours le Sens Commun
«Il y a du feu chez nous, la soupe est chaude. Si Charles Beigbeder a envie de nous rejoindre nous lui ouvrons les bras.» Lors de la présentation du projet du FN pour les municipales à Paris, ce jeudi matin, Paul-Marie Coûteaux, candidat dans le VIe arrondissement, a clairement tendu la main au dissident de droite qui se pose en rival de Nathalie Kosciusko-Morizet, sous la bannière Paris libéré. <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; color: rgb(70, 70, 70); font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; line-height: 22px;">
<btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; color: rgb(70, 70, 70); font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; line-height: 22px;">Une boutade? «Il n'y a rien de fait, mais ce n'est pas complètement sur le ton de la boutade», confie au parisien.fr le candidat du Front national à la mairie de Paris, Wallerand de Saint-Just.
«M. Beigbeder, sur le plan de la réflexion, sur le positionnement politique, il peut figurer sur nos listes», poursuit-il. Il l'admet, «pour le moment, je ne le connais pas». Mais à ses yeux, la suspension des dissidents de l'UMP peut être «un motif de rapprochement avec le Rassemblement Bleu Marine (RBM)». «Nos bras sont grands ouverts», ajoute-il.25/12/2013
Ca dépasse le Sens Commun
11:04 Publié dans Européennes, Libertariens (Libéralisme), Municipales | Lien permanent| Commentaires (0) | Tags : sens commun, manif pour tous, medef, charles beigbeder,charles millon, institut de formation politique, néocons durs, leadership institute,thomas more, foundation ditchley, table ronde caux, giscard d'estaing
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Jour de Colère, la pâte de Washington et l'idiot international
[L'Idiot International est une référence à un premier nid de de libertariens que l'on retrouve aujourd'hui dans les agités de Washington, pour moi, c'est un fil rouge.
Cela ne s'adressait pas à Asselineau dans ce cas-là (et bien qu'Assélineau ait fait et fait toujours partie de cette bande ne lui en déplaise, sa dernière université était truffée de libertariens et Assélineau est né politiquement dans ce milieu).
Asselineau reprend ma thèse sans l'étayer, moi, j'ai fait des recherches qui montrent la pâte de la CIA, agence au service du monde libéral.]
UNE CURIEUSE ÉPIDÉMIE PLANÉTAIRE DE « JOURNÉES DE LA COLÈRE » par François Asselineau24 janvier 2014, 23:25Parmi les curiosités de la manifestation appelée « JOUR DE COLÈRE » qui va se tenir le 26 janvier à Paris, la première qui devrait frapper les esprits est sa dénomination.
Car il se trouve que cette appellation « JOUR DE COLÈRE » a été utilisée récemment à plusieurs reprises, sur la scène mondiale, pour couvrir des opérations de déstabilisation de régimes politiques.
Parmi les principales opérations figurent les 4 opérations suivantes.
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20 mars 2010 : TENTATIVE DE DÉSTABILISATION (ratée) DE VLADIMIR POUTINE EN RUSSIE
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En mars 2010, des milliers de manifestants se rassemblèrent dans une cinquantaine de villes de Russie à l'appel de l'opposition pour protester contre la politique économique du gouvernement de Vladimir Poutine et réclamer sa démission.
Organisée par une kyrielle de partis politiques, de mouvements d'opposants et d'organisations de défense des droits de l'Homme, - notamment financées par l'étranger -, cette opération de déstabilisation du gouvernement de Vladimir Poutine obéissait à un mot d'ordre : « Journée de la colère ».En définitive, elle s'essouffla rapidement et ne parvint pas à son but proclamé; qui était la démission de Vladimir Poutine.
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17 février 2011 : DÉSTABILISATION (réussie) DU RÉGIME DE KADHAFI EN LIBYE
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http://www.rfi.fr/afrique/20110217-libye-prepare-journee-colere
L'opération de déstabilisation du régime de Kadhafi commença elle aussi par l'organisation d'une « Journée de la colère ».
Ce mouvement de contestation avait été préparé depuis plusieurs semaines, via internet et Facebook.
Puissamment relayée par les médias occidentaux, l'opération conduisit à une intervention militaire occidentale au nom du respect des droits de l'Homme, puis au renversement du régime et à l'élimination physique sans procès de Kadhafi.
Depuis lors, la Libye a plongé dans l'anarchie et la violence.
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31 janvier 2012 : TENTATIVE DE DÉSTABILISATION (ratée) DE BACHIR-AL-ASSAD EN SYRIE
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Alors que la crise se développait depuis l'automne 2011 en Syrie, dans la foulée des "printemps arabes", l'opération de déstabilisation du régime de Bachir-Al-Assad connut une brutale accélération avec l'organisation d'une « Journée de la colère » au début de 2012.
Le plus important groupe de l'opposition syrienne, le Conseil national syrien (CNS) appela à une « journée de colère » le 31 janvier 2012, en accusant les forces du régime de Bachir Al-Assad d'avoir commis des « massacres » contre les civils.
Ce mouvement de contestation avait été préparé depuis plusieurs semaines, via internet et Facebook.
Puissamment relayée par les médias occidentaux, l'opération conduisit à une intervention militaire occidentale de plus en plus marquée au nom du respect des droits de l'Homme.
Elle aurait dû conduire au renversement du régime et à l'élimination de Bachir-Al-Assad si la Russie et la Chine ne s'étaient pas interposées, plaçant la planète entière au bord de la IIIe Guerre mondiale à l'automne 2013, avant que les États-Unis ne finissent par céder.
Depuis lors, la Syrie fait l'objet de pourparlers de paix mais la situation intérieure est extrêmement grave, les diverses factions de l'opposition redoublant de violence les unes contre les autres.
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16 août 2013 : TENTATIVE DE DÉSTABILISATION (ratée) DU GOUVERNEMENT ENÉGYPTE
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Suite à la la destitution du gouvernement des Frères musulmans de Mohamed Morsi, le 3 juillet 2013, les Frères musulmans - proches des Américains - lancèrent eux aussi une opération de « Journée de la colère » le 16 août suivant.
Cette opération, relayée par Internet, dégénéra en de nouveaux affrontements meurtriers au Caire, où l'on compta près de 50 morts selon des sources proches de la sécurité, ainsi que dans d'autres villes du pays.
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CONCLUSION
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Notons que l'une des caractéristiques des « Journées de la colère » qui ont émaillé l'actualité internationale depuis deux ans est que les organisateurs finaux de ces opérations sont restés généralement inconnus du public qui manifestait étourdiment à leur appel.
Avec des organisateurs cachés ouvrant un site Internet dans une société écran située à Panama, la manifestation du 26 janvier reprend curieusement les thématiques et les mots d'ordre qui ont été à l'origine de tentatives de déstabilisation de plusieurs régimes à travers le monde récemment.
Béatrice Bourges, notamment, - que la presse désigne parmi les probables organisateurs de la manifestation - a d'ailleurs intitulé son mouvement "le Printemps français" et l'on a du mal à ne pas faire le lien avec les "Printemps arabes".
Sans doute ne s'agit-il que de la simple copie, sans imagination, de mots d'ordre très médiatisés au niveau planétaire. Il n'en demeure pas moins qu'il flotte sur toute cette opération des mystères bien étranges.
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La Freedom academy lepéniste
Rappel : l'avocat de Robert Ménard et proche de Marine Le Pen est juste un membre du lobby libertarien américain de l'Institut Pour la Justice qui s'est donné pour objectif d'influencer les politiques judiciaires en faveur d'une réforme libérale s'alignant sur le système américain dans sa vision la plus extrémiste.
L'IPJ (si cher à Nicolas Dupont Aignan et à Nicolas Sarkozy) est un des lobbies de la nébuleuse libertarienne de Washington, spécialisé dans le thème de la libéralisation du système judiciaire.
Tout va bien ...