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Education - Page 5

  • La valse de la Droite des VAleurs :)

    Cervantès, Corneille, Molière, Brel ont cerné le bourgeois.



    Jacques Brel - Grand-Mère (Brel en scènes)
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  • L'enfant-roi du no man's land

    L’enfant est loin d’être au centre en réalité, ce sont les nouvelles pédagogies qui le sont, l’enfant n’en est qu’un cobaye.
    L’intérêt réel de l’enfant passe en pertes et profits.

    Les parents qui ne s’occupent en réalité pas de leurs enfants -comme les enseignants qui s’occupent davantage de leur considération en milieu pédagogique-, trouvent des palliatifs, ce que j’appelle l’invention du mouvement perpétuel, courant sans cesse après une nouvelle solution pour cause d’avoir raté le diagnostic de départ.

    Pour ce qui est des technologies et publicité, personnellement, je ne les crains pas sur des enfants dont la base éducative est solide.

    Le monde extérieur n’est pas responsable de nos propres turpitudes.

    Mettez un ordinateur dans les mains d’un imbécile, il en fera des imbécillités, s’il est utilisé intelligemment, il fera des merveilles.

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  • Ouvre-moi la porte, toi qui a la clef USB de la grande école du monde ...

    Il est évident que l'école en France est un des espaces publics sur lequel lorgnent tous les affairistes.

    L'externalisation a déjà placé de nombreux pions qui avancent vers une privatisation larvée.

    Projets éducatifs privés fournis clefs en main comme La Main à la Pâte que Charpak avait importé directement des ghettos de Chicago, Sodexo mettant la cantine de vos enfants dans les mains avides de ses actionnaires, il reste effectivement la place pour des polices privées qui s'occuperont de la sécurité privatisée de vos enfants, et demain Acadomia qui les mettra sous puces pour contrôler leurs notes et adresser directement la facture de redressement aux chers parents.

    Le Livret de compétences entièrement informatisé et en consultation libre par les futurs grands groupes employeurs de nos petites têtes chercheuses d'emplois, l'avenir n'est pas à l'école publique et aux maîtres, elle est malheureusement aux mains de la finance et de ses futures applications à vendre à grande échelle.


    Cette lycéenne de 16 ans veut mettre fin à l'école buissonnière
    Philippine Dolbeau, 16 ans, actuellement au lycée, a créé New School, une start-up qui va bien embêter les sécheurs de cours. Son concept intéresse déjà les…
    BFMBUSINESS.BFMTV.COM|PAR BFM BUSINESS

  • Une mère, être ou ne pas être


    Une étude-bidon révèle que le comportement des enfants empire en présence de leur mère, pleurs, violence, hurlements, faire leurs besoins, faire l'idiot, tel est le comportement des petits.

    C'est effectivement ce que chacun peut constater.

    Mais cette question est biaisée.

    Ceci est le comportement des enfants quand ils ne sont pas élevés par leur mère, tout simplement parce qu'elle leur manque, ils attirent l'attention de leur mère par n'importe quel moyen car ils veulent du soin et donc de l'amour.
    Les enfants qui sont élevés par leur mère n'ont pas cette attitude, ils savent que leur mère est là, les regardent ("Maman, regarde-moi", c'est tout ce qu'ils veulent, ils se sentent aimés, ils n'ont pas besoin d'en rajouter.

    Cela leur permet de grandir dans une sécurité affective.

    L'absence des mères qui confient souvent leurs enfants en bas âge à crèches et nounous est profondément cruelle et laisse forcément des séquelles chez les petits qui connaissent le manque le plus absolu à une période où ils ne demandent justement que l'attention d'une seule et unique personne, celle dont ils sont dépendants de l'odeur, de la voix, de la peau depuis avant même leur naissance, leur mère est un être irremplaçable, dont on ose les priver, hélas.


    Toute bonne relation de l'enfant au monde, commence par la mère et le lien charnel entre eux.

    Oui, mère et enfant sont faits pour être hormonalement dépendants, ils sont faits pour fonctionner ensemble.

    Le bon fonctionnement digestif de l'enfant, le tissage du lien affectif, et les suites logiques de la grossesse sont l'allaitement, ingénierie mêlant alimentation des plus harmonieuses aux soins les plus ténus.



    Au moindre problème, vous pouvez lui donner le sein, une maman à temps plein sait d’ailleurs rapidement discerner et même anticiper les besoins de son bébé entre le besoin d’alimentation, d’éveil, de change, de sommeil ou de soin de son enfant.

    Le sein maternel est cette merveilleuse source qui sait calculer, avec la plus parfaite précision, les attentes de votre petit.
    A-t-il besoin de boire, qu’il a de l’eau, est-il nécessaire qu’il soit alimenté, il est alimenté, a-t-il l’intention de se rassurer, qu’on exaucera sa volonté, veut-il sa dose pleine d’affection, qu’il tétera opportunément.

    La sein se met en mode ordinateur, calcul la teneur des moindres micro éléments, leur variation en cours de téter, programme déjà la suivante, tout est pris en compte, vous n’avez qu’à laisser faire ce qui vous dépasse.


    Le nouveau-né est-il fiévreux que sa ration le soigne déjà, les médicaments sont déjà dedans, puissants pourvoyeurs de défenses naturelles en plus de celles que vous avez déjà léguées à votre protégé en le mettant au monde, il prend le relais.

    Evidemment, en dehors de toute normalité, si votre enfant est réellement malade, il faut consulter et lui donner en plus d’autres soins et écouter le spécialiste.

    Evite le plus soigneusement toute complication digestive, vous laisse des couches dorées faciles à nettoyer et sans odeur, vous dispense de la corvées de biberons, et la nuit vous pouvez donner le sein en dormant d’un œil et vous allongeant dans toutes les positions, l’enfant se débrouille tout seul avec le temps. Et en cas de crevasses, c’est la succion qui réparera.



    La liaison est magique.

    Rompez ce lien et vous amorcez le début des problèmes.

    En la matière, vous aborderez soit un cercle vertueux, car l'amour grandit avec le soin (C'est tout ce qu'il faut comprendre du Petit Prince de Saint Exupéry), soit un cercle vicieux, l'enfant n'ayant pas eu sa ration de maman satisfaisante.

    Cela ne dure que deux-trois ans, une fois cela donné, votre enfant a le bagage affectif nécessaire pour affronter le monde, le mieux est de rester encore en "tuteur" jusqu'aux dix ans de l'enfant.

    Votre petit doit vous sentir là, en cas de besoin.

    Il doit rester la priorité, même s'il comprend alors les contraintes du travail.

    Il doit seulement sentir que vous faites au mieux.

    On ne ment pas à un enfant, il sait si vous faites semblant, si vous êtes ailleurs quand vous êtes avec lui.

    A cet âge, le mal, ou le bien, est fait.

    Si c'est la deuxième option qui a été choisie, il peut rouler tout seul, il a alors fait le plein, il est le mieux paré à affronter le monde.

    Les Etats qui permettent aux femmes d'élever leurs enfants en bas âge, sont les plus avancés en terme de civilisation.


    On peut reprendre le travail quand l'enfant entre en maternelles (vers 3 ans), le mieux étant d'aménager ses horaires pour être le plus disponible pour lui, ou eux.

    Je connais pertinemment les contraintes, j'ai élevé mes quatre enfants seule, j'ai été aux minima sociaux durant les trois premières années de mon dernier enfant, et je n'ai repris le travail qu'après.

    Nous avons une vie très modeste, mais nous avons l'essentiel, j'ai pu leur donner ce que je voulais en temps, et donc soin et affection, et ils ont reçu ce qu'il leur fallait.

    Le reste -les biens matériels- sont très accessoires, ils ont été plus gâtés au fond, que des enfants dont les parents sont plus aisés.

    J'aimerais vous dire qu'il y a d'autres moyens de les satisfaire, mais ce serait mentir, même si le monde moderne a trouvé des arguments d'excuses aux mères pour les déculpabiliser d'abandonner le soin de leurs enfants en d'autres mains que les leurs, parfois quelques jours à peine après avoir accouché.

    Les temps sont à l'individualisme, et les idéologies vont vous trouver n'importe quelle idée pour vous expliquer qu'il vaut mieux détacher le bébé de la mère, vont vous pondre des kits d'épanouissement clefs en main, etc.

    Avec psy, nouvelles méthodes éducatives palliatives, médecines douces ou dures qui vont avec.

    Détruire l'enfant au départ et passer sa vie à tenter de reconstruire l'irréparable, voilà la méthode des modes.

    On n'explique pas à un bébé qu'on va le laisser "pour son bien", on ne lui fait pas comprendre que "maman va travailler, qu'elle revient".

    Le petit ne sait qu'une chose, "Maman m'a abandonné", il ne sait pas mesurer le temps, il ne sait pas que vous revenez.
    Et il se dit "Je ne suis pas assez important pour que maman veuille s'occuper de moi".

    Et vous passez votre temps à le choquer, tout petit, il se prend une quantité phénoménal de chocs émotionnels, maman part, maman revient.

    L'enfant répond par des pleurs, des angoisses, des réactions violentes, et, terrible, des phases de sédation, il se détache.

    Celles qui comprennent ce déchirement sont des mères, les autres sont passées à côté de l'essentiel.

    Mais je les plains sincèrement, elles et leurs enfants.

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  • Une mère, être ou ne pas être

    Toute bonne relation de l'enfant au monde, commence par la mère et le lien charnel entre eux.

    Oui, mère et enfant sont faits pour être hormonalement dépendants, ils sont faits pour fonctionner ensemble.

    Le bon fonctionnement digestif de l'enfant, le tissage du lien affectif, et les suites logiques de la grossesse sont l'allaitement, ingénierie mêlant alimentation des plus harmonieuses aux soins les plus ténus.

    Rompez ce lien et vous amorcez le début des problèmes.

    En la matière, vous aborderez soit un cercle vertueux, car l'amour grandit avec le soin (C'est tout ce qu'il faut comprendre du Petit Prince de Saint Exupéry), soit un cercle vicieux, l'enfant n'ayant pas eu sa ration de maman satisfaisante.

    Cela ne dure que deux-trois ans, une fois cela donné, votre enfant a le bagage affectif nécessaire pour affronter le monde, le mieux est de rester encore en "tuteur" jusqu'aux dix ans de l'enfant.

    Votre petit doit vous sentir là, en cas de besoin.

    Il doit rester la priorité, même s'il comprend alors les contraintes du travail.

    Il doit seulement sentir que vous faites au mieux.

    On ne ment pas à un enfant, il sait si vous faites semblant, si vous êtes ailleurs quand vous êtes avec lui.

    A cet âge, le mal, ou le bien, est fait.

    Si c'est la deuxième option qui a été choisie, il peut rouler tout seul, il a alors fait le plein, il est le mieux paré à affronter le monde.

    Les Etats qui permettent aux femmes d'élever leurs enfants en bas âge, sont les plus avancés en terme de civilisation.
    On peut reprendre le travail quand l'enfant entre en maternelles (vers 3 ans), le mieux étant d'aménager ses horaires pour être le plus disponible pour lui, ou eux.

    Je connais pertinemment les contraintes, j'ai élevé mes quatre enfants seule, j'ai été aux minima sociaux durant les trois premières années de mon dernier enfant, et je n'ai repris le travail qu'après.

    Nous avons une vie très modeste, mais nous avons l'essentiel, j'ai pu leur donner ce que je voulais en temps, et donc soin et affection, et ils ont reçu ce qu'il leur fallait.

    Le reste -les biens matériels- sont très accessoires, ils ont été plus gâtés au fond, que des enfants dont les parents sont plus aisés.

    J'aimerais vous dire qu'il y a d'autres moyens de les satisfaire, mais ce serait mentir, même si le monde moderne a trouvé des arguments d'excuses aux mères pour les déculpabiliser d'abandonner le soin de leurs enfants en d'autres mains que les leurs, parfois quelques jours à peine après avoir accouché.

    Les temps sont à l'individualisme, et les idéologies vont vous trouver n'importe quelle idée pour vous expliquer qu'il vaut mieux détacher le bébé de la mère, vont vous pondre des kits d'épanouissement clefs en main, etc.

    Avec psy, nouvelles méthodes éducatives palliatives, médecines douces ou dures qui vont avec.

    Détruire l'enfant au départ et passer sa vie à tenter de reconstruire l'irréparable, voilà la méthode des modes.

    On n'explique pas à un bébé qu'on va le laisser "pour son bien", on ne lui fait pas comprendre que "maman va travailler, qu'elle revient".

    Le petit ne sait qu'une chose, "maman m'a abandonné", il ne sait pas mesurer le temps, il ne sait pas que vous revenez.
    Et il se dit "je ne suis pas assez important pour que maman veuille s'occuper de moi".

    Et vous passez votre temps à le choquer, tout petit, il se prend une quantité phénoménal de chocs émotionnels, maman part, maman revient.

    L'enfant répond par des pleurs, des angoisses, des réactions violentes, et, terrible, des phases de sédation, il se détache.

    Celles qui comprennent ce déchirement sont des mères, les autres sont passées à côté de l'essentiel.

    Mais je les plains sincèrement, elles et leurs enfants.

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  • Maman, regarde-moi

    Une étude-bidon révèle que le comportement des enfants empire en présence de leur mère, pleurs, violence, hurlements, faire leurs besoins, faire l'idiot, tel est le comportement des petits.

    C'est effectivement ce que chacun peut constater.

    Mais cette question est biaisée.

    Ceci est le comportement des enfants quand ils ne sont pas élevés par leur mère, tout simplement parce qu'elle leur manque, ils attirent l'attention de leur mère par n'importe quel moyen car ils veulent du soin et donc de l'amour.
    Les enfants qui sont élevés par leur mère n'ont pas cette attitude, ils savent que leur mère est là, les regardent ("Maman, regarde-moi", c'est tout ce qu'ils veulent, ils se sentent aimés, ils n'ont pas besoin d'en rajouter.

    Cela leur permet de grandir dans une sécurité affective.

    L'absence des mères qui confient souvent leurs enfants en bas âge à crèches et nounous est profondément cruelle et laisse forcément des séquelles chez les petits qui connaissent le manque le plus absolu à une période où ils ne demandent justement que l'attention d'une seule et unique personne, celle dont ils sont dépendants de l'odeur, de la voix, de la peau depuis avant même leur naissance, leur mère est un être irremplaçable, dont on ose les priver, hélas.


    Le comportement des enfants est pire de 800% en présence de leur mère
    VRAIMENT.CA
    " target="_blank">http://www.vraiment.ca/nouvelles-1456.html
    WWW.VRAIMENT.CA


    Le comportement des enfants est pire de 800% en présence de leur mère
    VRAIMENT.CA

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  • Sale temps sur l'éducation

    Temps libéral, un temps signe des temps morts.


     
    A en croire Mon Cahier de Français 4e publié par les éditions Magnard, la filiale éducation du groupe Albin Michel, il faudrait dire «je vus», «tu vus»,«il vut» au ...
    LIBERATION.FR

     

     
  • Des associatons apolitiques hyperpolitisées

    Sur ma commune, les parents d'élèves FCPE sont candidats et élus des listes PS depuis toujours, on les retrouve aussi à l'Amicale Laïque et la Ligue des droits de l'homme.

    Et je vous le donne en mille, côté PEEP, ils sont sur les listes de droite.

    Vous avez éventuellement une liste "indépendante", de droite (ce doit être des centristes).

    J'ai 45 ans, et ça a toujours été ainsi.

    Il y a les indépendants de la gauche, qui sont à droite, et les indépendants de la droite qui sont à gauche.

    Et je suis sûre que tout le monde l'a remarqué.

    Quant aux frontistes, j'en ai connu dans tout le spectre des syndicats, mais en général, ils sont discrets, ils savent très bien qu'ils se feraient virer.

    Tous ces groupes apolitiques le sont trop pour tolérer le moindre écart.

     
    Louis Aliot vole au secours d'une militante FN interdite de représenter une association de parents d'élèves.
    LELAB.EUROPE1.FR
     
     

     

    Ca me rappelle quand je luttais déjà contre les lobbies libertariens et que j'avais adhéré à une association chevènementiste (remarquons que paradoxalement, on retrouve Natacha Polony avec Zemmour aux côtés de SOS Education)

     
     
    NATIONSPRESSE.INFO

     

     
  • Sarkozy's Academy, l'enfant prodigue épisode II

    Louis Sarkozy, peut-on expliquer ce que personne ne dit ?

    A quatorze ans, il intègre une école militaire américaine.

    Ce qu'il faut comprendre : il est sous-doué pour les études et veut-être chefaillon, aux USA, c'est possible.

    Tu rentres cadet, tu es formé par des gamins de ton âge, comme dans les lycées expérimentaux soixante-huitards pour gamins ingérables, qui ne supportent plus les professeurs autant qu'ils sont eux-mêmes des repoussoirs pour les pédagogues les plus enthousiastes .

    Leurs parents eux-mêmes ne savant plus quoi en faire, hop, on le refourgue dans l'armée.

    Chez les bourgeois, on dit : "Ils ne sont pas scolaires", pour essayer de redorer la blason de gamins peu enclin aux études, faute de capacités.

    Et pour tenter de faire croire que leur niveau est tel, que l'école ne suffit pas, ils sont ailleurs, pas comme le tout-venant, forcément.

    Communication de branleurs fils à papa oblige, extase autour de son parcours de petit con de bourgeois, il passe de cadet à capitaine dès dix-huit ans, de padawan à jedi, la force est avec lui ...

    Et là t'as capitaine Flam qui décide de faire d'autres "études" pour être bien sûr de vouloir bien intégrer l'armée américaine de ses rêves, mais aux USA, on peut trouver des plans branleurs qui en jettent encore plus pour pas cher (heu, façon de parler) et sans avoir à se bouger de cul dans la boue avec les retardés mentaux que l'armée essaie de recaser tant bien que mal.

    Le gars va donc faire une école improbable de philosophie, l'American Vertigo, on va bien tôt l'appeler Maître Yoda, après la force, la sagesse avec lui il a.

    Il aurait pas abuser du polynectar le rejeton ?

    Il nous a fait fait passer sa "carrière à deux balles" pour polytechnique, il va nous passer l'agrégation de philosophie en méthode Assimil' mention BHL à présent.

  • La réponse de l'Etat à la droite, Philippot versus Brighelli

    Philippot semble avoir mis de côté l'horrible "autonomie des établissements" qui s'était infiltré dans le programme présidentiel de Marine Le Pen 2012, alors que tout le monde sait très bien que c'est une mesure libérale destinée à préparer le terrain à la libéralisation larvée en marche de l'éducation nationale.

    La recentralisation est de bon augure même si je doute que l'avis de Florian Philippot soit partagé par les horribles libéraux du Front.

    Le rappel de la mise à la poubelle du chèque-éducation (voucher américain de l'IFRAP-Sos Education) est lui aussi un des fondamentaux de toute politique nationale, que tous les Horlogers et à l'horloge libérale l'entendent bien.

    Au sujet de la main mise des lobbies privés sur l'EN, Florian Philippot comme le Front la méconnaissent alors qu'elle domine le sujet scolaire et éducatif via le Processus de Lisbonne lié aux organisations internationales.

    La logique étatique de Philippot est la bonne mais il ne connaît pas du tout ses ennemis, la réponse politique ne sera donc jamais vraiment adaptée si les pièges ad hoc sont méconnus.

    Brighelli nous a épargné ses lubies islamophobes parmi tous ses partis pris d'extrême-droite, c'est toujours ça de gagner.

     
    Florian Philippot, vice-président du Front national dirigé par Marine Le Pen, répond aux questions de Jean-Paul Brighelli sur l'école.
    LEPOINT.FR|PAR JEAN-PAUL BRIGHELLI