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libéralisme mondialisme - Page 73

  • Derrière El Sistema, le Système ...

     Photo

    Comme moi, vous regardez et appréciez peut-être la diffusion du traditionnel Concert du Jour de l'An qui s'est déroulé cette année 2014 à la Fenice de Venise.

    A la baguette, Diego Matheuz.
     Le jeune chef d'orchestre, 29 ans, a bénéficié d'El Sistema, programme public vénézuelien qui sort les enfants de la pauvreté par la musique et la pratique orchestrale, hélas financé par les banques de Washington contre (= en échange de) l'ouverture de marchés commerciaux.

    Dans l'histoire, le pauvre Chavez fut encore le dindon de la farce, tout son système éducatif est gangrené par l'Empire.

    J'avais expliqué comment il était enrôlé dans le LifeLong Learning mis en place par l'oligarchie industrialo fiancière et comment les logiciels de Murdoch se chargeaient d'"éduquer" les petits vénézuéliens à qui on a offert si gracieusement des millions d'ordinateurs ...


    A travers cet exemple, nous voyons le jeu pernicieux du Système qui, d'un côté, permet une merveilleuse façon de révéler des talents, tout en organisant de l'autre versant, les moyens d'asseoir encore et toujours une pauvreté via un système économique qui la génère.

    Le sujet me touche beaucoup puisque j'ai à la maison, une petite fée violoniste qui a intégré un orchestre des bords de Loire.
    L'exercice est intéressant et encourage des progrès effectifs pour les enfants les plus motivés.

    En France, le prix de l'accès à la culture musicale est extrêmement variable.
    J'avais inscrit mes deux premiers enfants dans des écoles de musique quand j'habitais en région parisienne, le coût était très élevé.
    Quand j'ai déménagé pour rejoindre ma commune natale de la Trinité (Nice), le coût était dérisoire pour un professeur bien plus qualifié que celui que nous avions à Neauphle-le-Château.
    A Thouaré-sur-Loire où nous sommes à présent, l'investissement est conséquent et les places chères dans tous les sens du terme puisqu'elles sont rares, il est pratiquement impossible de trouver une place pour faire du piano.

    Autant, je trouve ridicule -parce que la discipline est exigeante et ne souffre pas la légèreté- de vouloir introduire la musique en classe de primaire autrement que via la petite chorale des kermesses de fin d'année, autant il serait formidable que l'Etat aide au financement de cet accès réservé à ceux qui en ont les moyens (et même si les associations reçoivent quelques subventions, ce n'est pas suffisant).
    Donner les moyens à des enfants non motivés par cette discipline rigoureuse est stupide, les cours du Collège sont suffisants.
    En revanche, empêcher pour des raisons économiques les éléments les plus appliqués de pénétrer ce monde si intense en émotions que procure la musique, est barbare.

    Je suis fière de faire tous les efforts du monde pour donner cette grande joie à ma petite fille qui est boursière et ne bénéficie d'aucun tarif préférentiel, mais j'ai eu peur de ne pas pouvoir lui permettre de continuer de suivre ses cours qu'elle mérite tant.
    Changer trois cordes coûte plus de quarante euros ...

    J'aimerais que mon pays offre un visage plus civilisé aux enfants de France qui désirent jouer d'un instrument quels que soient les moyens financiers de leurs parents.


    Les Conservatoires nationaux appliquent déjà ce principe, mais ils ne sont géographiquement pas accessibles aux jeunes enfants dont le ou les parents travaillent et qui ne peuvent accompagner leurs enfants loin de chez eux.

    En tout cas il faut réfuter l'idée de Chèque culture comme celui de chèque éducation que proposent les lobbies américains en France.

    Les structures publiques et les normes nationales doivent être encouragées, le royaume où l'on devient client d'une prestation éducative la fait dégénérer, le client-roi demande des méthodes spéficiques en général adaptées à la fainéantise des enfants-rois eux-mêmes.

    L'on voit ainsi les cours de musique devenir des foutoirs parce que les parents demandent autre chose que des véritables cours, poussant les professeurs vers le toujours plus ludiques et le moins-disant disciplinaire s'ils veulent garder leurs clientèles.
    Du reste, les activités éducatives et culturelles ne doivent pas faire l'objet de profit, l'éducation de nos enfants de doit pas être un marché et doit être accessibles à tous.


    Quant au financement philanthropo-éducato-affairiste du genre de celui que les Américains et les multinationales distillent sur la planète, on sait ce qu'il signifie. Il est impératif de la même manière de ne pas (plus) laisser le marché se mêler d'éducation nationale.


    Il en va là, encore et toujours, d'une différence essentielle entre la mentalité anglo américaine et l'esprit français.


    Othilie Orchestre.jpg

     

  • Marché idéologique, insulte à l'intelligence et inverse de l'esprit français

    Les climatosceptiques qui valaient des milliards

    LE MONDE | 31.12.2013 à 11h37 • Mis à jour le 02.01.2014 à 09h00 |Stéphane Foucart

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    A Copenhague, en 2009, lors d'une exposition mettant en garde contre le changement climatique.

     

    Outre-Atlantique, entretenir le doute sur la réalité du réchauffement anthropique peut être une activité lucrative. Elle fait vivre une centaine d'organisations de toutes sortes, qui parviennent à lever près d'un milliard de dollars chaque année. Dans une étude publiée dans la dernière édition de la revue Climatic Change, le sociologue américain Robert Brulle (Drexel University à Philadelphie), spécialiste des sciences de l'environnement, dresse la cartographie la plus complète à ce jour de cette nébuleuse de think tanks et d'associations professionnelles – qu'il baptise « contre-mouvement sur le changement climatique » – et de ses voies de financement.

    Robert Brulle a d'abord identifié quatre-vingt-onze organisations qui portent dans les médias ou sur le Net un discours climatosceptique ou systématiquement opposé à toute action politique pour contrer le réchauffement. L'essentiel du bataillon est formé de syndicats professionnels et de laboratoires d'idéesconservateurs ou libertariens inconnus en France – Cato Institute, Competitive Enterprise Institute, Heartland Institute… –, mais souvent considérés par les médias américains comme des sources légitimes sur une variété de sujets. Ces think tanks agissent par le biais de consultants ou « chercheurs associés » qui s'expriment dans les médias, rédigent des ouvrages grand public, publient sur Internet des billets, des rapports, etc.

    Tout cela forme, écrit M. Brulle citant un rapport de l'Académie des sciences américaine, « une action organisée et délibérée pour induire le débat public en erreur et distordre la représentation que se fait l'opinion du changement climatique ». Les organisations listées par le chercheur intervenant sur d'autres sujets, il est impossible de préciser les sommes allouées stricto sensu à la réfutation du réchauffement.

    FONDATIONS CONSERVATRICES

    Qui finance ce « contre-mouvement » ? En analysant la documentation ouverte (rapports sociaux, documents fiscaux, etc.), le chercheur a d'abord mesuré ce soutien financier : entre 2003 et 2010, ce sont en moyenne plus de 900 millions de dollars (environ 650 millions d'euros) par an qui ont été injectés dans cette nébuleuse. Cent quarante fondations philanthropiques, « conservatrices pour l'écrasante majorité », en forment la majeure part. On y trouve notamment les fondations de grandes familles ayant fait fortune dans l'industrie minière, dans la banque ou encore le pétrole

    Le sociologue américain montre que, depuis 2008, les dons se font de moins en moins de manière directe. « De 2003 à 2007, les Fondations Koch ou la Fondation ExxonMobil étaient lourdement impliquées dans le financement des organisations du contre-mouvement sur le changement climatique, écrit M. Brulle. Mais depuis 2008, elles ne font plus de contributions publiques. » De manière concomitante, note-t-il, le Donors Trust (qui collecte les dons de fondations philanthropiques pour les redistribuer de manière opaque) prend une place centrale dans le dispositif.

    Les trois quarts environ des sommes perçues par la galaxie climatosceptique américaine sont désormais intraçables.

    (Merci à Karim Khelifi) 

    Rappel :
    Vous trouverez sur ce blog, beaucoup de références à cette nébuleuse.
    Sur les frères Koch :

     http://orianeborja.hautetfort.com/archive/2013/10/19/c-est-pas-moi-c-est-mon-frere-5200441.html

     

     

    Sur Exxon Mobil :

     http://orianeborja.hautetfort.com/tag/nigel+asford

  • Mon voeu le plus cher pour 2014

    Vous connaissez George Soros, mais connaissez-vous David Horowitz ?
    Ils font la même chose, mais Horowitz, il le fait du côté de l'Alliance pour la liberté pour laquelle vous allez tous voter aux Européennes.
    Mon voeu le plus cher pour 2014, c'est que Front National sorte des griffes des néocons.
    J’aime ·  · Promouvoir · 

     

     

     

  • Raffinez vos quenelles !

    Totale Quenelle.jpg

  • La liberté selon les dépositaires de la marque

    Nouvelles de France de Washington présente :

    TV Liberté de chez libertarien (ta tan !)
    Avec l'argent ... des adhérents et de la quête de la messe de Saint Nicolas du Chardonnet sans doute ?


    Ah, Philippe Millau a toujours des subsides, on est content, les fonds européens de la Ligue Padane, c'était bien déjà.

    Bon, maintenant, on voit mieux les liens directs avec Washington au moins.

     On  retrouve pêle-mêle des personnalités comme Jean-Yves Le Gallou, Bernard Lugan, Philippe Conrad, Yvan Blot, Robert Ménard, Martial Bild, Arnaud Soyez, Jean-Baptiste Giraud, Anne Brassié, Christine Tasin.
    C'est étrange n'est-ce pas, on n'est pas étonné.

    C'est beau comme l'Empire la liberté. 

  • Le politique au-dessus de l'économique mais pas en couverture !

    Marine Le Pen est allée récemment faire un tour au Marche de Noel des Champs Elysées pour soutenir et affirmer son amitié aux forains.

    Ces amitiés louches  droitardes avec cet affairisme aux accents évangélistes anglo américains est des plus mauvais goûts.

    Surtout lorsque l'on connaît l'arnaque, 80 % des produits proviennent de Chine, d’Inde, du Pakistan, d’Indonésie ou de Turquie,  et même les produits dits artisanaux, de grossistes dont on ignore la provenance.

     Marine pourrait dire à son ami Campion -si admirablement choyé par les politiques- d'arrêter de s'engraisser en arnaquant les Français et en offrant ce piètre spectacle aux étrangers.

    Cela serait à son honneur et à mettre au compte de son impartialité et de sa loyauté envers la France.

    Un acte de chef d'Etat.

    On attend ... 

  • Connaissez-vous les correspondances entre le mondialiste Kalergi et de Gaulle ?

    Cahiers de la Fondation Charles de Gaulle

    RICHARD COUDENHOVE-KALERGI - CHARLES DE GAULLE

    Colloque organisé à Nancy le 14 novembre 1998

    par la Fondation Coudenhove-Kalergi, la Fondation

    Charles de Gaulle et l'Université de Nancy-II

    Textes rassemblés par le Professeur Alain I ARC AN

    Fondation Charles de Gaulle

    5, rue de Solferino 75007 Paris

    Fondation Coudenhove-Kalergi

    Case Postale 3279 Genève 3 CH 1218



    "Avant-propos

    Alain LARCAN

    Le sujet du colloque, organisé à Nancy le 14 novembre 1998,

    peut surprendre au premier abord, car l'action courageuse et prolongée

    de Richard Coudenhove-Kalergi en faveur de Paneurope s'estompe

    un peu, non relayée par les instances européennes qui

    préfèrent se placer dans le sillage d'autres « inspirateurs ».

    Les relations qu'il établit avec le général de Gaulle n'étaient

    jusqu'à présent connues ou supposées que d'un très petit nombre

    de personnes mais l'étude de la correspondance, des rendez-vous,

    des textes des deux personnalités montre à l'évidence l'ancienneté

    et la continuité de relations de plus en plus confiantes et la parenté

    des points de vue sur une « Europe européenne » telle qu'elle fut

    proposée en particulier dans le plan Fouchet et repoussée par

    le Bénélux.

    La collaboration des deux fondations Coudenhove-Kalergi et

    Charles de Gaulle, dont les présidents Bauer et Foyer sont ici

    présents, de l'Université de Nancy II présidée par le professeur

    Bardelli a permis cette réunion précédée par une autre rencontre

    elle aussi européenne, organisée par le Groupe de recherche, information,

    communication et propagandes dirigé par le professeur

    Louis-Philippe Laprévote, également co-organisateur de la journée

    Richard Coudenhove-Kalergi - Charles de Gaulle.

    Je remercie toutes les personnalités qui ont accepté de figurer

    au Comité d'Honneur et ont souvent accepté de répondre à des

    questions et de communiquer de précieux renseignements ; certains

    sont présents à ce colloque, d'autres, retenus ailleurs, m'ont fait

    parvenir des messages exprimant leurs regrets.

    Je remercie aussi les conférenciers et tout spécialement les

    spécialistes des Archives européennes qui travaillent en liaison avec

    la Fondation Coudenhove-Kalergi, les représentants de Paneurope

    France, tous ceux qui exercent une responsabilité au sein des deux

    Fondations, de l'Institut Charles de Gaulle, de l'Université de

    Nancy-II, du Centre européen universitaire et du Groupe de

    recherche, information, communication et propagandes.

    Je remercie tous les participants nombreux, dont les questions

    et les interventions animeront le débat et je souligne que si cette

    réunion a lieu à Nancy, c'est justement parce que Nancy et son

    maire André Rossinot ont établi avec la Fondation Coudenhove-

    Kalergi des liens privilégiés et un protocole original de jumelage

    qui se concrétise ici pour la première fois.

    L'édition est assurée dans la collection des Cahiers de la Fondation

    Charles de Gaulle, car la Revue Espoir, initialement envisagée

    ne pouvait accueillir tous les textes ; elle comprend les actes du

    colloque, qui sont complétés par la correspondance classée par la

    Fondation Coudenhove-Kalergi, entre le Comte et le Général. Ces

    documents apportent la preuve d'une relation importante, capitale

    entre les deux hommes à laquelle on n'a pas, jusqu'à présent,

    attaché suffisamment d'importance. Ce document, essentiel pour

    l'histoire de l'Europe retiendra très certainement l'attention des

    historiens et des hommes d'Etat."


    Le mondialiste Condenhove Kalergi :

     
    L'Union paneuropéenne internationale a été fondée au lendemain de la Première Guerre mondiale, en 1926 à Vienne, par le comte Richard Coudenhove-Kalergi qui a publié en 1923 son livre-manifeste Paneuropa où il préconise la création d'une union des États européens, union qui lui semble le seul moyen d'éviter que se reproduise la catastrophe de 14-18 : « L'Europe, dans son morcellement politique et économique, peut-elle assurer sa paix et son indépendance face aux puissances mondiales extra-européennes qui sont en pleine croissance ? »

     

     

    Emblème[modifier | modifier le code]

    Drapeau de l'Union paneuropéenne internationale

    Homme cosmopolite et lettré, convaincu de l'unité de la civilisation européenne, le comte Coudenhove-Kalergi choisit comme emblème de la Pan-Europe une croix rouge sur un disque d'or.

    Il en donne la signification dans son ouvrage : « La croix rouge des croisades du Moyen Âge est le symbole le plus ancien d'une union européenne supranationale. Aujourd'hui elle est l'emblème de l'humanitarisme international1.

    Le soleil figure l'esprit européen dont le rayonnement éclaire le monde entier »2. Le soleil est aussi interprété comme étant le symbole d'Apollon, référence à l'influence culturelle de la Grèce antique sur l'évolution de la civilisation européenne3 .

    Historique[modifier | modifier le code]

    Connaissant très vite un vif succès, les idées de Coudenhove-Kalergi inspirent très directement Aristide Briand dans les années 1920 qui accepte pour sa part la présidence d'honneur du mouvement paneuropéen en France, tandis que le président exécutif de la section française est son collaborateur Louis Loucheur. Mais l'arrivée du national-socialisme en Allemagne, conjuguée aux effets du Traité de Versailles qui prétendait, au lendemain de la Première Guerre mondiale, dessiner une Europe nouvelle, ruine provisoirement les efforts de Coudenhove-Kalergi.

    Après la victoire des AlliésCoudenhove-Kalergi est l'inspirateur du Conseil de l'Europe qui est créé en 1949. De nationalité française depuis 1939, il poursuit avec le Général de Gaulle une correspondance entreprise durant la guerre, ce qui aboutit en 1960 à la création du Comité français pour l'Union Paneuropéenne (CFUP). On trouvera à sa création Georges Pompidou comme trésorier et Alain Peyrefittecomme Secrétaire général.

    Rénové au début des années 1990, le CFUP, qui avait été présidé, après Louis Terrenoire, par Raymond TribouletMichel Habib-Deloncle et Michel Cointat, prend l'appellation de PanEurope France. et est présidé par Yvon Bourges (1993-2000), Hervé Gaymard (2000-2002) et Alain Terrenoire (2003-2013).En 2013, PanEurope France devient l'Union Paneuropéenne de France (UPF). Après une courte présidence du député européen Arnaud Danjean (2013), Alexis Bautzmann est nommé président en mai 2013.

    Participant activement aux travaux de l'Union paneuropéenne internationale dont le président, après la disparition de Richard Coudenhove-Kalergi en 1972, fut Otto de Habsbourg et depuis fin 2004, Alain Terrenoire, et qui compte aujourd'hui, de l'Atlantique à la Baltique, près de trente organisations nationales, l'Union Paneuropéenne de France (UPF) poursuit son action pour l'élargissement de l'Union européenne, donc pour une réforme des institutions, et défend l'idée d'une Europe politique.

    Présidents de l'Union paneuropéenne internationale (UPI)[modifier | modifier le code]

    1. Richard Coudenhove-Kalergi (1926-1972)
    2. Otto de Habsbourg (1972-2004)
    3. Alain Terrenoire (2004-2013)
  • Le hasard je vous dis ...

    L'IDC -Institut de Washington en Russie- présente :
    Institut de la Democratie et de la Cooperation
     Les débats étaient co-présidés par Paul-Marie Coûteaux, président du RIF, et  député Nicolas Dupont-Aignan. Parmi les autres orateurs : Eric Zemmour, chroniqueur au Figaro ; Jacques Sapir, économiste ; Philippe Cohen, journaliste ; et Dragan Todorovic, vice-président du Parti radical de Serbie.
  • Quel libéral êtes-vous ? Ou pas ...

    Attention à la sémantique, attachez-vous au fond, la droite est nominaliste (comme la gauche et toute idéologie), quand les libéraux de droite fustige le "libéralisme libertaire", ils reprennent la terminologie anglo saxonne et cela signifie pour eux, la gauche.
    Le "libéralisme libertaire" serait pour eux les idées libérales en matière de moeurs au sens large.
    Ce qui les dispense de s'en prendre au libéralisme économique.

    Or c'est faux, le libéralisme est un et n'a seulement pas de limite, c'est la liberté au-dessus de tout et la seule limite est le droit d'enfreindre la liberté du laisser-faire laisser-passer.

    Nous avons affaire je le répète à une querelle libérale entre les tenants d'un libéralisme restreint (à droite) et ceux d'un libéralisme accompagné (à gauche), avec comme mouche du coche tenants du chaos global libéral, les libertariens, tenants du libéralisme total -qui abat l'Etat et la Nation- et qui font avancer l'attelage grâce aux deux forces qui font semblant de s'opposer, le tout pour le compte du libertarianisme qui laisse la place forte à l'oligarchie industrialo mondialiste.

  • Extrême-droite d'hier, d'aujourd'hui et de toujours

    Le régime afrikaner, qui distingue le peuple élu des autres, est la plus belle saloperie idéologique qui a mené tout droit à l'Empire anglo américain, ce sont les mêmes ressorts, les mêmes réseaux, et c'est tout, sauf la France.