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Ecole - Page 5

  • Connais-toi toi-même

    Il n'est que des gens du Front et suffisamment ignorants du droit comme Marine ou Marion Le Pen pour y voir "la justice de Taubira".

    Cela n'a rien à voir avec la "justice socialiste", mais tout avec la justice française.

    Nos rois ont instauré l'interdiction de la justice privée au profit de la civilisation et donc de la justice publique, joyau de nos institutions.

    Nul n'ignore plus hélas qui nous sommes que ces personnes qui prétendent défendre la France.

     

     

    Le propriétaire du terrain sur lequel s'étaient installés des gens du voyage, à Rousson, écope de 12 mois de prison dont 6 avec sursis. Le 13 juillet, les...
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  • Ces parents qui rêvent d'avoir des enfants débiles

    Des parents d'élèves aussi débiles que Farida Belgoulh et agités par les mêmes lobbies, se mobilisent contre les enseignants de leurs enfants qui leur font apprendre des chants étrangers (enfin, des chants bougnouls, c'est surtout cela qui les heurtent, parce qu'il est bien connu que tous les soirs à la veillée, les Sarrasins viennent égorger les petits enfants qui chantent leur langue).

    La musique adoucit les moeurs bande de sauvages !

    Apprenez à vos enfants les chants et les contes de tous les pays, vous en sortirez moins cons vous-mêmes.

    Idir
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    • Florent Sarrailh aime ça.
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      Florent Sarrailh La sagesse juive, persane, chinoise, indienne, arabe, nordique et j'en passe, trônent en bonne place dans ma bibliothèque. J'y initie mes petits cousins, qui aiment beaucoup voir les différentes manières de se poser une question selon les civilisations et les cultures.
      Je n’aime plus · Répondre · 1 · 5 min
  • Voulons-nous vraiment des artistes idiots ?

    Les artistes ont-ils le droit d'être cultivés ?

    Savez-vous qu'il est impossible de faire une carrière d'arts dramatiques et d'être latiniste selon les judicieux programmateurs de l'EN ?

    Ma fille a obtenu une dérogation au collège car elle a toujours entre 18 et 20 de moyenne générale et bien qu'elle soit dans une classe bilangue (celles qui seront supprimées l'an prochain parce qu'elles causeraient le tort de permettre à des enfants de trop travailler) où le niveau de langue est renforcé, et compte-tenu du fait qu'il ne faut pas trop leur dire qu'elle fait aussi de la gymnastique en compétition, et de la musique.
    Tous ces choix ont été personnels, c'est elle qui veut absolument ces activités bouillonnantes, et il lui reste encore bien du temps pour une vie d'ado ordinaire bien remplie d'amitiés et d'amusements.

    Elle aime tant jouer qu'elle voudrait en faire son métier et elle s'était elle-même renseignée sur les cursus.

    Elle ne rentrera qu'en troisième l'an prochain mais nous savons d'ores et déjà que les options théâtre et latin ne sont pas cumulables au lycée.

    Pourtant, le concours des écoles d'arts dramatiques est très sélectif, une formation théâtrale et en expression corporelle est obligatoire, et il faut avoir une solide culture générale, avoir fait une classe préparatoire est d'ailleurs un plus.

    Le latin est donc très indiqué pour poursuivre la voie qu'elle s'est choisie.

    On bassine les élèves pour qu'ils aient un Projet, mais lorsqu'ils en ont un et qu'ils veulent faire au mieux pour le réaliser, ils sont bridés.

    Pour ne rien dire du niveau de culture autorisé à nos futurs artistes.

    Ma fille est boursière, et quand bien même, je suis pour l'école publique.

    Je ne peux que déplorer, non pas le choix des options que ma fille souhaiterait prendre, mais celles bien prises par des ministères qui ont fait le choix du toujours plus médiocre pour tous.

     

     

     

     

     

     

     

  • La non-éducation à l'américaine, tout un programme qui nous attend

     

    29 000 élèves américains de 4e ont récemment passé des tests d'évaluation en histoire, géographie et éducation civique. Des tests qui révèlent une...
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    Et n'a pas l'eau courante.

    Voilà où va mener la grande culture dominante où tous les ministres de l'Education Nationale nous mènent depuis les années 70.

    Ajoutons qu'en tant que libéraux cons élevés à l'idéologie anglo américaine, les adeptes de La Manif Pour Tous pensent exactement la même chose.

    Ils justifient aussi, par acculturation, terreau sur lequel l'idéologie a meilleure prise, comme Marion Maréchal Le Pen, que l'on condamne à mort, et par derrière, les petits voleurs de bracelets de cet or qu'ils planquent en Suisse car la France ne saurait avoir de budget et lever des impôts, Boston Tea Party oblige.

    Et ils ne tarissent pas d'éloge sur le régime de Poutine où il est vrai, la disparité entre les plus pauvres et les plus riches, n'a rien à envier au paradis de l'Oncle Sam.

    A croire qu'entre l'Ouest et l'Est, il y a des fils qui se touchent ...

  • On achève bien la civilisation

  • Travail des enfants, une réalité en dehors du virtuel

    Ils sont sympa au Gorafi, Sophie de Menthon, son Ethic du Medef et l'Unicef, ne leur donnent pas le choix, mais bon, les enfants qui bossent pour les multinationales ne sont pas tout blancs non plus.

    Interdit depuis 1959, le travail des enfants revient en odeur de sainteté. En effet, le troisième volet du projet de loi Macron a été bien au-delà des attentes des...
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  • De la façon de porter la culotte

    En France, c'est le collège qui décide de ta dignité, pas toi.

    Le collège est étymologiquement un 
    « corps de personnes revêtues de la même dignité ».
    Cette définition sied parfaitement à la situation d'actualité.
    La jeune musulmane ne perdra pas sa dignité à se conformer à ce que lui dit son collège.

    La direction du collège a jugé avec discrétion, qu'une collégienne portait une jupe de façon ostentatoirement religieuse.


    La gamine qui porte le foulard jusqu'à l'entrée de l'établissement n'en était pas d'ailleurs à son coup d'essai.


    Là encore, la France n'est pas un pays anglo saxon, le communautarisme n'est pas la règle et l'établissement est le mieux placé pour juger et apprécier l'attitude de ses élèves et ne le fait pas sans argument.

    [Il n'y a pas de longueur de jupe justement, tout est dans l'appréciation.

    J'ai déjà vu des filles portant un foulard, mais marcher en jean slim avec godasses et sacs portés façon putain.

    Tenue qui peut portant revêtir de la distinction. 

    Elles devaient se sentir dans le cadre de leur religion en se cachant derrière leur foulard, pourtant toute leur attitude laissait penser le contraire.]

     

    Il n'y a pas de pétition de principe.

    La tenue a été appréciée en fonction du comportement de la jeune fille qui a été jugé à raison comme prosélyte.

    En l'espèce,le collège a jugé qu'elle portait cette jupe de façon concertée et ostentatoire et elle se fout en plus visiblement de la gueule du monde en prétendant que cette lourde jupe traînant à terre était une jupe ordinaire.


    Entre une enfant et la république, le premier doit savoir qui est le maître.

    Il y a sans doute deux sortes d'islamophobie, celle qui inspire à l'extérieur ceux qui ont peur de l'islam en toute circonstance, et celle en interne de ceux qui ont peur de leur propre religion en ne portant pas la tenue à la hauteur.


    La semaine dernière, Marine Le Pen portait elle une robe d'assez mauvais goût qui traînait à terre.
    Elle ne le faisait pas pour des raisons religieuses.
    En revanche, sa façon d'aller porter sa reconnaissance à un magazine américain qui adoube par son influence les uns ou les autres et qui fut de tout temps un organe de la CIA, pose un problème d'allégeance sérieux qui ne fait pas honneur au Front National et qui enlève sa dignité à celle qui s'abaisse à s'agiter dans cette basse-cour.

  • Nager ou se déplacer en milieu standardisé, l'important serait de ne pas se noyer en eaux troubles

    On s'en fout, l'important est de leur apprendre à nager.

    Personnellement, j'élève seule mes quatre enfants avec un SMIC, leur apprendre à nager me paraît primordiale et pas évident.
    Dix leçons de base coûtent 200 euros et avec ça, ils ne savent pas vraiment nager.

    Bon, ne rêvons pas, l'école ne leur apprend pas plus, pas plus qu'elle ne leur fait faire de dictées, de grammaire ou de lecture pour savoir nager en eaux troubles de la pensée.

    Si on ne leur donne pas de bouées de sauvetage (comprendre que l'on mette la main à la pâte à la maison, et pas avec les heures externalisées par le privé avec méthode Assimil' à la Charpak sortie des ghettos de Chicago et uniquement rentable pour les seuls qui les organisent), ils se débrouillent en pataugeant comme des petits chiens.

    C'est mignon, mais pas vraiment à la hauteur d'une école digne de ce nom.

     

     
    Oriane Borja Le hiatus vient du fait que certains exhument, en y prenant un malin plaisir, des textes qui n'avaient en effet pas vocation à circuler parmi les profanes.

    Prenez un langage de juriste, médical (je viens de faire un bolus de deux à mon fils), vous obtiendrez le même effet.

    Et cela évite de parler du fond ... de la piscine.
    Lorsque les hauts fonctionnaires pondent un projet de réforme pour l'Education nationale, ils ne craignent rien. Ni le ridicule, ni l'absurde.
    TEMPSREEL.NOUVELOBS.COM|PAR PAR JACQUES DRILLONVOIR TOUS SES ARTICLES

     

  • Rama Yade, le plumage libéral derrière le ramage républicain

    Rama Yade raille les socialistes qui, appliquant les directives de l'OCDE et l'idéologie pédagogiste américaine préfèrent le stand up d'un Debbouze au latin.

    Une Rama Yade qui accélérerait bien elle, le processus de libéralisation de l'école, qui commence par cette rupture allant de notre ancienne formation de l'Honnête Homme, vers l'utilitarisme marchand, avec l'externalisation progressive des "projets" pédagogiques vers le privé.

    Elle ne devrait pas la ramener, car à bien des égards, Debbouze est plus Français qu'elle qui défend une idéologie libérale très anglo américaine.

    Idéologie qui au demeurant, se sied parfaitement d'un communautarisme qui brosse les gens comme Debbouze dans un sens qui nous est étranger.

    Rama Yade étant une dangereuse extrémiste qui appelle à plus de libéralisme par la violence comme l'a bien révélé son entretien avec le collabo libertarien Jean Robin.

    Le clivage politique ne réside que là, entre les tenants d'une idéologie au service des puissants contre la majorité, dont Rama Yade est un pion, et les tenants d'une société protectrice avec un Etat garant d'un gouvernement au service de l'intérêt général contre les intérêts particuliers.

    De latin et de Rome, on retient Tite-Live, la res publica, l'organisation de la Cité en société, pas l'anarchie américaine et sa liberté du renard dans le poulailler.

  • Il est des politiques qui meurtrient les corps comme les âmes

    Les conservatoires de musique vont-ils devenir les victimes d'une politique de la ville qui comme l'EN pour l'école, voudrait en baisser le niveau pour les rendre accessibles à tous ?

    Ils accueillent tout le monde - et pas assez de monde sûrement, faute de moyens-, sauf que c'est l'effort qu'ils demandent qui est accessible, pas une simple place, voilà tout le blâme !

    Quand sous le prétexte d'une politique de gauche, on en aurait effectivement baissé l'exigence, on aura vu entre temps fleurir des boîtes privées, trop contentes de l'aumône, qui auront fleuri en prétextant d'avoir gardé le niveau -ce qui sera en réalité illusoire puisque la logique de profit amènera bientôt là aussi, à s'arranger pour avoir plus de clients, la rentabilité exige davantage la quantité que la qualité quand celle-ci n'est tout simplement pas vendable puisque ce serait le client qui en serait redevable.

    Et encore faudra-t-il changer alors aussi de nom, de "conservatoire", il conviendra de dire "observatoire", "laboratoire", "déambulatoire", "l’illusoire", avant le "crématoire" sans doute, avec grand autodafé de partitions jugées trop élitistes.

    Le conservatoire traditionnel mène à la création car seule la maîtrise permet l'invention.
    Les labos des nouvelles politiques n'engendreront que la répétition, plus ou moins mauvaise.

    Après les humanités, fallait-il encore abattre avec le conservatoire, tout le répertoire !

    Il ne leur suffit plus de créer la misère matérielle, il leur fallait aussi l'indigence intellectuelle et celle qui touche l'âme.